L'avortement
Re: L'avortement
Totoche a écrit :
C'est moi qui suis idiot? Je ne vois absolument, mais alors absolument pas le rapport entre:
1) Viabilité de l'organisme si la naissance intervient à un moment donné;
2) Existence d'une caractéristique (en général, on s'intéresse à la conscience de soi, à la capacité de ressentir de la souffrance, ou à un autre truc du même ordre) qui justifierait ou non de la moralité d'un avortement à ce même stade.
En résumé,le seul argument proposé par les promoteurs de l'avortement semblerait être l'état de conscience immature de l'enfant,parlons de l’état de conscience d'un homme gravement accidenté et dans le coma,sa situation serait « presque inverse » de celle d'un embryon,les médecins ne savent pas s'il va un jour revenir à la conscience et dans quel état physique et mental il se retrouvera conscient ?
Dans le cas des promoteurs de l'avortement,il y a extrême urgence a tuer l'enfant dans le ventre car ils savent que « le programme de conscience de l'enfant » est bien en phase de développement et que,sans une intervention médicale meurtrière, la conscience de l'enfant va apparaître avec certitude.
Il existe bien des similitudes entre l’état de coma d'un individu et l’état de développement d'un individu dans le ventre de sa mère.
Tout deux sont totalement dépendants de leur entourage pour leur survie, cependant l'un est visible et l'autre ne l'est pas du moins sans imagerie médicale,tout deux sont doté d'un « programme de vie» mais celui de l'individu dans le ventre de sa mère est intact, il n'a pas encore été altéré par un accident.
Prétendre qu'un enfant à terme est totalement autonome après la naissance doit certainement faire partie aussi du délire verbale des promoteurs de l'avortement.
Il est quand même tragique de constater que tant de couples soient prêt a adopter au point de faire appel a des mères porteuses et que l'on continue a pratiquer des avortements meurtriers pour les enfants et désastreux psychologiquement pour la mère.
Je suis croyant, bon nombre de mères vont aimer leur enfant a la naissance car Dieu a prévu l'ocytocine, l'hormone de l'attachement,l'hormone de l'amour pour son enfant, l'homicide n'est urgent que pour les promoteurs de l'avortement.
C'est moi qui suis idiot? Je ne vois absolument, mais alors absolument pas le rapport entre:
1) Viabilité de l'organisme si la naissance intervient à un moment donné;
2) Existence d'une caractéristique (en général, on s'intéresse à la conscience de soi, à la capacité de ressentir de la souffrance, ou à un autre truc du même ordre) qui justifierait ou non de la moralité d'un avortement à ce même stade.
En résumé,le seul argument proposé par les promoteurs de l'avortement semblerait être l'état de conscience immature de l'enfant,parlons de l’état de conscience d'un homme gravement accidenté et dans le coma,sa situation serait « presque inverse » de celle d'un embryon,les médecins ne savent pas s'il va un jour revenir à la conscience et dans quel état physique et mental il se retrouvera conscient ?
Dans le cas des promoteurs de l'avortement,il y a extrême urgence a tuer l'enfant dans le ventre car ils savent que « le programme de conscience de l'enfant » est bien en phase de développement et que,sans une intervention médicale meurtrière, la conscience de l'enfant va apparaître avec certitude.
Il existe bien des similitudes entre l’état de coma d'un individu et l’état de développement d'un individu dans le ventre de sa mère.
Tout deux sont totalement dépendants de leur entourage pour leur survie, cependant l'un est visible et l'autre ne l'est pas du moins sans imagerie médicale,tout deux sont doté d'un « programme de vie» mais celui de l'individu dans le ventre de sa mère est intact, il n'a pas encore été altéré par un accident.
Prétendre qu'un enfant à terme est totalement autonome après la naissance doit certainement faire partie aussi du délire verbale des promoteurs de l'avortement.
Il est quand même tragique de constater que tant de couples soient prêt a adopter au point de faire appel a des mères porteuses et que l'on continue a pratiquer des avortements meurtriers pour les enfants et désastreux psychologiquement pour la mère.
