@ Tous
Une autre explication : comme tout le monde ici, on peut supposer qu'il est correctement équipé avec les bonnes "pièces". Équipement humain standard pour fonctionner.
A son stade, ont-elles été montées dans le bon ordre?
Ou peut-être s'agit-il d'une mutation indésirable et perturbatrice s'est produite dans le programme.
Merci Jean pour les précisions au sujet du test PCR.
Pour la notion de "libertés" et de systèmes démocratiques, on ne va pas revenir dessus, ce n'est pas le fil. C'est toujours l'histoire de l'individu confronté à la notion de bien commun.
Petit rappel d'un constat ayant préludé la loi Evin. (Un ministre compétent mais dérangeant, dans le bon sens du terme.. Dommage...).
Après évaluation, il avait mis en lumière que le montant des subventions publiques attribuées à la SEITA (le monopole d'état sur le tabac) était équivalent à celui de la recherche sur le cancer. Personne n'avait vraiment voulu s'y intéresser avant lui. Une situation ubuesque, kafkaïenne.
La SEITA était un très gros employeur public.
Vous imaginez la gestion du bazar.
Politique de santé réelle et efficace ou syndrome de l'autruche la tête dans le sable ?
Ça ne concerne que le tabac et ses méfaits.
Pour l'alcool, ça n'a pas été simple non plus. Alcool au volant, (cf. historique de l'évolution du taux d'alcool dans le sang, mesures successives...), alcool sur le lieu de travail...
Il y eut des campagnes de prévention massives, avec des slogans choc: boire ou conduire, il faut choisir.
Avant que ça ne passe dans les mœurs, pour pas mal de français basiques, c'était plutôt : boire ou choisir, il faut conduire.
On ne peut pas dire que ce sont produites des restrictions de libertés (non fumeur, j'en ai suffisamment subi de la liberté des fumeurs dans des lieux clos)
Ce sont plutôt des réaffirmations optimisées, suivant les évolutions de la société, des notions de bien commun.
La politique de santé, c'est pour tous, au service de tous. Pas le tabac ou l'alcool, dont la consommation est l'expression de conduites individuelles.
Ce qui nous ramène à la gestion de la pandémie en cours, dont Julien ne veut pas, ou ne peut pas comprendre les enjeux, à moyen et longs termes.
Ce qui se passe actuellement, qui est inédit depuis des décennies (la pandémie en cours) c'est la mise en place de nouvelles structures anticipatrices du futur : ce n'est pas parce qu'il n'y a plus d'épidémies de rougeole qu'il ne faut plus se faire vacciner.
Le virus n'est pas éradiqué, il est toujours présent.
Pour le coronavirus, les méfaits évalués sont d'importance et n'ont rien à voir avec une "grippette".
Raoult semble complètement décrédibilisé à ce sujet.
Et Julien continue de s'accrocher à tout et à n'importe quoi.
https://m.youtube.com/watch?v=FPMvKI6oIe0
Les autorités décisionnaires, les élus, doivent prévoir le matériel en conséquence et les plans de prévention à mettre en œuvre. Pour le covid, et probablement d'autres virus, ce sont les capacités et compétences de réactivité et de prévoyance (cf. Les stocks de masques et de gel hydroalcoolique). à entretenir, et à mobiliser le cas échéant, même si elles sont génératrices d'inflation de moyens.
On a pu apprécier ce qu'il en était. Un trop grand confort nuit, et enraye à coup sûr les possibilités d'adaptation.