Jean-Francois a écrit :Expliquez pourquoi. (Déjà, je ne suis pas sûr que vous trouvez "tautologique".)
Tautologique est accepté par le correcteur. Il signifie qu'on présuppose ce qu'on est supposé défendre. Pour moi ça y ressemble.
Jean-Francois a écrit :Notez que si je me concentre sur les émotions et sentiments c'est pour mettre l'emphase sur des sujets qui ne sont pas aussi susceptibles de maintenir une forte dose de confusion que l'histoire des "possibilités de choix". Il existe une enfilade sur le libre arbitre plus appropriée pour ce dernier sujet.
OK, mais c'est connexe et pour moi ça fait partie du sujet. Je ne trouve pas évident (euphémisme) de concilier libre arbitre et pur déterminisme physique. Et s'il y a autre chose que le déterminisme physique et le pur hasard, ça peut être quoi, ça peut s'appeler comment ?
Jean-Francois a écrit :Quelle différence entre exiger la reproductibilité et supprimer les "possibilités d'erreur et de fraude" ?
Quand on fait "n'importe quoi, n'importe comment" on peut assez facilement obtenir des résultats reproductibles qui n'auront aucune valeur. La reproductibilité est une notion, la rigueur une autre. Quand on fait des expériences, vaut mieux avoir une bonne dose des deux.
"N'importe quoi n'importe comment", ça demande aussi à être prouvé, et on est sur un terrain "rationnel".
Y a-t-il, quelque part, des études qui montreraient que les adeptes d'une forme quelconque de spiritualité, ou accros à une superstition quelconque (formulations indicatives pour qu'on comprenne, il faudrait affiner), sont moins rigoureux ou conséquents (idem), en-dehors de la marotte susdite, que les gens qui ne le sont pas ? Ca devrait pouvoir s'étudier en bonne sociologie. Pour moi, à vue de nez, ça ne saute vraiment pas aux yeux mais je n'ai pas les moyens d'aller plus loin.
Demander du paranormal ou psi répétable, conforme aux critères scientifiques les plus courants, c'est demander les villes à la campagne.