Re: Les NDE ou EMI: des expériences très mal nommées ?
Publié : 03 mars 2015, 09:04
Il aurait été plus profitable de répondre simplement... mais bon, on a l'habitude.
Débattons sans nous battre !
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Beau compliment !Emmanuelle a écrit :Cela ne vous empêche pas de le démolir.
Soyons sérieux. Quand je parle de foutage de gueule, je n'insulte pas, je constate.Emmanuelle a écrit :Cela demande un peu plus de temps d'illustrer et d'argumenter son propos que d'insulter les gens.
on se fout de monde. Point barre.Parallèlement à cette approche purement phénoménologique, le type de modèle que je propose dans cette étude peut évidemment amener à envisager l’hypothèse que les particularités que nous avons passées en revue soient tout simplement le reflet d’une certaine réalité : la possibilité que durant une EMI notre monde puisse être réellement perçu depuis un point situé dans une dimension supplémentaire et donc extérieur à notre univers ne peut être éliminée. Mais ce dernier n’est pas seulement spatial, c’est un univers spatio-temporel, quadridimensionnel. Par conséquent, cette dimension supplémentaire doit être une cinquième dimension, et les perceptions, comme leurs particularités, devraient aussi concerner le temps (Jourdan 2011).
Sauf que toutes ces expériences ont donné des résultats négatifs : aucun patient n'avu aucun des signes cachés. Peu importe que des résultats positifs auraient été discutables : il n'y a PAS de résultats positifs. Il noie le poisson pour qu'on ne prenne pas en compte ces expériences.Durant ces dernières années, plusieurs études (Holden & Joesten 1990, Lawrence 1996, Parnia, Waller, Yeates & Fenwick 2001, Sartori 2004, 2006 Greyson, Holden & Mounsey 2006 ) ont tenté de tester la réalité de ces perceptions (au vu des déclarations des témoins ayant « vu » depuis le plafond) en plaçant sur des supports divers types de « cibles » tournées vers le plafond, dans les services hospitaliers où des EMI étaient susceptibles de se produire, sans résultat à ce jour.
Quoi qu’il en soit, toutes ces études (sauf Greyson & al., 2006) présentaient une faille commune : quelles que soient les précautions prises, il était toujours possible pour une personne un peu curieuse de prendre connaissance des cibles, comme cette infirmière qui déclare, à propose de l'étude AWARE de Sam Parnia, qui est en cours depuis 2008 : « le risque est une « contamination » par quelqu'un de l'équipe comme moi qui ne pourrait résister à l'envie de jeter un coup d’œil aux images » (http://www.impactednurse.com/?p=671). De ce fait, un quelconque résultat positif n’aurait été rien de plus qu’une anecdote parmi d’autres.
Ou j'ai pas bien compris ce que tu voulais dire ou je dirais la médecine et la psychologie.Wooden Ali a écrit : Une science amicale, fraternelle, complaisante ... n'existe pas. Si elle l'était, elle se nierait elle-même. C'est pourtant ce que mendie les zozos qui aimerait bien qu'on l'adapte, la modifie pour l'accommoder à leurs fantasmes. Ce serait au contraire, la destruction irrémédiable de ce qui fait sa force.
Vous confondez, dans la médecine et la psychologie, la partie scientifique à proprement parler - à savoir l'acquisition des connaissances - et la partie mise en application - à savoir les soins prodigués au patient.f.didier a écrit :Ou j'ai pas bien compris ce que tu voulais dire ou je dirais la médecine et la psychologie.
C'est une science où il vaut mieux etre amical et complaisant, car on traite directement des humains. Un psychologue qui serait pas amical, complaisant et fraternel ne fera qu'empirer les maladies de ses patients.
En allant plus loin, je dirais aussi les vétérinaires, par contre, je sais pas si on donne un autre nom pour la médecine des animaux.