Je suis croyant, bon nombre de mères vont aimer leur enfant a la naissance car Dieu a prévu l'ocytocine, l'hormone de l'attachement,l'hormone de l'amour pour son enfant, l'homicide n'est urgent que pour les promoteurs de l'avortement.
Re: L'avortement
Non.Luc Feron a écrit : En résumé,le seul argument proposé par les promoteurs de l'avortement semblerait être l'état de conscience immature de l'enfant, ...
Au lieu de vous baser sur une interprétation tendancieuse autant que mensongère des arguments d'autrui, vous devriez lire ce qui est réellement exprimé...
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: L'avortement
Si dieu avait été si malin que ça, il aurait fait en sorte qu'on pop les enfants comme des chocapic au lieu de nous emmerder avec un monde continu fait de progressions et d'objets sans réel début ni fin. À un moment, il faut peut-être regarder du côté du concepteur au lieu de s'en prendre à ceux qui se dépatouillent comme ils peuvent avec l'univers qu'il nous a refilé, non ? On est déjà bien sympa de procréer pour lui offrir des adeptes alors qu'on pourrait tous se suicider et compromettre sa réalité stupide...Luc Feron a écrit :Je suis croyant, bon nombre de mères vont aimer leur enfant a la naissance car Dieu a prévu l'ocytocine, l'hormone de l'attachement,l'hormone de l'amour pour son enfant, l'homicide n'est urgent que pour les promoteurs de l'avortement.

Dernière modification par Greem le 05 juin 2016, 11:09, modifié 1 fois.
"Ils terribles ce ses sceptiquo-maniaques-sionisto-propagandum."
Re: L'avortement
C'est pas totalement faux.Luc Feron a écrit :Totoche a écrit :
C'est moi qui suis idiot? Je ne vois absolument, mais alors absolument pas le rapport entre:
1) Viabilité de l'organisme si la naissance intervient à un moment donné;
2) Existence d'une caractéristique (en général, on s'intéresse à la conscience de soi, à la capacité de ressentir de la souffrance, ou à un autre truc du même ordre) qui justifierait ou non de la moralité d'un avortement à ce même stade.
En résumé,le seul argument proposé par les promoteurs de l'avortement semblerait être l'état de conscience immature de l'enfant,parlons de l’état de conscience d'un homme gravement accidenté et dans le coma,sa situation serait « presque inverse » de celle d'un embryon,les médecins ne savent pas s'il va un jour revenir à la conscience et dans quel état physique et mental il se retrouvera conscient ?
Dans le cas des promoteurs de l'avortement,il y a extrême urgence a tuer l'enfant dans le ventre car ils savent que « le programme de conscience de l'enfant » est bien en phase de développement et que,sans une intervention médicale meurtrière, la conscience de l'enfant va apparaître avec certitude.
Il existe bien des similitudes entre l’état de coma d'un individu et l’état de développement d'un individu dans le ventre de sa mère.
Tout deux sont totalement dépendants de leur entourage pour leur survie, cependant l'un est visible et l'autre ne l'est pas du moins sans imagerie médicale,tout deux sont doté d'un « programme de vie» mais celui de l'individu dans le ventre de sa mère est intact, il n'a pas encore été altéré par un accident.
Prétendre qu'un enfant à terme est totalement autonome après la naissance doit certainement faire partie aussi du délire verbale des promoteurs de l'avortement.
Il est quand même tragique de constater que tant de couples soient prêt a adopter au point de faire appel a des mères porteuses et que l'on continue a pratiquer des avortements meurtriers pour les enfants et désastreux psychologiquement pour la mère.
Je suis croyant, bon nombre de mères vont aimer leur enfant a la naissance car Dieu a prévu l'ocytocine, l'hormone de l'attachement,l'hormone de l'amour pour son enfant, l'homicide n'est urgent que pour les promoteurs de l'avortement.
Mais c'est tellement bourré de strawman et de raccourcis (y compris sur l'attachement d'ont le résumé et si court qu'il ne peut être vraiment utile) en vers ceux qui sont pour l'avortement que je serait presque tenté de dire que les croyants n'ont vraiment que des argument fallacieux à proposer pour leurs défense.
Bien sur non.
Mais strawman pour strawman...
