Publié : 02 juin 2006, 23:10
Bah c'est bien joli tout ça mais j'aurais beau ajouté n'importe quoi que je serais toujours contredit alors je préfère m'abstenir que de m'embarquer dans un débat sans fin.
Ceci dit, le sujet a complètement dévié hors de son propos initiale qui était l'énergie du vide.
Au moment même d'écrire ces lignes, la science n'est toujours pas parvenue à expliquer la plupart de ce sur quoi elle s'est basée pour définir ses principes fondamentaux.
Alors, qu'on se plaise à me faire la morale en se donnant un air supérieur et méprisant me laisse complètement indifférent car la science a cessé de m'impressionné depuis longtemps quand on constate la suite d'illogismes, de fausseté, d'inepties et de failles qui caractérisent ses fondements mêmes.
Que le science commence à faire son propre ménage en ensuite peut-être serez vous plus sérieusement perçus.
Mais pour l'instant, la presque quasi totalité des fondements de la science sont de pures foutaises et raisonnements irrationnels de hautes voltiges que l'on s'est plut à enfouir sous le tapis afin de les ignorer parce qu'on a lamentablement été incapables de les expliquer.
Par exemple, on 'a qu'à constater la multitude d'inepties en ce qui concerne la gravité, phénomène que l'on n'est même pas encore en mesure d'expliquer actuellement. Car on ne trouve pas de réponse à la simple question ''Qu'est-ce que la gravité?'' dans les théories d'aujourd'hui.
Newton a seulement prétendu que la gravité était une force d'attraction entre tout les objets parce que c'était de cette façon que les choses avaient l'air d'êtres, les objets tombent sur la terre ou s'approchent l'un de l'autre quand ils flottent dans l'espace. Newton a compréhensiblement proclamé que ça doit être un genre de force d'attraction émanant des objets mais il n'a donné aucune explication scientifique de cette force.
Nous avons tous que les machines à mouvement perpétuel sont impossible. Aucune machine ou phénomène naturel net peut fonctionner éternellement sans tirer de l'énergie d'une source et il n'y a certainement aucun appareil qui soit capable de fonctionner sans aucune source d'énergie du tout.
Pourtant, notre belle science proclame qu'un objet lancé dans un tunnel traversant la terre de part et d'autre oscillerait sans fin d'un coté à de l'autre de la planète en allant et en revenant dans le tunnel. Enfin, c'est du moins le résultat qui a été prédit par les théories de la gravité de Newton et Einstein. Cette croyance viole pourtant clairement nos plus fondamentales lois de la physique de même que le plus simple bon sens. Il n'y a aucune proclamation de consommation d'énergie ni même mention de source d'énergie pour alimenter ce processus! En dépit d'avoir fractionner l'atome et d'avoir élaboré théories atomiques détaillées, on n'a jamais identifié la source d'énergie de la puissance gravitationnelle.
Quand plus rien ne fonctionne, on nous dit de ne pas s'inquiéter à propos de la source d'énergie gravitationnelle parce que la gravité n'accomplit aucun travail dans tout l'univers! C'est vrais, selon la science d'aujourd'hui, toutes les dynamiques conduites par la gravité se produisent sans qu'aucun travail ne soit accomplit, donc, on n'a pas à identifier de source d'énergie ni de dépense d'énergie en provenance d'une telle source. On nous dit que les objets sont retenus avec force à la planète par la force gravitationnelle de Newton mais étant donné que les objets ne bougent pas, il n'y a pas de source d'énergie requise pour expliquer ça.
Pourtant, ça prend certainement beaucoup d'énergie pour pousser une lourde roche ou pour tenir un objet lourd dans la main même s'ils ne bougent pas. Mais dans la science d'aujourd'hui, étant donné que la Fonction du Travail stipule que Travail = Force X Distance, donc, aucun mouvement égale zéro distance et conséquemment zéro travail en résolvant apparemment le problème. Tous les physiciens vont répéter cette tentative de justification erroné quand on les questionnes à propos de la source d'énergie de la gravité et vont refuser de discuter plus abondamment de cette matière étant donné que c'est tout ce qu'ils ont été instruit par leurs enseignants. Lamentable, non?