Un médecin complaisant avec ses patients, ce serait un médecin qui dirait à un diabétique "Allez-y, continuer à manger des sucreries, puisque vous aimez-ça".Complaisance : Indulgence excessive et souvent blâmable : La grande complaisance d'un père envers ses enfants.
Faut effectivement croire que connaitre le sujet ne permet pas de répondre à nos contre-arguments.Emmanuelle a écrit :Vos superbes contre-arguments, messieurs, illustrent bien ce que je disais dans un autre post: vous ne connaissez presque rien à ce sujet. Cela ne vous empêche pas de le démolir
Un prétendu phénomène qui devient de moins en moins observable au fur et à mesure qu'on resserre la rigueur des observations n'est pas un phénomène mais une croyance. Mais, dans e cas présent, le phénomène dont on peut fortement douter est celui des "véritables décorporations" (i.e., que l'âme/esprit/conscience/nameityougotit quitte réellement le corps) et non les EMI en tant que phénomène psychologique (i.e., des gens ont réellement l'impression d'avoir quitté leur corps).Chanur a écrit :Sauf que toutes ces expériences ont donné des résultats négatifs : aucun patient n'avu aucun des signes cachés. Peu importe que des résultats positifs auraient été discutables : il n'y a PAS de résultats positifs
Sans s'insulter, il est clair qu'il ne fait pas grand-chose pour améliorer la crédibilité que l'on peut porter à ses affirmations.Ce n'est pas moi qui insulte le monsieur : il s'insulte tout seul.
Désolée, je viens de relire vos précédents messages et effectivement il y a matière à répondre.Jean-Francois a écrit : Faut effectivement croire que connaitre le sujet ne permet pas de répondre à nos contre-arguments.
Puisque vous êtes la seule à y connaitre quelque chose, il ne vous reste plus que le plaisir de discuter avec vous.
Jean-François
Effectivement, ces expériences sont très variées.Jean-Francois a écrit : Je ne trouve pas que ce soit toujours si similaire que ça (il y a pas mal de variations dans les récits), surtout si vous élargissez les EMI à tous les cas incluant une forme de "décorporation". En plus, il est évident qu'une forme de similitude provient du fait des critères qu'on utilise pour inclure les témoignages comme des cas EMI (les témoignages divergeant seront classés autrement, à tort ou à raison). Il y a aussi qu'en moyenne nous sommes bâtis de la même manière (principales connexions cérébrales, principaux vaisseaux sanguins, etc.): si une EMI demande des conditions assez précises pour se produire, il y a de fortes chances qu'elles se produira de manière globalement similaire chez plusieurs personnes.
Le modèle du docteur Jourdan ne prétend pas expliquer quoi que ce soit. Voici ce qu'il en dit p 407 de Deadline-dernière limite : "Modéliser un phénomène consiste donc à définir un nouveau cadre, cohérent, aussi simple que possible, faisant appel à un minimum d'hypothèses, et rendant compte de l'ensemble des caractéristiques du phénomène étudié."Jean-Francois a écrit : Les seules choses dont je ne vois pas de raisons de douter est que c'est lié à une forme ou une autre de défaillance du fonctionnement cérébral et qu'il n'y a pas besoin de chercher des explications faisant appel à une "âme" ou une Xe dimension (quantique ou non).
Jean-François
C'est un truc à la Susan Blackmore... Vous devriez écrire votre hypothèse à Steven Laureys et Vanessa Charland Verville et leur expliquer tout ça; vous leur ferez gagner un temps fou. J'ai lu l'expérience de Susan Blackmore; cela n'a rien à voir avec une EMI et elle commet l'erreur d'intrepréter les EMI à travers le prisme de sa propre expérience. Pas très scientifique mais il paraît qu'elle s'est rétractée maintenant....Pepejul a écrit :On l'a déjà écrit mille fois mais je rappelle ce petit exercice simple pour bien comprendre :
Essayez de vous rappeler votre petit déjeuner ce matin... visualisez-vous au moment de prendre votre petit dèj. Imaginez bien les détails, ce qu'il y a sur la table devant vous, la nourriture, la pièce tout.... voilà.. fermez les yeux.... visualisez bien.
