Forum Sceptique

Près de 70% des plus de 80 ans ne sont pas vaccinés. source
Le taux de létalité actuel y est de 5% .
Ce virus n'est pas bénin.

-Ce virus n'est pas bénin,
-Omicron n'est pas bénin
-L'épidémie n'est pas finie

julien99 a écrit : 17 mars 2022, 13:20 Là où la plupart des scientifiques s’accordent sur le fait qu’Omicron est devenu aussi virulent qu’une grippe moyenne, vous persistez à nier les faits.
Veran, sors de ce corps !!!

julien99 a écrit : 17 mars 2022, 13:20 Comment pouvez-vous affirmer que ces chiffres sont fiables

Au total, seulement 31% des habitants de HongKong ont reçu au moins une dose de vaccin. Et la qualité du vaccin est en cause puisque les deux tiers d'entre eux ont dû se contenter de Sinovac, le vaccin fabriqué en Chine dont la protection face à Omicron est très faible. Ils sont très peu à avoir eu le vaccin à ARN Messager de BioNTech et Pfizer.

Et avec sa transmissibilité largement supérieure, Omicron fait donc des ravages dans cette société peu vaccinée. Avec 38 décès par million d'habitants ces jours-ci, Hong-Kong a le taux le plus élevé jamais enregistré dans le monde depuis le début de la pandémie. Et selon le FT, depuis "le début d'Omicron, chaque cas de Covid a été entre 20 et 50 fois plus meurtrier à Hong-Kong que dans les pays de la zone". Ainsi, 5% des cas ont entraîné la mort à Hong-Kong contre 0,3 % en Corée du Sud, 0,2 % au Japon et 0,1 % ou moins à Singapour, en Corée du Sud et en Nouvelle-Zélande.

Lambert85 a écrit : 17 mars 2022, 15:08 Près de 300 décès journalier pour un si petit "pays", c'est énorme.
https://www.worldometers.info/coronavir ... -kong-sar/

Inso a écrit : 17 mars 2022, 14:45

julien99 a écrit : 17 mars 2022, 13:20 Comment pouvez-vous affirmer que ces chiffres sont fiables

C'est marrant, il y a quelques jours alors que vous trouviez ces chiffres "insignificatifs", vous ne contestiez pas leur véracité
Je vous laisse aller regarder les chiffres de Hong-Kong. Comme ça vous vous rendrez compte par vous-même que vous êtes un bouffon

julien99 a écrit : 17 mars 2022, 17:03 Allez, bottez en touche

Inso a écrit : 17 mars 2022, 18:04

julien99 a écrit : 17 mars 2022, 17:03 Allez, bottez en touche

?
Je vous mets le nez dans votre caca, vous répondez à coté et c'est moi qui botte en touche ?

julien99 a écrit : 17 mars 2022, 18:51

Inso a écrit : 17 mars 2022, 18:04

julien99 a écrit : 17 mars 2022, 17:03 Allez, bottez en touche

?
Je vous mets le nez dans votre caca, vous répondez à coté et c'est moi qui botte en touche ?

Première vague : pas de vaccins et covd19 = très méchant
Omicron : beaucoup moins méchant + 30 % de vaccinés = plus de décès
Toi comprendre ? Toi avoir vérifié plausibilité ?

Dominique18 a écrit : 17 mars 2022, 22:23 Comme disait MBS: on ne discute pas avec une brouette, on la pousse.

Jean-Francois a écrit : 18 mars 2022, 18:52

Dominique18 a écrit : 17 mars 2022, 22:23 Comme disait MBS: on ne discute pas avec une brouette, on la pousse.

Quand elle a une roue carrée, en plus, on la laisse à la décharge.

Jean-François

unptitgab a écrit : 28 mars 2022, 23:51 Un vrai complot pour une fois, organisé par la Suède pour préserver les intérêts financiers, mensonges sur la contagion des enfants, non prise en charge de malades qui sont mort chez eux, le dossier est accablant.
https://www.nature.com/articles/s41599-022-01097-5