Même la puissante force qui contraint la lune sur son orbite ne requiert aucune énergie étant donné qu'une modification de la Fonction du Travail donne un résultat zéro même si un objet est en mouvement en autant que ce mouvement soit perpendiculaire à la force de contrainte. Chaque physicien actuel va proclamer avec conviction qu'il n'y a aucun énergie de dépensée par la gravité pour contraindre la lune sur son orbite simplement parce que la Fonction du Travail donne un résultat zéro. Encore une fois, aucun physicien ne discutera davantage de ce sujet parce que c'est tout ce que leur a dit leurs enseignants à qui en fait on avait aussi refuser d'en discuter.
Comment un aimant peut-il tenir plaqué contre un frigidaire indéfiniment en combattant la gravité?
Il ne peut pas!!! Selon la science actuelle, les aimant de frigidaires sont impossibles!!!
Comme nous le savons tous, ça prends énormément d'énergie pour grimper le long d'une falaise en supportant notre propre poids contre la gravité et nous aurions tôt fait d'êtres fatigués et de tomber. Pourtant, un aimant de frigidaire n'est pas collé contre le frigidaire, il est retenu par l'énergie magnétique. Comme à la fois notre bon sens et la science nous le dit, une telle dépense d'énergie requiert qu'une source d'énergie soit disponible pour l'alimenter et supporter cet effort. Pourtant un aimant permanent non seulement maintient sa force indéfiniment (aucune théories ou manuel ne démontre les caractéristiques de consommation d'énergie d'un aimant permanent lorsqu'il se tient contre un autre objet ou tient un autre objet) mais il n'y a même pas de source d'énergie en vue, batard... Une énergie magnétique sans fin émane d'un aimant permanent sans aucune explication par notre science actuelle. La seule explication que n'importe quel physicien va donner pour ce phénomène est qu'il n'y a aucune dépense d'énergie étant donné que l'aimant ne bouge pas ce qui donnera un résultat zéro si on injecte ça dans la Fonction du Travail.
La lumière ralentit lorsqu'elle passe à travers de l'eau ou du verre mais comment peut-elle retourner à sa vitesse initiale (la vitesse de la lumière) lorsqu'elle ressort?
Ceci est pourtant impossible selon la science actuelle!
Aucun objet dans la nature ne peut accélérer de son propre chef après avoir été ralentit. Un boulet ne s'accélérera pas de lui-même après avoir traverser un obstacle, donc, comment fait un photon de lumière pour mystérieusement retourner à sa vitesse originale après avoir traversé un bloc de verre?
De plus, en faisant continuellement briller un rayon de lumière au travers d'un bloc de verre, le rayon de lumière, réchauffera ce dernier créant l'encore plus mystérieux fait que le rayon perds de l'énergie lorsqu'il passe au travers du verre, ce qui ne l'empêchera néanmoins pas de retrouver sa vitesse originale, nom de Dieu... La science actuelle ne peut pourtant pas expliquer ce phénomène quotidient!
Tant qu'à y être sur la lumière, continuons, non?
Faites rebondir un rayon de lumière entre 2 miroirs parallèle de façon à ce que le rayon rebondisse en formant un zigzag. Combien de rebondissements cela va t-il prendre pour que le rayon perde de sa vitesse? 1000? 10000? Bien entendu nous savons que le rayon ne ralentira jamais peut importe le nombre de fois ou il rebondira aller-retour en dépit du fait bien établi que le rayon ingère un petit coup de momentum quand il rebondit d'un objet (le principe derrière les voiles solaires). Donc, comment est-ce qu'un seul rayon de lumière peut imputer d'innombrables coup de momentum quand il zigzag entre deux miroirs alors qu'il s'arrange pour émerger après tout ces zigzags à la même rapidité inchangé de la vitesse de la lumière? Selon la science actuelle, ceci est un impossible événement d'énergie gratuite!
Donc, ne venez pas m'emmerder en prétendant que l'énergie du vide n'existe pas alors que la science actuelle n'est même pas capable d'expliquer une multitude de phénomènes qui viole ses propres lois et fondements de base jour après jour.
Si vous n'êtes pas convaincus, j'en ai encore des dizaines et des dizaines d'autres exemples de ce genre et je peut vous en foutre plein le Forum si ça vous chante...
Alors, avant que la science ne puisse prétendre être en mesure de tout savoir et de tout expliquer, qu'elle commence dont pas faire le ménage dans son propre bordel.
