Oui, sont argumentation depuis le début est orienté sur le sophisme de la double faute.
Comme la fait remarqué un ou deux intervenant avant.
C'est dommage car, mais shtoing ne propose pas qu'une critique mechante et debile.
C'est plus la forme que le fond qui laisse planner un doute sur ses motivation et fait qu'on à l'impression qu'il avance masqué (pareil sur le sijet de la croyance et de Dieu).
je ne sais pas si c'est le cas de pour une majorité de sceptiques, mais perso je considère les defaults du systeme pharmaceutique et les dangers des médicaments classiques bien plus grave que l'utilisation de l'homéopathie dans un cadre approprié (donc non alternatif en cas de maladie sérieuse).
Ceci-dit, il y à une différence énorme entre c'est deux univers. Et pas des moindres.
Tout médicaments, même le plus commun et le moins dangereux, dispose d'une liste souvent très longue d'effet secondaire dans sa notice.
De plus un médicament fait l'objet durant toute sa durée de vie de vérification en tout genre (d'ordre toxicologique et statistique sur les consommateurs). Ce qui est la moindre des choses. Bien entendu.
La médication classique, par ce biais, avoue en quelque sorte son imperfection.
Les médicament homéopathique à travers leurs distributeurs sont bcp plus flous.
Malgré tout, les distributeurs admettent que l'homéopathie ne soigne PAS les maladies graves (Boiron par exemple le dit clairement sur son site).
Mais en même temps ils ne parlent pas de l'effet nocebo et il n'admettent aucunement que le procédé même de l'homéopathie est une vaste mascarade scientifique tout en utilisant la science pour se soulever alors que celle-ci la rejette encore actuellement.
Une mascarade tout à fait lucrative quand on sais que les principaux revendeurs sont aussi riche voir plus riche qu'un labo classique de bonne taille. Avec les emmerdes en moins (surveillances, tests scientifiques très lourds, procès, suspicions, batteries de méthodologies couteuses).
L'homéopathie n'a à s'occuper que du sanitaire.
Les conflits d'intérêt en homéopathie sont donc tout a fait existant et problématiques aussi.
Et ils on un lobby TRES puissant qui font pression sur les médecins, et peut-être même aussi sur l'état et la recherche fondamentale.
C'est leurs droits.
Aussi bien que dans les labos classiques.
D'ailleurs, si les lobbys sont si mal vue dans ce milieu (et pas que en France, c'est un mythe de croire que les Français et l'Europe sont la bête noir de l'image des lobbys...ou alors je demande une étude sur ce point) c'est que généralement les intérêts économiques et idéologiques ne font pas bon ménage avec la science, ni même avec l'éthique.
Apres il est vrai que les lobbys sont trop diabolisé, oui, ils apportent aussi de bonnes choses, et des thunes, et c'est bien.
Et ils ont le droit d'exister.
Comme deux parties politiques on le droit de s'opposer, c'est heureux, justement !
Sino c'est que vous êtes en Syrie
Mais amha, ils restent incompatible avec la science dans son "essence" qui est sa méthode et son cadre, son objectif et son désir de neutralité (illustrer par son rapport au réel et son désintérêt pour la morale et les opinons idéologique qui y sont justement combattue dans la méthode).
Malheureusement la science ne fonctionne pas qu'a l'huile de coude et à l'amour de ce quelle représente (mais aussi, merci l'humanité n'est pas qu'une coquille vide).
La pratique rattrape la théorie, en gros.
Et nous déniaise.
Et les lobbys on cela de bon qu'il se tirent la bourrent et communiquent sur leurs intérêts et en parlent.
Ca permet justement, avec du recul, d'avoir des visions différente sur un sujet.
Ce qui est je pense primordiale.
Mais sa compatibilité avec la science n'existe pas, les lobbys ne sont pas la pour faire valoir le bon, le juste et la réalité. Le dire et le critiquer n'est pas une diabolisation. Dire en revanche sue les lobbys ne sont que cela et ne servent que à cela, oui.
Et l'homéopathie, n'a rien a envier en terme de lobbying à certains gros labos.
Je dirait même que Boiron par exemple pourrait proposer des cours de lobbying à pas mal de labos en devenir (parcontre en gestion de crise Boiron ne prend pas trop de risque...vendre du sucre ne demande pas vraiment d'expertise dans ce domaine. Savoir vendre du rêve suffit, prise de risque zéro...).