Desoler de UP.
Je suis pommé...
Au risque de fair un appel à l'autorité, je le ferait que pour illustrer un exemple.
Démocrite, Kant, Descartes, tous de grand penseurs...d’ailleurs leurs apports me donne confiance en eux....
Une confiance limité à la raison et a mes besoins, car seul le questionnement permet leurs critique.
Pour autant on donne bcp d'exemple de la raison VS émotion...ses philosophes on fait couler bcp d'encre sur le sujet.
L’émotion "pervertirai" la raison (dans le sens qu'elle la biaise), et d’après mon exemple plus haut, dans un état (pays) raisonné et sécurisé, l’émotion ne servirais pas qu' à la survie mais à "vivre".
Plus simplement, l’émotion empêche la raison de fonctionner...on fini par vendre ses vaches (seul source de nourriture) pour faire la guerre...
C'est bien qu'il y a une souffrance...qui doit être "réparé" (l'inverse en faite car c'est irrationnel de réparé ainsi)...et cette souffrance trouve sont origine dans l’émotion et le sentiments ressentit .
Mais pourrais t'on parler d'humanité sans émotions ? Est-t'elle applicable à la seule conscience ?
Comment régirais un individu et une société sans émotions ? Serait t'il plus raisonnable et plus enclin à ne pas déclencher de conflit superflue ou agavé par l’émotion (peur, vengeance etc...) ou serait t'il trop désintéresser de la vie pour avoir des activités et des "grand" projet ? Est-ce que le manque d’émotion par exemple, inhiberais en partie l'envie de construire des choses ?
L’émotion n'a telle pas aussi cet intérêt qui dépasse la survie et qui sers a vouloir vivre mieux et y puiser l’énergie ? Une personne sans émotion serait t'elle vidé de ce genre d’intérêt et de l'envie de progresser ?
L'absence d’émotion détache surement l’individu de la souffrance, mais aussi en contre partie de l’énergie émotive qui motive ses activités et ses intérêts ? Perdrait t'il l’intérêt ?
L’émotion sers à survivre ?Swat... il y a aussi surement un siège émotif qui sers l'intellect, un intérêt cognitif ? bref, au delà de la survie l’émotion sers a vivre une vie remplie de projets, d’intérêts, de curiosité ? Un truc qui peut-être nous occupe aussi

Mais...et si la survie était assuré par un confort futur ? L’émotion pourrais disparaitre ? qu'elle conséquences ?
Moins de violence car moins de peur et de rage ? L'utilisation de la raison sans être biaisé par l’émotion qui parfois nous fait agir bien au delà de la survie mais pour sa propre personne... :
Pourquoi être violent, j'ai pas besoin de me venger...plus aucune émotion ne me le demande...de plus j'ai de la nourriture dans le frigo et a boire à volonté donc ma survie est assurée...pas besoin de retirer la vie par pur excès émotif...et même si je ne tue pas je garde la souffrance, l'envie de vengeance, la simple absence me fait souffrir.
Pourquoi m’alourdir de se genre d’émotion non indispensable ? N'est ce pas une dépendance mal saine ?
J'en doute mais je pense que ça serait une conséquence, la paix serait raisonnable, froide mais raisonner.
Peut-être que le probleme viens de la : l’émotion est vécus comme un besoin primordiale.
Certain tuerai pour boire...swat, ça serait pus intelligent de travailler en équipe mais swat.
D'autre tuerais par vengeance ? Pourquoi ? Parce que c'est vécu comme un besoin immédiat et incontrôlable...ainsi même la "raison" peux s'y mêler...c'est se qui rend l'humain complexe.
Certaines activité, non violentes même, sont vécus comme indispensable...même si elle ne le sont pas pour le corp et la raison...
L’émotion s'oppose telle forcement a la raison ?
Les besoins primaires, qui si il sont répondu, donnerais peux de place a l’émotion pour biaisé la raison mais comment ?
Ainsi dire que l’émotion ne sers que la survie...c'est faux (pour moi...et pour la science je ne sais pas ?)...elle sers la vie, la notre...pas que la survie...pour servir cognitivement et répondre à un sentiments ne serais-ce simple comme la curiosité et l'envie de savoir.
La vie sans émotion serait pure raison mais active ? Ou froide et sans projets, désintéresser ?
A l'opposé pour exemple : en quoi la survie à tel un rôle a jouer dans l'envie de me venger alors que j'ai tout pour survivre sans répondre a cela ?
On voie bien que le sentiment de sécurité est utilisé pour crée l’émotion et des action irraisonné chez les gens...et pour autant la raison s'en mêle souvent et peux renverser la situation vers la raison.
L’émotion ne serait telle pas juste la poudre qui propulse la balle, et la raison le canon qui donne une cible ?
Peux t’on vivre sans, sans être fou ?
Peux t’on vivre avec, sans être fou ?
Je ne sais pas si je me fait comprendre...