Vous une brigade "aération de texte pour le lisible" chez vous ? Si vi c'est quoi le numéro d'urgence ?

Là, par exemple, vous avez perdu une bonne occasion de vous taire et le sujet du fil prend tout son sens. Ce qu'on est en droit de demander à des personnes rationnelles, c'est de la mesure. Vous ne valez pas mieux qu'un troll, comme d'habitude en fait vu que je ne vous ai en fait jamais vu discuter sur le forum, juste agresser vos interlocuteurs avec vos certitudes creuses, surtout quand vous vous adressez des zozos parce que c'est plus facile et vous êtes certaines de ne pas avoir un retour. Si un membre non zozo a un autre point de vue que le vôtre vous réagissez en fait comme eux, vous vous braquez et lancez un "pff de toute façon vous êtes un con".Florence a écrit :A ce stade d'aveuglement volontaire et de justification de clichés, de préjugés et de lieux communs, je laisse tomber, ça relève de l'indécrottable.Brève de comptoir a écrit : ...
Très bien. Peut-on donc savoir de quel problème il s'agit (votre compréhension du sujet, pas des "il faut parce que c'est politiquement plus correct") et quelles seraient pour vous alors les moyens pour le résoudre ?Nope je ne suis pas.
Quand je me balade torse nu sur la plage ou en festi, aucune fille ne me lance d'insulte.
Quand mes copines se baladent sans mec dans les quartiers étudiants le week end, elles se font systématiquement emmerder quelque soit la façon dont elles s'habillent.
Entre ces deux extrêmes se cachent le problème, mais si vous ne voulez pas le voir vous ne le verrez pas.
Le problème est que notre société est profondément sexiste. Plus encore qu'elle est religieuse ou raciste.Très bien. Peut-on donc savoir de quel problème il s'agit (votre compréhension du sujet, pas des "il faut parce que c'est politiquement plus correct") et quelles seraient pour vous alors les moyens pour le résoudre ?
Et encore faut-il s'entendre sur la nature du problème. Pour vous, le sexisme est lié au viol. Pour moi, le sexisme, est un réflexe d'identification et de distinction, autrement dit une forme d'intelligence très primaire. Identifier l'autre, c'est d'abord le reconnaître à travers des caractéristiques simples. Autrement dit, des clichés. Telle ou telle personne est d'abord un homme ou une femme, petite, grande, noire blanche, blonde, rousse, brune, etc. Et toutes ces caractéristiques sont rattachées à des émotions et à des sens parfois inconscients qu'on a appris à coller à chacune de ces propriétés. Pourquoi ? Parce que le raccourci permet de gagner du temps, donc de l'efficacité, et d'intégrer par la suite d'autres informations plus complexes, venant souvent modérer ces "premières impressions". Sauf que par facilité, on ira toujours au plus simple, et c'est pourquoi si on n'y prête pas attention, on devient victime de ses propres préjugés. La sainte conscience permettant aux individus de s'émanciper totalement des préjugés n'existe pas. Il faut donc faire avec. Mieux, si on ne comprend pas comment et pourquoi on est amené à avoir de tels préjugés, on est très probablement plus sujet à en être victime. Alors par commodité, on préférera penser que le sexisme naît dans les choux et n'appartient qu'à un certain nombre d'individus stupides ou mal intentionnés ayant comme seul but dans la vie, empêcher les femmes de s'exprimer comme elles le veulent. Et on se fait aussi un peu "plus royaliste que le roi", voire inquisiteur, parce que tout compte fait, si on montre avec insistance son dégoût pour le sexisme, et pour tous ces sauvages pour qui les femmes ne sont que des objets, on a peu de chance de se voir soi-même traité de sexiste. Ah et puis, si en plus on pouvait se présenter comme le seigneur venant au secours de la veuve et de l'orpheline violées, on aura tout bon.Pour résoudre un problème il faut d'abord accepter de le voir.