Puis pour Dieu, ça serait bien de le laisser à sa place.
A savoir en dehors de nos petites discussions d'humain.
A moins que tu croie les histoires pour enfants comptées dans les livres religieux.
Re: L'avortement
Le problème n'est pas l'état de conscience d'un fœtus* ou d'un individu, il est dans la définition de la vie et de la mort. D'ailleurs le législateur a défini l'état de "mort cérébrale". La question de l'euthanasie est à l'étude, elle se pratique toutefois discrètement.Luc Feron a écrit : Il existe bien des similitudes entre l’état de coma d'un individu et l’état de développement d'un individu dans le ventre de sa mère
* on sait bien que les fœtus ressentent des choses et sont sensibles aux stimulis.
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Re: L'avortement
J'ai beaucoup de mal à croire que quelqu'un qui dit une sottise pareille a été un jour "totalement incroyant".Luc Feron a écrit :Je suis croyant, bon nombre de mères vont aimer leur enfant a la naissance car Dieu a prévu l'ocytocine, l'hormone de l'attachement,l'hormone de l'amour pour son enfant, l'homicide n'est urgent que pour les promoteurs de l'avortement.
Où c'est qu'il est tellement intellectuellement flemmard que sa destinée était de devenir un gobeur de balivernes téléologiques. Parce qu'il ne faut pas trop vouloir réfléchir pour ignorer que dieu aurait* aussi permis les avortements spontanés (beaucoup plus nombreux que suspectés), les fausses couches, les naissances tératologiques, les douleurs pendant l'accouchement...
Ajout: l'ocytocine n'est évidemment pas une molécule aux fonctions hormonales retrouvée uniquement chez l'humain.
* Faudrait encore montrer qu'il existe.
----------
C'est dans ces moments-là qu'on peut se rappeler que les pouvoirs de ce genre de "concepteur" sont très souvent corrélées aux capacités (cognitives ou créatives) de ceux qui plaident en faveur de son existence. Florence avait amené cette citation de Heinlen sur le sujet:Greem a écrit :À un moment, il faut peut-être regarder du côté du concepteur au lieu de s'en prendre à ceux qui se dépatouillent comme ils peuvent avec l'univers qu'il nous a refilé, non ?
"Men rarely (if ever) manage to dream up a god superior to themselves. Most gods have the manners and morals of a spoiled child. (Les hommes ne sont que rarement (voire jamais) capables d'imaginer un dieu supérieur à eux-mêmes. La plupart des dieux ont les manières et la morale d'un enfant gâté.)"
Jean-François
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
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Re: L'avortement
Il y a une dizaine de jours je discutais justement de l'avortement avec un ami médecin suffisamment âgé pour avoir connu les avortements clandestins. Légaux ou illégaux, de toute façon ils se pratiquent. Quelle est la meilleure solution?
Re: L'avortement
De deux maux ,il faut choisir le moindre .richard a écrit :Il y a une dizaine de jours je discutais justement de l'avortement avec un ami médecin suffisamment âgé pour avoir connu les avortements clandestins. Légaux ou illégaux, de toute façon ils se pratiquent. Quelle est la meilleure solution?
Re: L'avortement
Certainement.
Mais il semble que justement, la question de savoir quel maux est le pire divise.
Divise bcp.
Y compris entre croyants.
Entre sceptiques.
Etc.
Mais il semble que justement, la question de savoir quel maux est le pire divise.
Divise bcp.
Y compris entre croyants.
Entre sceptiques.
Etc.
Re: L'avortement
Non, la division sur le sujet est, quelle que soit la position philosophico-religieuse des uns et des autres, se situe entre les réalistes et les idéologues.Nicolas78 a écrit :Certainement.
Mais il semble que justement, la question de savoir quel maux est le pire divise.
Divise bcp.
Y compris entre croyants.
Entre sceptiques.
Etc.
Ces derniers considèrent la question de l'avortement, ainsi que de nombreux sujets sociaux, comme un prétexte pour adopter une position absolutiste et se posent en autorité morale dont les croyances, opinions, options et mode de vie sont nécessairement supérieures à ceux d'autrui.
