Re: Livre "Dieu, La science, Les preuves"
Publié : 15 juin 2022, 07:07
"Et le libre arbitre là-dedans ?"
Il faudrait pouvoir connaître l'inconscient dont chaque individu (être vivant) est doté, inconscient au sens de la réalité neurobiologiques, et pouvoir le dominer.
On peut toujours en avoir l'illusion, mais ça ne reste qu'une illusion et il y a de fortes raisons pour qu'il en soit ainsi très longtemps ou à jamais.
C'est une observation triviale à l'épreuve des faits.
Le langage a son importance puisque l'essence de cette pseudo-notion de libre arbitre tire ses racines de considérations religieuses initiales, dans le christianisme primitif.
Le raisonnement à son sujet repose encore sur ces bases. Sur les plans de la science, les avancées se nourrissent des recherches en physique et en neurosciences, sur des bases actualisées, remises en question, non entachées de présupposés et autres préjugés (au sens étymologique des termes). Il est là le problème, le dogme initial.
Et à ce titre, si la science devient dogmatique, elle ne progressera plus et se fourvoira lamentablement, ce ne sont pas les exemples qui manquent. Et échouera, mais à ce niveau, on peut considérer que ce n'est plus de la science en action, mais une application idéologique d'éléments scientifiques.
De la pseudo-science qui peuple les pages de revues ésotériques, les innombrables sites internet, et les salons divers et variés aux libellés exotiques.
Comme l'a rappelé Jean-François, il n'y a guère que depuis un demi-siècle que les scientifiques peuvent approcher plus finement la notion de conscience, grâce à l'appareillage technologique qui le permet (scanner, IRM,...). On ne sait toujours pas ce qu'est la conscience, son étendue, ses limites, mais on progresse quant à cerner ce qu'elle n'est pas.
Il faudrait pouvoir connaître l'inconscient dont chaque individu (être vivant) est doté, inconscient au sens de la réalité neurobiologiques, et pouvoir le dominer.
On peut toujours en avoir l'illusion, mais ça ne reste qu'une illusion et il y a de fortes raisons pour qu'il en soit ainsi très longtemps ou à jamais.
C'est une observation triviale à l'épreuve des faits.
Le langage a son importance puisque l'essence de cette pseudo-notion de libre arbitre tire ses racines de considérations religieuses initiales, dans le christianisme primitif.
Le raisonnement à son sujet repose encore sur ces bases. Sur les plans de la science, les avancées se nourrissent des recherches en physique et en neurosciences, sur des bases actualisées, remises en question, non entachées de présupposés et autres préjugés (au sens étymologique des termes). Il est là le problème, le dogme initial.
Et à ce titre, si la science devient dogmatique, elle ne progressera plus et se fourvoira lamentablement, ce ne sont pas les exemples qui manquent. Et échouera, mais à ce niveau, on peut considérer que ce n'est plus de la science en action, mais une application idéologique d'éléments scientifiques.
De la pseudo-science qui peuple les pages de revues ésotériques, les innombrables sites internet, et les salons divers et variés aux libellés exotiques.
Comme l'a rappelé Jean-François, il n'y a guère que depuis un demi-siècle que les scientifiques peuvent approcher plus finement la notion de conscience, grâce à l'appareillage technologique qui le permet (scanner, IRM,...). On ne sait toujours pas ce qu'est la conscience, son étendue, ses limites, mais on progresse quant à cerner ce qu'elle n'est pas.