Ma réponse était que si on ne laissait pas envenimer un bobo qu'on avait pas besoin de le soigner. Pour que tu comprennes si tu t'aurais donné comme règle de donner un avertissement à chaque fois qu'une personne dépasse les bornes, tu n'aurais-tu eût besoin de le faire pour ma réponse peu engageante que j'ai donné à Steph, puisque tu lui aurais fais fermer le caquet avant, ou pendant, je ne sais pas trop. Au pire quand on arrive trop tard et bien je pense que des avertissements ou plutôt une demande à la modération pour chacun (ça fait un peu plus adulte) est bien correct aussi. En réalité je n'aurais pas dû lui répondre surtout qu'il m'avait déjà fait son petit numéro une fois. Mais tu avoueras que quand on se fait pousser dans les cordes une fois par semaine par un ou par l'autre parce qu'on pense différemment, on finit par devenir plutôt sensible. Aussitôt que j'arrange un peu les choses avec un ça saute avec un autre. Normalement je devrais quitter ce forum, le problème c'est que je l'aime ce forum et aussi les gens qui l'habitent, là on va me critiquer en disant que je fais appel de sentiments, mais si j'en ai des sentiments qu'est-ce que je peux bien y faire, les mettre dans ma poche peut-être. Elles sont trop petites, beaucoup trop petitesDenis a écrit :Salut Mireille,
Tu dis :Même si je considère que tu n'as pas répondu à ma question d'ici (tu as plutôt répliqué, sans répondre), je vais essayer de répondre à la tienne.Pour Denis, je pose la question si Nicolas aurait vu la niaiserie que lui a balancé Sumad Cadet, penses-tu que Nicolas aurait répondu très différemment de ce que moi j’ai répondu à Stéphane en regard avec mes petites crises d’hystéries ?
Nicolas aurait répondu à Sumad en lui rendant la même charge agressive que Mireille à Steph
Mireille : 100 % Denis : %
Je te rends la pareille de ta réponse d’hier en te répondant cette fois à toi de me répondre et te remercie aussi.
Ma question était : « aurait-on dû sévir contre le "espèce de crétin" et le "il faut aller pour faire soigner" de ce message ? ».
Denis
Tu ne peux pas la trouver, elle a été effacée le même jour qu'il l'a écrite, je pense que c'était le 27 octobre, mais j'avais eût le temps de la lire. Il répondait avec sa méchanceté habituelle à Nicolas qui s'était moqué de lui avec son petit sceau de sable, ici : ça Si ce n'est pas toi qui l'a effacé, tu n'as qu'à aller voir à cette date ou très proche dans le panneau de configuration, derrière le forum, toutes les actions d'effacement y sont inscrites. De toute façon ça ne me regarde pas ta façon de modérer le forum, ce qui me regarde par contre, c'est de ne pas laisser n'importe qui me dire ce qu'il lui plait parce qu'il se sent outré parce que je ne comprends pas les choses à sa manière. De toute façon, c'est peut-être moi après tout qui suit toute croche, j'en sais rien du tout.Denis a écrit : Ta proposition,
n'est pas facile à évaluer. Tu aurais dû fournir un lien vers la niaiserie que Sumad Cadet a balancée à Nicolas. Tu m'as obligé à la chercher. Et je n'ai pas trouvé. Dans quelle enfilade est-ce ? Denis
- Nicolas aurait répondu à Sumad en lui rendant la même charge agressive que Mireille à Steph
Mireille : 100 % Denis : %
Dash a écrit :Ben les autres « hypothèses », sont celles que semble privilégier Steph et l'autre taouin qui t'avais reproché de manipuler (par MP).Mireille a écrit : Tu m'éclaires S.V.P
Sinon, plusieurs t'ont fait remarquer qu'étant donné que tu fais parfois dans le pathos (tenter de toucher émotionnellement les gens), tu tentes de manipuler avec les émotions, mais moi je pense que c'est surtout impulsif sur le moment et que tu ne prémédites pas grand-chose. Par conséquent, je t'ai déjà souligné cette constatation, mais je ne te la reproche pas vraiment.
Je te suggère de lire sur le pathos que j'ai linké!
