Petite anecdote, non significative...
Prenons l'exemple de la maladie des griffes du chat.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Maladie ... es_du_chat
La maladie des griffes du chat, également connue sous le nom de lymphoréticulose bénigne d’inoculation, ou encore lymphogranulome bénin, est une maladie infectieuse bactérienne principalement transmise, comme son nom l'indique, par griffure d'un félin. C'est une zoonose[1],[2] qui semble en croissance, si ce n'est une maladie émergente.
Je possède une chatte, lambda.
Dans mon existence banale, j'ai toujours été au contact de chats, à la campagne, dans mon entourage proche, ou éloigné, ils n'ont jamais manqué.
Quand on est gamin, ce sont des animaux à la fréquentation très tentante. Avec quelques risques, les griffures et les morsures.
Qui se soignent très bien, avec les produits ad hoc.
On considère que la population, sauf cas particuliers, et obligation d'une vaccination à jour, est très bien immunisée.
Je n'ai jamais rencontré le moindre souci, ce ne sont pas les griffures et autres morsures qui ont manqué.
Excepté ces deux dernières années, où une griffure et une morsure se sont traduites par une infection, avec apparition d'un ganglion douloureux conséquent, au niveau de l'aisselle, nécessitant un traitement, dans chaque cas, de deux semaines sous antibiotique. Une semaine aurait dû suffire, sauf que ce ne fut pas suffisant, dans les deux situations.
Je n'avais pas fait le rapprochement entre la griffure et le développement du ganglion, qui s'est déclaré plusieurs semaines après.
Sur le plan immunitaire, je n'étais pas sujet à ce genre de désagréments.
La chatte a vieilli, elle s'oriente vers le comportement grosse mémère pas bien nerveuse, alors qu'elle pouvait connaître des périodes d'impulsions passagères très dynamiques.
Les vétérinaires, qui peuvent être aux premières le ges, ne sont pas à l'abri de ce type d'infections, malgré les précautions qu'ils prennent.
L'immunité est un processus d'adaptation variable, pas un acquis définitif.