Les nazis et les animaux. Hitler était-il végétarien?
Publié : 13 juin 2014, 16:15
Doit-on occulter les penchants animaliers des nazis et le végétarisme d’Hitler comme l’exigent tambour battant les animalistes ?
Ma réponse est non et voici mon argument :
La philosophe des animalistes, [url=]Elizabeth Hardouin-Fugier, elle-même propriétaire d’un animal de compagnie, a raison : « le gouvernement d’Hitler s’empare dès 1933 du thème de la protection législative de l’animal en même temps que de l’ensemble des institutions civiles, intellectuelles et culturelles allemandes pour se parer d’un prétendu humanisme (1). » Dans toutes les sociétés, il est en effet bien vu d’aimer les animaux, un sentiment au sens large qui s’exprime notamment par le végétarisme, la défense et la protection des animaux, les soins vétérinaires, voire la simple possession d’un animal de compagnie. « Celui qui est cruel envers les animaux ne peut être un homme bon », disait Schopenhauer, l’un des philosophes favoris des nazis.
Dans cette optique, Hitler se faisait régulièrement photographier en compagnie de ses chiens qu'il embrassait affectueusement pour les besoins de la cause. Une stratégie de valorisation couramment employée à ce jour, dans toutes les couches sociales, y compris par moult politiciens qui n’en manquent pas une pour dorer leur image en s’affichant en public avec un animal. L’anecdote de la souris ci-dessous fut stratégiquement placée au début de Mon combat pour spécifier implicitement au lecteur : « Faites-moi confiance, vous voyez bien, j’aime les animaux ! » :
« Comme je prie l’habitude de m’éveiller tous les matins avant cinq heures, je pris l’habitude de m’amuser à mettre par terre de petits morceaux de pain dur ou de viande pour les souris qui prenaient leurs ébats dans la petite chambre et de regarder comment ces amusants petits animaux se poursuivaient à la ronde en se disputer ces friandises. J’avais dans mon existence déjà souffert de tant de privations que je ne pouvais que trop bien me représenter la faim et aussi la satisfaction des petits animaux (2). »
Cela dit, pour une raison ou une autre, Mme Hardin-Fuguier ne fait pas le tour de la question.
Les nazis, Hitler le premier, se servaient également des animaux comme bouche-trou, pour mettre un peu de piquant dans leur vie. Tout le monde le fait, notamment les protecteurs des animaux, pourquoi pas les nazis ?
Hitler, un adorateur de Jésus (3), croyait par ailleurs, dur comme fer, que le contact avec les animaux pouvait rendre l’homme meilleur (4). L’église catholique attribue un pouvoir rédempteur aux animaux, notamment de compagnie. Il est communément admis, et c’est toujours le cas (5), que se mettre à aimer les animaux à la façon des saints comme François d'Assise, le saint patron des animaux, était « un procédé fort ingénieux, pour établir parmi les hommes le règne pur de la charité ». Il s’agissait, souligne l'ethnologue Éric Baratay, « de purifier l'humanité, d’extirper le goût du sang et de la cruauté, de rendre l’homme meilleur pour ses congénères et donc de protéger l’humanité elle-même » (6). Ainsi, Hitler et son entourage étaient convaincus que le futur de la nation était notamment dans le végétarisme, que ce mode d’alimentation pouvait aidait l’humanité à se purifier (7). Les animalistes ont beau le nier avec l’énergie du désespoir, le végétarisme d’Hitler est confirmé, sans l’ombre d’un doute, notamment par l’une de ses goûteuses attitrées qui vient de publier ses mémoires : « Le Führer était en effet végétarien, ne consommant ni viande ni poisson, mais des produits frais en majorité. Il s'interdisait également la cigarette et l'alcool (8). »
Ainsi, Hitler et les nazis se servaient des animaux non seulement pour se mettre en valeur, mais pour se divertir et se purifier spirituellement.