Brève de comptoir a écrit :
[snip ad hominem]
Je ne suis pas loin de l'épouvantail.
Libre à vous donc de reprendre points par points pour dire en quoi ma vision du problème vous paraît si indécrottable.
Si vous pensez que je me fais une mauvaise idée de la situation, je n'attends qu'à être déniaisé. Or, d'échanges avec vous sur ce fil, il n'y en a pas eu et cependant vous vous permettez de dire que "ça relève de l'indécrottable". Vous remarquerez l'étrangeté d'un tel commentaire alors que vous n'avez pas une fois tenté de dire en quoi mon point de vue vous posait problème.
C'est amusant n'est-ce pas de prouver le ridicule du discours de son contradicteur en le détricotant ?Bref, ce qui est indécrottable est ce discours naïf et pseudo-sceptique qui consiste à :
a/ nier peu ou prou qu'il y ait problème lorsque certaines populations disent avoir vu des ovnis
b/ minimiser les problèmes liés aux phénomènes ovni alors qu'on ne peut pas les nier
c/ montrer de l'indulgence envers les autorités qui nient le phénomène ovni
d/ renvoyer autant que possible la faute sur les témoins
e/ refuser d'envisager qu'il puisse y avoir des visites d'entités intelligentes extra-terrestres
C'est tellement plus facile à comprendre quand on balance des conneries en les faisant passer pour des évidences. Et tellement ennuyeux et fatiguant de voir un problème dans toute sa complexité.Bref, ce qui est indécrottable est ce discours récurrent qui consiste à
a) nier peu ou prou qu'il y ait un problème juif lorsque certaines catégories de populations se plaignent de leur influence dans nos sociétés,
b) minimiser le problème juif là où on ne peut les nier,
c) montrer de l'indulgence envers les juifs portés aux abus les plus graves envers les populations, au besoin en usant et abusant de l'argument relevant du sophisme naturaliste ("les juifs sont des êtres humains comme tout le monde"),
d) renvoyer autant que possible la faute sur les cibles des abus des juifs
f) refuser d'envisager qu'il puisse y avoir une solution
Et non, je ne prétend pas qu'il y ait une solution finale au judaïsme, mais l'on pourrait à tout le moins y réfléchir
Sérieusement ?Brève de comptoir a écrit :Vous êtes aveuglée par votre désir de vous sentir persécutée et rejetez le responsabilité de vos frustrations sur une catégorie de population toute trouvée. Discours de haine et de mépris toujours autant plein de certitudes et aussi peu mesuré. Voir de la discrimination sexuelle en tout chose et comme responsable de ses propres frustrations, c'est du même calibre qu'accabler les juifs pour tout et n'importe quoi.
C'est tellement facile de vouloir montrer quelque chose en étant foncièrement malhonnête, vous modifiez les propositions de Florence afin de tenir le propos inverse de celle-ci.Brève de comptoir a écrit : C'est tellement plus facile à comprendre quand on balance des conneries en les faisant passer pour des évidences. Et tellement ennuyeux et fatiguant de voir un problème dans toute sa complexité.
La mesure, toujours...
Malheureusement, vous trouverez toujours des gens pour nier que l'un ou l'autre de ces problèmes existe, ou tout au moins pour les minimiser, et dans le cas présent pour s'imaginer qu'en discuter revient à les attaquer personnellement.unptitgab a écrit :Brève donc selon toi c'est le désir de persécution des femmes, qui fait qu'il n'y a toujours pas égalité salariale, que la mixité dans les écoles ne soit pas une obligation, que certains gros cons fassent en sorte que leur femme ne puisse travailler la rendant par ce biais dépendante.
Désolé, mais il n'y a absolument rien à défendre vis à vis du sexisme ou du racisme, ce ne sont que des réflexes d'attardés.
