Julien a écrit :J'ai un mal de chien à ne pas faire le rapprochement avec les attentats de Londres. Je sais que ce n'est qu'un chiffre, mais toucher le jackpot dans ces conditions est tout sauf crédible.
Je pense que rien que cela m´rite de faire l'objet d'une enquête supplémentaire.
Je crois qu'on se comprends mal. Je ne vous reproche pas de vous poser des questions et il serait idiot de ne pas se les poser d'ailleurs, mais de passer directement aux conclusions, voir de vous posez des questions en ayant déjà en tête le parti-pris de prouve qu'il y a un complot.
Que vous estimiez que la chose réclame qu'on s'y penche, c'est louable, pas que vous le fassiez en ayant déjà d'avance prévu la sentence.
Ca n'est pas honnête et rigoureux comme façon de penser, on ne peut pas passer de "la coïncidence est étrange" à "c'est la preuve de quelque chose" sans élément s'ajoutant à la statistique.
Des évènements très très improbable, il en arrive toute les secondes sur cette Terre, donc pour prouver que l'improbable est impossible, ça demande des éléments en plus.
Je prends un exemple: le fait d'appeler quelqu'un alors que justement, il pensait à vous. C'est quelque chose d'improbable en apparence et qui pourtant arrive des dizaines de fois par an (et qui est probablement à l'origine de la croyance de certain dans des dons de médiums).
Mais quand on le replace dans un contexte plus large (celui d'une population d'un pays, par exemple) le caractère improbable diminue sensiblement.
C'est pareille pour ça. La coïncidence apparait très improbable, mais il faudrait la mettre en perspective avec un contexte pour évaluer à quel point ça l'est et pouvoir en tirer une tendance statistique. Et même comme ça, si d'aventure la mise en perspective continuait à démontrer la coïncidence troublante, il faudra prouver que ça n'est pas, justement, une coïncidence.
Est-ce que vous avez mis les cas relevés en perspective ou vous vous êtes contentez d'une évaluation à la louche et au petit doigt ?
Est-ce que cela fait, vous avez des éléments de preuves qui montre que c'est plus qu'une coïncidence ?
C'est ça, les question qu'il faut se poser avant de passer aux conclusions. Le doute est légitime, pas le fait d'en tirer une conclusion sans élément supplémentaire et analyse rigoureuse des faits, pas quand en plus il s'agit d'accuser quelqu'un d'un crime.
Je vous ai dit, que j'avais fait le tour de la question, et que l'application de la procédure m'importe peu.
Donc ça ne vous intéresse pas de réellement savoir si la sécurité du président à mal agit.
Vous préférez les accuser par préjugé plutôt qu'en étant sur des faits. Vous vous érigez là juge et parti parce que leur tête ne vous revient pas en somme.
Bravo, pour quelqu'un qui réclame la vérité, vous avez une méthode on ne peut plus arbitraire et despotique de décider du vrai !
Pouvez vous objectivement exclure la possibilité d'un attentat suicide avec un Cessna, par exemple ? (Plus facile que de se foutre dans le Pentagone)
Pouvez vous objectivement cautionner, que le chef de l'état perde une demi-heure à écouter l'histoire d'un biquette pendant que son pays est attaqué.
Mais on s'en balance de ce que moi je pense, je n'étais pas sur les lieux et ce n'est pas moi qui ait pris les décisions, ni moi qui ait rédigé les consignes à suivre. Que l'évènement ne se soit pas passé comme moi je pense qu'il aurait du se passer n'est en rien une raison de condamner ceux qui ont agit ce jour là. Mon point de vue, jusqu'à preuve du contraire, n'a pas force de loi ou de règlement.
Trouver inacceptable ce qui s'est produit est une chose et ça peut se comprendre (visiblement, les américains ont pensé autrement vu qu'ils l'ont réélu), mais s'en servir pour accuser quelqu'un de crime c'est différent, là votre avis ne compte plus, seul compte les preuves au regard de la loi.
Ce qui importe ce n'est pas ce que moi je pense ou même ce que vous, vous pensez, mais ce qui c'est passé en regard de la loi et des règlements à suivre, parce que c'est à partir de ça qu'on peut savoir s'il y a eu dysfonctionnement et infraction.
Ce n'est pas à vous de décider s'il y a eu infraction sur votre seule perception. Pour dire qu'il y a eu infraction, il faut montrer que celle-ci existe et donc montrer qu'il y a eu un manquement quelque part. Or pour le moment, vous ne le montrez pas, vous ne faite que décider
arbitrairement que ne pas déplacer le président était une mauvaise chose et que ses 30 minutes d'inaction était injustifiable.
Qu'est-ce qui vous donne l'autorité pour juger d'un truc pareil ? Sur quoi vous vous appuyez pour juger de ça et mettre en faux le jugement de ceux dont c'était le métier et qui ont décidé que c'était une bonne chose ?