Ah ! Alors qu'est ce qui est du foutage de gueule comme vous dites ? Pourriez-vous argumenter un peu ?Chanur a écrit : Ce n'est pas comme si c'était absurde d'imaginer des dimensions supplémentaires à l'espace temps.
Ah quand même !Chanur a écrit : Si je ne parle pas directement des EMI c'est que j'ignore tout du sujet. Et dans ce cas la, je me tais.
Des milliers de témoignages et cela ne va pas s'arrêter compte tenu des progrès de la médecine....Jean-Francois a écrit : Un prétendu phénomène qui devient de moins en moins observable au fur et à mesure qu'on resserre la rigueur des observations n'est pas un phénomène mais une croyance. Mais, dans e cas présent, le phénomène dont on peut fortement douter est celui des "véritables décorporations" (i.e., que l'âme/esprit/conscience/nameityougotit quitte réellement le corps) et non les EMI en tant que phénomène psychologique (i.e., des gens ont réellement l'impression d'avoir quitté leur corps).
Ce sont les expériences d'O. Blanke dont il a été question a plusieurs reprises dans les échanges. Ces impressions de décorporation sont souvent "incomplètes" si on les compare aux récits d'EMI ou OBE. Elles appuient toutefois l'idée que le cerveau, ou son dysfonctionnement, est capable de reproduire les composantes d'une "décorporation".Pooh a écrit :J'ai lu ici qu'on pouvait parvenir à stimuler des expérience de décorporation mais on ne parle pas d'âme qui sort du corps (rassurez-vous)
J'ai plutôt lu qu'ils reconnaissent que des gens utilisent le terme "voyage astral" comme une sorte de synonyme pour certaines impressions de "sorties du corps". Il sont plus clair à un autre endroit:J'en ai aussi compris qu'ils reconnaissent l'existence des voyages Astral ?
Le fait de stimuler certaines zones du cerveau d'une patiente a provoqué chez elle des perceptions illusoires de décorporation. Le fait de stimuler des zones qui provoqueraient des perceptions visuelles illusoires prouverait-t-il que nos perceptions visuelles sont toutes illusoires ?Jean-Francois a écrit : Ce sont les expériences d'O. Blanke dont il a été question a plusieurs reprises dans les échanges. Ces impressions de décorporation sont souvent "incomplètes" si on les compare aux récits d'EMI ou OBE. Elles appuient toutefois l'idée que le cerveau, ou son dysfonctionnement, est capable de reproduire les composantes d'une "décorporation".
On dirait du Gatti ...Je pense qu'il pourrait y avoir des échanges très fructueux entre les physiciens et ceux qui s'occupent des EMI. Cela viendra j'en suis certaine !
