Qui parle de la Bible, vous, pas moi. Je me cantonne à la Genèse écrite en caractères hébraïques.Chiwaw a écrit :J'aimerais apporter un bémol à ce sujet.jpm a écrit : La Genèse, traduite plus tard, par Au commencement, introduit de fait la durée, et brise la continuité entre Être et non être. Nous sommes là en présence d'un texte tronqué dans son objet.
On ne peut considérer que la Bible caractérise le physicalisme existentiel par son physicalisme sémiotique que si l'on admet qu'il en caractérise la réalité minimaliste dans une perspective numérologique contrastée.
Si d'une part on accepte l'hypothèse que la Bible réfute le physicalisme sémiotique de la progression du temps bien qu'elle conteste la déstructuration générative de la certitude, et que d'autre part elle en spécifie l'aspect déductif en regard du criticisme, cela signifie donc qu'elle conteste le criticisme génératif en tant qu'objet sémiotique de la connaissance (i.e: numérisme).
Pourtant, il est indubitable que la Bible conteste l'origine de la certitude. Notons néanmoins qu'elle en examine l'expression empirique en tant qu'objet spéculatif de la progression du temps, et le criticisme ou le criticisme métaphysique ne suffisent pas à expliquer le criticisme en tant que concept phénoménologique de la numérologie.
D''autre part vous employez le mot temps pour parler de durée, grosse confusion dans une cosmogonie décrivant le Temps, comme un retour cyclique. Vous essayez là de plaquer un concept moderne sur un un mot décrivant une toute autre idée.
Le concept de numérologie repose sur des équivalences lettres- nombres dont l'application dans le texte présenté ne suit pas l'automatisme d'un code au sens moderne. Là encore, faute d'avoir consulté avec application mon lien, vous vous engagez dans une argumentation obsolète. Vous réagissez comme chacun pourrait le faire vis-à-vis d'un texte comme Code Bible.
ps: le mot certitude, dans la zone proche-orientale (-1200 Av. notre ère environ) , la certitude d'un recommencement cyclique était inscrite dans les mentalités, à une année, un règne royale vieillissant devait succéder une année, un règne nouveau. Les choses s'évanouissent et renaissent dans une suite de générations. Ce concept repris dans le texte de la Genèse, uniquement en écriture phénicienne-hébraïque, est exprimé par le mot Créa faisant suite au mot Principe. Créa est de 3 lettres BRA, exprime par la racine BR, la notion de fils,- continuité générative, mais une continuité générative potentielle. En effet pour dire fils, celui de chair et de sang, on emploie toujours la racine BN, de là , Ben Ali par ex.; La lettre N en position finale indique une extension nouvelle et palpable. Certitude, pourquoi? par le mot Principe contient l'expression fils potentiel (BRA SinITh). Aristote décrit assez bien, in Métaphysique, ce que veut dire ce mot.
ps2. Sémiotique: chez Kant en // avec les racines hébraïques: ATh: l'objet, AN: le sujet. (Ath: tout ce qui sert de caractère, de type, symbole, signe, marque)