Quand on se targue de ne fièrement honorer que les principes d'un trou du cul comme Lorentz et qu'on ne jure que par lui alors que ce dernier a incommensurablement dilué les découvertes de ses 3 prédécesseurs (Maxwell, Poynting et Heaviside) et a arbitrairement rejeté du revers de la main la majorité des travaux de ceux-ci, on ne peut pas sérieusement s'attendre à être vraisemblablement pris au sérieux et voilà pourquoi on tentera inévitablement de ridiculiser et de discréditer l'interlocuteur comme certain d'entre vous se plaisent à le faire parce qu'incapables de valider de façon cohérente leurs propos.
Oui, bien entendu le système de Lorentz fonctionne et nous en avons tous la preuve quotidiennement.
Malheureusement, ce système fonctionne à l'envers en détruisant sa source d'énergie aussi rapidement qu'il alimente la charge externe qui y est relié.
Pourquoi Lorentz a éliminé la composante d'écoulement d'énergie de Heaviside
La composante Heaviside a été rejeté par Lorentz qui a intégré le vecteur d'écoulement d'énergie lui-même, d'une surface fermée, laquelle incluait tout élément volumétrique d'intérêt. Ceci rejette toute composante non-détournée (non-divergé) d'écoulement d'énergie sans égard à sa grandeur et retient seulement la composante détournée (divergée).
Effectivement, Lorentz a arbitrairement changé le vecteur d'écoulement d'énergie dans son vecteur de composante d'écoulement détourné, un illogisme fondamental. D'un seul coup, il a rejeté l'embarrassante composante Heaviside en résonnant que c'était ''physiquement insignifiant'' puisque dans un circuit à simple passe, ça n'entrait pas dans le circuit pour l'alimenter.
C'est exactement comme dire que tout le vent de l'océan qui ne frappe pas la voile d'un navire est ''physiquement insignifiant'' Un moment de réflexion démontre que cet ''insignifiant'' vent qui demeure, peut alimenter un nombre incalculable de voiles de navires additionnels. Une très large quantité d'énergie peut être extraite et utilisée de cet apparemment ''physiquement insignifiant'' vent, pour accomplir du travail si ce vent est intercepté par d'autres voiles additionnelles ajoutées au navire.
Si Lorentz n'avait pas arbitrairement rejeté l'énorme composante énergétique de Heaviside qui entourait le circuit et ne contribuait pas à son alimentation, les électrodynamiciens auraient été confrontés avec le dilemme de devoir expliquer la provenance de cet énorme écoulement d'énergie aux bornes de chaque générateur et batterie. Évidemment, l'opérateur n'entre pas une aussi énorme quantité d'énergie parce que la composante Heaviside est souvent d'une magnitude de 10^13 supérieure à la composante d'écoulement Poynting retenue. Pas plus qu'une batterie ne peut contenir une aussi énorme quantité d'énergie chimique.
La mortelle boucle fermée du circuit de courant.
Dans les circuits conventionnels, une boucle de courant fermée, contient à la fois la dipole source du générateur ou de la batterie aussi bien que ses circuits de charges externes ainsi que ses pertes. Cette disposition requiert que la moitié de l'énergie recueillie dans le circuit doive forcément pompé des électrons dans la ligne par le de retour du ground, en revenant sur ses pas au travers du back emf de la dipole source. Spécifiquement, pour chaque électron passant au travers de la baisse de tension et des pertes dans le circuit externe de la charge, un électron doit forcément être ramené de retour au travers de la dipole source contre la même tension.
Forcé l'électron dépensé au travers du back emf de la dipole source accomplit un travail sur les charges de fin de la dipole pour forcément les dispersées. Ceci a pour effet de détruire la dipole et couper l'extraction gratuite de l'énergie du vide Dans une batterie chargée, ce ''travail back emf'' cause un renversement partiel de la chimie normale de l'électrolyte ce qui réduit l'énergie chimique disponible dans la batterie pour ré-établir la dipole source. La chimie restante de la batterie est dépensée pour continuellement restaurer la dipole source qui est continuellement détruite jusqu'à ce que l'énergie chimique soit épuisée. À ce moment, on doit introduire de l'énergie additionnelle pour forcer le retour de la chimie à son état initial en condition de pleine charge.
Les charges électriques sont et ont toujours été alimentées par l'énergie extraite et convertie du vide par la dipole source et non pas par l'énergie appliquée sur le shaft du générateur ou par l'énergie des composantes chimiques de la batterie. La moitié de l'énergie Poynting collecté dans les circuits externes est dépensée dans les charges et pertes du circuit (direction avant) et l'autre moitié est dépensée contre le back emf de la dipole source (dans la direction back emf) en détruisant la dipole.
Les présents systèmes de puissance sont conçus pour
forcément appliquer l'auto-recalibration Lorentz.
