Superbe citation, certainement on tombe sous le charme d'une philosophie de vie qui utiliserait la science pour comprendre plus loin encore...non dogmatique, sans chefs.
Et qui se remettrait en question en fonction des connaissances scientifiques...c'est donc de la philo...pas une religion...
Mais est-ce realiste ?
Et est-ce vraiment une citation de lui ?
En plus comment différencier le Bouddhisme entre religion et philosophie ?
La science, quand elle aide une personne dans sa subjectivité et pour se comprendre mieux elle même (dans tout les domaines) ne pourrais pas être une forme de philosophie aussi ?
Comme si il y avait la science pour la science et pour sois...Se qui, en gros et un des dada des zézé...utilisé la science pour, en quelque sorte, y voir plus clair.
Ca peux même aider les gens dans leurs visions des choses, prendre du recul...la science peux agir ainssi dans la psyché humaine...est-ce alors de la science ? Oui mais elle servira à quoi dans cet exemple précis ? Si ce n'est une philosophie ?
Le but du Boudhisme étant l’éveil...c'est vague...
Ici on voie que le Bouddhisme ne manque pas de bon sens :
La vérité de la souffrance : toute vie implique la souffrance, l'insatisfaction ;
la vérité de l'origine de la souffrance : elle repose dans le désir, les attachements ;
la vérité de la cessation de la souffrance : la fin de la souffrance est possible ;
la vérité du chemin : le chemin menant à la fin de la souffrance est la voie médiane, qui suit le Noble Chemin Octuple.
Trois caractéristiques de l'existence
L'impersonnalité : il n'y a rien dans le monde qui ait une existence indépendante et réelle en soi, donc aucune âme (ātman), aucun soi, mais une simple agrégation de phénomènes conditionnés.
L’impermanence : tout est constamment changeant dans les phénomènes, on ne peut absolument rien y trouver de permanent.
L'insatisfaction ou souffrance : aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive.
Mis à pare cette histoire de "Chemin Octuple" et de cessation de la souffrance comme érigée en verité (même si cesser de souffrir est raisonnable, et est un etat tout aussi recherché par la science) ...le reste me semble très raisonnable et "vrai".
Il n'y a d’ailleurs pas d’âme.
Néanmoins, comment rendre légitime tout ça ? :
La croyance en la réincarnation du Karma (et non pas une réincarnation totale) et des actes passés dans l'autre vie, même si c'est pas la même personne qui se réincarne, reflète les événements d'une "autre personne" grâce au Karma...est-ce que les Bouddhistes serait capable de ne pas intégrer cette carotte dans leurs philosophie ?
Le monisme de cette philosophie repose sur une survie partiel (pas identique/complète) du psychisme après la mort, mais dans un système matériellement interprétable...se qui est asses interessent.
Mais, même les religion monothéistes peuvent être interprétée ainsi...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Monisme
C'est cette carotte du Karma qui la rend si religieuse finalement. Même si cette notion est possiblement materialiste dans une interprétation "moderne" (le psychisme trouve un autre support matériel, il n'y à pas de spiritualité mais bien philosophie, même si ya une forme de transcendance qui reste très realiste et lié à la souffrance), ça n’a aucune raison raisonnable d'exister.
Si c’était considéré comme une hypothèse, on parlerais d'une philosophie de vie. Et encore l'hypothese serait irréfutable.
Mais c'est une croyance dans le Bouddhisme.
Sans parler du Nirvana, qui est un etat de détachement...fort chiant...je préfère souffrir que rien ressentir...mais je préfère aussi être tranquille
Même si cette philosophie peux aider les gens qui s'attachent
trop ou mal, les co-dépendants affectif et les gens qui on des problèmes de souffrances dans l'attachement et les détachement liée à la vie sociale. Peut-être cela peut aider certains à prendre du recul sur leurs interactions sociale, leurs liens affectif, et donc ça peux aider à moins souffrir et a se sentir mieux avec sois même et les autres.
On peux admettre se paramètre dans cette philosophie/religion.
Le Bouddhisme m'a souvent intéresser, mais il à l'air d'attirer les gens perdus (qui ne veulent pas de Dieu pour autant) comme le Nutella attire les hypoglycémiques.
Et qui n’ont pas l'air de comprendre que dans nos sociétés, pratiquer le Bouddhisme c'est comme essayer de faire voler un camion sans ailes.
Néanmoins si cela apaise est permet de se sentir vivant et bien, en plénitude, pourquoi pas.
Chaque humains, au fond, à ce petit "objectif" de se sentir bien le plus longtemps possible. Disons qu'il fuit la souffrance.
Le tout est de savoir si cette envie bien humaine (se sentir en paix) à le droits, pour se réaliser, de pondre des concepts de réalité pseudo-objective d'on la finalité (atteindre la realité pure et se sentir bien dedans) est en désaccord avec les enseignements pour l'atteindre (il n'existe aucune realité).
Le
"il n'existe aucune realité" étant une affirmation auto-biaisé puisque affirmer qu'il n'existe pas de realité c'est comme dire que la seule realité c'est qu'il n'y en à pas...donc qu'il y en à une...et pas une relative...