Dans la cadre de la tournée européenne de l’association des "Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11 Septembre", la conférence qui a été donnée le 7 novembre à Madrid par son représentant l’architecte américain Richard Gage a fait l’objet d’une couverture par la chaîne nationale espagnole Telecinquo. Voici le reportage diffusé au journal télévisé :
http://www.reopen911.info/News/2008/11/ ... espagnole/
Un article est également proposé sur le site de la chaine :
Un architecte étatsunien présente à Madrid sa version alternative du 11/9
Le 11 Septembre a tellement bouleversé l’opinion publique que l’on ne compte plus les versions et les théories sur les attentats qui pullulent sur Internet, dans des films documentaires et sous d’autres formes. L’une d’elles, qui soutient que les Tours ont été démolies, a été exposée à Madrid par Richard Gage, fondateur de Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11 Septembre. Une structure d’acier, explique-t-il, ne peut pas tomber à cette vitesse sans la disparition de ses colonnes porteuses.
Richard Gage représente un demi-millier d’architectes et d’ingénieurs qui exigent une nouvelle enquête sur les attentats du 11 Septembre durant lesquels le monde entier a été témoin de l’effondrement des tours du World Trade Center. Il a lui-même conçu des structures d’édifices en acier pendant plus de 20 ans et il insiste sur la multitude de preuves « irréfutables » démontrant que les Tours Jumelles et le Bâtiment 7 du WTC ont été détruits par une démolition contrôlée.
L’impression que les détails de ce jour-là « commencent à s’estomper » dans la mémoire du public l’a amené à faire une tournée en Europe. À travers ses conférences, il cherche à sensibiliser les gens sur l’importance d’éclairer un évènement qui a servi à « un démantèlement des libertés civiles des Européens et à une augmentation de la surveillance étatique ».
Démolir la version officielle
Selon Gage, l’effondrement « soudain et spontané » des Tours est impossible sans une démolition contrôlée. Par ailleurs, il y a de nombreux témoignages, soutient l’architecte, qui parlent d’explosions s’étant produites au rez-de-chaussée, une seconde avant le début de l’effondrement.
Il y a également eu « un nuage pyroclastique massif » et des tonnes de métal fondu trouvées dans les sous-sols par les ouvriers en charge du déblaiement. Des traces d’un agent chimique incendiaire de haute technologie appelé "Thermite", ont même été retrouvées, dit-il, dans tous les échantillons des débris et des poussières.
Mais le plus grave, c’est que des médias, selon Gage, savaient à l’avance que les effondrements auraient lieu. Comme la BBC, qui a annoncé la chute d’un édifice voisin [vingt] minutes avant que celle-ci ne se produise, explique-t-il.
Ses preuves
Gage nous apprend que l’ingénieur des structures du complexe du WTC a remarqué une piscine de magma qui a brûlé pendant plusieurs semaines après l’attentat. Une preuve de plus de la présence de l’agent incendiaire, la ‘Thermite’, qui est utilisée pour « faire fondre et couper les colonnes et poutres en acier».
Par ailleurs, dans la vidéo elle-même, on voit des « éclats et explosions localisés aux endroits clés de la structure ». L’architecte conclut que si la structure s’était effondrée telle que la version officielle l’explique, les débris auraient constitué "un immense tas de gravas de grande hauteur". Au lieu de quoi les débris des trois bâtiments se trouvaient dans leurs propres sous-sols.
La preuve définitive est que des poutres ont été retrouvées à plus de 400 mètres des tours, selon les informations de Gage, et que des fragments d’ossements humains ont été retrouvés sur les toits des bâtiments voisins du WTC.