jean7 a écrit :Psyricien a écrit :Ok, la morale à donc pour origine les protons, les neutrons, et les électrons ...
En fait, ça ce passe de commentaire ... vous vous engagez sur la voie de mast****** intellectuelle.
Je te laisse te mast****** tout seul puisque je m'arrête au niveau le moins théorique, le plus tangible et dont
l'existence est la plus certaine.
Vous pensez donc que l'existence des particules qui nous composent est "théorique" ?
Misère ... c'est triste de lire un tel déballage d'ignorance

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Psyricien a écrit :C'est pour ça que l'on parle de subjectif justement !
La morale est un concept immatériel !
Je n'ai jamais qualifié la morale de matérielle ou d'objective.
Ce qui existe objectivement, ce sont des références au bien et au mal intégrés dans les individus.
Non, ces références ne sont pas objectives, j'ai déjà expliqué pourquoi ... morceaux de mes posts que vous ignorer systématiquement.
Si faire le sourds vous donne l'impression de discuter, il n'en est rien.
Ces références ne sont pas objective, car la perception d'un même stimuli est subjective !
Donc votre référence objective, est subjective

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Ce que tu me dis, c'est que les abstractions immatérielles du bien et du mal défini par la morale (est-ce que toutes les morales définissent le bien et le mal au fait ? Même pas sûr) sont sans relation avec ces références. Il me semble au contraire que ces relations sont presque générales et tu ne m'a fourni aucune exception valide. (il devrait pourtant y en avoir).
Si j'en est fournie plein ... vous les ignorer sciemment

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Par exemple un compromis sociale n'est pas basé sur vos "références" du bien et du mal ...
Références qui au demeurant sont complètement subjectives.
Prenons un exemples "simple":
--> Psyricien apprécie X, pour lui c'est "bien"
--> Jean7 n'apprécie pas X, pour lui c'est "mal"
Expliquez donc moi, objectivement, ce qu'implique la référence du rapport humain à X ? C'est bien ? C'est mal ? C'est objectif ? C'est subjectif ?
Allez vous pouvez le faire ... et éviter de fuir, ce serait une première.
Psyricien a écrit :Non, c'est l'interaction humains-humains qui en faisant interagir leur subjectivité mène à un compromis "acceptable" pour les parties et définissent un "code" d'interactions.
Ca, c'est ce que je défend !
Non, ce que vous défendez c'est votre proposition "P", qui est une vision nombrilo-centrique de la définition de la morale, et qui entends la définir sur la base de l'individu et non de l'interaction entre individus.
Il faut choisir ce que vous défendez, car le constat que je fait ici, est diamétralement opposé à votre proposition "P".
Psyricien a écrit :C'est donc tout autant subjectif, que les subjectivité des humain sur lesquelles elle repose.
Subjectif de deuxième ordre... En tout cas intangible.
Subjectif de deuxième ordre ? Voilà que vous inventez des concepts non-définie ? ...
Intangible ? Et donc ? Qu'est-ce vous gène avec une "morale" intangible ?
Vous espériez trouver un petit coffre avec écrit dessus "ici est la morale" ?
Bon, le groupe, ça débute à partir de combien ?
Groupe:
Ensemble de choses, d'animaux ou de personnes, formant un tout et définis par une caractéristique commune.
Je ne vois même pas ce que ce genre de considération viens foutre là ... mais bon.
Si vous voulez, vous pouvez considérer une groupe de 2 personnes ...
G>
Après avoir expurger 50% du message de Schtoiing qui ne constitue qu'une digression malhabile ... répondons au peu de fond que l'on peut en extraire

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je dis que ma définition* de la morale est de ne pas nuire à l'intégrité physique, psychologique et matérielle d'autrui et qu'elle s'applique à tous êtres humains (considérant que les exceptions ne font pas la règle).
C'est une "morale" naïve, digne d'un petit enfant.
VOTRE vision de la morale, est donc une vision qui n'ai appliqué en gros par personne.
Je ne vois donc pas pourquoi vous vous acharnez à évoquer un antagonisme ?
Dites plutôt ce qui vous semble incohérent dans cette définition ?
Ce qui est incohérent c'est qu'une telle formulation semble ignorer l'existence d'intérêts divergent, et donc négliger que les humains interagissent ensemble.
En interagissant ensemble des humains font valoir leur volonté propres et la mette en perspective afin d'établir un compromis.
L'existence de compromis implique des concessions, concession qui sont perceptible comme une "nuisance" pour l'individu seul.
Aussi, par construction la société implique l'induction de "nuisance" à l’échelle de l'individu, afin de remplir un but commun, pour lequel les dites nuisances sont jugé "tolérable" par les membres de la société.
* Plusieurs membres de ce forum ayant donné leur définition de la morale. Lorsque j'ai donné la mienne je me suis vu agressé pour avoir prétendument voulu faire du prosélytisme...
Les membres ici ne donnent pas "leur avis" sur la morale ... il parle des mécanisme de ça construction et de sa subjectivité.
Croire qu'il s'agit d'un exposé de "leur morale" est encore un signe que vous n'avez rien compris au sujet de ce fil.
L'homme étant un animal et "descendant" du singe (c'est je crois admis par ici), qu'est-ce qui expliquerait selon vous cette découverte ?
Misère ... non, l'homme ne descend pas du singe, il ont un ancêtre commun ... vous descendez de vos cousins vous ?
Si c'est pas triste de lire pareil ânerie venant d'un grand moralisateur.
Mais SURTOUT, des chercheurs du CNRS ont clairement identifié les zones du cerveau correspondant à notre sens moral.
Ca n'implique l'existence d'une morale "génétique"
Qu'en pensez-vous ?
Que tant que vous ne nous direz pas comment on accède objectivement à cette morale de "l'ADN", vous pissez dans un violon en prétendant qu'elle existe

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Pour vous donc, la morale n'a rien à faire avec l'idée de bien ou de bonté communément admise par l'humain (j'entends pas une majorité des 7 milliards d'être humains vivant sur terre) ?
La morale à un sens dans une société ! Dans cette société elle fait du sens, en dehors elle n'en fait aucun.
Qu'une société soit majoritairement favorable à une considération morale n'implique que cette morale soit "la bonne".
Elle est juste celle en vigueur au moment et à l'endroit considéré.
Sinon, à vous suivre plein de considération "immorale" qui sont devenu "morale" par la suite ... n'auraient jamais du le devenir.
Vous confondez le sens que la morale prend dans un groupe qui la reconnait, avec une valeur intrinsèque que cette dernière aurait.
Comme plusieurs vous le dise ... vision infantile de la morale !!!
G>