En définitive, les nazis aimaient les animaux pour les passions et les intérêts qu’ils suscitent. Ce qui est vrai pour tout le monde, n’en déplaise aux animalistes comme Mme Elizabeth Hardouin-Fugier qui s’inscrivent elles-mêmes dans cette logique. Elles possèdent toutes des animaux de compagnie, pas un ou deux comme tout le monde, mais parfois une bonne douzaine sinon plus, pour faire belle figure… naturellement. Dans leur monde bizarre, l’amour se mesure au nombre si ce n’est pas au poids. Je dis « elles », car 80 % des animalistes sont des femmes (9). Les hommes sont bel et bien présents, mais occupent en général les positions clés du mouvement animaliste, dans les conseils d’administration, les universités et les facultés de droit (10).
Ce qui ne veut nullement dire que les amis des bêtes sont des nazis. Tant s’en faut. On peut très bien partager l’amour des nazis pour la choucroute, Wagner et les animaux, sans pour autant être un nazi soi-même. Pour être plus clair, on n'est ni nazi, ni misogyne, ni misanthrope parce qu'on est végétarien, animaliste ou propriétaire d’un chien ; dans le même ordre d’idées, on n’est ni « paranoïaque maladif », ni antisémite, ni misogyne parce qu'on critique les animalistes, les sionistes ou les femmes. On ne pourrait jamais rien dire s’il fallait se ranger aux diktats des animalistes.
Les animalistes les plus mal intentionnées qui me dénigrent, me traitent de nazi et me couvrent d’injures pour avoir osé faire un lien entre la zoophilie des nazis et la zoophilie inédite des occidentaux en général se servent de cet argument pour faire diversion et éviter les véritables enjeux. En d’autres mots, la soi-disant loi de Godwin, une invention complètement farfelue — qui a décrété que c’était une loi ? — est une pelure de banane que l’on jette ici et là, au besoin, pour faire déraper et tuer dans l’œuf un argument inattaquable et extrêmement menaçant pour les animalistes qui ont fait de son contraire leur sacerdoce : aimer un animal domestique selon la définition que j’en donne ci-dessus ne rend pas l’homme meilleur ; c’est entre autres cette forme d’amour cannibale, banalisé à l’extrême dans toutes les couches sociales, qui nous empêche d’être meilleurs. Ce qui confirme sur l’entrefaite que les animalistes en question ne font pas partie de la solution, mais du problème.
Aussi déplaisant soit-il, cet épisode peu reluisant de l’histoire de l’humanité ne doit pas être effacé de l’histoire pour des raisons égocentriques, voire narcissiques. Les nazis ont certes commis des atrocités, mais c’étaient aussi des êtres humains. Il est normal par conséquent que nous ayons des points communs.
Pourquoi le nier ?
À en juger par ce que nous faisons collectivement aux bêtes, il y a un peu de nazis dans chacun d’entre nous. Les supplices que nous infligeons innocemment aux animaux dans nos maisons, les hôpitaux vétérinaires, les soi-disant refuges, les fourrières, les laboratoires, les abattoirs et les élevages industriels sont éloquents. Nous ne nous reconnaissons pas dans ce miroir, entre autres pour les raisons que j’ai expliquées dans ce texte, mais sans ces artifices qui voilent la réalité, l'horreur de la condition animale, cette transposition inconsciente de la condition humaine, nous brûlerait les yeux…
Bibliographie
Herzog, Hal. Some We Love, Some We Hate, Some We Eat: Why It's So Hard To Think Straight About Animals. Enfin un psychologue compétent qui n’a pas peur de sortir des sentiers battus.
Onfray, Michel (2005). Traité d’athéologie. Grasset. Hitler et les nazis avaient une fascination pour Jésus et pour l’Église.
Pinker, Steven (2011). « The rights revolution. » The better angels of our nature. Why violence has declined. Viking : 462. Pour ceux qui seraient encore sceptiques, Steven Pinker de l’Université Harvard explique pourquoi les nazis prétendaient aimer les animaux.
