Bible et dragon se rejoignent-ils ?
Publié : 09 avr. 2016, 01:53
Observations faites par cinq personnes ne se connaissant pas, placées sous hypnose profonde (4° degré) pour remonter dans le temps et faire état de leurs observations (au niveau astral : totalement inconnu des scientifiques officiels... et souvent perçu par eux comme une offense à leur savoir "absolu", ce qui m'a fait quitter le forum sur la science). Toutes ces observations ont été recueillies par "éléments" en réponse directe au questions posées, je les ai résumé pour rendre mes explications plus "vivantes" mais en les respectant scrupuleusement. Ces recherches ont été conduites à Genève (avec de nombreux physiciens du CERN, Lausanne, Moulin (en France) Salon de Provence et Bastogne (Belgique). Voici résumé ces observations :
Dans les temps les plus reculés, la terre comportait 4 satellites (il n'en reste plus qu'un : la lune). Je résume pour en venir directement à l’ère des «deux lunes»
Cette ère est extrêmement importante pour l'évolution de la vie. Le monde vivant des protozoaires (êtres vivants unicellulaires) apparu dans les masses d'eau pendant les ères précédentes s'est considérablement développé.
En accélérant la vitesse, nous voyons de «drôles» d'animaux sortir de l'eau. Certains ressemblent à des crocodiles, d'autres à des poissons. Ils se modifient, deviennent plus habiles à se déplacer sur Terre malgré une pesanteur redevenue plus importante depuis le cataclysme qui a marqué la fin de l'ère des «trois lunes».
La vitesse, toujours accélérée dans l'astral, nous donne des «images» très rapides de l'évolution, un peu comme une bande dessinée en «accélérée». De temps en temps, nous marquons des poses pour mieux observer ce qui se passe.
C'est merveilleux, tout se transforme.
Les animaux deviennent plus agiles, mieux adaptés à leur environnement. Les plantes subissent des transformations extraordinaires, elles deviennent plus vertes, plus feuillues encore qu'à l'ère précédente. Leurs fleurs, tout en se développant, se colorent de rouges vifs, de jaunes intenses, de bleus lumineux, de blanc pur. Les tiges de plus en plus grandes font, pour certaines, place à des troncs pour faire des arbres. La Terre toute entière, vu de loin, apparaît de plus en plus verte et le ciel de plus en plus dégagé de ses nuages de poussières volcaniques.
Du sol, le ciel noir et rouge de l'ère des «trois lunes» a fait place à un ciel de plus en plus bleu.
C'est aussi à cette période qu'apparaissent les hommes et les premières civilisations. Ces civilisations sont beaucoup plus développées que ce que nous racontent les «spécialistes» de la préhistoire.
Ces observations corroborent les écrits bibliques et les conceptions bouddhistes notamment. La principale difficulté sous hypnose, lors des voyages dans l'astral, est de situer l'espace temps en fonction de nos références terriennes physiques actuelles. Je précise bien «actuelles» car, bien que les «savants» n'en fassent pas état, la longueur des années «physiques sur Terre» est très variable d'un millénaire à l'autre.
Sur ce sujet, tous les calculs savants de nos historiens (en se servant du carbone 14 ou autres) sont à refaire... ils sont faussés par les variations importantes de la vitesse de rotation de la Terre, sans parler d'autres facteurs magnétiques tout aussi importants !
Revenons au milieu de l'ère des «deux lunes» (période correspondant à la description classique de l'ère tertiaire). La vie y est prospère et les animaux de taille moyenne, un peu comme aujourd'hui. La nuit, les deux satellites sont visibles : l'un est énorme et présente de nombreux reliefs à sa surface. L'autre tout petit, à l’œil bien sûr. Au fur et à mesure que les siècles passent, le gros satellite paraît plus gros : il se rapproche de la Terre.
Il tourne aussi de plus en plus vite et cette rotation accrue accélère considérablement celle de la Terre sur elle-même tout en augmentant l'amplitude de ses oscillations. Les marées deviennent de plus en plus importantes : cette énorme lune, la plus grosse des quatre de l'ère des «quatre lunes», entraîne sous son passage presque toutes les masses d'eau du globe.
