quebol a écrit :Donc vous répétez (comme les autres perroquets) que les animaux mentent,
Non j'ai dit qu'ils "trompent" (au début je parlait de mensonges, mais j'ai corrigé, ils trompent mais ne mentent pas comme l'humain le fait)...
Mais c’était ya quelques pages. Dans le post que vous citez, je ne dit pas qu'ils mentent.
Vous me faite dire ce que je ne dit pas.
Par :
Pour le mensonge. En allant plus loin. Un asticot n'a pas la capacité de tromper. Le corbeau oui.L'asticot est t'il un sous animal ?
Je me demande si vous hiérarchisez les animaux simplement parce-que certains, par exemple, ne trompent pas...
Ceux qui ne trompent pas sont t'ils des sous-animaux ?
Quand je parle de mensonge, je parle de vous, puisque vous tournez autour de cela dans votre argumentation (comme si c’était un dernier rempart, alors que des exemples pouvant remplacer le mensonge, y'en n'a à la pelle) (et ne répondez à rien d'autre...mais je vais assister dessus dans la suite de ce message...).
Ensuite je dit que l'humain à bien des caractéristiques UNIQUES (et sur-développées pour certaines), et que ça ne le rend pas moins "être vivant" (ou animal...car on peut définir sommairement "animal" par "être vivant" si on le souhaite...).
Je dit même que l'humain est un être vivant (ou animal)
spirituel (qui se pose des question métaphysiques, est capable d'introspections..etc).
Mais que RIEN d'objectif n'est proposé pour dire que cela l’éloignerait du règne animal ou de l'être vivant.
Rien n’empêche l'humain d’être un être vivant ou animal spirituel en même temps.
Chose que vous déniez répondre...(que vous évitez habillement depuis le début).
Si dire "humain est un être spirituel" est quelque chose d’objectif, je vous invite à vous informez sur la notion d'objectivité...
Vous êtes sérieux là ou c'est pour troller? Relisez mes post et d'ailleurs je n'ai pas vu de réponses à mes interrogations.
A part celle la :
ar exemple a-t-on déjà vu un singe mentir à un autre sur la présence d'un prédateur pour qu'il se fasse bouffer?
Ma réponse est :
Je ne sais pas (mais ça ne me parait pas impossible), par-contre on à déjà vue des animaux faire croire à un prédateur qu'il sont mort pour organiser un vol de nourriture. Ce qui est une tromperie
très élaborée.
Ou des animaux tester la confiance d'humain et les observant. Certains font
semblant de cacher de la nourriture à un humain non-digne de confiance, en se laissant observer pour les tromper. Ce qui est très proche du mensonge mais reste une tromperie, quoi que la frontière est fine la...
seulement la parole semble former cette frontière.
Aussi, il y à à d'autre exemple que vous pourriez utilisez dans votre argumentaire :
- On à jamais vue d’animaux torturer un autre animal pour lui soutirer des informations...
- On observe pas autant de perversion chez l'humain que chez autres animaux.
- On ne pense pas que les animaux se demandent "d'ou je vient ? Suis-je ?"
- On en pense pas qu'il puisse auto-observer leurs propres conscience et la juger
- Etc...
Donc OUI, vous avez raison, l'humain à des comportements unique.
Et NON, cela n'est pas un critères objectif pour le retirer du monde des êtres vivant/animaux
Car d'autres etres vivants/animaux on eux aussi des comportements uniques...
Et oui l'humain est le seul (a notre connaissance) qui est "spirituel' (se pose des question existentielles) etc
Et regardez ce que je fait :
"L'humain est le seul être vivant/animal spirituel"...
Voila. Car l'un est l'autre ne sont pas opposé sauf à y intégrer un critère arbitraire qui vous reste à expliquer et définir puis démontrer...
Mais je doute que vous voulliez vraiment répondre à ce dernier passage, qui est un des probleme de fonds (alors que la différences entre humain est animal est un échappatoire,
car ils y en à des différences et PERSONNES ne le nie...mais ça ne répond pas au probleme....sinon le débat serait clos).
Après je comprend votre positon concernant la certitude.
Et je la partage, peut-être pas de la même manière que vous, mais je comprend.
Elle est effectivement (la certitude) une position intellectuelle dangereuse (elle mène à l’immobilisme voir le dogmatisme).
Mais le probleme est qu'il n'y à même pas de certitude ou de question à avoir. Car le dernier fond du probleme est rhetorique et étymologique.
Aller voir la définition de animal. On peut le réduire à "être vivant" sans aucun probleme (même si c'est un peut incomplet).
C'est la, le deuxième fond du probleme (le premier j'en parle plus haut).
Ce qui vous dérange donc est le mot "animal". Même pas sont sens...
Au final, que vous considériez l'humain comme non-animal, ou animal, ne change rien.
Absolument rien, à notre condition humaine. D’être vivant biologique ayant besoin d'apport organique (de manger, et de faire caca). Cette condition que l'on partage avec le monde animal...et qu'on soit animal ou non ne sont "que" des considérations métaphysiques.
En tout cas vous ne nierez pas que l'humain est un vertébré et un mammifère ?
Donc oui je réponds à un interlocuteur sur la pertinence de son commentaire mais après s'il persiste et signe à répéter son discours sans prendre en compte ma remarque, bah je n'insiste pas.
Parce-que vous pensez que tout le monde répètent leurs petit discours et campent sur leurs postions, sauf vous ?
Et comme je ne suis pas une machine et que je prends le temps de réfléchir, je réponds avec parcimonie, parce l'homme est un faignant qui lit en diagonale.
Tristement vrai (notre cerveaux est imparfait en plus d’être fainéant

)
Et hop finalement, un pavé de plus
.
Au moins la dessus on est synchro