Un réaliste peut bien ne pas apprécier la position, les opinions, les options ou le mode de vie dautrui, il est capable de concevoir l'idée que ses préférences ne sont pas l'alpha ni l'oméga de la moralité humaine ...
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: L'avortement
Vous êtes croyant, grand bien vous fasse, mais n'essayez pas d'imposer vos croyances aux autres !Luc Feron a écrit : les promoteurs de l'avortement semblerait
Dans le cas des promoteurs de l'avortement,
du délire verbale des promoteurs de l'avortement.
Je suis croyant, bon nombre de mères vont aimer leur enfant a la naissance car Dieu a prévu l'ocytocine, l'hormone de l'attachement,l'hormone de l'amour pour son enfant, l'homicide n'est urgent que pour les promoteurs de l'avortement.
Personne ne fait la promotion de l'avortement. C'est juste dépénalisé chez nous.
Русский военный корабль, иди нахуй !


Re: L'avortement
Je ne sais pas si je suis d'accord ou pasFlorence a écrit :Non, la division sur le sujet est, quelle que soit la position philosophico-religieuse des uns et des autres, se situe entre les réalistes et les idéologues.Nicolas78 a écrit :Certainement.
Mais il semble que justement, la question de savoir quel maux est le pire divise.
Divise bcp.
Y compris entre croyants.
Entre sceptiques.
Etc.
Ces derniers considèrent la question de l'avortement, ainsi que de nombreux sujets sociaux, comme un prétexte pour adopter une position absolutiste et se posent en autorité morale dont les croyances, opinions, options et mode de vie sont nécessairement supérieures à ceux d'autrui.
Un réaliste peut bien ne pas apprécier la position, les opinions, les options ou le mode de vie dautrui, il est capable de concevoir l'idée que ses préférences ne sont pas l'alpha ni l'oméga de la moralité humaine ...

En faite j'ai du mal à différencier (sur ce sujet) les réalistes et les idéologues quand il s'agit, au final, non pas définir quand la conscience survient chez le foetus et d'y accoler une morale (qu'on sois realiste ou non les deux finissent sur des échanges moraux), mais à quel moment on dit qu'avorter est acceptables selon des critères complexes.
Chez les un l'apparition d'une forme de conscience (de sont corps par exemple) est la limite.
D'autres les premiers stimulus.
D'autre n'ont pas de limite et accorde la priorité à la santé mentale de la mère, qui est déjà socialement viable.
J'ai bcp de peine à definir qui est realiste ou pas.
Mais il faut le dire : je ne maitrise pas vraiment ce sujet.
En faite c'est une analyse assez personnel que je livre la.
Et qui j'ai forgé principalement à causes des désaccords plus ou moins grand que j'ai vue ici.
J'imagine donc que par "réalistes", vous parlez de ceux qui tentent de "rationaliser" l'avortement par un cheminement à travers ce que l'on sais de l'humain (biologie, psychologie etc).
Et par "idéologues" ceux qui approche le sujet par la seule morale.
Si oui je comprend mieux mais j'y voie deux problèmes.
A un certains stade j'ai eu l'impression que les critères sélectionnés n'était pas forcement les mêmes chez chaque "factions" (y compris entre personne pour ou contre, du même "camp"), et qu'on fini souvent sur des critères arbitraires pour justifier ce que l'on ne connait pas parfaitement, voir pas vraiment (la dite conscience ou sensibilité du foetus et son évolution dans un continuum avec plusieurs critères qui seront une aubaine aux choix plus ou moins objectifs, les impacts psychologiques positifs et négatifs sur la mère, ceux sur la sociétés).
Finalement je pense que certains critères sont plus objectifs ou plus ou moins arbitraires que d'autres.
Oui.
Mais des critères dénué de toutes notions arbitraires, je ne voie pas.
Mais je voie possiblement mal c'est bien possible.
Re: L'avortement
merci pour cet éclairage qui explique de nombreuses dissensions et qui fait dire que certaines discussions sont bien inutiles.Florence a écrit : Non, la division sur le sujet est, quelle que soit la position philosophico-religieuse des uns et des autres, se situe entre les réalistes et les idéologues.