Ensembles, les deux moitiés égales d'un circuit conventionnel de dissipation d'énergie constitue une auto-recalibration forcée de Lorentz de la décharge de l'énergie d'excitation. En retour, ceci oblige le système excité à obligatoirement maintenir son équilibre avec son environnement actif du vide alors qu'il dissipe l'énergie d'excitation dans les charges et pertes du circuit.
La thermodynamique classique et son infâme seconde loi s'applique rigoureusement parce que le système lui-même est diaboliquement conçu pour vigoureusement se restaurer lui-même en équilibre avec son environnement du vide actif en tuant sa propre dipole source jaillissante d'écoulement d'énergie du vide.
À priori, la dipole source est tuée plus rapidement que la charge est alimentée étant donné que la moitié de l'énergie d'excitation est déchargée pour détruire la dipole alors que moins de la moitié de l'énergie restante est déchargée pour alimenter la charge.
Dans un système alimenté par générateur, de l'énergie sur le shaft du générateur est continuellement requise pour continuellement ajouter de l'énergie pour accomplir du travail sur le charges dispersées de sorte à restaurer la dipole source laquelle le circuit de courant en boucle fermée détruit continuellement.
Donc, nos présents auto-endommageant systèmes/circuits démontrent un COP < 1 à priori comme le font nos auto-endommageant circuits et systèmes alimentés par batterie.
Nous devons payer pour le coût initial de l'énergie d'entrée du générateur pour établir la source dipole.
Une fois formée, la dipole extrait continuellement et fournit une énorme quantité d'écoulement d'énergie EM en provenance du vide. Le typique circuit de courant en boucle fermée ne reçoit qu'une seule passe d'écoulement d'énergie et conséquemment, intercepte, collecte et utilise la très petite composante Poynting en perdant simplement l'énorme composante Heaviside qui rate le circuit.
Nos présents systèmes de puissance à simple passe perdent plus de 10^13 fois plus d'énergie qu'ils n'en attrapent et utilisent.
Les scientifiques peuvent facilement faire mieux que ça s'ils enlèvent l'arbitraire et erroné rejet de la composante d'écoulement d'énergie de Heaviside par Lorentz et développent des circuits et des fonctions de circuits pour attraper et utiliser autant que possible de cette disponible, mais négligée, gigantesque source d'énergie.
En résumé: La composante d'écoulement d'énergie de Poynting, gratuitement ''excite'' les circuits externes lesquels vont décroître de leur état excité et ralacher cette énergie d'excitation en retour vers l'environnement du vide. À cause de la conception des circuits en boucle de courant fermée ce décroissement est auto-renforcé pour être un re-calibrage symétrique du système de retour vers un état non-excité.
Dans les présents circuits en boucle de courant fermée, la moitié de l'énergie d'excitation Poynting demeure utilisée dans ce décroissement symétrique pour détruire la dipole source. L'autre moitié de l'énergie d'excitation Poynting est utilisée pour alimenter les charges et pertes de sorte que seulement une partie de cette moitié est dissipée dans la charge.
Un vrais circuit a des pertes, donc moins d'énergie est dissipée dans la charge qu'il en est dissipé pour tuer la source dipole. Étant donné que ça prends au moins autant d'énergie pour recréer la dipole que pour la détruire, conséquemment, l'énergie continuellement dissipé dans la charge est moindre que l'énergie que nous devons continuellement fournir au shaft du générateur pour recréer la dipole.
Pour les vrais systèmes avec une telle conception si auto-destructive nous ne pouvons pas obtenir autant de travail dans la charge que l'énergie que nous avons à entrer pour continuer de restaurer la dipole que nos circuits continuent diaboliquement de tuer. Voilà pourquoi, les circuits conventionnels démontrent uniquement des COP < 1.0, car il faut forcément revenir aux systèmes Maxwelliens, lesquels stipulent que les circuits de la source d'énergie, les circuits de traitement de l'énergie et les circuits de la charge doivent êtres constitués dans un ensemble asymétrique à boucle ouverte. En d'autre mots, il ne doit jamais il y avoir de circulation de courant directement entre la charge qu'on alimente et la source d'énergie car ces circuits doivent forcément êtres totalement indépendants l'un de l'autre donc en boucle ouverte.
Voilà, grosso modo, pourquoi Lorentz a entièrement recalibré le système que ses prédécesseurs avaient élaborés parce que voulant apparemment bien faire il a, malheureusement pour nous, considéré qu'un système symétrique et en boucle fermé serait plus simple à calculer et plus facile a réaliser.
