Cogite Stibon a écrit :richard a écrit :bonjour Psy ! tu écris que:
si \(v \neq u\) (vitesse et célérité) alors \({\rm d}t \neq {\rm d}t'\) par définition puisque:
\(v = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t}\)
et
\(u = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t'}\)
la relation doit être
\({\rm d}t = {\gamma\, \rm d}t'\) puisque célérité et vélocité sont proportionnels à γ (
u = γ
v ) mais par réciprocité n'a-t-on pas
\({\rm d}t' = {\gamma\, \rm d}t\) et en définitive γ = 1 et dt' = dt ?
Encore une fois, non !
Au lieu de faire des raccourcis hasardeux ("par réciprocité"), pose proprement les événements, les référentiels, et les notations. Ensuite, applique les TL, et tu verras que tout se tiens.
Posons nous la question.
Pour arriver à
\({\rm d}t' = {\gamma\, \rm d}t\) il faut poser
\({\rm d}x = 0\).
Pour arriver à
\({\rm d}t = {\gamma\, \rm d}t'\) il faut poser
\({\rm d}x' = 0\)
Reprenons le système complet:
\(c{\rm d}t' = \gamma (c{\rm d}t- \beta {\rm d}x)\)
\({\rm d}x' = \gamma ({\rm d}x- \beta c{\rm d}t)\)
Injectons les considérations de richard:
\({\rm d}x' = 0\)
\({\rm d}x = 0\)
il en découle
\({\rm d}t' = 0\)
\({\rm d}t = 0\)
Et donc richard viens de découvrir que
\(0 = \gamma \times 0\), ceci n'implique pas
\(\gamma = 1\) ... faire des divisions par 0, ça fait pas sérieux pour un prétendu ingénieur ... on applaudit bien fort

.
Plus fort en annonçant
\(\gamma = \left( 1 - \frac{v^2}{c^2}\right)^{-0.5} = 1\), richard impose
\(v=0\) ...
et donc par la même il nous confesse que de son point de vue, deux référentiels en mouvement l'un par rapport à l'autre sont forcément fixe l'un par rapport à l'autre
.
Les seuls changements de référentiel que richard sait donc traiter, sont ceux où on ne change pas de référentiel (
\(v=0\)) ... hilarant

.
J'avais pourtant déjà fourni des exemples en utilisant des rotations de l'espace pour aider son encéphale limité

.
L'inverse d'une TLs, est une TLs en remplaçant
\(\beta = \frac{v}{c}\) par
\(-\beta\) (changement de sens du mouvement).
En effet si
\({\cal R}'\) à une vitesse
\(v\) dans
\({\cal R}\) alors
\({\cal R}\) à une vitesse
\(-v\) dans
\({\cal R}'\)
On peut trivialement vérifier que les transformations:
de
\({\cal R}\) vers
\({\cal R}'\) avec
\({\cal R}'\) allant à une vitesse
\(v\) dans
\({\cal R}\).
\(c{\rm d}t' = \gamma (c{\rm d}t- \beta {\rm d}x)\)
\({\rm d}x' = \gamma ({\rm d}x- \beta c{\rm d}t)\)
et de
\({\cal R}'\) vers
\({\cal R}''\) avec
\({\cal R}''\) allant à une vitesse
\(-v\) dans
\({\cal R}'\).
\(c{\rm d}t'' = \gamma (c{\rm d}t' %2b \beta {\rm d}x')\)
\({\rm d}x'' = \gamma ({\rm d}x' %2b \beta c{\rm d}t')\)
sont l'inverse l'une de l'autre
\({\rm d}t'' = {\rm d}t\)
\({\rm d}x'' = {\rm d}x\)
démonstration:
\(c{\rm d}t'' = \gamma \left[\gamma (c{\rm d}t- \beta {\rm d}x) %2b \beta \gamma ({\rm d}x- \beta c{\rm d}t) \right]\)
\({\rm d}x'' = \gamma \left[ \gamma ({\rm d}x- \beta c{\rm d}t) %2b \beta \gamma (c{\rm d}t- \beta {\rm d}x) \right]\)
On regroupe les termes:
\(c{\rm d}t'' = \gamma^2 (1-\beta^2) c{\rm d}t = c{\rm d}t\)
\({\rm d}x'' = \gamma^2 (1-\beta^2) {\rm d}x = {\rm d}x\)
Rien de plus triviale que cela ...
On se demande encore pourquoi richard s'entête à n'utiliser que des version particulière des TLs, au lieu d'en prendre la version complète.
On en revient encore au fait que richard ne comprend pas que le produit scalaire commute.
Exemple sur un cas avec des rotations dans l'espace:

Si on prend une longueur
\(L\) su l'axe
\(x\) et 0 sur l'axe
\(y\), cela équivaut à une longueur
\(L{\rm cos}(\psi)\) sur l'axe
\(x_1\) et
\(-L{\rm sin}(\psi)\) sur l'axe
\(y_1\).
Si maintenant on prend une longueur
\(L_1\) su l'axe
\(x_1\) et 0 sur l'axe
\(y_1\), cela équivaut à une longueur
\(L_1{\rm cos}(\psi)\) sur l'axe
\(x\) et
\(L_1{\rm sin}(\psi)\) sur l'axe
\(y\).
C'est exactement ce que fait richard ci-dessus ... il considère deux cas particulier différents, et trouve donc deux résultats différents (ce qui semble le perturber).
Richard avec ça logique bancale va en conclure que
\({\rm d}x_1 = {\rm cos}(\psi) {\rm d}x\) et
\({\rm d}x = {\rm cos}(\psi) {\rm d}x_1\).
Et par la même richard va nous soutenir
\({\rm cos}(\psi) = 1\) et donc
\(\psi = 0\) ... niant ainsi l’existence d'une rotation pourtant pleinement visible sur la figure

.
Et tout ça parce que richou est incapable:
-->de comprendre ce qu'est une rotation,
-->de comprendre que faire des divisions par 0 c'est idiot,
-->d'utiliser correctement les TLs,
-->de comprendre ce qu'est un changement de référentiel,
...
N'est-ce pas magnifique ?
De plus richard ne s'explique pas sur ces incohérences, loin de là:
Car si pour lui
\(\gamma = 1\), alors
\(v = u\) ... et donc sont expression de l'énergie:
\(E = \sqrt{1 %2b \frac{u^2}{c^2}}mc^2\)
peut indifféremment se réécrire:
\(E = \sqrt{1 %2b \frac{v^2}{c^2}}mc^2\)
avec
\(v= \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t}\) ... aisément mesurable dans le monde réel à partir d'un seul référentiel.
Cette expression de l'énergie est bien-sur complètement infirmée par les observations

, en plus elle implique:
-->Que plus on accélère un objet, plus cela devient facile de l'accélérer (on serait heureux que soit le cas ... hélas c'est erroné).
-->Qu'il n'existe pas de vitesse limite (alors que toutes les obs montrent qu'il en existe une égale à la vitesse de la lumière dans le vide)
Selon richou un électron dans un accélérateur ne peut pas dépasser une énergie 723 keV (puisque ça vitesse y est inférieur à celle de la lumière dans le vide).
Étrange,dès lors, que l'on ai pu produire des Z et des W au LEP:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_coll ... on-positon
wiki a écrit :Les collisions entre les paquets de positrons et d'électrons libéraient une énergie pouvant atteindre jusqu'à 209 GeV.
Bref de nouveaux pour se sortir de l'impasse richard est obligé de nier ses propos précédents

. C'est d'un comique, j'adore.
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