Plus les siècles passent, plus ce phénomène s'amplifie. Se déplacer sur Terre devient aussi de plus en plus facile, plus encore qu'à la fin de l'ère des «trois lunes», il nous faut de moins en moins d'énergie... sans en arriver à l'état d'apesanteur totale !
Le rapprochement de cet énorme satellite entraîne la Terre de plus en plus vite dans ses rotations sur elle-même et provoque sur les espèces vivantes le gigantisme : les animaux et les plantes se font chaque siècle de plus en plus grands et lourds (au regard de notre échelle physique actuelle).
La puissance d'attraction de ce satellite neutralise de plus en plus l'attraction terrestre, il est donc de plus en plus facile de se mouvoir sur Terre. Les dinosaures, par exemple, devenus des êtres énormes, du fait de l'attraction terrestre plus faible, n'éprouvent aucune difficulté à se déplacer très rapidement. Le gigantisme des plantes leur assure une nourriture abondante. Toute la nature est bouleversée, aussi bien sur Terre que dans l'eau.
En se rapprochant toujours, les deux satellites de la Terre finissent par attirer sur leur trajectoire une énorme marée, formant une sorte de bourrelet d'eau autour du globe. Les fonds des mers et océans se vident peu à peu pour venir «gonfler» cet immense bourrelet d'eau qui dépasse les 3.800 mètres de hauteur au niveau de l'équateur.
Les tremblements de Terre se font aussi de plus en plus fréquents.
L'attraction lunaire entraîne les masses colossales que sont les continents, provoquent des fissures gigantesques, active leur dérive et provoque des éruptions volcaniques de grandes envergures (le noyau terrestre est encore très important et émet un très puissant rayonnement électromagnétique).
Le gros satellite mesure à peu près 30 fois le diamètre du petit, notre lune actuelle (elle ne mesure que 3.500 Km de diamètre environ, soit 0,0125 fois la masse terrestre). Plus il se rapproche de la Terre, plus il tourne vite, plus il neutralise l’attraction terrestre (la pesanteur) et plus la température augmente sur Terre.
Des plantes géantes envahissent la surface de la Terre et le fond des océans asséchés. Leur pousse est favorisée par la faible pesanteur mais aussi par cette température très douce qui règne en permanence et une humidité constante : les saisons n'existent plus du fait de la modification des mouvements terrestres.
Le fond de l'atlantique est parfaitement habitable, comme certains fonds de l’océan pacifique et de l’océan atlantique actuels.
Après plusieurs millénaires, le degré de la civilisation humaine est très avancé, bien supérieur à celui d'aujourd'hui. Plusieurs de mes observateurs ont aperçu des engins volants de grandes dimensions (genre fusée) pilotés par des hommes. Les villes sont d'une architecture très avancées avec de nombreuses terrasses pour aéronefs.
Les hommes disposent également de dispositifs individuels de déplacement (genre simple «sac à dos») dans les airs. Des bateaux rapides sans voiles se mêlent aux voiliers. Les hommes construisent des ports au bord de «l'océan bourrelet» qui ceinture le globe, tel que Tianhuanaco, en Bolivie, dont les ruines sont toujours visibles aujourd'hui…
Sa construction ne remonte pas à plus de 40.000 ans avant Jésus Christ et non pas 200.000 comme l'affirment certains historiens : en 180.000 ans... l'érosion aurait provoqué beaucoup plus de dégâts... : certains murs sont encore en parfait état, simple déduction logique !
D'autres ne prétendent-ils pas non plus que cette ville fût construite «avant» l'existence de la cordillère des Andes, comme si une ville entière pouvait s'élever ainsi de près de 4.000 mètres avec une montagne sans subir le moindre dégât, sans une fissure dans ses murs...
Malgré leur altitude de plus de 3.900 mètres (au-dessus du niveau de la mer d'aujourd'hui), les pieds de ses remparts sont au bord de la mer (les galets et les rochers usés par la mer, malgré l'altitude, le prouvent encore aujourd'hui !). Ceci pour justifier le fait qu'il s'agissait bien d'un port ! Retrouvons nos «deux lunes».