Re: L'avortement
C'est pourtant assez simple: un idéologue refuse d'aborder ce genre de sujets autrement que sur un plan moral, un réaliste/pragmatique réalise vite que le seul plan moral mène à une impasse, et de plus ne change strictement rien à la problématique et généralement en empire les conséquences.Nicolas78 a écrit : Je ne sais pas si je suis d'accord ou pas![]()
En faite j'ai du mal à différencier (sur ce sujet) les réalistes et les idéologues quand il s'agit, au final, non pas définir quand la conscience survient chez le foetus et d'y accoler une morale (qu'on sois realiste ou non les deux finissent sur des échanges moraux), mais à quel moment on dit qu'avorter est acceptables selon des critères complexes.
Non. Etre réaliste demande de prendre en compte tous les aspects, tous les intérêts, toutes les opinions, l'historique de la pratique, ses implications et ses conséquences, et de proposer des solutions qui en tiennent compte avec un minimum de nuisance. Ca ne signifie pas "rationaliser" une pratique ou ses limitations, ni même l'approuver, ça demande d'être pragmatique: l'avortement a toujours été et sera toujours pratiqué pour des raisons personnelles, sociales, économiques et médicales, il convient donc deJ'imagine donc que par "réalistes", vous parlez de ceux qui tentent de "rationaliser" l'avortement par un cheminement à travers ce que l'on sais de l'humain (biologie, psychologie etc).
a) analyser et comprendre, sans nécessairement juger, les raisons de sa pratique
b) le rendre ou le garder accessible et le plus sûr possible
c) limiter la nécessité de son recours lorsque faire se peut (éducation sexuelle, contraception, conditions sociales et sanitaires, etc.)
d) empêcher autant que faire se peut de laisser les idéologues/moralistes/religieux s'emparer de la question.
Dans ce contexte, je me démarque clairement des positions extrêmes, qu'il s'agisse des totalement anti-avortement pour raisons "morales" ou religieuses, qui sont impraticables et inhumaines, ou de ceux et celles qui n'y voient qu'un simple et banal moyen contraceptif.
Je constate également, et bien heureusement, que ces deux postures extrêmes sont en fait minoritaires, la population en général étant plus pragmatique que ses "élites" sur le sujet, pour être concernée au premier chef par la question ... Ca explique en partie pourquoi le débat est si hystérique sur le sujet, les "minorisés" étant obligés de hurler pour se maintenir dans les projecteurs de l'actualité et de la politique (pareil pour le "mariage pour tous", qui ne dérange pas plus que ça la majorité des gens - "ce n'est pas parce que les homosexuels peuvent se marier que tout le monde va devoir devenir homosexuel", dixit une dame âgée catholique pratiquante de mon entourage - mais a donné un bon prétexte à tous les bigots et autres partisans du "bon vieux temps" où les bien-pensants comme eux tenaient le haut du pavé pour aller faire du foin sur la voie publique).
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Re: L'avortement
Une des conséquences (dramatique) de l'avortement est souvent la séparation du couple, si couple il y a et s'il n'y a pas déjà huit enfants.

Re: L'avortement
Bonjour,
Luc feron a écrit :"Avant j’étais totalement incroyant, je faisais partie de cette génération qui a été imbibée par le gauchisme, un courant intellectuel pour les naïfs comme il y en a eu tant dans l’histoire,"
Il doit confondre gauchistes et hippies.
Et puis ce discours : j'étais gauchiste, non croyant, progressiste, mais aujourd'hui ouf j'en suis sorti....... AU SECOURS !!
Luc feron a écrit :"Avant j’étais totalement incroyant, je faisais partie de cette génération qui a été imbibée par le gauchisme, un courant intellectuel pour les naïfs comme il y en a eu tant dans l’histoire,"
Il doit confondre gauchistes et hippies.
Et puis ce discours : j'étais gauchiste, non croyant, progressiste, mais aujourd'hui ouf j'en suis sorti....... AU SECOURS !!