Ceci dit, le sujet a complètement dévié hors de son propos initiale qui était l'énergie du vide.
Au moment même d'écrire ces lignes, la science n'est toujours pas parvenue à expliquer la plupart de ce sur quoi elle s'est basée pour définir ses principes fondamentaux.
Alors, qu'on se plaise à me faire la morale en se donnant un air supérieur et méprisant me laisse complètement indifférent car la science a cessé de m'impressionné depuis longtemps quand on constate la suite d'illogismes, de fausseté, d'inepties et de failles qui caractérisent ses fondements mêmes.
Que le science commence à faire son propre ménage en ensuite peut-être serez vous plus sérieusement perçus.
Mais pour l'instant, la presque quasi totalité des fondements de la science sont de pures foutaises et raisonnements irrationnels de hautes voltiges que l'on s'est plut à enfouir sous le tapis afin de les ignorer parce qu'on a lamentablement été incapables de les expliquer.
Par exemple, on 'a qu'à constater la multitude d'inepties en ce qui concerne la gravité, phénomène que l'on n'est même pas encore en mesure d'expliquer actuellement. Car on ne trouve pas de réponse à la simple question ''Qu'est-ce que la gravité?'' dans les théories d'aujourd'hui.
Newton a seulement prétendu que la gravité était une force d'attraction entre tout les objets parce que c'était de cette façon que les choses avaient l'air d'êtres, les objets tombent sur la terre ou s'approchent l'un de l'autre quand ils flottent dans l'espace. Newton a compréhensiblement proclamé que ça doit être un genre de force d'attraction émanant des objets mais il n'a donné aucune explication scientifique de cette force.
Nous avons tous que les machines à mouvement perpétuel sont impossible. Aucune machine ou phénomène naturel net peut fonctionner éternellement sans tirer de l'énergie d'une source et il n'y a certainement aucun appareil qui soit capable de fonctionner sans aucune source d'énergie du tout.
Pourtant, notre belle science proclame qu'un objet lancé dans un tunnel traversant la terre de part et d'autre oscillerait sans fin d'un coté à de l'autre de la planète en allant et en revenant dans le tunnel. Enfin, c'est du moins le résultat qui a été prédit par les théories de la gravité de Newton et Einstein. Cette croyance viole pourtant clairement nos plus fondamentales lois de la physique de même que le plus simple bon sens. Il n'y a aucune proclamation de consommation d'énergie ni même mention de source d'énergie pour alimenter ce processus! En dépit d'avoir fractionner l'atome et d'avoir élaboré théories atomiques détaillées, on n'a jamais identifié la source d'énergie de la puissance gravitationnelle.
Quand plus rien ne fonctionne, on nous dit de ne pas s'inquiéter à propos de la source d'énergie gravitationnelle parce que la gravité n'accomplit aucun travail dans tout l'univers! C'est vrais, selon la science d'aujourd'hui, toutes les dynamiques conduites par la gravité se produisent sans qu'aucun travail ne soit accomplit, donc, on n'a pas à identifier de source d'énergie ni de dépense d'énergie en provenance d'une telle source. On nous dit que les objets sont retenus avec force à la planète par la force gravitationnelle de Newton mais étant donné que les objets ne bougent pas, il n'y a pas de source d'énergie requise pour expliquer ça.
Pourtant, ça prend certainement beaucoup d'énergie pour pousser une lourde roche ou pour tenir un objet lourd dans la main même s'ils ne bougent pas. Mais dans la science d'aujourd'hui, étant donné que la Fonction du Travail stipule que Travail = Force X Distance, donc, aucun mouvement égale zéro distance et conséquemment zéro travail en résolvant apparemment le problème. Tous les physiciens vont répéter cette tentative de justification erroné quand on les questionnes à propos de la source d'énergie de la gravité et vont refuser de discuter plus abondamment de cette matière étant donné que c'est tout ce qu'ils ont été instruit par leurs enseignants. Lamentable, non?
Même la puissante force qui contraint la lune sur son orbite ne requiert aucune énergie étant donné qu'une modification de la Fonction du Travail donne un résultat zéro même si un objet est en mouvement en autant que ce mouvement soit perpendiculaire à la force de contrainte. Chaque physicien actuel va proclamer avec conviction qu'il n'y a aucun énergie de dépensée par la gravité pour contraindre la lune sur son orbite simplement parce que la Fonction du Travail donne un résultat zéro. Encore une fois, aucun physicien ne discutera davantage de ce sujet parce que c'est tout ce que leur a dit leurs enseignants à qui en fait on avait aussi refuser d'en discuter.