On en revient là au problème de confondre OBE et NDE: la majeure partie des éléments de votre liste sont rarement applicables aux premières. De plus, il y a pas mal de variabilité inter-individuelles dans la présence/absence de ces éléments même pour les NDE. Dans votre "schéma-type" vous en omettez d'ailleurs pas mal.Emmanuelle a écrit :Les chercheurs eux-mêmes présentent différentes trames qui se ressemblent plus ou moins. par exemple:
[...]- passage par un tunnel ou autre structure de passage
Tout dépend de ce qui la cause, de ce qu'elle cache.Je ne pense pas qu'en cas de syncope, il y ait risque vital
Je doute beaucoup que tous ces éléments soient présents dans toutes les NDE (surtout si celles-ci incluent les OBE).Il y a pourtant des invariants qui permettent de caractériser les EMI
Dans le passage que vous citez, il dit pourtant qu'il prétend donner un cadre explicatif - bien qu'hypothétique - et il considère ça comme un "énorme pas en avant".Le modèle du docteur Jourdan ne prétend pas expliquer quoi que ce soit. Voici ce qu'il en dit p 407 de Deadline-dernière limite
Heu, ça à quand même à voir avec votre définition élargie d'EMI. Et elle a certainement le droit de poser son témoignage et d'en tenir compte vu que c'est un peu la matière première des recherches sur les EMI.J'ai lu l'expérience de Susan Blackmore; cela n'a rien à voir avec une EMI
Vous savez, la multiplication des anecdotes ne fait pas une preuves. Surtout que les témoignages peuvent très bien être influencés par la "mythologie" entourant les NDE*. (Par exemple, si la multiplication des témoignages valait vraiment quelque chose on considèrerait l'astrologie comme une science "dure".)Des milliers de témoignages et cela ne va pas s'arrêter compte tenu des progrès de la médecine....Jean-Francois a écrit :Un prétendu phénomène qui devient de moins en moins observable au fur et à mesure qu'on resserre la rigueur des observations n'est pas un phénomène mais une croyance. Mais, dans e cas présent, le phénomène dont on peut fortement douter est celui des "véritables décorporations" (i.e., que l'âme/esprit/conscience/nameityougotit quitte réellement le corps) et non les EMI en tant que phénomène psychologique (i.e., des gens ont réellement l'impression d'avoir quitté leur corps)
Là vous parlez juste de l'échec de la recherche de la preuve irréfutable
Nos perceptions visuelles sont forcément illusoires: les objets sont réels mais les "images" que notre cerveau recrée de manière subjective ne le sont pas (il n'y a que le cerveau qui fonctionne). D'autre part, il y a une grande différence entre des stimulations physiologiques (qui reproduisent ce qui se passe en condition normale) et des stimulations qui ne le sont pas. Sinon, il est parfaitement possible que certaines personnes aient des connexions cérébrales particulières qui les rendent plus sujettes que d'autres aux impressions de décorporation et autres NDE. Cela ne resterait pas la norme si on en juge par le faible taux de témoignages en faveur des NDE.Le fait de provoquer certaines zones du cerveau d'une patiente a provoqué chez elle des perceptions illusoires de décorporation. Le fait de stimuler des zones qui provoqueraient des perceptions visuelles illusoires prouverait-t-il que nos perceptions visuelles sont toutes illusoires ?
Je ne comprends pas confondre OBE et NDE. L'OBE dans la NDE est une phase de l'expérience.Jean-Francois a écrit : On en revient là au problème de confondre OBE et NDE: la majeure partie des éléments de votre liste sont rarement applicables aux premières. De plus, il y a pas mal de variabilité inter-individuelles dans la présence/absence de ces éléments même pour les NDE. Dans votre "schéma-type" vous en omettez d'ailleurs pas mal.
Ces expériences sont réellement complexes. Là pour vous répondre correctement, il faudrait que l'étude statistiques de IANDS- France soit publiée. Elle établit la fréquence des caractéristiques. Leur étude permettra également de faire des corrélations entre les diverses caractéristiques.Jean-Francois a écrit :Je doute beaucoup que tous ces éléments soient présents dans toutes les NDE (surtout si celles-ci incluent les OBE).Il y a pourtant des invariants qui permettent de caractériser les EMI
Je voulais dire qu'il ne prétend pas expliquer CE QUE les gens perçoivent, la signification du contenu si vous voulez.Jean-Francois a écrit : Dans le passage que vous citez, il dit pourtant qu'il prétend donner un cadre explicatif - bien qu'hypothétique - et il considère ça comme un "énorme pas en avant".
Mais non, excusez-moi d'insister mais l'élargissement des EMI aux EMI-like concernent les circonstances de survenue (mais il y a bien la Lumière, le bien-être etc etc....). L'élargissement ne concerne pas tous les états modifiés de conscience.Jean-Francois a écrit :Heu, ça à quand même à voir avec votre définition élargie d'EMI. Et elle a certainement le droit de poser son témoignage et d'en tenir compte vu que c'est un peu la matière première des recherches sur les EMI.J'ai lu l'expérience de Susan Blackmore; cela n'a rien à voir avec une EMI
Savez-vous où on retrouve sa rétractation?
