Poulpeman a écrit :
Comme ???
Les concepts menant à la théorie du dédoublement par exemple.
(au passage : joli rétropédalage concernant le télépathie)
C'est bien beau de faire des affirmations floues qui permettent de ne pas trop se mouiller, mais pour le moment on en est à 3 pages de discussion et tu nous sers toujours les mêmes lieux communs.
Ca devient lassant.
Comme vous le faites tous remarquer et qui plus est semble te lasser, je ne fais que répéter la même chose de manières différentes. Donc pas de rétropédalage.
Denis a écrit :
Concernant ta position sur la télépathie, je pense que la façon la plus éloquente de ne plus cacher le fond de ta pensée serait de simplement évaluer (sur cette échelle allant de (a) à (k)), cette petite proposition P :
P : La télépathie est un phénomène réel.
Pour moi, c'est entre (j) et (k). Pour toi, c'est quoi ?
Pour moi, la réponse est (f).
Jean François a écrit :
Vous ne rejetez rien a posteriori, donc vous gardez tout et ne triez jamais rien. Effectivement, je trouve que c'est une forme d'immaturité. La science a certainement des limites mais une de ses grandes qualités, à mon avis, est justement de permettre un tri. Faire un tri demande un risque, celui de se tromper... et c'est seulement comme ça qu'on se corrige.
Pourquoi ferais-je l’erreur de dire que la télépathie existe ou qu’elle n’existe pas alors que notre connaissance de la réalité ne permet pas de l’expliquer ou de la rejeter mais qu’elle reste une éventualité que nombres de personnes prennent sérieusement en considération.
Ma façon de me corriger à justement été de ne plus dire cela existe ou n'existe pas comme si notre perception de la réalité était une vérité absolue.
Vous n'êtes pas très cohérente: vous me disiez que ce sont les méconnaissances actuelles sur le fonctionnement du cerveau qui vous permettent de croire que la télépathie est possible, et maintenant vous êtes "d'accord" que celà peut ne pas concerner le cerveau mais un machin encore moins palpable, l'"esprit". J'imagine que vous n'avez même pas de définition claire de ce que serait l'"esprit".
Mon incohérence vient du fait que je cherche à amener doucement, mon point de vue. L’idée étant de ne pas éveiller votre propension à l’étiquetage « zozo ».
Vous conviendrez qu’il est difficile d’échanger avec vous en utilisant des termes qui ne rentrent pas dans le cadre scientifique. Donc j’y suis allé avec des gants en utilisant l’image du cerveau et de ses capacités pour glisser ensuite vers l’« esprit » avec pour appui le phénomène des EMI comme fait avéré qui ne soit pas scientifiquement démontrable.
Évidemment, si vous ne rejettez jamais rien, même a poteriori, ce n'est pas probablement pas le cas. Donc, la réponse à ma question est "non, vilib ne doutera jamais de la possibilité de la télépathie"... pas plus que de l'existence du père Noël, des fées, de la sainteté de Raël, de la virginité de Marie, de Nessie, des soucoupes volantes, les richissismes sénégalais qui n'attendent que vous pour pouvoir mettre à l'abris leur fortune en vous la faisant partager... et si vous faites des choix, c'est purement subjectivement puisque, visiblement, vous ne fonctionnez pas à la raison.
Ma raison, dans le cas de la télépathie (les autres exemples se passant de commentaires) me dicte de ne pas choisir entre vrai ou faux. Non pas par caprice, mais parce que je crois qu’il existe une force dans la pensée, que cette force vient de l’esprit et que dans ce domaine, il nous reste tout à découvrir.
[C’est maintenant que vous êtes censé brandir la pancarte « zozo » puisque je viens d’écrire « je crois »].
Ah! Donc, vous placez "tous vos espoirs" dans l'existence de l'esprit. Personnellement, je n'ai aucune idée de ce que cela pourrait être concrètement, je ne connais que les nombreuses légendes et autres mythes sur le sujet. Autant, bâtir une maison sur des sables mouvants (ce que vous pourriez bien faire, puisque vous ne rejeteriez pas, même a posteriori, que des sables mouvants puissent faire office de fondations solides
Je ne doute pas un instant que quelqu’un de septique ne puisse, plus encore que quelqu’un qui ne s’arrête pas à la réalité scientifique, définir concrètement ce qu’est l’ « esprit ». Mais je me doute aussi que vous ne cherchez pas à le définir.
L’« esprit » est pour moi le sujet de l’EMI (pendant que la personne est cliniquement morte) et je cherche bien évidemment à le définir plus avant mais je n’utiliserais ici que cette image abstraite.
Ne rien rejeter élargit tellement le "champs des hypothèses" qu'il devient impossible de déterminer la véracité de quoi que ce soit: si tout est possible, rien ne l'est... et vice-versa. Pas étonnant que votre discours soit flou et fuyant.
En fait, et c’est là ou je voulais en venir concernant la dualité récurrente que l’on peut lire un peu partout sur ce forum (zozo/zézé), si le champ que je prends sciemment en considération est tellement large, il me semble que celui dans lequel vous évoluez est trop restreint.
Donc finalement, c’était effectivement pour ne pas dire grand-chose mais si je vous avais écrit la phrase précédente sans l’amener sur un matelas de trois pages d'échanges, mon message ne serait pas passé sans énervement.
Vilib