Re: L'homme est-il un animal ?
Publié : 08 sept. 2016, 16:04
Tu réussis, en étant aussi concis, à être plus précis et plus complet. Laisse moi être plus rapide.thewild a écrit :pris de vitesse par Cogite Stibon
Tu réussis, en étant aussi concis, à être plus précis et plus complet. Laisse moi être plus rapide.thewild a écrit :pris de vitesse par Cogite Stibon
Ce n'est peut-être pas si simple que ça.Damien26 a écrit :Rendre de l'eau potable c'est très peu cher en France. Il y a plein d'eau qui tombe du ciel chaque année, et seule une petite partie est "utilisée" par l'homme. Et tout ce qui est utilisé est rendu au milieu.
Se poser la question de prendre une douche ou un bain au Sahara, oui. En France, faire culpabiliser qq'un parce qu'il prend un bain, lave sa voiture ou remplit une piscine, non.
Bon...je prend plus des douches de 10minRaphaël a écrit :Nicolas78 a écrit :Bha ca depend du temps de la douche
Et du niveau d'eau dans le bain.Source: http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/doseau/d ... soDom.htmlcnrs.fr a écrit :une douche d’une durée de quatre à cinq minutes consomme de 30 à 80 litres et un bain de 150 à 200 litres.
Cogite Stibon a écrit :Bonjour Mireille,Mireille a écrit :Après on a la prétention de dire que nous sommes que des animaux comme les autres et bien non les aminaux ne foutent pas tout en l’air pour leur bien-être, ils ne cherchent qu’à survivre.
Lors de la plus grande catastrophe écologique de l'histoire de la Terre, l'atmosphère a littérallement pris feu, puis la Terre a été intégralement recouverte de glace pendant 300 millions d'années. Cette catastrophe n'a pas été causée par l'homme, mais par de minuscules êtres unicellulaires.
Pour être son propre professeur il nous faut d'abord avoir quelques connaissances, ce qui est loin d'être la situation des gens autour du globe.ABC a écrit :Les premiers professeurs, ça devrait être nous. On ne peut pas systématiquement demander à d'autres la responsabilité de s'informer à notre place pour nous restituer du prémâché (valide ou pas d'ailleurs).
Mouai, les gens s'avent déjà ce qu'ils se passe, à part quelque "négationniste" de notre impact (qui est loin d’être limité au réchauffement, genre...très loin...).Mireille a écrit : Il s'agit d'instruire les gens en passant par les écoles.
Désolé si je t'ai mal comprise.Mireille a écrit :Ta réponse n'a rien à voir avec mon commentaire. Le terme ''bien-être'' signifie ici un choix dans notre manière de vivre et de consommer tel que tu peux l'entendre sur la vidéo que j'ai mis en ligne un peu plus haut. La grosse différence est que nous sommes à même de réduire notre empreinte écologique avec un peu de bonne volonté. Il s'agit d'instruire les gens en passant par les écoles.
Pour ma part j'aurais plutôt dit :Mireille a écrit :Nos droits d’usage seraient à revoir. Il faudrait protéger la ressource aux profits de tous. Redéfinir les droits d’usage en y incluant l’ensemble des actions-réactions sur tout individu humain et non humain, sur l’écosystème, bref, sur tout. Changer nos lois. Il faut faire comprendre aux gens, à nos gouvernements, grâce à vos recherches, l'importance de garantir la pérennité de nos ressources.
je ne pense qu'au contraire, amha si la cause animal n'a jamais autant eu d'influence qu'aujourd'hui, le fait que nos viandes qui arrivent dans notre assiette soit devenu si abstraite a justement jouer :Je ne sais pas trop qui se soucie le plus des animaux, en fin de compte. Une chercheuse que j’ai cité plus haut sur le sujet disait que ''nos relations à l'animal sont devenues tellement abstraites que les élevages intensifs, par exemple, ne dérangent plus personne''. Elle disait aussi que ''Nous exportons désormais nos systèmes d'élevages intensifs dans le monde entier. Et toutes les sociétés semblent les adopter sans sourciller… '' Extraits tirés du site : http://www.savoirs.essonne.fr/thematiqu ... estompent/
je ne connais pas cette expression ^^ mais de base beaucoup de personnes ne s'incluent pas dans le règne animal, d'autant que pendant longtemps on a considéré l'homo sapiens comme le summum de l'évolution, ou c'est comme ça que c'était présenté, le super prédateur, celui qui chapote tout. Et cette idée est encore fortement ancré, même de manière inconscient "collective" j'ose le mot, L'animal à une connotation péjorative, une fois qu'on sort des clous de sa définition scientifique. Ce qui ne rend pas service selon moi à la cause animal, ou même écologique, c'est surtout pour moi le mode de production intensive, notre mode de vie... et sacrifier un mode de vie, ne plus manger de viande, ne plus surconsommer, ne plus faire autant enfante ect, de manière globale, ça pourrait être au bénéfice des animaux, mais aussi de notre espèce sur le long terme.L'être humain est capable de se projeter dans l'avenir, mais je pense qu'il est encore incapable individuellement parlant, de réfléchir sur les bénéfices de l'espèce entière, au point de faire preuve une abnégation sur ces questions lui parait déjà difficile, et comme ce n'est pas fait collectivement, bien souvent il a l'impression que les petites choses qu'il pourrait sacrifier, lui paraisse une petite goutte d'eau, comparer à l'océan de personne qui n'en font pas...Cette indifférence que nous avons pour la plupart, j'espérais en trouver la cause ou du moins commencer à la déterminer. Je me suis donc dirigée vers notre manière de percevoir les animaux, et j'ai pensé que si on les voit comme nous, on est porté naturellement à juger de leur état de conscience en rapport avec le nôtre. Ce qui est normal si on pense que nous sommes des animaux, comme eux. Ceci dit, on sera porté comme vous dites à soit vouloir les protéger, soit à ne pas trop s’en faire si on les considèrent comme pas trop conscients. Vous connaissez sûrement l’expression : courir comme une poule pas de tête…, bien des gens que je connais l’ont transformé pour ''une poule ça n’a pas de tête'' autrement dit ce n’est pas intelligent une poule.