Sax, Boris (2000). Animals in the Third Reich: Pets, scapegoats, and the Holocaust. Continuum. 2000. Livre étoffé par des archives d’époque. Ce qui ne laisse aucun doute sur la véracité historique des us et coutumes des nazis par rapport aux animaux. Pour ceux qui doutent de l’existence de cette fameuse charte nazie, pour les droits des animaux, dont l’existence est farouchement contestée par les protecteurs des animaux.
Références
1. Hardouin-Fugier, Élisabeth (2002). « La protection de l'animal sous le nazisme. » Luc Ferry ou le rétablissement de l'ordre. Éditions Tahin Party : 129-151.
2. Adolf Hitler (1974). Mon combat. Nouvelles éditions latines : 217-218.
3. Michel Onfrey (2005). Traité d’athéologie. Grasset : 233-245.
4. Hal Herzog (2011). « Was Hitler a Vegetarian? The Paradox of the Nazi Animal Protection Movement. Animals and US. » Psychology Today
5. Temple Grandin et Catherine Johnson (2009). Animals make us human. Houghton Mifflin Harcourt; Karine-Lou Matignon (2000). Sans les animaux, le monde ne serait pas humain. Albin Michel.
6. Hal Herzog . Art. cité ; Steven Pinker (2009). « The rights movement. » The better angels of our nature. Vicking : 462 ; Boris Sax (2000). Animals in the Third Reich: Pets, Scapegoats and the Holocaust. Continuum ; Luc Ferry (1992). Le nouvel ordre écologique. Grasset.
7. Katherine C. Grier (2006). Pets in America. A History. Harcourt; Éric Baratay (1995). « Respect de l’animal et respect de l’autre, l’exemple de la zoophilie catholique à l’époque contemporaine. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265; (1998). « Le Christ est-il mort pour les bêtes? » Études rurales : 27-48; Jean-Pierre Albert (1995). « L’Ange et la Bête : Sur quelques motifs hagiographiques. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265;
8. « Une goûteuse de Hitler se confie à la presse britannique. » Le monde (15 février 2013).
9. Loi de Godwin.
10. Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (2008). Éthique animale. PUF.
Ma réponse est non et voici mon argument :
La philosophe des animalistes, [url=]Elizabeth Hardouin-Fugier, elle-même propriétaire d’un animal de compagnie, a raison : « le gouvernement d’Hitler s’empare dès 1933 du thème de la protection législative de l’animal en même temps que de l’ensemble des institutions civiles, intellectuelles et culturelles allemandes pour se parer d’un prétendu humanisme (1). » Dans toutes les sociétés, il est en effet bien vu d’aimer les animaux, un sentiment au sens large qui s’exprime notamment par le végétarisme, la défense et la protection des animaux, les soins vétérinaires, voire la simple possession d’un animal de compagnie. « Celui qui est cruel envers les animaux ne peut être un homme bon », disait Schopenhauer, l’un des philosophes favoris des nazis.
Dans cette optique, Hitler se faisait régulièrement photographier en compagnie de ses chiens qu'il embrassait affectueusement pour les besoins de la cause. Une stratégie de valorisation couramment employée à ce jour, dans toutes les couches sociales, y compris par moult politiciens qui n’en manquent pas une pour dorer leur image en s’affichant en public avec un animal. L’anecdote de la souris ci-dessous fut stratégiquement placée au début de Mon combat pour spécifier implicitement au lecteur : « Faites-moi confiance, vous voyez bien, j’aime les animaux ! » :
« Comme je prie l’habitude de m’éveiller tous les matins avant cinq heures, je pris l’habitude de m’amuser à mettre par terre de petits morceaux de pain dur ou de viande pour les souris qui prenaient leurs ébats dans la petite chambre et de regarder comment ces amusants petits animaux se poursuivaient à la ronde en se disputer ces friandises. J’avais dans mon existence déjà souffert de tant de privations que je ne pouvais que trop bien me représenter la faim et aussi la satisfaction des petits animaux (2). »
Cela dit, pour une raison ou une autre, Mme Hardin-Fuguier ne fait pas le tour de la question.