Comment un aimant peut-il tenir plaqué contre un frigidaire indéfiniment en combattant la gravité?
Il ne peut pas!!! Selon la science actuelle, les aimant de frigidaires sont impossibles!!!
Comme nous le savons tous, ça prends énormément d'énergie pour grimper le long d'une falaise en supportant notre propre poids contre la gravité et nous aurions tôt fait d'êtres fatigués et de tomber. Pourtant, un aimant de frigidaire n'est pas collé contre le frigidaire, il est retenu par l'énergie magnétique. Comme à la fois notre bon sens et la science nous le dit, une telle dépense d'énergie requiert qu'une source d'énergie soit disponible pour l'alimenter et supporter cet effort. Pourtant un aimant permanent non seulement maintient sa force indéfiniment (aucune théories ou manuel ne démontre les caractéristiques de consommation d'énergie d'un aimant permanent lorsqu'il se tient contre un autre objet ou tient un autre objet) mais il n'y a même pas de source d'énergie en vue, batard... Une énergie magnétique sans fin émane d'un aimant permanent sans aucune explication par notre science actuelle. La seule explication que n'importe quel physicien va donner pour ce phénomène est qu'il n'y a aucune dépense d'énergie étant donné que l'aimant ne bouge pas ce qui donnera un résultat zéro si on injecte ça dans la Fonction du Travail.
La lumière ralentit lorsqu'elle passe à travers de l'eau ou du verre mais comment peut-elle retourner à sa vitesse initiale (la vitesse de la lumière) lorsqu'elle ressort?
Ceci est pourtant impossible selon la science actuelle!
Aucun objet dans la nature ne peut accélérer de son propre chef après avoir été ralentit. Un boulet ne s'accélérera pas de lui-même après avoir traverser un obstacle, donc, comment fait un photon de lumière pour mystérieusement retourner à sa vitesse originale après avoir traversé un bloc de verre?
De plus, en faisant continuellement briller un rayon de lumière au travers d'un bloc de verre, le rayon de lumière, réchauffera ce dernier créant l'encore plus mystérieux fait que le rayon perds de l'énergie lorsqu'il passe au travers du verre, ce qui ne l'empêchera néanmoins pas de retrouver sa vitesse originale, nom de Dieu... La science actuelle ne peut pourtant pas expliquer ce phénomène quotidient!
Tant qu'à y être sur la lumière, continuons, non?
Faites rebondir un rayon de lumière entre 2 miroirs parallèle de façon à ce que le rayon rebondisse en formant un zigzag. Combien de rebondissements cela va t-il prendre pour que le rayon perde de sa vitesse? 1000? 10000? Bien entendu nous savons que le rayon ne ralentira jamais peut importe le nombre de fois ou il rebondira aller-retour en dépit du fait bien établi que le rayon ingère un petit coup de momentum quand il rebondit d'un objet (le principe derrière les voiles solaires). Donc, comment est-ce qu'un seul rayon de lumière peut imputer d'innombrables coup de momentum quand il zigzag entre deux miroirs alors qu'il s'arrange pour émerger après tout ces zigzags à la même rapidité inchangé de la vitesse de la lumière? Selon la science actuelle, ceci est un impossible événement d'énergie gratuite!
Donc, ne venez pas m'emmerder en prétendant que l'énergie du vide n'existe pas alors que la science actuelle n'est même pas capable d'expliquer une multitude de phénomènes qui viole ses propres lois et fondements de base jour après jour.
Si vous n'êtes pas convaincus, j'en ai encore des dizaines et des dizaines d'autres exemples de ce genre et je peut vous en foutre plein le Forum si ça vous chante...
Alors, avant que la science ne puisse prétendre être en mesure de tout savoir et de tout expliquer, qu'elle commence dont pas faire le ménage dans son propre bordel.
Quand on se targue de ne fièrement honorer que les principes d'un trou du cul comme Lorentz et qu'on ne jure que par lui alors que ce dernier a incommensurablement dilué les découvertes de ses 3 prédécesseurs (Maxwell, Poynting et Heaviside) et a arbitrairement rejeté du revers de la main la majorité des travaux de ceux-ci, on ne peut pas sérieusement s'attendre à être vraisemblablement pris au sérieux et voilà pourquoi on tentera inévitablement de ridiculiser et de discréditer l'interlocuteur comme certain d'entre vous se plaisent à le faire parce qu'incapables de valider de façon cohérente leurs propos.
