Re: Olivier Chambon - La conscience est-elle extérieur au cerveau ?
Publié : 29 mai 2016, 16:29
Je me demande pourquoi c'est tjr l'impression de décorporation qui domine ?
Pourquoi le cerveau produit t'il cette sensation et non pas parfois d'autres sentiments comme celui d'une corporation bien encrée.
Je pense d’ailleurs que c'est le cas.
On peut parler d'une corporation forte quand le sujet croie maitriser parfaitement son corps dans l'espace, pense qu'il est clairvoyant, alors qu'il est hautement stressé voir en danger de mort.
Or la conscience tente de remplacer l’âme dans la mouvance du "newage" actuel.
Le "newage" à bien compris que le concept d’âme est un simple concept, on n'observe pas ce qu'elle produit.
Or la conscience bien que mal définie ou multi-définie, existe bien et est quasiment impossible à nié sauf à grand renfort d'opinion.
C'est une manière de remplacer les caractéristique de l'âme (survie après la mort) par un phénomène qui existe et ne peut être "scientifiquement" nié (la conscience), contrairement à l'âme.
Le simple fait de choisir les témoignages ne parlant que de décorporation implique un biais de sélection important.
---
J'ai donc lu la page sur Jourdan donnée par Ema. Voulant trouver une méthodologie.
Déjà je suis agréablement surpris sur le fait que Jourdan reste honnête sur ce qui représente pour lui sa seule chance d’être écouter, il semble vraiment honnête et lucide quand aux difficultés épistémologiques, méthodologiques et interprétatives de son hypothèse.
Ce qui ma donné envie de lire en entier la page.
C'est bien, mais ça manque cruellement de détails à mes yeux.
Je voie surtout une liste des problèmes (c'est bien), des résolutions et des solutions (qui sont pas mal du tout), qui sont vraiment interessantes et testables. Il semble que ce sont des méthodologies fiables à mes yeux.
A condition de prendre le témoignages en sortie de coma. Directement. Ce qui est agressif. Mais possible. Jourdan parle de probleme interprétatif post-témoignage, ou post expérience.
Je ne sais pas pourquoi il se créer un handicape avec cela...puisqu'une personne n'ayant jamais été mise au courant de quoi que ce soit (sur la nature des images sur un écran) pourrait simplement poser des questions et recueillir des données, donc sans aucun risque de "souiller" la personne qu'il test. Aussi, pour éviter toute mémoire anté-témoignage, il faudra s'assurer qu'a la venue du patient dans l’hôpital est la chambre, il n'est absolument pas accès à aucune information qui sera testées post-coma.
Puis que tout ce protocole sois rigoureusement détaillé dans le déroulement de l’expérience, voir filmé, et s’assurer que le patient à sont arriver est inconscient, qu'il n'entend pas par exemple.
Je trouve TRES étonnant que Jourdan ne parle pas en détails et manière stricte de c'est conditions...il ne fait que les effleurer. Et encore.
Il parle de l’expérience, mais semble ne pas s’intéresser outre-mesure aux conditions de validité anté-expérience. Pourtant très appréciées des sceptiques.
Jourdan semble avoir une méthodologie efficace. Et déjà utilisée il me semble.
Mais pourtant, il la réduit quasiment à néant tout les 2/3 paragraphes (y compris dans celui de la méthodologie) en s'excusant de divers manière que les échecs serait non concluant...
Il faut admettre que la méthodologie présentée (mais plus complète et détaillée) permettrait d'apporter des preuves empiriques importantes, suite à un certain nombres de cas, qui reste à définir, et cela semble le vrai obstacle !
C'est le nombre de cas à définir, positif, et avec un niveau de détails décrit et sous contrôle, qui ferait preuve.
Pourtant j'imagine qu'une dizaine de patient suffirait à apporter une preuve empirique solide.
Jourdan parle à la fin d'un type de cible accrochée au plafond qui serait impossible de mal interprétée si un patient en témoignait.
Ne le choquerait pas. Ne lui donnerait pas honte. Et il n'en parle pas, et il à bien raison.
Mais si c'est un seul type de système de cible (même aléatoire)...cela biaisera l’expérience car pour apporter un nombre suffisant de patient il faudra du temps. Or il serait possible que l'information fuite..
Il tien une méthode qui est bonne, mais ne la détails pas, sauf de manière absurde, et se freine avec les impressions des patients et leurs peurs, alors que bcp acceptent de témoigner et utilisent justement cela pour se donner de l'importance.
Cette méthodologie à déjà été testées il me semble. (les cibles). Elle à déjà été discutée sur le sujet appropriée au passage.
De souvenir, elle n'a rien donnée. Mais la représentativité des patients (2 je croie) semble...ridicule.