Les nazis, Hitler le premier, se servaient également des animaux comme bouche-trou, pour mettre un peu de piquant dans leur vie. Tout le monde le fait, notamment les protecteurs des animaux, pourquoi pas les nazis ?
Hitler, un adorateur de Jésus (3), croyait par ailleurs, dur comme fer, que le contact avec les animaux pouvait rendre l’homme meilleur (4). L’église catholique attribue un pouvoir rédempteur aux animaux, notamment de compagnie. Il est communément admis, et c’est toujours le cas (5), que se mettre à aimer les animaux à la façon des saints comme François d'Assise, le saint patron des animaux, était « un procédé fort ingénieux, pour établir parmi les hommes le règne pur de la charité ». Il s’agissait, souligne l'ethnologue Éric Baratay, « de purifier l'humanité, d’extirper le goût du sang et de la cruauté, de rendre l’homme meilleur pour ses congénères et donc de protéger l’humanité elle-même » (6). Ainsi, Hitler et son entourage étaient convaincus que le futur de la nation était notamment dans le végétarisme, que ce mode d’alimentation pouvait aidait l’humanité à se purifier (7). Les animalistes ont beau le nier avec l’énergie du désespoir, le végétarisme d’Hitler est confirmé, sans l’ombre d’un doute, notamment par l’une de ses goûteuses attitrées qui vient de publier ses mémoires : « Le Führer était en effet végétarien, ne consommant ni viande ni poisson, mais des produits frais en majorité. Il s'interdisait également la cigarette et l'alcool (8). »
Ainsi, Hitler et les nazis se servaient des animaux non seulement pour se mettre en valeur, mais pour se divertir et se purifier spirituellement.
En définitive, les nazis aimaient les animaux pour les passions et les intérêts qu’ils suscitent. Ce qui est vrai pour tout le monde, n’en déplaise aux animalistes comme Mme Elizabeth Hardouin-Fugier qui s’inscrivent elles-mêmes dans cette logique. Elles possèdent toutes des animaux de compagnie, pas un ou deux comme tout le monde, mais parfois une bonne douzaine sinon plus, pour faire belle figure… naturellement. Dans leur monde bizarre, l’amour se mesure au nombre si ce n’est pas au poids. Je dis « elles », car 80 % des animalistes sont des femmes (9). Les hommes sont bel et bien présents, mais occupent en général les positions clés du mouvement animaliste, dans les conseils d’administration, les universités et les facultés de droit (10).
Ce qui ne veut nullement dire que les amis des bêtes sont des nazis. Tant s’en faut. On peut très bien partager l’amour des nazis pour la choucroute, Wagner et les animaux, sans pour autant être un nazi soi-même. Pour être plus clair, on n'est ni nazi, ni misogyne, ni misanthrope parce qu'on est végétarien, animaliste ou propriétaire d’un chien ; dans le même ordre d’idées, on n’est ni « paranoïaque maladif », ni antisémite, ni misogyne parce qu'on critique les animalistes, les sionistes ou les femmes. On ne pourrait jamais rien dire s’il fallait se ranger aux diktats des animalistes.
Les animalistes les plus mal intentionnées qui me dénigrent, me traitent de nazi et me couvrent d’injures pour avoir osé faire un lien entre la zoophilie des nazis et la zoophilie inédite des occidentaux en général se servent de cet argument pour faire diversion et éviter les véritables enjeux. En d’autres mots, la soi-disant loi de Godwin, une invention complètement farfelue — qui a décrété que c’était une loi ? — est une pelure de banane que l’on jette ici et là, au besoin, pour faire déraper et tuer dans l’œuf un argument inattaquable et extrêmement menaçant pour les animalistes qui ont fait de son contraire leur sacerdoce : aimer un animal domestique selon la définition que j’en donne ci-dessus ne rend pas l’homme meilleur ; c’est entre autres cette forme d’amour cannibale, banalisé à l’extrême dans toutes les couches sociales, qui nous empêche d’être meilleurs. Ce qui confirme sur l’entrefaite que les animalistes en question ne font pas partie de la solution, mais du problème.
