Forum Sceptique

Salut,

On à déjà parler de l'autorité ici, mais jamais je n'ai vue de réel conclusion ou du moins le sujet c'est toujours perdu car il est comme bcp de choses très complexes et souvent difficile à etayer totalement uniquement une vision scientifique.
Le sujet peux s'aborder de plusieurs façons, et ça le rend riche, mais je pense qu'on peux simplifié la chose.

Voila, plus je m’intéresse à la science, la société etc et moins j'ai peur de ne plus me soumettre à aucune sorte d'autorité.
Pourquoi ? Je pense aussi que l'autorité est un besoin naturel, chez l'animal et l’humain sociale, il permet l’intégration, le suivie des règles et est le tremplin du respect de son prochain.
Mais, une fois se respect gagné, je gagne plus a m'en libéré non ? Je sais qu'en refusant l’autorité, une fois adulte, je ne manque plus de respect, je suis mon chemin et je respect ceux des autres.
Mais chez un enfant par exemple (car chez l'adulte aussi), un manque de réponses à l'autorité (en partant du principe qu'elle est juste, ce qui est flou, disons qu'elle n'est pas abusive) entraine souvent un irrespect des règles, de l’environnement et des autres personnes.
Pour contre exemple, l'autorité sans son extrême fabrique des "moutons", des gens qui ne réfléchissent pas à une demande, favorise le fanatisme et dans le cas d'un mauvais leadercheap l'autorité soumet littéralement l'individu a des choses qu'il l'enchaine, il ne peux plus s'exprimer et peux facilement être manipulé.
Pire, un surplus d'autorité se confort souvent avec le pouvoir, les nuances disparaissent et les enfant soumis a une autorité trop forte et sans interruption peuvent mal tourné en se "rebellant" etc.
Déjà pouvons nous préparée clairement le pouvoir et l'autorité par la nature de l'acte, et le fond de l'acte ? Se que l'individu veux vraiment comme résultat (pour lui ou l'autre) en l'utilisant ?

Bref je voie dans l'autorité autant de "bon" et de besoin naturel que de "mauvais" et de dérives.

Entre l'autorité qui soumet l'individu et le manque d'autorité qui le déresponsabilise comment ne pas pensé qu'il existe bien un "juste milieu" ?
Comme les rayons X, de temps en temps ça permet de voir si tout va bien, trop souvent ça comporte un risque sanitaire (c'est une métaphore, je ne sais pas vraiment si les scans sont dangereux a long terme).
Pensez vous qu'un individu qui ne répond à aucune forme d'autorité et n'en fait qu'a sa tète peux se sociabilisé et respecter les autres ?

Un monde sociale, ou les gens s'integrent et ou la jeunesse n'est ni soumise ni libre de faire n'importe quoi est t'il possible sans autorité ?

Éduquer en usant de l'autorité puis la désapprendre après l’adolescence, quand l'individu apprend à être en désaccord sans se plier mais ceci en respectant en même temps (apprentissage d'une autre approche, plus mature) serait telle une solution ?

L'avis des sceptiques m’intéresse, puisque c'est un sujet souvent évoquer dans le scepticisme et à juste titre.

Merci pour votre participation.

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Un exemple de l'éthologie animale:
http://svt.ac-creteil.fr/?Mais-qui-a-tue-les-rhinoceros

Des jeunes éléphants élevés sans adultes deviennent des jeunes délinquants. Donc les jeunes mammifères ont besoin de l'autorité de leurs parents

Merci,

Oui j'en doute pas, comme toute espèce socialement "avancé".
Mais l'humain est autrement avancé, et je pense que le respect ne se comprend pas que par l'autorité mais aussi la sécurité, l'admiration (jeune en tout cas), la justice, l'attention, l'apprentissage et ce sans forcement usé de l'autorité...
De plus, ici on parle de adolescence, se qui introduit un facteur chimique temporaire.

Se que je veux dire : sans autorité on échoue dans le respect, mais à un certain age, nous ne ferions pas mieux d’intégrer le respect tout en rejetant l'autorité ?
A un certain age, l'autorité n'est pas respecté pour son status, mais sa justesse ou dans la "bonté" de quelqu'un, ainsi on peux respecté sans se soumettre à aucune autorité.

Je me dit, peut-être qu'il faudrait aussi faire la différence entre autorité et autoritarisme.

Ou : Peux t’ont observer une autorité dépossédé de sont "pouvoir" même minime ? Ou est-ce illusoire/utopique ?

