Psyricien : Vous ne comprenez pas ... où alors vous faite très bien semblant, que vous ne convaincrez personne avec des témoignages.
-Un témoignage n'est pas fiable : les souvenir ne sont pas figé, ils évoluent au cours du temps et demeure une mesure SUBJECTIVE de la réalité.
-Un témoignage est sujet à une potentiel fraude et est soumis à la charge de la preuve (celui qui prétend une chose DOIT le PROUVER)
GATTI: Circularité
Faire HASHTAG sur la file science avec le mot clef témoignage
Réponse ici http://casar.pagesperso-orange.fr/HB_SCIENTISME.htm
------------------------------------------------------------
Cinq raisons qui rendent ce fil imbuvable et mon combat sur la décoherence macroscopique perdu d'avance
(origine Bruno LUSSATO)
1
La diabolisation. Son équivalent dans le milieuscientifique est la condescendance, la raillerie, le soupçon de fraude, et l'argument définitif bien qu'infondé : "ce n'est pas sérieux!", passez, il n'y a rien à voir. Les chercheurs qui a priori partent du postulat de la non-existence des phénomènes psi, se sont attribués un nom qui ressemble fort à celui d'une secte
2.
La dissymétrie. On reclame des chercheurs des protocoles beaucoup plus précis que ceux en vigueur dans les sciences humaines, et des coefficients de prédictabilité bien supérieurs que ceux constatés dans la pharmacologie et la médecine. Lorsque les exigences sont atteintes, on repousse artificiellement les critères d'admissibilité
3.
Les fausses symétries. On applique aux phénomènes parapsychologiques les conditions qui ne valent qu'en laboratoire pour des microphénomènes très localisés. Par exemple la reproductibilité absolue. Dans le passé, l'Académie des Sciences présidée par Fontenelle nia solennellement l'existence des météorites pour des raisons identiques
4.
L'infraction epistémologique. Les arguments des "zététiques" sont infalsifiables, ressortissant à la rhétorique du cercle vicieux. En voici un exemple : les parapsychologues ne sont pas sérieux, car leurs protocoles ne sont pas contrôlés dans des universités sérieuses. Le resultat de leurs expériences ne sont pas éditées dans des revues sérieuses, qui ne tiennent compte que des expériences effectuées dans des universités sérieuses. Les universités sérieuses ne gaspillent pas leurs budgets pour vérifier les protocoles des chercheurs non sérieux.
5.
Le refus de considérer les enjeux. Il est évident que si qu'un seul des phénomènes parapsychologique était admis officiellement par la communauté scientifique, celle-ci serait ébranlée dans ses fondements, car aucune explication n'est intégrable à la vision scientifiquement correcte de l'univers.
6. Le reproche maintes fois réitéré, que même si les faits sont probants, on ne propose aucune théorie explicative pour les integrés dans un système cohérent de connaissances. Ils sont donc irrecevables.Cet argument est tout à fait exact dans ses prémisses. Les parapsychologues, diabolisés et acculés dans le cercle infernale d'une preuve dont les critères de validité sont sans cesse modifiés par les zététiques, ne songent plus qu'à satisfaire leurs adversaires, dont ils savent pertinemment qu'ils sont de mauvaise foi. C
e qui est en jeu pour eux, n'est pas la recherche de la vérité, mais leur reconnaissance académique, qui seule peut débloquer des budgets. Ce complexe d'infériorité obsessionnelle, les rend incapables de faire le moindre travail d'imagination et de conceptualisation.Mais l'argument zététique est anti-scientifique dans ses conclusions. Les faits sont premiers, qu'ils cadrent ou ne cadrent pas avec notre conception du monde. Il appartient aux adversaires de la parapsychologie de refaire les expériences et de se charger d'émettre des hypothèses, puisque les parapsychologues en sont incapables.