La Suède était bien équipée pour éviter que la pandémie de COVID-19 ne devienne grave. Plus de 280 ans de collaboration entre les organes politiques, les autorités et la communauté scientifique ont permis de remporter de nombreux succès en matière de médecine préventive. La population suédoise est alphabétisée et a une grande confiance dans les autorités et les personnes au pouvoir. Cependant, au cours de l'année 2020, la Suède présentait un taux de mortalité par COVID-19 dix fois plus élevé que celui de la Norvège voisine. Dans ce rapport, nous essayons de comprendre pourquoi, en utilisant une approche narrative pour évaluer la politique suédoise en matière de COVID-19 et le rôle des preuves scientifiques et de l'intégrité. Nous soutenons que cette méthodologie scientifique n'a pas été suivie par les principales figures des autorités en exercice - ou par les politiciens responsables -, les récits alternatifs étant considérés comme valides, ce qui a entraîné des décisions politiques arbitraires. En 2014, l'Agence de santé publique a fusionné avec l'Institut de contrôle des maladies infectieuses ; la première décision de son nouveau chef (Johan Carlson) a été de licencier et de transférer les six professeurs de l'autorité à l'Institut Karolinska. Avec cette configuration, l'autorité manquait d'expertise et pouvait ignorer les faits scientifiques. La stratégie suédoise de lutte contre la pandémie semblait axée sur l'immunité collective "naturelle" et sur la prévention d'un effondrement de la société. L'agence de santé publique a qualifié les avis des scientifiques nationaux et des autorités internationales de positions extrêmes, ce qui a conduit les médias et les organes politiques à accepter leur propre politique à la place. La population suédoise a été maintenue dans l'ignorance de faits fondamentaux tels que la transmission aérienne du SRAS-CoV-2, le fait que les personnes asymptomatiques peuvent être contagieuses et que les masques protègent à la fois le porteur et les autres. La législation obligatoire était rarement utilisée ; les recommandations reposant sur la responsabilité personnelle et sans aucune sanction étaient la norme. De nombreuses personnes âgées se sont vu administrer de la morphine au lieu d'oxygène, malgré les réserves disponibles, mettant ainsi fin à leur vie. Si la Suède veut faire mieux lors des futures pandémies, la méthode scientifique doit être rétablie, notamment au sein de l'Agence de santé publique. La recréation d'un Institut de contrôle des maladies infectieuses distinct et indépendant ferait sans doute une grande différence. Nous recommandons à la Suède d'entamer un processus d'autocritique concernant sa culture politique et le manque de responsabilité des décideurs afin d'éviter de futurs échecs, comme cela s'est produit avec la pandémie de COVID-19.

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Le sous-variant BA.2 majoritaire en France avec 92% des cas

Un variant très contagieux mais – heureusement – moins sévère. En effet, Santé publique France rapporte un risque d’hospitalisation et d’admission en soins intensifs jusqu’à 80% plus faible qu’avec les autres variants comme Delta ou Alpha. ...
Les symptômes du sous-variant BA.2 sont proches de ceux d’Omicron. Il s’agit de : grosse fatigue ; toux ; fièvre ; maux de tête, douleurs musculaires ou courbatures ; maux de gorge ; écoulement nasal ; nausées et vomissements. En revanche, Omicron et BA.2 provoquent peu de perte d’odorat ou de goût comme ce fut le cas des premiers variants en 2020.

Deltacron : ce que nous dit l’Institut Pasteur

Les chercheurs de l’Institut Pasteur ont analysé les 32 cas confirmés en France du variant Deltacron appelé aussi variant XD
Sur les 32 patients infectés par le variant XD, deux patients ont été hospitalisés. Une hospitalisation sans prise en charge intensive. D’ailleurs, les patients sont sortis moins de 24 heures après leur admission. ...
Santé publique France a recensé 63 cas le 28 mars dernier.

Marc Van Ranst, virologue à l’Université libre de Bruxelles, n’est pas inquiet face à la découverte de ce nouveau sous-variant. «Les virus accumulent les mutations, c’est ce qu’ils font toujours. De nouvelles versions feront encore surface», souligne-t-il. En ajoutant «préférer les subversions d’Omicron qu’un tout nouveau variant».

LoutredeMer a écrit : 13 avr. 2022, 16:34 Je pense que tout ceci est de bonne augure pour une très prochaine sortie de crise.

DictionnairErroné a écrit : 25 avr. 2022, 14:00 La question se pose par rapport à la Chine. La Chine a décidé de poursuivre l'isolement collectif sévère sans prendre en considération l’immunité collective comme nous le faisons ici aujourd'hui. Est-ce une erreur ou n'ont-ils pas le choix étant donné sa grande population?