ce qui m'a fait tiqué dans votre démarche, c'était de voir comme une sorte de hs, sans vouloir vous vexer, c'est de l'avoir mis en sections science que je ne comprends pas (pour tout vous dire j'ai cru en lisant le titre que c'était un débat théorie de l'évolution vs créationniste) : en science ça répond à une définition stricte, sans aucun attrait péjoratif du mot, et le fait qu'on puisse philosopher sur la lune par exemple, ne nous enlève pas des critères scientifique pour y être inclus, puisque les critères sont justement fait sur les points communs constatés entre tous les animaux, qui reste totalement basique : organismes eucaryotes pluricellulaires généralement mobiles et hétérotrophes. Ce qui fait que vous vous êtes heurtés contre un mur.Je pensais, quand j’ai ouvert ce sujet, que si nous n’avions pas pensé que nous étions des animaux que ça les auraient protéger de nous puiqu’on aurait pas été en mesure de comparer leur niveau de conscience d’avec le nôtre. J’aurais aimé, en fait, qu’ils soient des êtes à part, que nous aurions respecter plutôt que de les voir être utilisés comme nous le faisons en science ou pour les mettre dans notre frigidaire. C'est un peu pour ça que je me suis dirigé à contre-courant, espérant trouver des arguments en ce sens plutôt que dans l'idée de nous voir comme eux, ce qui d'ailleurs ne semble pas les avoir beaucoup aidé jusqu'à maintenant.
au plaisir aussi. Je ne sais pas si on peut me resouhaiter la bienvenue, étant donné que j'avais un tout petit peu et pas de manière significative au forum y a 5 ans, mais merci ^^ Désolée du retard de ma réponse, j'ai beaucoup de mal à me connecter au forumAu plaisir de discuter avec vous, Blabla et bienvenu sur le forum des Sceptiques.
En effet, difficile d'imaginer une démarche plus stérile que d'essayer de changer des faits scientifiques (souvent établis depuis des décennies ou des siècles) dans le but de satisfaire une croyance ou une idéologie. Aussi bien essayer de nous faire croire que la Lune est en fromage ...blabla à Mireille a écrit :ce qui m'a fait tiqué dans votre démarche, c'était de voir comme une sorte de hs, sans vouloir vous vexer, c'est de l'avoir mis en sections science que je ne comprends pas (pour tout vous dire j'ai cru en lisant le titre que c'était un débat théorie de l'évolution vs créationniste) : en science ça répond à une définition stricte, sans aucun attrait péjoratif du mot, et le fait qu'on puisse philosopher sur la lune par exemple, ne nous enlève pas des critères scientifique pour y être inclus, puisque les critères sont justement fait sur les points communs constatés entre tous les animaux, qui reste totalement basique : organismes eucaryotes pluricellulaires généralement mobiles et hétérotrophes. Ce qui fait que vous vous êtes heurtés contre un mur.
J'ai lu qu'il y a quelques années la consommation énergétique d'Internet avait dépassé celle ... de la totalité des transport aériens !ABC a écrit : Par exemple, je doute que tu puisse toi, Mirelle, arrêter internet pour la bonne cause ? Si ?
Sache que internet demande, pour fonctionner, de l'industrie "lourde" et pas vraiment renouvelable (quoi que ça s'arrange un peut, les canoe kayak aussi) :
- Ordinateurs
- Modems/routeurs (les box quoi)
- Serveurs par milliers
- Infrastructures réseaux gigantesque
- Electricité pour fournir tout cela
Habituellement, ce sont les zozos les plus atteints qui considèrent que pour les sceptiques, il n'y a que Science qui vaille. Ce n'est pas vrai. Pour ma part j'ai souvent dit que les questions essentielles de l'Humanité étaient d'ordre moral, social ou politique. La Science nous fournit des éléments objectifs dont il serait idiot de se passer mais n'apporte aucune réponse fiable et universelle à ces questions qui relèvent en fait d'opinions.jroche a écrit :On arrivera peut-être à comprendre que la question n'est pas que scientifique, qu'il y a des questions graves qui ne sont pas que scientifiques...
