La relativité générale démystifiée !
Publié : 03 janv. 2013, 16:14
Bonjour à tous.
La théorie de la relativité générale propose de déterminer les trajectoires des corps en chute libre en optimisant une action qui est construite à partir d'un tenseur métrique sur l'univers décrit par une variété différentielle quadridimensionnelle, et ce tenseur métrique provient de la distribution de la matière énergie. La théorie est covariante par difféomorphisme (ce qui est très sympathique) mais il est tout simplement absurde et inadmissible de l'utiliser pour expliquer ce pourquoi elle n'est pas conçue.
Pour expliquer un phénomène il faut d'abord constater son existence et pour observer les mouvements des corps, qu'ils soient en chute libre ou non, il faut utiliser un espace physique qui est un ensemble de positions spatiales, qui est un ensemble de lignes d'univers de corps continument fixes d'après un certain observateur.
A/ Dans la cinématique classique on postule l'existence d'une chronologie universelle et on définit, les uns par rapport aux autres, tous les espaces physiques de la nature. C'est ainsi qu'on énonce rigoureusement qu'un espace R' peut être en translation uniforme ou en rotation non uniforme (ou autre) par rapport à un espace R.
B/ Dans une théorie relativiste où il existe plusieurs chronologies opérationnelles (en l'occurrence des datations d’Einstein effectuées par différents observateurs) et où aucune d'elles n'est privilégiée, il faut à nouveau préciser comment définir tous les espaces physiques de la nature les uns par rapport aux autres, il faut être capable d'observer les déplacements des satellites artificiels avant de proposer une explication ingénieuse à ce phénomène.
Parce que les postulats de la relativité générale (très particulièrement) ne permettent pas de proposer une solution au B/, puisqu'ils ont plusieurs chronologies sous la main alors que notre cerveau n'a besoin que d'une seule, les spécialistes demandent d'admettre que l'espace et le temps n'existent pas, ils demandent de considérer que l'univers est un bloc qu'on observe de l'extérieur ! par exemple l'univers est comme un gâteau aux raisins qui gonfle, l'espace-temps augmente alors entre les raisins qui sont pourtant immobiles si on peut dire. Ces spécialistes changeront-ils facilement d'avis s'ils découvrent (Relativité du mouvement et systèmes de coordonnées cartésiens) qu'on peut proposer une solution qui tient compte de la multiplicité des variables temporelles ou chronologies déjà constatées en relativité restreinte ?
Définir (les uns par rapport aux autres) tous les espaces physiques de la nature est un problème de cinématique et à priori cela ne donne aucun renseignement sur le modèle (théories quantiques avec équation de Schrödinger ou Dirac ou autres, théorie classique, relativité générale...) qu'il faut utiliser pour expliquer les observations faites dans un espace physique désigné. Si on énonce un principe de relativité, autrement dit l'équivalence de deux espaces physiques R et R' pour la formulation des lois, alors chaque cinématique va proposer une transformation particulière qui devra rendre covariantes les équations de la mécanique écrites dans des systèmes de coordonnées homologues.
Salutations.
Rommel Nana Dutchou
La théorie de la relativité générale propose de déterminer les trajectoires des corps en chute libre en optimisant une action qui est construite à partir d'un tenseur métrique sur l'univers décrit par une variété différentielle quadridimensionnelle, et ce tenseur métrique provient de la distribution de la matière énergie. La théorie est covariante par difféomorphisme (ce qui est très sympathique) mais il est tout simplement absurde et inadmissible de l'utiliser pour expliquer ce pourquoi elle n'est pas conçue.
Pour expliquer un phénomène il faut d'abord constater son existence et pour observer les mouvements des corps, qu'ils soient en chute libre ou non, il faut utiliser un espace physique qui est un ensemble de positions spatiales, qui est un ensemble de lignes d'univers de corps continument fixes d'après un certain observateur.
A/ Dans la cinématique classique on postule l'existence d'une chronologie universelle et on définit, les uns par rapport aux autres, tous les espaces physiques de la nature. C'est ainsi qu'on énonce rigoureusement qu'un espace R' peut être en translation uniforme ou en rotation non uniforme (ou autre) par rapport à un espace R.
B/ Dans une théorie relativiste où il existe plusieurs chronologies opérationnelles (en l'occurrence des datations d’Einstein effectuées par différents observateurs) et où aucune d'elles n'est privilégiée, il faut à nouveau préciser comment définir tous les espaces physiques de la nature les uns par rapport aux autres, il faut être capable d'observer les déplacements des satellites artificiels avant de proposer une explication ingénieuse à ce phénomène.
Parce que les postulats de la relativité générale (très particulièrement) ne permettent pas de proposer une solution au B/, puisqu'ils ont plusieurs chronologies sous la main alors que notre cerveau n'a besoin que d'une seule, les spécialistes demandent d'admettre que l'espace et le temps n'existent pas, ils demandent de considérer que l'univers est un bloc qu'on observe de l'extérieur ! par exemple l'univers est comme un gâteau aux raisins qui gonfle, l'espace-temps augmente alors entre les raisins qui sont pourtant immobiles si on peut dire. Ces spécialistes changeront-ils facilement d'avis s'ils découvrent (Relativité du mouvement et systèmes de coordonnées cartésiens) qu'on peut proposer une solution qui tient compte de la multiplicité des variables temporelles ou chronologies déjà constatées en relativité restreinte ?
Définir (les uns par rapport aux autres) tous les espaces physiques de la nature est un problème de cinématique et à priori cela ne donne aucun renseignement sur le modèle (théories quantiques avec équation de Schrödinger ou Dirac ou autres, théorie classique, relativité générale...) qu'il faut utiliser pour expliquer les observations faites dans un espace physique désigné. Si on énonce un principe de relativité, autrement dit l'équivalence de deux espaces physiques R et R' pour la formulation des lois, alors chaque cinématique va proposer une transformation particulière qui devra rendre covariantes les équations de la mécanique écrites dans des systèmes de coordonnées homologues.
Salutations.
Rommel Nana Dutchou