- MaisBienSur
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Re: L'avortement
Une des conséquences (dramatique) des naissances est souvent la séparation du couple, si couple il y a et s'il n'y a pas eu avortement...richard a écrit :Une des conséquences (dramatique) de l'avortement est souvent la séparation du couple, si couple il y a et s'il n'y a pas déjà huit enfants.
Ca marche aussi dans ce sens.
Un enfant change énormément la vie d'un couple, on peut même dire par définition que le couple n'existe plus puisqu'il ne peut être composé que de deux individus (et non 3 ou plus en règle générale)
Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Avant, j'étais indécis, maintenant je n'en suis plus très sûr...
Les marmottes qui pissent au lit passent un sale hiver (Philippe Vuillemin)
Les marmottes qui pissent au lit passent un sale hiver (Philippe Vuillemin)
Re: L'avortement
C'est surtout que des non-croyants il y en à partout dans toutes les directions politiques.mimi92 a écrit :Bonjour,
Luc feron a écrit :"Avant j’étais totalement incroyant, je faisais partie de cette génération qui a été imbibée par le gauchisme, un courant intellectuel pour les naïfs comme il y en a eu tant dans l’histoire,"
Il doit confondre gauchistes et hippies.
Et puis ce discours : j'étais gauchiste, non croyant, progressiste, mais aujourd'hui ouf j'en suis sorti....... AU SECOURS !!
Qu'il y en ai plus a gauche qu'a droite, sans parler des extemes, est possible.
Mais surement pas de bcp.
Re: L'avortement
Et encore, il nous a épargné la pornographie prosélyte habituelle : "Avant, je sacrifiais des bébés à satan, je me vautrais dans le stupre et la luxure les plus dépravées, bla, blah, blah, ..."mimi92 a écrit :Bonjour,
Luc feron a écrit :"Avant j’étais totalement incroyant, je faisais partie de cette génération qui a été imbibée par le gauchisme, un courant intellectuel pour les naïfs comme il y en a eu tant dans l’histoire,"
Il doit confondre gauchistes et hippies.
Et puis ce discours : j'étais gauchiste, non croyant, progressiste, mais aujourd'hui ouf j'en suis sorti....... AU SECOURS !!
Il est typique de tout un courant de grenouilles de benitiers, qui se persuadent de leur supériorité morale en projetant leurs fantasmes sordides sur ceux qui ne partagent pas leurs petites turpitudes.
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Re: L'avortement
Souvent? Vous avez des chiffres sérieux à proposer où vous inventez n'importe quoi?richard a écrit :Une des conséquences (dramatique) de l'avortement est souvent la séparation du couple, si couple il y a et s'il n'y a pas déjà huit enfants.
Je pense connaitre la réponse.
Jean-François
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Re: L'avortement
Je n'ai vraiment pas trop de temps mais lui il me casse les ovaires alors autant que ça sorte
L'avortement ne fait pas l'objet d'une promotion, c'est un droit. Vos voyez souvent des gens qui font du prosélytisme pour l'avortement vous ? Ils sont largement moins bruyant que les moralistes dans votre genre. Les raisons qui font qu'une femme décide d'avorter sont propres à chacune et très diverses.
Et les femmes dans tout ça ? Vous vous en foutez en fait, juste des ventres.
Vous racontez franchement n'importe quoi et semblez ne pas savoir de quoi vous parlez. La femme et le personnel médical (en général même si certains sont franchement désagréables et poussent à poursuivre une grossesse même si non désirée) font leur possible pour que cette si plaisante opération soit la moins lourde possible (donc essayer de tomber dans le créneau où avoir la RU est encore possible, diagnostiquer les grossesses à problème rapidement...).
La conscience du foetus... ben allez-y prouvez là ! Et vous m'en parlerez de la conscience d'un enfant atteint d'un handicap lourd genre anencéphalie et de l'intérêt de poursuivre une grossesse dans ce cas. Et j'en passe...
Je le répète, le droit à l'avortement est une nécessité de santé publique et aucune femme n'a à se justifier. Et pour votre gouverne le nombre d'avortement diminue régulièrement partout où il est légal si je ne m'abuse.
Et qu'est-ce que l'euthanasie vient faire dans la discussion.
Et puis vous avez des chiffres, une étude, un truc pour étayer votre "tant de couples" ?