Non, Jroche cite un roman (que personnellement j'adore) dont le sujet est précisément celui de cette enfilade : on trouve en Afrique des êtres qui sont exactement l'intermédiaire entre les humains et les grands singes et qui sont interfertiles aussi bien avec les humains qu'avec les chimpanzés ou les gorilles.Pepejul a écrit :Jroche revient avec un pauvre lien et une phrase creuse....
Non.Wooden Ali a écrit :Habituellement, ce sont les zozos les plus atteints qui considèrent que pour les sceptiques, il n'y a que Science qui vaille. Ce n'est pas vrai. Pour ma part j'ai souvent dit que les questions essentielles de l'Humanité étaient d'ordre moral, social ou politique. La Science nous fournit des éléments objectifs dont il serait idiot de se passer mais n'apporte aucune réponse fiable et universelle à ces questions qui relèvent en fait d'opinions.
Et j'ai bien l'impression que c'est en gros la position de bien d'affreux sceptiques matérialistes athées qui sévissent sur ce forum. Me trompé-je ?
Je ne sais pas, j'ai réagi, peut-être trop sommairement (je n'y passe pas des heures), à ce que j'ai vu sur ce fil.Wooden Ali a écrit : Habituellement, ce sont les zozos les plus atteints qui considèrent que pour les sceptiques, il n'y a que Science qui vaille. Ce n'est pas vrai. Pour ma part j'ai souvent dit que les questions essentielles de l'Humanité étaient d'ordre moral, social ou politique. La Science nous fournit des éléments objectifs dont il serait idiot de se passer mais n'apporte aucune réponse fiable et universelle à ces questions qui relèvent en fait d'opinions.
Et j'ai bien l'impression que c'est en gros la position de bien d'affreux sceptiques matérialistes athées qui sévissent sur ce forum. Me trompé-je ?
Heu, pas en Afrique, en Papouasie, et je n'y ai vu nulle part question d'interfécondité avec des chimpanzés ou gorilles, seulement avec l'Homme.Chanur a écrit :Non, Jroche cite un roman (que personnellement j'adore) dont le sujet est précisément celui de cette enfilade : on trouve en Afrique des êtres qui sont exactement l'intermédiaire entre les humains et les grands singes et qui sont interfertiles aussi bien avec les humains qu'avec les chimpanzés ou les gorilles.
Tu as raison.Non, Jroche cite un roman (que personnellement j'adore) dont le sujet est précisément celui de cette enfilade...Pepejul a écrit :Jroche revient avec un pauvre lien et une phrase creuse....
Alors ? Qui a réagi trop vite ?jroche a écrit :Histoire de retourner la question : http://bouquinsblog.blog4ever.com/l-ani ... s-christen
D'accord avec ca. Arretons de consommer du polluant et du superflu, ils ne seront plus produits. Par contre, cela pose le problème de la viabilité de l'entreprise et donc celui de l'emploi.ABC a écrit :
- Il pèserait quoi X ou Y promouvant des objectifs inappropriées s'il n'y avait personne pour l'écouter et lui conférer du pouvoir parce qu'il raconte les mensonges que nous avons envie d'entendre et propose les "bonnes" solutions, aussi simples, rapides et évidentes qu’inappropriées et souvent même contreproductives quant à leurs conséquences à moyen ou long terme ?
- Elle pèserait quoi telle ou telle "horrible" entreprise déterminée à faire des profits quelles qu'en soit les conséquences s'il n'y avait pas de "gentils" consommateurs pour acheter ses produits ?
Ça fait des années que je l'ai lu.jroche a écrit :Heu, pas en Afrique, en Papouasie, et je n'y ai vu nulle part question d'interfécondité avec des chimpanzés ou gorilles, seulement avec l'Homme.Chanur a écrit :Non, Jroche cite un roman (que personnellement j'adore) dont le sujet est précisément celui de cette enfilade : on trouve en Afrique des êtres qui sont exactement l'intermédiaire entre les humains et les grands singes et qui sont interfertiles aussi bien avec les humains qu'avec les chimpanzés ou les gorilles.
[/Edit]“... mais qui eût supposé que toutes ces inséminations réussiraient ? Vous avez bien lu, Frances, toutes. Puisque, à peu près sûrs qu’un croisement avec l’homme ne donnerait rien, nous avons, en zoologistes consciencieux, tenté parallèlement les croisements avec les espèces simiennes les plus voisines : le chimpanzé, le gorille, l’orang-outang. Tous ces croisements ont réussi.
Hello,Chanur a écrit :[Edit:]
J'ai trouvé le livre sur le net et j'ai vérifié :
Pour la Papouasie, tu as raison.
Pour les croisements inter-espèces, c'est moi :[/Edit]“... mais qui eût supposé que toutes ces inséminations réussiraient ? Vous avez bien lu, Frances, toutes. Puisque, à peu près sûrs qu’un croisement avec l’homme ne donnerait rien, nous avons, en zoologistes consciencieux, tenté parallèlement les croisements avec les espèces simiennes les plus voisines : le chimpanzé, le gorille, l’orang-outang. Tous ces croisements ont réussi.