Il me semble que vous parlez d'actions, pas de pensé.
J'ai deja pensé à des trucs qu'aucune société n'aurais accepté, je suis peut-être complétement malade ?
J'en est parlé a des proches, des amis, que personne n'accepterais en temps normal, une petite crise passagère...mais aucune actions...alors il m’ont simplement aider...malgré le tabou...j'ai pas été punis pour avoir pensé et échanger cette pensé, voir même cette envie...
En avoir parler m'a apporté de l'aide, l'avoir fait m'aurais apporté le rejet...et encore, pas pour tout le monde.
Certain aurais rejeté mes actes, une partie de moi, mais pas ma personnes entières, il aurait "compris"...mais il aurait condamné les faits.
Vos explications me semble parfaitement réductrice, ou alors c'est moi qui ne comprend pas le sujet.
De plus, l’évolution d'une société ne se fait pas que dans la pensé commune mais aussi parfois par la pensé d'un ou plusieurs individus qui remettent en cause la société (petite pensé pour tout ses scientifiques et philosophes mort qui pensais pas comme la société autour d'eux, mais objectivement et sans forcement vouloir du mal...)
Les pensés deviennent parfois des actions, parfois elle reste dans l’individu, ou s’échangent sans forcement être juger par la lois ou négativement par les autres (compassion) Même si elle sont inaptes à la vie sociale (les pensées).
En faite, vous décrivez plus un système qui ne nous permet pas de faire n'importe quoi.
Mais à priori, on est relativement libre de pensé et de s'exprimer, du moin plus en démocratie que dans une dictature (ou le système éducatif corromps les cerveaux et contrôle la pensé + ou - mal)
Et dans le cas ou certaines pensés inapproprié submerge un individu il n'en fera pas pour autant une action.
La société certes va formater, donner une éducation de pensé, une direction à la pensé, une architecture...mais ne contrôle pas nos toutes nos pensés et ne nous oblige en rien à les contrôler toutes.
On peux tout à fait se voir entrain de tuer quelqu'un par exemple sans être un meurtrier ou ni même croire que ça veux dire que finalement au fond on veux tuer ou qu'on est un meurtrier...
On peux même dire devant un juge qu'on a pensé sur le coup à tuer son voisin, sans se retrouver en prison...au pire on nous juge personnellement...et alors ?
La pensé suis donc une logique éducative et de normes sociale mais elle peux aussi se perdre dans d'autres perspectives en dehors de l’éducation et de la société.
Et çela rien ne la contrôle ou la condamne, même si au fond j’admets qu'elle se dynamise autour d'une "méthode" normalisée.
Ses "dérapages incontrôlé" peuvent d’ailleurs autant être destructeur que source de solution et de nouveautés sociale.
Pour reprendre vos exemples :
Si en France c'est pas concevable d'aller au boulot avec un enfant en bas age, c'est en terme d'action, y pensé et en parler ou en avoir envie et le dire n'est en rien contrôlé par la société ni condamné par la lois...et je pense que des gens y on deja pensé, sans forcement le faire...ou l'on fait et on été jugé par les un et pas par les autres...
Certains, totalement imprégné du modèle sociale n'y on surement jamais pensé, mais d'autre oui...et ?
Ya des tabous, certes, mais en parlé est moin tabou et moin sous contrôle d'un "formatage" éducatif que l'action...
Qui n'a jamais pensé a des choses tabous ? Qui n'en n'a jamais parler sans forcement être juger et même être surpris d’être compris voir aidé ?
Au fond je suis d'accord pour dire qu'il y a des règles et des tabous, une éducation et une modélisation de la pensé par l’éducation.
Mais un contrôle, qui serait comme une prison de la pensés...non.
Pensé à un tabou est je croie permis...
Et de plus, un système ne peux pas modelé un esprit pour qu'il reste en cage sans cesse...c'est se qui fait qu'on évolue...sinon on serait encore entrain de prié le soleil et la Lune de nous envoyer des nuages...
Vous parlez de pensé vous êtes sure ? Vous parler plus d'actions non ?
Et de plus de manière très réductrice car ne prenant pas en compte les différentes façons de reagire, de comprendre, de jugé.
Ni même sans parler que les idées tabous sont parfois les plus libératrices d'une société (pas toutes, bien entendu, ni même majoritairement en fonction du temps T et du contexte C).
Après vous allez peut-être me dire : "quoi ?! Nico...tu à deja pensé à tuer quelqu'un (froidement en plus) et en plus tu la dit ?! Mais tu es fou, inacceptable, inapte, va te faire soigner !"
Se qui pourrais être vrai en fonction de comment cette pensé fonctionne, et ça personne ne peux trop en jugé 100% objectivement à par la jeune science qui est la psychologie et psychopathologie.
Cette science reste fortement sociale et normalisé par ce qu'on considère plus ou moin objectivement comme pathologique ou non, l'homosexualité était un tabou et considéré comme pathologique par la psychologie qui elle même transcende parfois le sociale par des découverte scientifiques objectives qui brises les normes..(c'est une relation d’interdépendance, se qui rend cette science asses discutable mais qui lui a permis de devenir science).
Donc une personne peux pensé a tuer sans être pathologiquement atteinte et une autre oui...en sachant que la norme qui défini cette pathologie progresse et est en faite une norme sociale ou une statistique sur la quelle nous allons baser un jugement plus ou moin flou.
Perso, j'ai deja pensé à laisser mon beau fils de 5 ans seul dans la rue pour qu'il décide enfin de lâcher l'enjoliveur de la voiture qu'il voulais absolument
Allez dite moi que je suis fou