Mais, même si il y en avait 100 on peut penser que certain patient peuvent décrire une chose, et d'autre pas. C'est tout à fait raisonnable de le penser et donc de le prendre en compte. C'est même obligatoire pour renfoncer son hypothèse, car ce renfort est réaliste (j'explique après).
Il faut donc recueillir plusieurs expériences qui recoupent les infos pour valider le pour et le contre.
Amha, 2 patients qui échouent, même plus, c'est insuffisant pour infirmer...déjà parce qu’on n'a pas de certitude qu'une EMI à eu lieue, et ensuite même si il y à EMI rien ne dit que TOUT les patients ont les capacités de décrire en détails leurs environnement post-EMI.
Or cela ne veut pas dire que le phénomène est inexistant et que certain ne pourrait pas y arriver si ils expérimentait une autre EMI... Pas plus que tout le monde n'a les capacités de contrôler parfaitement un rêve conscient, certain rêves conscient sont plus contrôlable que d'autre. Certaines personnes sont même plus enclin à se souvenir de rêves que d'autres.
Notamment selon leur hygiène de vie. Donc il faudrait réaliser l’expérience sur plusieurs dizaines, voir centaines de patients. Et ensuite croiser les résultats "positifs".
Si les critères descriptifs sont regroupés et les conditions réunies et parfaitement réalisées sur plus 2/3 aptiens, ça serait déjà énorme !
Si l’expérience dure dans le temps (tout le monde fait pas une EMI à la demande), il faudra diversifier les images diffusées dans la TV, ou le système de cible, afin que les informations de son contenue ne fuite pas (à cause du personnelle). Le double aveugle est obligatoire, est Jourdan l'admet sans probleme. C'est bien.
Jourdan à donc encore la chance de changer la donne. Mais il introduit pas mal d'excuses d’échecs pour se protéger.
Il semble donc plus apprécier son hypothèse que la preuve suffisante qui lui donnerait le statu de théorie. Il est possible ensuite que le milieu hospitalier lui mette des battons dans les roues. Mais je pense que c'est une excuse insuffisante. Il existe des millions d’hôpitaux, dirigés de millions de façon différentes. Dans des centaines de pays différents.
Il reste le probleme du budget indispensable à une telle expérience sur le long terme. Pourtant, je suis certains qu'un nombre énorme d’investisseurs (notamment croyants) serait prêt à investir la dedans. Il "suffirait" q'ils n’interprètent pas les données et publie les données brutes aussi.
Pourquoi le cerveau produit t'il cette sensation et non pas parfois d'autres sentiments comme celui d'une corporation bien encrée.
Je pense d’ailleurs que c'est le cas.
On peut parler d'une corporation forte quand le sujet croie maitriser parfaitement son corps dans l'espace, pense qu'il est clairvoyant, alors qu'il est hautement stressé voir en danger de mort.
Or la conscience tente de remplacer l’âme dans la mouvance du "newage" actuel.
Le "newage" à bien compris que le concept d’âme est un simple concept, on n'observe pas ce qu'elle produit.
Or la conscience bien que mal définie ou multi-définie, existe bien et est quasiment impossible à nié sauf à grand renfort d'opinion.
C'est une manière de remplacer les caractéristique de l'âme (survie après la mort) par un phénomène qui existe et ne peut être "scientifiquement" nié (la conscience), contrairement à l'âme.
Le simple fait de choisir les témoignages ne parlant que de décorporation implique un biais de sélection important.
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J'ai donc lu la page sur Jourdan donnée par Ema. Voulant trouver une méthodologie.
Déjà je suis agréablement surpris sur le fait que Jourdan reste honnête sur ce qui représente pour lui sa seule chance d’être écouter, il semble vraiment honnête et lucide quand aux difficultés épistémologiques, méthodologiques et interprétatives de son hypothèse.
Ce qui ma donné envie de lire en entier la page.
C'est bien, mais ça manque cruellement de détails à mes yeux.
Je voie surtout une liste des problèmes (c'est bien), des résolutions et des solutions (qui sont pas mal du tout), qui sont vraiment interessantes et testables. Il semble que ce sont des méthodologies fiables à mes yeux.
A condition de prendre le témoignages en sortie de coma. Directement. Ce qui est agressif. Mais possible. Jourdan parle de probleme interprétatif post-témoignage, ou post expérience.
Je ne sais pas pourquoi il se créer un handicape avec cela...puisqu'une personne n'ayant jamais été mise au courant de quoi que ce soit (sur la nature des images sur un écran) pourrait simplement poser des questions et recueillir des données, donc sans aucun risque de "souiller" la personne qu'il test. Aussi, pour éviter toute mémoire anté-témoignage, il faudra s'assurer qu'a la venue du patient dans l’hôpital est la chambre, il n'est absolument pas accès à aucune information qui sera testées post-coma.
