Non, je ne vous prend pas pour un menteur, vous en êtes un, enfin, surtout un mythomane. Mais ce n'est que mon avis.Gatti a écrit : Maintenant puisque tu me prends pour un menteur j'ai une preuve materielle :
Bien, et il parlait en quelle langue alors ?Gatti a écrit : L'avion dont je parle que j'ai entendu tomber cette fameuse nuit abattu par la DCA est tombé a 200 metres de notre maison dans le bois situé dans la côte menant à Villers la montagne. A droite de la route dans la descente vous pouvez trouver encore maintenant UN trou en forme d'antonoire de 10 metres de diametre . Je me souvient vaguement avoir entendu les adultes parler du pilote qui etait resté accroché dans les arbres pendu aux sangles d eson parachute.
Bon, je vous vous expliquer, parce que vous avez l'air d'avoir du mal. Les batteries de DCA alliées sur le théatre français étaient de deux types, les canons bofors de 40 mm, tractés, elles étaient donc nécessairement positionnées en retrait du front, leur temps de mise en service étant incompatible avec la proximité du front. Ou c'était des Halk-Tracks, 4 tubes, semi-chenillés, mais dont la faiblesse du blindage, mis en exergue lors de la guerre du désert, les contenaient dans un rôle d’appui-feu d'infanterie principalement.Gatti a écrit : Pour la petite histoire:
Une batterie de DCA alliée se trouvait a THIL (54) quelques trois kilometres a vol d'oiseau du village Hussigny-Godbrange d'ou j'ai assisté des tirs nourris sur l'aviation allemande qui se trouvait en couverture du repli des troupes allemandes en debacle
Une autre batterie de DCA se trouvait sur la côte de Differdange au (grand duché de Luxembourg ) dont la frontiere se trouve a 2 kms
Bref, la doctrine d'emploi de ces armes les amenaient au mieux en retrait proche du front, c'est plutôt incompatible avec un ennemi en débacle, qui retraite, mais ça, cela doit encore être un concept qui vous échappe.

Aie, raté.
Oui, merci pour le copier/coller, et le rapport avec la DCA, c'est quoi ? Ah, il n'y en a pas, pardon, il s'agissait de susciter encore un peu plus de pitié ? C'est cela ?Gatti a écrit : Extrait du blog sur le camp de concentration de THIL pour les gens suscpicieux qui demandent des preuves :
http://latrentequatrefnso.unblog.fr/200 ... ns-jamais/
Le camp est démantelé. A part un baraquement qui sert aux américains à abriter les servants d’une batterie de DCA voisine, tout le reste est mis en pièces : tôles de toitures récupérées, huisseries déposées, panneaux muraux de bois transformés en bois de chauffage ou de construction chez les particuliers…
En quelques jours, il ne restait plus de traces d’un camp où des malheureux avaient vécu l’enfer de l’internement et du travail forcé. Seul le four incinérateur* fut sauvé courageusement du pillage et des démolisseurs. Il est évidemment le symbole atroce du martyre vécu au camp et à la mine de Thil.
* Je precise : Incinerateur d'êtres humains (malades ou recalcitrants) recupéré par les allemands qui servait aux abattoirs de Villerupt pour incinerer les carcasses d'animaux
Camp de concentration de Thil http://www.le-camp-de-thil.fr/index.php ... &Itemid=42 situé a 5 kilomètres et dont j’ai appris l’existence seulement en 2011 . L’instruction civique faite au collège de Villerupt n’en a jamais touché mot ? Pourtant je passais deux fois par jours en mobylette sur le camp de Thil sans en connaître l'existence car les baraquements en face du cimetière avaient été détruits
Bien, et les réponses aux questions sont ?
Le but est de noyer le poisson en espérant un phénomène d'amnésie des participants au forum sur les questions qui fâchent Gatti ... Classique, très récurrent sur ce fil. Il faut s'y faire.yquemener a écrit :Encore une diversion ? Quel besoin d'une "pause relaxante" dans un fil qui n'avance pas ? Qu'est ce qu'il y a de relaxant pour vous à relater des faits douloureux ?