MadLuke a écrit :jean7 a écrit :
Vous croyez qu'un ouvrier de macdo ne connait pas le stress ?
Le jeune qui commence oui, très grand (mais moins que l'enfant qui vient de casser un vase), celui d'expérience peut-être encore un peu j'imagine pendant le rush, mais rien avoir avec l'entrepreneur qui se lève la nuit pour vomir la vieille d'une journée avec quelque chose de gros en jeux (comme mon boss),
et l'employé du McDo il va tous laisser ça a la porte en quittant.
...et rentrer dans son taudis et se demander comment payer ses factures.
jean7 a écrit :
Ou alors vous affirmez que la vie du balayeur vaut moins que celle du champion de foot ?
il est plus précis de parler de qualité de vie.
jean7 a écrit :
Que les incitatifs les plus gros soient octroyés à ceux à qui cet emploi coûte le plus.
Pourquoi pas modeler les incitatifs en fonction de ce qui devrait favoriser la meilleure... création de bien et service pour la société plutôt?
...qualité de vie possible pour tous.
la création de bien et de service n'est pas synonyme de qualité de vie pour tous si cette richesse est mal repartie.
les humains ne veulent pas être riche ils veulent être ''bien'', ''heureux''. la richesse est un outil pas un but.
130 de QI est un incitatif a ne pas travailler chez macdo. et 100 a ne pas être médecin.
les salaire des employés sont aligné sur les revenues des entreprises et ultimement sur l'offre et la demande du marché de cette entreprise. un joueur professionnel gagne des million par an pcq il génère des millions a son équipe qui vend son ''produit'' au prix du marché.
si on laisse l’économie fixer la qualité de vie des gens beaucoup vont souffrir, il faut l'intervention de l’état pour rééquilibrer les richesses.
de quelle manière et quel est l’écart acceptable entre les classes sociales? si on s,entend sur une idéologie ou l’écart est le plus faible possible il nous reste a trouver comment y arrivé.
Victoriae mundis et mundis lacrima.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.