Sds a écrit :Donc en résumé, on ne sait pas ici si la pièce est truquée. On l'admet.
Et si on l'admet, c'est sur la base d'une convention, autrement dit d'une forme de croyance.
Ca j'en doute, les stats ne sont pas une croyance.
Ou alors philosophiquement peut-être, a se moment la notre conscience est une croyance...et les questionnements sont sans fin et sans but d'autant plus que même la science mouline sur se sujet...
D'autant plus qu'en probabilité (je ne sais pas si tu a déjà été au Casino) mais plus tu essaye plus le hasard tend à 50% quand il y a que deux solution (vrau/faux, rouge/noir)
Globalement à la roulette, le rapport d’arrêt de la bille sur une case rouge ou une noir tourne autour de 48/52% même si parfois le hasard peux faire des sienne un long moment et nous faire froid dans le dos.
Si il y avait 3 couleurs les stats tournerai donc autour de 33%.
Aucune philosophie ne peux empêcher ça, si ce n'est remettre en question une partie de la réalité se qui est tout à fait possible (et que la science fait parfois) mais parfaitement inutile dans l'observation de se phénomène car imperturbable en l’état.
A moin que mon raisonnement soit illogique je pense donc que dans le domaine du hasard tu a tord
Mais ta remarque reste intéressante voir passionnante qui ouvre un beau débat :
Je ne suis pas du tout expert en matière de boson de Higgs, mais si je ne me trompe pas, son existence a été admise, et non directement observée, sur la base de l'observation d'un autre phénomène (donc déjà on convient du lien entre cette observation indirecte et le boson) et aussi sur la base d'un seuil de probabilité arbitraire d'avoir raison (autrement dit, ça reste de l'ordre du pari, peu risqué certes, mais sans certitude)
Peut t'on parler d'une forme de "croyance sceptique, détacher et raisonnable, sans foie" admissible en science fondamentale ? C'est la ou c'est flou pour moi.
Si on admet que effectivement la science se base sur des conventions par rapport à la réalité admise (car la réalité on peux la prouvé comme l’admettre ou la cassé) il est facile d'en déduire que c'est une forme de croyance.
Mais c'est un domaine philosophique non ?
En faite la ou ta remarque est utile c'est quand vous parler (avec Wooden Ali) de "forte probabilité" ou de "certitudes" et c'est la pour moi ou la science a une limite, une reserve.
A partir de qu'elle "forte probabilité" la science "admet" l’existence ? J'imagine qu'il faut des certitudes, or il n'y avait pas de certitudes à 100% pour le Boson de Higgs car sinon on aurai pas construit le LHC pour tenté de le savoir...
C'est se qu'on peux appeler une dépense hypothétique dans le domaine de la science fondamentale, et non pas appliqué.
Les critères d’admission d'une idée sont surement différents entre ses deux domaines de recherches ?
Je pense que la science ne répondra jamais à tout, et que chaque réponses apportera je pense autant de questions et ce de manière infini...
De la à tomber dans la croyance par besoin...
En revanche on peu (on doit ?) se permettre de philosopher en paix sans s'engager dans une forme de foie.
Après tout le premier à avoir cru a l'atome ne la jamais observer de toute sa vie (Démocrite) et il était donc dans une forme de croyance, certes une croyance guidé par la raison...
D’ailleurs il était philosophe.
Je sais, vous allez crier à "appel à l'autorité" mais ça demeure vrai...Démocrite a crue en une philosophie qui à été avéré vrai scientifiquement 1500 ans plus tard.
La différence c'est qu'il a toujours parler d'une hypothèse et qu'il la défendais certes mais il na jamais dit que c’était une réalité sure à 100% (je croie).
En tout cas je pense que le mal entendu zozo/zézé se base sur :
-Les zézé admettent l’intérêt de l'imagination (voir de la philosophie ?) et de la spéculation sans la mélanger à la raison et à la réalité scientifique.
-Les zozo prennent leur imaginaire pour une réalité et ne filtre pas leur exercices mentaux avec la raison, il sont plus des philosophe (mais très biaisé).
La zététique s'engage à crée une forme de filtre pour proteger "moralement" la science, se qui est louable mais ne sert que le débat.
En tout cas sa crée des débat passionnant (même si ça engendre des tension

).
Pour résume je pense que, dans un certain spectre ou dans une forme de quarantaine, la philosophie à sa place dans la recherche...et que la science n'a pas intérêt à la renier :
La science se doit bien sure de garder son protocole si précieux (protocole scientifique) en dehors de toute application ou interprétation philosophique afin de ne pas biaisé la réalité scientifique.
En gros la philosophie servirai juste d'impulsion à la recherche mais surtout pas d'un outil à la recherche.
Est-ce raisonnable ?
Néanmoins les débats de fond concernant les "probabilités" et les "admission" ainsi que les "certitudes" reflète une forme de limite à la science (parfois flou en fonction de qu'elle science on parle ou de qu'elle type de recherche).
Une limite que je trouve belle et humble car elle n'a pas de prétention religieuse et se protège de la folie humaine (pas en application bien sure mais la ça devient du business et la politique....)
Bonne journée