Oui, bien entendu le système de Lorentz fonctionne et nous en avons tous la preuve quotidiennement.
Malheureusement, ce système fonctionne à l'envers en détruisant sa source d'énergie aussi rapidement qu'il alimente la charge externe qui y est relié.
Pourquoi Lorentz a éliminé la composante d'écoulement d'énergie de Heaviside
La composante Heaviside a été rejeté par Lorentz qui a intégré le vecteur d'écoulement d'énergie lui-même, d'une surface fermée, laquelle incluait tout élément volumétrique d'intérêt. Ceci rejette toute composante non-détournée (non-divergé) d'écoulement d'énergie sans égard à sa grandeur et retient seulement la composante détournée (divergée).
Effectivement, Lorentz a arbitrairement changé le vecteur d'écoulement d'énergie dans son vecteur de composante d'écoulement détourné, un illogisme fondamental. D'un seul coup, il a rejeté l'embarrassante composante Heaviside en résonnant que c'était ''physiquement insignifiant'' puisque dans un circuit à simple passe, ça n'entrait pas dans le circuit pour l'alimenter.
C'est exactement comme dire que tout le vent de l'océan qui ne frappe pas la voile d'un navire est ''physiquement insignifiant'' Un moment de réflexion démontre que cet ''insignifiant'' vent qui demeure, peut alimenter un nombre incalculable de voiles de navires additionnels. Une très large quantité d'énergie peut être extraite et utilisée de cet apparemment ''physiquement insignifiant'' vent, pour accomplir du travail si ce vent est intercepté par d'autres voiles additionnelles ajoutées au navire.
Si Lorentz n'avait pas arbitrairement rejeté l'énorme composante énergétique de Heaviside qui entourait le circuit et ne contribuait pas à son alimentation, les électrodynamiciens auraient été confrontés avec le dilemme de devoir expliquer la provenance de cet énorme écoulement d'énergie aux bornes de chaque générateur et batterie. Évidemment, l'opérateur n'entre pas une aussi énorme quantité d'énergie parce que la composante Heaviside est souvent d'une magnitude de 10^13 supérieure à la composante d'écoulement Poynting retenue. Pas plus qu'une batterie ne peut contenir une aussi énorme quantité d'énergie chimique.
La mortelle boucle fermée du circuit de courant.
Dans les circuits conventionnels, une boucle de courant fermée, contient à la fois la dipole source du générateur ou de la batterie aussi bien que ses circuits de charges externes ainsi que ses pertes. Cette disposition requiert que la moitié de l'énergie recueillie dans le circuit doive forcément pompé des électrons dans la ligne par le de retour du ground, en revenant sur ses pas au travers du back emf de la dipole source. Spécifiquement, pour chaque électron passant au travers de la baisse de tension et des pertes dans le circuit externe de la charge, un électron doit forcément être ramené de retour au travers de la dipole source contre la même tension.
Forcé l'électron dépensé au travers du back emf de la dipole source accomplit un travail sur les charges de fin de la dipole pour forcément les dispersées. Ceci a pour effet de détruire la dipole et couper l'extraction gratuite de l'énergie du vide Dans une batterie chargée, ce ''travail back emf'' cause un renversement partiel de la chimie normale de l'électrolyte ce qui réduit l'énergie chimique disponible dans la batterie pour ré-établir la dipole source. La chimie restante de la batterie est dépensée pour continuellement restaurer la dipole source qui est continuellement détruite jusqu'à ce que l'énergie chimique soit épuisée. À ce moment, on doit introduire de l'énergie additionnelle pour forcer le retour de la chimie à son état initial en condition de pleine charge.
Les charges électriques sont et ont toujours été alimentées par l'énergie extraite et convertie du vide par la dipole source et non pas par l'énergie appliquée sur le shaft du générateur ou par l'énergie des composantes chimiques de la batterie. La moitié de l'énergie Poynting collecté dans les circuits externes est dépensée dans les charges et pertes du circuit (direction avant) et l'autre moitié est dépensée contre le back emf de la dipole source (dans la direction back emf) en détruisant la dipole.
Les présents systèmes de puissance sont conçus pour
forcément appliquer l'auto-recalibration Lorentz.