Bref, je me dit que l'autorité est un bien autant qu'un mal et que pour profité que du bon il faut en avoir eu jeune et s'en séparé à l'age adulte ou, peut-être, une forme de respect des règles et des autres passe par une autre appréhension de l'autorité ou simplement de la realité des autres personnes (une forme de "sagesse", l'empathie par exemple, qui passe pas par l'autorité mais par l'apprentissage de l'autre, rationnel et émotif).

Bonjour Nicolas,

Dans mon expérience, je te dirais que pour que je supporte l'autorité en dehors de celle qui vient avec le respect des lois et des règles établit par notre société, il faut que je retrouve deux choses, un savoir et de la confiance.

Il y a des gens qui ont une autorité naturelle si je peux dire parce qu'il représente dans leur personne ce qu'ils disent ou ont suffisamment intégrés ce dont ils nous parlent. L'autorité peut alors passer fermement mais sans agressivité parce qu'elle est basée sur un savoir. Difficile de mettre par terre un jugement bien fondée.

Il y a aussi ceux qui te forcent à subir leur autorité pour toutes sortes de raisons qu'ils croient les meilleures, difficile de t'en extirper surtout si ce sont tes parents. Il y aussi ceux qui se défoulent sur leurs enfants, il y a tant de cas de figure.

C'est à près ce que je pouvais te partager sur ton sujet.

Bonjour à tous,

Moi, le thème de l'autorité me fait penser aux massacres du vingtième siècle : le siècle le plus sanglant de l'histoire de l'humanité ... Entre les deux guerres mondiales, les génocides, les massacres accomplis dans les divers dictatures, etc. ça fait, à la louche, quelque chose comme 100 000 000 de morts.

Et tous ont été tués par des hommes qui obéissaient ...

Au minimum, il faut réfléchir, avant de se soumettre à une autorité.

Chanur a écrit :Moi, le thème de l'autorité me fait penser aux massacres du vingtième siècle : le siècle le plus sanglant de l'histoire de l'humanité ... Entre les deux guerres mondiales, les génocides, les massacres accomplis dans les divers dictatures, etc. ça fait, à la louche, quelque chose comme 100 000 000 de morts.

Un chiffre brut comme ça ne veut rien dire. Si je fais tomber aujourd'hui 10 bombe H sur la mégalopole japonaise, je peux sans doute tuer autour de 20 millions de personnes, pourtant, si ça se produit dans un siècle où il n'y a pas d'autre guerre parce que l'évènement aura engendré un pacifisme mondial, est-ce qu'on pourra dire que le siècle en question fut un siècle pire que les autre et plus sanglant parce qu'il y a eu beaucoup de mort en une fois.

Pour que la comparaison soit pertinente, il faudrait étaler ça dans le temps, comparer le nombre de mort par rapport à la population, voir comparer les chiffres des morts violentes si c'est possible (je doute que ça le soit), regarder le nombre de guerre, de massacres organisés...

Je ne doute pas que le XXème siècle soit sans doute un des plus, si ce n'est le plus sanglant, mais juste donner le chiffre brut des morts surtout avec une population mondiale qui a quintuplé en deux siècle, c'est pas parlant.

Nicolas a écrit : Mais l'humain est autrement avancé, et je pense que le respect ne se comprend pas que par l'autorité mais aussi la sécurité, l'admiration (jeune en tout cas), la justice, l'attention, l'apprentissage et ce sans forcement usé de l'autorité...

Vous êtes capable de faire une distinction nette entre tous ces concepts ?

Salut,

Merci Mireille, je pense que tu à raison, enfin je veux dire que ca me parle. Ton exemple sur le savoir, si le but et d'aider l'autre ou d’interagir à égalité, me parait très bon.

Sinon Chanur, peut-être que comme tu dit, l'autorité doit être réfléchie avant.
Mais c'est pas toujours possible, surtout si c'est un enfant.

BeetleJuice, question pertinente effectivement.
Parmi les concepts d'on je parle je ne peux pas les formulé objectivement ou par distinction.
C'est des sentiments. Il existe objectivement mais ne sont pas ressentit par tous de façons identiques, et tous n’ont pas la même interprétation.
Mais il y à des bases communes.
Si une personne reçois une autorité elle peux être "destructrice" si elle se mélange ou se confond au pouvoir ou à l'autoritarisme.
Mais si cette autorité est basé sur une protection (fait pas ceci car c'est dangereux etc) ou parce que la personne qui fait parlé son autorité et aimante et apporte de l'attention réel (pour l'autre, pas juste pour assoir son pouvoir) alors cette autorité la se retrouve positive et constructive.

Mais je ne suis pas sure de moi, d’où mon post ici.

++