Le désir égoïste
Publié : 21 août 2015, 17:47
Une petite réflexion que je vous partage.
Le désir égoïste m’apparaît comme un mal dont il sera bien difficile de se défaire et qui empêche qu’une réelle solidarité soutenue par une vision globale et à long terme puisse s’installer entre nous les humains vivant à l’intérieur d’un environnement dont nous nous préoccupons que trop peu. Le regard que je pose ce matin, est peut-être un peu sombre, mais j’en suis à me demander si tout ce que nous faisons n’est pas toujours lié à ce qui apparaît pour soi le plus profitable, et ce même au nom d’une action en apparence très noble ou correcte.
Peut-être qu’à l’intérieur de ce perpétuel mouvement de balancier qui nous oblige à tuer pour nous nourrir, à profiter de gloire et de richesse au prix de quelque chose que nous aurons enlevé à d’autres, le secret pour conserver son équilibre réside dans une prise de position inflexible de se rendre responsable du coût inévitablement encouru par d’autres, à court et à long terme dans la réalisation de nos désirs.
Un exemple que j’ai sous la main, c’est celui d’un scientifique croyant dont j’observe les activités et qui fort de sa popularité grandissante encourage maintenant des ateliers de régression pour accéder à ses vies antérieures. Ce que fait cet homme en s’affiliant à cette médium dans cette distribution de genre de foutaises pour lesquelles personne n’a jamais ramené aucune preuve, c’est qu’il ajoute à l’affaiblissement de l’esprit critique de ceux qui le suivent au profit de la vente de ses produits.
Il y a bien sûr un tas d’autres exemple, mais tout ça pour dire que j’en suis vraiment à me demander si un jour nous pourrons imaginer qu’une nouvelle éthique protégeant l’homme et son environnement pourra naître.
Il y aussi que je me demandais jusqu’à quel point c’était quelque chose de naturel en nous d’être égoïste. Je sais que de par notre évolution, la loi du plus fort a régnée, mais peut-être en sommes-nous rendus à un point où nous pourrions imaginer autres chose, ce qui dans un même temps permettrait que de pauvres gens n’aient plus recours aux croyances multiples qui leur font rêver à un monde meilleur.
Derrière ce désir égoïste se cache de lourd malaise, je pense.
Le désir égoïste m’apparaît comme un mal dont il sera bien difficile de se défaire et qui empêche qu’une réelle solidarité soutenue par une vision globale et à long terme puisse s’installer entre nous les humains vivant à l’intérieur d’un environnement dont nous nous préoccupons que trop peu. Le regard que je pose ce matin, est peut-être un peu sombre, mais j’en suis à me demander si tout ce que nous faisons n’est pas toujours lié à ce qui apparaît pour soi le plus profitable, et ce même au nom d’une action en apparence très noble ou correcte.
Peut-être qu’à l’intérieur de ce perpétuel mouvement de balancier qui nous oblige à tuer pour nous nourrir, à profiter de gloire et de richesse au prix de quelque chose que nous aurons enlevé à d’autres, le secret pour conserver son équilibre réside dans une prise de position inflexible de se rendre responsable du coût inévitablement encouru par d’autres, à court et à long terme dans la réalisation de nos désirs.
Un exemple que j’ai sous la main, c’est celui d’un scientifique croyant dont j’observe les activités et qui fort de sa popularité grandissante encourage maintenant des ateliers de régression pour accéder à ses vies antérieures. Ce que fait cet homme en s’affiliant à cette médium dans cette distribution de genre de foutaises pour lesquelles personne n’a jamais ramené aucune preuve, c’est qu’il ajoute à l’affaiblissement de l’esprit critique de ceux qui le suivent au profit de la vente de ses produits.
Il y a bien sûr un tas d’autres exemple, mais tout ça pour dire que j’en suis vraiment à me demander si un jour nous pourrons imaginer qu’une nouvelle éthique protégeant l’homme et son environnement pourra naître.
Il y aussi que je me demandais jusqu’à quel point c’était quelque chose de naturel en nous d’être égoïste. Je sais que de par notre évolution, la loi du plus fort a régnée, mais peut-être en sommes-nous rendus à un point où nous pourrions imaginer autres chose, ce qui dans un même temps permettrait que de pauvres gens n’aient plus recours aux croyances multiples qui leur font rêver à un monde meilleur.
Derrière ce désir égoïste se cache de lourd malaise, je pense.