C'est amusant comme procédé.Brève de comptoir a écrit :Notez que cette rhétorique marche aussi bien avec les juifs qu'avec les ovnis ou les machos :
C'est tellement plus facile à comprendre quand on balance des conneries en les faisant passer pour des évidences. Et tellement ennuyeux et fatiguant de voir un problème dans toute sa complexité.Bref, ce qui est indécrottable est ce discours récurrent qui consiste à
a) nier peu ou prou qu'il y ait un problème juif lorsque certaines catégories de populations se plaignent de leur influence dans nos sociétés,
b) minimiser le problème juif là où on ne peut les nier,
c) montrer de l'indulgence envers les juifs portés aux abus les plus graves envers les populations, au besoin en usant et abusant de l'argument relevant du sophisme naturaliste ("les juifs sont des êtres humains comme tout le monde"),
d) renvoyer autant que possible la faute sur les cibles des abus des juifs
f) refuser d'envisager qu'il puisse y avoir une solution
Et non, je ne prétend pas qu'il y ait une solution finale au judaïsme, mais l'on pourrait à tout le moins y réfléchir
La mesure, toujours...
Manifestement vous ne comprenez pas pourquoi j'use de ce procédé ridicule. Je ne fais que reproduire le procédé utilisé par Florence dans son précédent message. Aurait-on le droit d'abuser des clichés, des raccourcis et des épouvantails quand il s'agit de défendre une cause qu'on pense juste et serait-ce totalement prohibé et malhonnête quand il s'agit de défendre une position à laquelle on ne porte aucun crédit ? C'est de la rationalité à géométrie variable. Ce qui ne semble pas vous poser trop problème :unptitgab a écrit :C'est tellement facile de vouloir montrer quelque chose en étant foncièrement malhonnête, vous modifiez les propositions de Florence afin de tenir le propos inverse de celle-ci.Brève de comptoir a écrit : C'est tellement plus facile à comprendre quand on balance des conneries en les faisant passer pour des évidences. Et tellement ennuyeux et fatiguant de voir un problème dans toute sa complexité.
La mesure, toujours...
Quelle belle vision de la justice et de l'équité.Que les abrutis machistes, racistes ou autres se sentent persécutés par les humanistes je m'en fous, pour la même raison qu'un violeur se sentirait persécuté par la justice parce qu'on le met au trou.
Vous trouverez surtout des gens pour simplifier un problème pour faire en sorte qu'on n'est pas à juger de chaque discrimination supposée au cas par cas. Une accusation d'agression sexiste doit, quoi qu'il en soit, ne jamais être remise en cause. La plainte constitue à elle seule la preuve de la discrimination. Joyeux raccourci et encore une fois une jolie vision de la justice et de l'équité.Florence a écrit :
Malheureusement, vous trouverez toujours des gens pour nier que l'un ou l'autre de ces problèmes existe, ou tout au moins pour les minimiser, et dans le cas présent pour s'imaginer qu'en discuter revient à les attaquer personnellement.
Il n'y rien de curieux si on comprend que c'est le procédé qui est absurde. Alors quel que soit comment on le retourne la finalité, la conclusion, qui en découle n'a aucune valeur. Si cela vous paraît dans un sens moins absurde, c'est bien qu'elle correspond à des préjugés que vous estimez acceptables. Et c'est tout le problème de juger que certains de ces préjugés soient méprisables et que d'autres soient conformes à une idée à laquelle on adhère. Si les préjugés sont dans un premier temps nécessaires et inévitables, la raison devrait nous inciter au contraire à les reconnaître comme tels et à essayer de voir un peu plus loin justement pour ne pas en être victime si le contexte est de nature à impliquer une complexité plus grande que celle à laquelle on pouvait se laisser aller au départ par facilité ou par bienséance.Chanur a écrit :C'est amusant comme procédé.
Vous avez remplacé les femmes par les antisémites et les sexistes par les juifs.
Du coup, le discours "les femmes sont les victimes des sexistes" devient "les antisémites sont les victimes des juifs".
Effectivement, c'est absurde.
Sur ce point là, au moins, je suis d'accord avec vous.![]()
Curieusement, si vous aviez remplacé les femmes par les juifs et les sexiste par les antisémites ça paraîtrait moins absurde.