Aussi déplaisant soit-il, cet épisode peu reluisant de l’histoire de l’humanité ne doit pas être effacé de l’histoire pour des raisons égocentriques, voire narcissiques. Les nazis ont certes commis des atrocités, mais c’étaient aussi des êtres humains. Il est normal par conséquent que nous ayons des points communs.
Pourquoi le nier ?
À en juger par ce que nous faisons collectivement aux bêtes, il y a un peu de nazis dans chacun d’entre nous. Les supplices que nous infligeons innocemment aux animaux dans nos maisons, les hôpitaux vétérinaires, les soi-disant refuges, les fourrières, les laboratoires, les abattoirs et les élevages industriels sont éloquents. Nous ne nous reconnaissons pas dans ce miroir, entre autres pour les raisons que j’ai expliquées dans ce texte, mais sans ces artifices qui voilent la réalité, l'horreur de la condition animale, cette transposition inconsciente de la condition humaine, nous brûlerait les yeux…
Bibliographie
Herzog, Hal. Some We Love, Some We Hate, Some We Eat: Why It's So Hard To Think Straight About Animals. Enfin un psychologue compétent qui n’a pas peur de sortir des sentiers battus.
Onfray, Michel (2005). Traité d’athéologie. Grasset. Hitler et les nazis avaient une fascination pour Jésus et pour l’Église.
Pinker, Steven (2011). « The rights revolution. » The better angels of our nature. Why violence has declined. Viking : 462. Pour ceux qui seraient encore sceptiques, Steven Pinker de l’Université Harvard explique pourquoi les nazis prétendaient aimer les animaux.
Sax, Boris (2000). Animals in the Third Reich: Pets, scapegoats, and the Holocaust. Continuum. 2000. Livre étoffé par des archives d’époque. Ce qui ne laisse aucun doute sur la véracité historique des us et coutumes des nazis par rapport aux animaux. Pour ceux qui doutent de l’existence de cette fameuse charte nazie, pour les droits des animaux, dont l’existence est farouchement contestée par les protecteurs des animaux.
Références
1. Hardouin-Fugier, Élisabeth (2002). « La protection de l'animal sous le nazisme. » Luc Ferry ou le rétablissement de l'ordre. Éditions Tahin Party : 129-151.
2. Adolf Hitler (1974). Mon combat. Nouvelles éditions latines : 217-218.
3. Michel Onfrey (2005). Traité d’athéologie. Grasset : 233-245.
4. Hal Herzog (2011). « Was Hitler a Vegetarian? The Paradox of the Nazi Animal Protection Movement. Animals and US. » Psychology Today
5. Temple Grandin et Catherine Johnson (2009). Animals make us human. Houghton Mifflin Harcourt; Karine-Lou Matignon (2000). Sans les animaux, le monde ne serait pas humain. Albin Michel.
6. Hal Herzog . Art. cité ; Steven Pinker (2009). « The rights movement. » The better angels of our nature. Vicking : 462 ; Boris Sax (2000). Animals in the Third Reich: Pets, Scapegoats and the Holocaust. Continuum ; Luc Ferry (1992). Le nouvel ordre écologique. Grasset.
7. Katherine C. Grier (2006). Pets in America. A History. Harcourt; Éric Baratay (1995). « Respect de l’animal et respect de l’autre, l’exemple de la zoophilie catholique à l’époque contemporaine. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265; (1998). « Le Christ est-il mort pour les bêtes? » Études rurales : 27-48; Jean-Pierre Albert (1995). « L’Ange et la Bête : Sur quelques motifs hagiographiques. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265;
8. « Une goûteuse de Hitler se confie à la presse britannique. » Le monde (15 février 2013).
9. Loi de Godwin.
10. Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (2008). Éthique animale. PUF.