Ensembles, les deux moitiés égales d'un circuit conventionnel de dissipation d'énergie constitue une auto-recalibration forcée de Lorentz de la décharge de l'énergie d'excitation. En retour, ceci oblige le système excité à obligatoirement maintenir son équilibre avec son environnement actif du vide alors qu'il dissipe l'énergie d'excitation dans les charges et pertes du circuit.
La thermodynamique classique et son infâme seconde loi s'applique rigoureusement parce que le système lui-même est diaboliquement conçu pour vigoureusement se restaurer lui-même en équilibre avec son environnement du vide actif en tuant sa propre dipole source jaillissante d'écoulement d'énergie du vide.
À priori, la dipole source est tuée plus rapidement que la charge est alimentée étant donné que la moitié de l'énergie d'excitation est déchargée pour détruire la dipole alors que moins de la moitié de l'énergie restante est déchargée pour alimenter la charge.
Dans un système alimenté par générateur, de l'énergie sur le shaft du générateur est continuellement requise pour continuellement ajouter de l'énergie pour accomplir du travail sur le charges dispersées de sorte à restaurer la dipole source laquelle le circuit de courant en boucle fermée détruit continuellement.
Donc, nos présents auto-endommageant systèmes/circuits démontrent un COP < 1 à priori comme le font nos auto-endommageant circuits et systèmes alimentés par batterie.
Nous devons payer pour le coût initial de l'énergie d'entrée du générateur pour établir la source dipole.
Une fois formée, la dipole extrait continuellement et fournit une énorme quantité d'écoulement d'énergie EM en provenance du vide. Le typique circuit de courant en boucle fermée ne reçoit qu'une seule passe d'écoulement d'énergie et conséquemment, intercepte, collecte et utilise la très petite composante Poynting en perdant simplement l'énorme composante Heaviside qui rate le circuit.
Nos présents systèmes de puissance à simple passe perdent plus de 10^13 fois plus d'énergie qu'ils n'en attrapent et utilisent.
Les scientifiques peuvent facilement faire mieux que ça s'ils enlèvent l'arbitraire et erroné rejet de la composante d'écoulement d'énergie de Heaviside par Lorentz et développent des circuits et des fonctions de circuits pour attraper et utiliser autant que possible de cette disponible, mais négligée, gigantesque source d'énergie.
En résumé: La composante d'écoulement d'énergie de Poynting, gratuitement ''excite'' les circuits externes lesquels vont décroître de leur état excité et ralacher cette énergie d'excitation en retour vers l'environnement du vide. À cause de la conception des circuits en boucle de courant fermée ce décroissement est auto-renforcé pour être un re-calibrage symétrique du système de retour vers un état non-excité.
Dans les présents circuits en boucle de courant fermée, la moitié de l'énergie d'excitation Poynting demeure utilisée dans ce décroissement symétrique pour détruire la dipole source. L'autre moitié de l'énergie d'excitation Poynting est utilisée pour alimenter les charges et pertes de sorte que seulement une partie de cette moitié est dissipée dans la charge.
Un vrais circuit a des pertes, donc moins d'énergie est dissipée dans la charge qu'il en est dissipé pour tuer la source dipole. Étant donné que ça prends au moins autant d'énergie pour recréer la dipole que pour la détruire, conséquemment, l'énergie continuellement dissipé dans la charge est moindre que l'énergie que nous devons continuellement fournir au shaft du générateur pour recréer la dipole.
Pour les vrais systèmes avec une telle conception si auto-destructive nous ne pouvons pas obtenir autant de travail dans la charge que l'énergie que nous avons à entrer pour continuer de restaurer la dipole que nos circuits continuent diaboliquement de tuer. Voilà pourquoi, les circuits conventionnels démontrent uniquement des COP < 1.0, car il faut forcément revenir aux systèmes Maxwelliens, lesquels stipulent que les circuits de la source d'énergie, les circuits de traitement de l'énergie et les circuits de la charge doivent êtres constitués dans un ensemble asymétrique à boucle ouverte. En d'autre mots, il ne doit jamais il y avoir de circulation de courant directement entre la charge qu'on alimente et la source d'énergie car ces circuits doivent forcément êtres totalement indépendants l'un de l'autre donc en boucle ouverte.
Voilà, grosso modo, pourquoi Lorentz a entièrement recalibré le système que ses prédécesseurs avaient élaborés parce que voulant apparemment bien faire il a, malheureusement pour nous, considéré qu'un système symétrique et en boucle fermé serait plus simple à calculer et plus facile a réaliser.