@Mireille
Maintenant va dire ça aux gens dans la rue, à Monsieur et Madame tout le monde que c'est 100 % irrationnelle de croire que nous sommes pas des animaux, tu vas voir ce qu'on va te répondre. J'ai demandé à des gens avec qui je travaille si ils pensaient que nous étions des animaux. Ils ont été surpris de ma question et pas parce qu'ils pensent que nous en sommes, mais bien parce qu'ils pensent le contraire.
de manière consensuelle dans la vie de tous les jours le mot "animal" désigne tout ce qui bouge et qui n'est pas l'homme et le terme animal renvoie bien souvent à un une notion péjoratif du terme, "pire qu'un animal", "bestalité" etc.
Maintenant, si on donne la définition du mot basique, employé par les scientifique, tel que la question du topic renvoie, oui on en est un et la phylogénétique ne fait que rendre plus flou la chose. De plus en plus le terme "espèce" est même remis en cause, parce que trop arbitraire, l'être humain aimant classé les choses pour mieux l'appréhender, comparé à la complexité du vivant .
A moins de me tromper, la véritable questionnement c'est : si le fait d'être un animal comme les autres, n'aurait pas tendance à nuire à la cause animale ( sous entendu les autres animaux) ?
je dirais que vous avez vous même amener une réponse dans ce cas, la plupart des gens ne se considèrent pas comme des animaux, est-ce que cela n'entraine pas, justement, le dénie de la souffrance animal, en leur refusant des facultés de ressentie qu'on aurait en commun ou supposé ?
Parce que les végans par exemple, au delà de le comprendre comme une sorte de lutte contre une industrialisation, beaucoup d'argument vont justement dans le sens que l'homme est un animal comme un autre pour créer un lien empathique plus fort.
accepter aucune de mes définitions.
je n'ai pas suivi votre antagoniste, mais normalement pour une meilleure communication on se devrait d'employer les mêmes définitions attachées au contexte dans lequel la discussion évolue, enfin je dis ça, je dis rien ^^
Les coupeurs de cheveux en quatre, se plient en deux et tournent sept fois leur langue dans leur bouche avant d'énoncer le principe de contradiction. C'est rigoureusement inutile mais ils trouvent ce déphasage dichotomique aussi transcendant que colloïdal. (Désencyclopédie - Zetetic Circus)