Ces expériences ne sont pas des anecdotes; elles bouleversent la vie de ceux qui les ont vécues et la leur complique singulièrement au passage. Personne je crois à ma connaissance ne regrette d'avoir vécu cela mais beaucoup disent que c'est très lourd à porter. Le témoignage de Marie de Solemne en donne une idée.Jean-Francois a écrit : Vous savez, la multiplication des anecdotes ne fait pas une preuves. Surtout que les témoignages peuvent très bien être influencés par la "mythologie" entourant les NDE*. (Par exemple, si la multiplication des témoignages valait vraiment quelque chose on considèrerait l'astrologie comme une science "dure".)
Ce que je dis est plutôt que ce qui cherchent à prouver que quelque chose "quitte" réellement du corps ont encore moins de preuves maintenant qu'avant. Un résultat comme celui de l'étude de Parnia et al. est un échec dans ce sens. Et ce résultat est en partie dû à une méthodologie plus rigoureuse que ce qui se faisait avant.
C'est-y pas que vous joueriez sur les mots ? Illusion: mauvais interprétation des stimuli sensoriels. Si vous voulez employer ce mot dans un autre sens, libre à vous...Jean-Francois a écrit : Nos perceptions visuelles sont forcément illusoires: les objets sont réels mais les "images" que notre cerveau recrée de manière subjective ne le sont pas (il n'y a que le cerveau qui fonctionne). D'autre part, il y a une grande différence entre des stimulations physiologiques (qui reproduisent ce qui se passe en condition normale) et des stimulations qui ne le sont pas. Sinon, il est parfaitement possible que certaines personnes aient des connexions cérébrales particulières qui les rendent plus sujettes que d'autres aux impressions de décorporation et autres NDE. Cela ne resterait pas la norme si on en juge par le faible taux de témoignages en faveur des NDE.
Jean-François
* Mythologie reposant sur de nombreux idées reçues mais pas forcément si bien évaluées que ça. L'idée que les NDE entrainent des souvenirs indélébiles et "life changing" par exemple, me semble plutôt exagérée.
Je n'ai pas comparé les EMI à l'astrologie, mais la tendance à s'imaginer qu'une accumulation de témoignages fini par faire une preuves solide (parce que l'astrologie repose pas mal sur les témoignages de "clients satisfaits"). Ce n'est pas le cas: pour dépasser le stade de la récolte des témoignages, qui garderont toujours un côté anecdotique car aucun témoignage n'est 100% crédible (et encore moins reproductible), il faut expérimenter.Emmanuelle a écrit :Comparer les EMI à l'astrologie, pfffffffff........................
Si le mot vous dérange, prenez des synonymes comme "imaginaire, irréel, etc." mais aucun n'est parfaitement adéquat. Ce que je veux dire est qu'il n'existe pas d'image visuelle. L'illusion c'est de penser qu'une telle image existe. Le système visuel analyse les inputs provenant de l'environnement et génère une impression visuelle subjective.C'est-y pas que vous joueriez sur les mots ? Illusion: mauvais interprétation des stimuli sensoriels. Si vous voulez employer ce mot dans un autre sens, libre à vous...
Je serais curieux de savoir ce qui vous permet de dire ça.Steven Laureys cherche depuis le début dans cette affaire une explication neurologique; pourtant les premiers articles du CSG publiés dans des revues scientifiques ne plaident pas en faveur d'une interprétation rationaliste ou réductionniste
Comment s'en sont-ils assuré? Ont-ils suivi plusieurs patients sur de longues années (plus de 10 ans) pour vérifier si le souvenir n'était pas modifié de manière notable? L'article se trouve où?L'un de ces articles porte d'ailleurs sur le souvenir: souvenir très très particulier, je vous assure, indélébile