Des preuves du "désastre psychologique" ? Les seuls qui en parlent sont les obscurantistes dans votre genre. Et pour les femmes que je connais, ce qui a été traumatisant ce sont les propos de l'entourage ou le traitement qu'elles ont reçus de la part de certains personnels qui leur tiennent des propos du même tonneau que les vôtres. Vous et vos semblables êtes les causes de traumatismes plus que l'acte médical.
Croyant ou pas ça ne vous exonère pas de réfléchir à la réalité pas au fantasme que vous semblez construire autour de la maternité. Et non une femme n'est pas systématiquement attachée à son enfant, n'a pas forcément envie d'enfanter, et vu le nombre de gosses maltraités dans ce bas monde votre argument est bidon.
Quant à dieu qui prévoit l'ocytocine... faut arrêter le vin de messe là !

Comme mon collègue Lambert85 au-dessus, c'est qui ces "promoteurs" ? Vous vous rendez- compte de l'absurdité de vos propos ?Luc Feron a écrit :En résumé,le seul argument proposé par les promoteurs de l'avortement semblerait être l'état de conscience immature de l'enfant (...)
L'avortement ne fait pas l'objet d'une promotion, c'est un droit. Vos voyez souvent des gens qui font du prosélytisme pour l'avortement vous ? Ils sont largement moins bruyant que les moralistes dans votre genre. Les raisons qui font qu'une femme décide d'avorter sont propres à chacune et très diverses.
Tient, ça y est on a glissé du "foetus" à "l'enfant", et au champ lexical du meurtre...Dans le cas des promoteurs de l'avortement,il y a extrême urgence a tuer l'enfant dans le ventre car ils savent que « le programme de conscience de l'enfant » est bien en phase de développement et que,sans une intervention médicale meurtrière, la conscience de l'enfant va apparaître avec certitude.(...)
Et les femmes dans tout ça ? Vous vous en foutez en fait, juste des ventres.
Vous racontez franchement n'importe quoi et semblez ne pas savoir de quoi vous parlez. La femme et le personnel médical (en général même si certains sont franchement désagréables et poussent à poursuivre une grossesse même si non désirée) font leur possible pour que cette si plaisante opération soit la moins lourde possible (donc essayer de tomber dans le créneau où avoir la RU est encore possible, diagnostiquer les grossesses à problème rapidement...).
La conscience du foetus... ben allez-y prouvez là ! Et vous m'en parlerez de la conscience d'un enfant atteint d'un handicap lourd genre anencéphalie et de l'intérêt de poursuivre une grossesse dans ce cas. Et j'en passe...
Je le répète, le droit à l'avortement est une nécessité de santé publique et aucune femme n'a à se justifier. Et pour votre gouverne le nombre d'avortement diminue régulièrement partout où il est légal si je ne m'abuse.
Un programme de vie ? Qu'est-ce que c'est que ces foutaises ?Tout deux sont totalement dépendants de leur entourage pour leur survie, cependant l'un est visible et l'autre ne l'est pas du moins sans imagerie médicale,tout deux sont doté d'un « programme de vie» mais celui de l'individu dans le ventre de sa mère est intact, il n'a pas encore été altéré par un accident.
Et qu'est-ce que l'euthanasie vient faire dans la discussion.
Qui parlait d'égoïsme ? Adopter oui mais un beau bébé tout neuf pas un gosse âgé et handicapé, ceux-là autant qu'ils restent pupille de l'état.Il est quand même tragique de constater que tant de couples soient prêt a adopter au point de faire appel a des mères porteuses
Et puis vous avez des chiffres, une étude, un truc pour étayer votre "tant de couples" ?
Les avortements ne sont pas des meurtres !et que l'on continue a pratiquer des avortements meurtriers pour les enfants et désastreux psychologiquement pour la mère.
Des preuves du "désastre psychologique" ? Les seuls qui en parlent sont les obscurantistes dans votre genre. Et pour les femmes que je connais, ce qui a été traumatisant ce sont les propos de l'entourage ou le traitement qu'elles ont reçus de la part de certains personnels qui leur tiennent des propos du même tonneau que les vôtres. Vous et vos semblables êtes les causes de traumatismes plus que l'acte médical.
