2:05 : Un autre dogme, celui selon lequel les vaccins ont enrayé les maladies.
"Le marketing en graphiques"
"Un autre dogme qui reste à prouver est celui selon lequel les vaccins ont enrayé les maladies. "
2:30 : graphiques pour la rougeole.
"Pour rehausser les ventes de tout produit, les graphiques bien présentés sont un atout. Ainsi Big Pharma vous présente des graphiques très convaincants, comme celui-ci. On voit clairement que depuis l'apparition du vaccin, le taux d'infection a chuté. J'achète!"
[
Graphique du Pink Book du CDC, présentant le nombre de cas (cases). ]
"Par contre, si on prend du recul, on réalise que le taux d'infection était en chute libre bien avant le vaccin. "
[
Site de "International medical council on vaccination", par Roman Bystrianyk (co-auteur avec Suzanne Humphries de Dissolving Illusions) ]
"Celui-ci c'est pour la coqueluche, ce sont les chiffres de l'Angleterre, du gouvernement, c'est officiel. Voyez, le vaccin est apparu ici, et évidemment normalement on vous donnerait le graphique à partir de là. Mais on revient une centaine d'années en arrière, vous voyez que ça fait une centaine d'années que la coqueluche est en chute libre. "
[Graphique
"Whooping cough in England : death rates of children under 15" du livre "The cruel deception" de William Sharpe, 1988]
"Pour les oreillons, je reprends encore le cas des Etats-Unis, dans ce cas-là c'est le CDC. On voit le graphique évidemment très vendeur, le graphique commence avec l'apparition du vaccin, et on voit que depuis que le vaccin est apparu, c'est la chute libre. "
[
Graphique du Pink book du CDC ]
"Mais si on revient une centaine d'années en arrière, voyez, le vaccin est apparu à la fin des années 60 - début des années 70 ici. Et vous voyez que bieeen avant, les infections et la mortalité étaient en chute libre. Ceci ce sont les statistiques du Office for National Statistics - 20th century mortality, très officiel comme source. "
[
graphique pour l'Angleterre et la Cornouaille.
La référence viendrait de là, mais je ne trouve pas "mumps" dans le document. ]
"Pour épargner du temps, je vais mettre plusieurs maladies toutes sur le même graphique, et vous allez comprendre que plus on recherche, plus c'est la même chose pour toutes les maladies infectieuses. On a la rougeole, la scarlatine, la typhoïde, la coqueluche, la diphtérie. Vous voyez que depuis les années 1900, c'était en chute libre. On voit l'apparition des vaccins pour la diphtérie, la coqueluche, la rougeole. Notez la scarlatine, qui a disparu en même temps que les autres maladies infectieuses, et pourtant il n'y a jamais eu de vaccin.
[
Graphique venant d'ici
Sources :
Vital statistics of the United States
Historical statistics of the United States - Colonial times to 1970 Part 1 (p.58) ]
4:40 : "Un esprit scientifique qui refuse le dogme ici tenterait de trouver le point commun entre la disparition de toutes les maladies infectieuses, et ce ne sont pas les vaccins. Par contre, l'amélioration des conditions d'hygiène et de la qualité de l'eau, de la nourriture, sont des facteurs communs à la disparition de toutes les maladies infectieuses.
La polio a disparu de plusieurs endroits, dont les [???] reculés, où il n'y a jamais eu de vaccins. On remarque également de meilleurs standards d'hygiène pendant sa disparition.
La grippe espagnole et la peste noire ont disparus également, sans vaccin. Evidemment, si on avait inventé un vaccin pendant la disparition de ces graves infections, je vous garantis que le fabricant insisterait pour dire que seul son vaccin en est responsable. "
(...)
24:25
"En 2005, le Dr Kenrad E. Nelson a publié une étude sur la mortalité des maladies infectieuses. Je vous montre un graphique qui illustre très bien ce que je vous explique depuis le début, c'est-à-dire que c'est l'amélioration des conditions de vie qui a fait disparaître les maladies infectieuses dans la réalité, malgré que le dogme des vaccins dit que c'est les vaccins qui ont fait disparaître les maladies infectieuses.
[Reprend les maladies citées dans le tableau]
Vous vous apercevrez que de 1900 à 1970, ça baisse tout le temps. Les vaccins pour ces maladies-là n'existaient pas ou sont à peine apparus, mais on voit que la tendance se maintient. Et puis malgré l'absence de vaccin dans toutes ces maladies infectieuses on voit que le taux de mortalité baisse drastiquement au fur et à mesure que nos mesures d'hygiène augmentent, que la qualité de l'eau, la qualité de la nourriture augmentent.
Un facteur important aussi était que plusieurs de ces maladies étaient distribuées et maintenues dans notre environnement par les animaux de la ferme ; la plupart des gens utilisaient les chevaux comme moyen de transport parce qu'il n'y avait pas de voiture. Ce sont tous des facteurs qui ont contribué évidemment à faire baisser la mortalité des maladies infectieuses énormément plus que les vaccins. "
[Tableau : US Death Rates for Common Infectious Diseases - Death rates for Common Infectious Diseases in the United States in 1900, 1935 and 1970
Extrait de
"Infectious disease epidemiology - Theory and practice", Kenrad E. Nelson et al., pages 40-47 ; normalement accessible dans les aperçus de Google Books)