Puisqu'il semblerait que la modération fasse preuve d'un trop grand laxisme, en laissant passer des énormités, en ne sanctionnant pas les auteurs d'insultes, en ne condamnant pas le recours aux invectives et autres attaques ad hominem, je me permets d'intervenir en demandant à Brève de comptoir à quel degré ressortit le message cité, parce qu'au premier, l'on soupçonnerait qu'il dénonce l'existence d'un problème juif, comme il y a des actions, des propos, des attitudes racistes, sexistes et plus généralement s'attaquant à tous ceux qui sont différents ou minoritaires.Brève de comptoir a écrit :Notez que cette rhétorique marche aussi bien avec les juifs qu'avec les ovnis ou les machos :
C'est tellement plus facile à comprendre quand on balance des conneries en les faisant passer pour des évidences. Et tellement ennuyeux et fatiguant de voir un problème dans toute sa complexité.Bref, ce qui est indécrottable est ce discours récurrent qui consiste à
a) nier peu ou prou qu'il y ait un problème juif lorsque certaines catégories de populations se plaignent de leur influence dans nos sociétés,
b) minimiser le problème juif là où on ne peut les nier,
c) montrer de l'indulgence envers les juifs portés aux abus les plus graves envers les populations, au besoin en usant et abusant de l'argument relevant du sophisme naturaliste ("les juifs sont des êtres humains comme tout le monde"),
d) renvoyer autant que possible la faute sur les cibles des abus des juifs
f) refuser d'envisager qu'il puisse y avoir une solution
Et non, je ne prétend pas qu'il y ait une solution finale au judaïsme, mais l'on pourrait à tout le moins y réfléchir
La mesure, toujours...
Non, c'est que les mots on un sens.Brève de comptoir a écrit :Il n'y rien de curieux si on comprend que c'est le procédé qui est absurde. Alors quel que soit comment on le retourne la finalité, la conclusion, qui en découle n'a aucune valeur. Si cela vous paraît dans un sens moins absurde, c'est bien qu'elle correspond à des préjugés que vous estimez acceptables.
Le procédé est comme vous le dites une métaphore. Il est donc question de rhétorique. On joue sur l'émotion plus que sur la rationalité. Donc non.Chanur a écrit :Non, c'est que les mots on un sens.Brève de comptoir a écrit :Il n'y rien de curieux si on comprend que c'est le procédé qui est absurde. Alors quel que soit comment on le retourne la finalité, la conclusion, qui en découle n'a aucune valeur. Si cela vous paraît dans un sens moins absurde, c'est bien qu'elle correspond à des préjugés que vous estimez acceptables.
Un antisémite se définit par le fait d'agresser (au moins en intention) les juifs.
Un juif ne se définit pas par le fait d'agresser les antisémites.
Le sexisme se définit par le fait d'agresser les femmes.
Une femme ne se définit pas par le fait d'agresser les sexistes.
On ne peut pas remplacer n'importe quoi par n'importe quoi. Florence mettait en évidence un parallèle (disons que c'est une métaphore) et pour prouver qu'elle a tord, vous construisez un parallèle absurde.
Ça ne peut rien prouver du tout, et en particulier pas que le procédé de Florence est faux.
Faites gaffe avec toute cette paille, surtout en cette période où on allume les chauffages ...Brève de comptoir a écrit :Vous trouverez surtout des gens pour simplifier un problème pour faire en sorte qu'on n'est pas à juger de chaque discrimination supposée au cas par cas. Une accusation d'agression sexiste doit, quoi qu'il en soit, ne jamais être remise en cause. La plainte constitue à elle seule la preuve de la discrimination. Joyeux raccourci et encore une fois une jolie vision de la justice et de l'équité.
Parce que non, je ne nie pas les problèmes de discrimination pas plus que je les minimise, seulement j'estime qu'il est bien difficile de prouver dans les situations prises individuellement qu'il y a bien discrimination de la part de l'agresseur supposé. Pour vous, c'est tout entendu : se sentir discriminé suffit comme preuve de la discrimination.
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