*pas le temps de chercher mieux, faudra ce contenter de wikipediaWikiki* a écrit :En 1989, l'Association américaine de psychologie affirme qu'il n'existe aucun « syndrome post-avortement » et que, de surcroît, aucun « syndrome de cette sorte n'était scientifiquement ou médicalement reconnu ».
En 2008, les études scientifiques récentes sur le bien-être psychique des femmes ayant avorté ont été analysées par des équipes d'experts, d'une part mandatées par l'American Psychological Association APA 6, d'autre part sous l'égide de l'Université Johns Hopkins à Baltimore7. Indépendamment les unes des autres elles sont arrivées à la conclusion que les études les plus valables qualitativement réfutent la thèse selon laquelle l'avortement provoque des souffrances psychologiques. Au contraire, les femmes qui ont avorté ne se distinguent pas quant à leur bien-être psychologique des femmes qui ont mené à terme une grossesse non planifiée.
Y'a le droit de rire là ?Je suis croyant, bon nombre de mères vont aimer leur enfant a la naissance car Dieu a prévu l'ocytocine, l'hormone de l'attachement,l'hormone de l'amour pour son enfant, l'homicide n'est urgent que pour les promoteurs de l'avortement.

Croyant ou pas ça ne vous exonère pas de réfléchir à la réalité pas au fantasme que vous semblez construire autour de la maternité. Et non une femme n'est pas systématiquement attachée à son enfant, n'a pas forcément envie d'enfanter, et vu le nombre de gosses maltraités dans ce bas monde votre argument est bidon.
Quant à dieu qui prévoit l'ocytocine... faut arrêter le vin de messe là !
"Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l'ouvrir." Pierre Dac
"Ne pas connaître son talent, c'est faciliter la réussite des médiocres."
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Re: L'avortement
Haha lau'jik,
A ton avant dernier message j'ai hésité à le dire.
Mais la je le fait, vue la "power" de ta prose :
Biiiiiiiiiiiiiiim

Luc va pas te répondre je pense
A ton avant dernier message j'ai hésité à le dire.
Mais la je le fait, vue la "power" de ta prose :
Biiiiiiiiiiiiiiim

Luc va pas te répondre je pense

Re: L'avortement
Boh, je tape pas si fort... et pi mon truc c'est le jardinage, les p'tites fleurs toussatoussa pas la boxe à main nueNicolas78 a écrit : Biiiiiiiiiiiiiiim
Luc va pas te répondre je pense

Mais je ne serais pas surprise outre mesure de n'avoir aucune réponse, nous sommes d'accord. Je ne pouvais juste pas laisser passer ce genre de propos sans réagir.
"Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l'ouvrir." Pierre Dac
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Re: L'avortement
C'est pourquoi l'on parle parfois de "Mort cérébrale" et que les médecins propose à la famille de débrancher le malade.Luc Feron a écrit : ... parlons de l’état de conscience d'un homme gravement accidenté et dans le coma,sa situation serait « presque inverse » de celle d'un embryon,les médecins ne savent pas s'il va un jour revenir à la conscience et dans quel état physique et mental il se retrouvera conscient ?
oui!Luc Feron a écrit : Il existe bien des similitudes entre l’état de coma d'un individu et l’état de développement d'un individu dans le ventre de sa mère.
Luc,
J'aimerais que vous preniez le temps de réfléchir à une question que je vais vous poser et que vous m'offriez la réponse la plus intelligente et la plus empathique qu'il vous est possible:
Selon-vous, pourquoi dans les années 40 des jeunes femmes célibataires et des mères de famille nombreuses choisissaient de prendre le risque de transiger avec des charlatans pour se faire avorter au risque d'y laisser leur vie?
Dernière modification par Kraepelin le 07 juin 2016, 19:50, modifié 1 fois.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: L'avortement
Greem a écrit : À un moment, il faut peut-être regarder du côté du concepteur au lieu de s'en prendre à ceux qui se dépatouillent comme ils peuvent avec l'univers qu'il nous a refilé, non ?

« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell