jroche a écrit : Sur le harcèlement des réfractaires au voile
Y'a bien que le coran qui permet ça, c'est clair... Heureusement, nos fondement judéo-chrétien dont nous sommes imprégnés ne permettent pas de telles choses, la bible, contrairement au coran, ne portant pas en ces fondements de tels principes... Suffit à une femme d'aller tenter de se balader en jupe un peu courte au sein de la dictature vaticane pour s'en convaincre...
jroche a écrit : Où on peut lire sur les murs "Une telle, la pute", avec les coordonnées etc.
Là, je dois avouer que je l'ai vu aussi. Encore une preuve indéniable de la perversion intrinsèque du coran et de la religion musulmane.
Bon, y'a juste un détail qui cloche : quand je l'ai vu, c'était écrit sur le mur de la mairie de mon village bourguignon de 500 âmes à l'époque, ça concernait (bien évidement) une ribaude locale assez indépendante qui.. N'ALLAIT PAS A LA MESSE (outrage !), et c'était en 1979.
Sinon, par rapport à ces phénomènes de sociétés totalement nouveaux (zone de non-droit, etc.), y'a ça, aussi, comme preuve indéniable que, si on en est où on en est, dans les "teu-ci", ça doit être la faute à l'islam et au coran intrinsèquement porteur de ces troubles, suffit de lire la presse qui est éloquente à ce sujet :
"Plus de 30 000 racailles contre 8 000 agents : le musulman est la plaie de Paris. Nous démontrons plus loin, dans notre « Variété », que, depuis quelques années, les crimes de sang ont augmenté dans d'invraisemblables proportions. On évalue aujourd'hui à au moins 70 000 le nombre de racailles — presque tous des jeunes gens de quinze à vingt ans — qui terrorisent la capitale. Et, en face de cette armée encouragée au mal par la faiblesse des lois répressives et l'indulgence inouïe des tribunaux, que voyons-nous ?... 8 000 agents pour Paris, 800 pour la banlieue et un millier à peine d'inspecteurs en bourgeois pour les services dits de sûreté. Ces effectifs qui, depuis quinze ans n'ont guère été modifiés, sont absolument insuffisants pour une population dont l'ensemble — Paris et banlieue — atteint, le chiffre énorme de 4 millions d'habitants."
Erratum important : on me signale que, dans l'article ci-dessus, les mots "agents" doivent être remplacés par "sergents de villes", "musulman" par "apache", "racaille" par "rôdeurs", et qu'il convient de signaler que l'article date du 20 octobre 1907 et est tiré du "Petit Journal" de l'époque.
Quelques recherches personnelles vous feront trouver, peu ou prou, le même genre d'article à propos des juifs dans les années 1930 ("Je suis partout", pointant allègrement le "vicieux" fondamental du Talmud et "l'arrogance" du "peuple élu" voulant asservir le monde entier, etc.), à propos des italiens et/ou des polonais (réputés très violeurs et raillés pour leur bigoterie catholiques rétrogrades incompatibles et indissolubles dans la France catholique "moderne" de l'époque...) dans les années 50, de la main d'oeuvre maghrébine peu qualifiée dans les années 60 (profitons en pour rappeler un film de Boisset en 1974, "Dupont la joie", ce dernier faisant visiblement un retour en force à l'occasion de la barbarie religieuse (oui, je dis "religieuse" et non "musulmane"*) de ces derniers temps), des blousons noirs dans les années 70, etc.
C'est bien pratique, quand on est face à un problème complexe, de tout simplifier et de désigner un bouc émissaire porteur de tous les maux... ça évite d'avoir trop à réfléchir, et de s'auto-persuader à moindre frais qu'on a LA solution, qui se résume en "l'autre, le "pas pareil", c'est le MAL, et les comme moi, c'est le BIEN". Malheureusement, le mal, si ça peut être l'autre, ce n'est jamais TOUS les autres en un gros paquet... Et le "bien", si ça peut être les "pareil que moi", ce ne sont pas TOUS les "pareils comme moi"... Cela, c'est la réalité, mais il faut un peu de maturité pour l'accepter.
Petite histoire traditionnelle zen :
« Un jour, un homme ne trouva plus sa hache.
Selon lui, de toute évidence, le coupable ne pouvait être que le fils du voisin. Il se mit à l’observer.
L’allure de ce garçon était celle d’un voleur de hache, l’expression de son visage respirait à cent lieues le voleur de hache, sa façon de parler était très exactement celle d’un voleur de hache. Tous ses gestes, tous ses mouvements, tout son être, exprimaient sans l’ombre d’un doute le voleur de hache…
A force de faire les cent pas en épiant son voisin sans prendre garde où il mettait les pieds, l’homme trébucha sur le manche d’un outil légèrement enfoui dans le terre. Et cet outil, vous l’avez deviné, n’était autre que sa hache.
Le lendemain matin, il regarda par habitude le fils de son voisin. Tout son comportement, toutes ses attitudes, tout son être n’avaient plus rien d’un voleur de hache. »
* Nouvelle fraîche de ce jour : enlèvement d'une femme de 67 ans, ce lundi en Centrafrique. Un employé centrafricain de la même ONG a aussi été capturé par les "anti-balaka", qui sont des milices principalement chrétiennes.. Mais là, pas question pour Jroche de généraliser et d'étendre à la bible et son message intrinsèque et constitutif : là, c'est, BIEN ÉVIDEMENT, une "exception"...