Puis que tout ce protocole sois rigoureusement détaillé dans le déroulement de l’expérience, voir filmé, et s’assurer que le patient à sont arriver est inconscient, qu'il n'entend pas par exemple.
Je trouve TRES étonnant que Jourdan ne parle pas en détails et manière stricte de c'est conditions...il ne fait que les effleurer. Et encore.
Il parle de l’expérience, mais semble ne pas s’intéresser outre-mesure aux conditions de validité anté-expérience. Pourtant très appréciées des sceptiques.
Jourdan semble avoir une méthodologie efficace. Et déjà utilisée il me semble.
Mais pourtant, il la réduit quasiment à néant tout les 2/3 paragraphes (y compris dans celui de la méthodologie) en s'excusant de divers manière que les échecs serait non concluant...
Il faut admettre que la méthodologie présentée (mais plus complète et détaillée) permettrait d'apporter des preuves empiriques importantes, suite à un certain nombres de cas, qui reste à définir, et cela semble le vrai obstacle !
C'est le nombre de cas à définir, positif, et avec un niveau de détails décrit et sous contrôle, qui ferait preuve.
Pourtant j'imagine qu'une dizaine de patient suffirait à apporter une preuve empirique solide.
Jourdan parle à la fin d'un type de cible accrochée au plafond qui serait impossible de mal interprétée si un patient en témoignait.
Ne le choquerait pas. Ne lui donnerait pas honte. Et il n'en parle pas, et il à bien raison.
Mais si c'est un seul type de système de cible (même aléatoire)...cela biaisera l’expérience car pour apporter un nombre suffisant de patient il faudra du temps. Or il serait possible que l'information fuite..
Il tien une méthode qui est bonne, mais ne la détails pas, sauf de manière absurde, et se freine avec les impressions des patients et leurs peurs, alors que bcp acceptent de témoigner et utilisent justement cela pour se donner de l'importance.
Cette méthodologie à déjà été testées il me semble. (les cibles). Elle à déjà été discutée sur le sujet appropriée au passage.
De souvenir, elle n'a rien donnée. Mais la représentativité des patients (2 je croie) semble...ridicule.
Mais, même si il y en avait 100 on peut penser que certain patient peuvent décrire une chose, et d'autre pas. C'est tout à fait raisonnable de le penser et donc de le prendre en compte. C'est même obligatoire pour renfoncer son hypothèse, car ce renfort est réaliste (j'explique après).
Il faut donc recueillir plusieurs expériences qui recoupent les infos pour valider le pour et le contre.
Amha, 2 patients qui échouent, même plus, c'est insuffisant pour infirmer...déjà parce qu’on n'a pas de certitude qu'une EMI à eu lieue, et ensuite même si il y à EMI rien ne dit que TOUT les patients ont les capacités de décrire en détails leurs environnement post-EMI.
Or cela ne veut pas dire que le phénomène est inexistant et que certain ne pourrait pas y arriver si ils expérimentait une autre EMI... Pas plus que tout le monde n'a les capacités de contrôler parfaitement un rêve conscient, certain rêves conscient sont plus contrôlable que d'autre. Certaines personnes sont même plus enclin à se souvenir de rêves que d'autres.
Notamment selon leur hygiène de vie. Donc il faudrait réaliser l’expérience sur plusieurs dizaines, voir centaines de patients. Et ensuite croiser les résultats "positifs".
Si les critères descriptifs sont regroupés et les conditions réunies et parfaitement réalisées sur plus 2/3 aptiens, ça serait déjà énorme !
Si l’expérience dure dans le temps (tout le monde fait pas une EMI à la demande), il faudra diversifier les images diffusées dans la TV, ou le système de cible, afin que les informations de son contenue ne fuite pas (à cause du personnelle). Le double aveugle est obligatoire, est Jourdan l'admet sans probleme. C'est bien.
Jourdan à donc encore la chance de changer la donne. Mais il introduit pas mal d'excuses d’échecs pour se protéger.
Il semble donc plus apprécier son hypothèse que la preuve suffisante qui lui donnerait le statu de théorie. Il est possible ensuite que le milieu hospitalier lui mette des battons dans les roues. Mais je pense que c'est une excuse insuffisante. Il existe des millions d’hôpitaux, dirigés de millions de façon différentes. Dans des centaines de pays différents.
Il reste le probleme du budget indispensable à une telle expérience sur le long terme. Pourtant, je suis certains qu'un nombre énorme d’investisseurs (notamment croyants) serait prêt à investir la dedans. Il "suffirait" q'ils n’interprètent pas les données et publie les données brutes aussi.