Nous sommes près de la fin de cette période extraordinaire décrite d'ailleurs dans tous les livres «sacrés» : Précision importante, aucun des livres sacrés qui font état (sous forme imagée ou de parabole) de ces évènements ne donnent de date. Les hommes savent que leur avenir est menacé par la chute de cet énorme satellite sur Terre.
Le degré de civilisation des atlantes par exemple dépasse largement le nôtre d'aujourd'hui. Celui des hommes qui habitaient l'actuel Tibet aussi (je parle des véritables tibétains, non des envahisseurs chinois qui y pratiquent un génocide scandaleux sans que le monde réagisse !). Il existe une civilisation d'humains géants, certains dépassent 2,70 mètres (vestiges retrouvés au Tibet, chez les Incas et aux îles de Pâques).
Très avancés sur l'ensemble des connaissances, les hommes n'ont aucune difficulté à prévoir ce que la bible appellera le «cataclysme» mettant tout en œuvre pour sauvegarder les populations menacées et aussi un grand nombre d'espèces animales (l'arche de Noé n'est peut-être qu'une histoire, mais une histoire qui repose sur des faits bien réels).
Ils construisent également, avec l'aide d'entités extraterrestres, d'immenses pistes d'atterrissage sur les points les plus élevés de la planète pour les préserver du «cataclysme» : certaines existent encore aujourd’hui, dans les Andes, à Nazca (côte sud du Pérou) !
L'évaporation est intense, la chaleur sur Terre devient de plus en plus pénible et les pluies sont incessantes, de plus en plus torrentielles, c'est le début du déluge biblique ! Sans ces pluies «rafraîchissantes», la chaleur aurait détruit toutes vies sur Terre.
Ce qui est prévu et redouté depuis longtemps finit par se produire.
La masse énorme du satellite entre dans les couches de la stratosphère et, sous l'effet de la vitesse, se met à se désagréger. Lentement d'abord, puis de plus en plus vite.
Ses particules, surchauffées par le frottement avec les atomes de l'air dans l'atmosphère terrestre, illuminent le ciel de rouge : «Le ciel était à feu et à sang» dira la bible.
Les Chinois verront dans ce spectacle un «dragon géant à deux têtes qui avalait tout sur son passage». Les deux têtes pouvaient symboliser les deux satellites visibles à l'époque (ou ce gros satellite et le soleil). Le corps allongé du dragon n'était autre que la traînée de particules incandescentes. Les plus lourdes, perdant rapidement de la vitesse, descendaient plus vite et, au contact des couches d'air plus épaisses, s'échauffaient d'avantage et éclataient : elles furent symbolisées par les pattes du dragon !
Ce spectacle terrible dura 5 à 7 jours «actuels» (une quarantaine de rotations terrestres de l'époque) avant que le satellite disparaisse complètement de l'espace pour s'écraser sur Terre dans «l'océan bourrelet» qui se maintenait grâce à la force d'attraction du satellite.
Le satellite disparu, plus rien ne retient cette masse gigantesque d'eau qui reprend ses emplacements d'origine quittés des siècles plutôt, en entraînant tout sur son passage : c'est le «cataclysme» biblique : Des milliards d'animaux et d'hommes sont entraînés par l'eau qui ravage tout sur son passage : imaginez un peu la puissance de cette masse d'eau de près de 4.000 mètres de hauteur, qui afflue de l'équateur aux pôles, attirée par une pesanteur terrestre redevenue très forte, car elle n’est plus neutralisée, en partie, par l’attraction de l’énorme satellite qui vient de s’écraser… augmentant en même temps la masse terrestre d’importants dépôts.
C'est toute une civilisation qui est détruite, avec les connaissances très avancées qu'étaient les siennes et la quasi-totalité de ses réalisations (maisons, machines, pistes d'atterrissage...).
Des trombes d'eau tombent aussi du ciel en raison des fortes évaporations occasionnées par la chute de cet énorme satellite.
L'attraction terrestre est devenue plus forte qu'aujourd'hui : elle n'est pratiquement pas neutralisée par la masse de son dernier satellite (la lune d'aujourd'hui) encore trop éloigné de la Terre.
Les cadavres d'animaux sont entraînés vers les pôles. Rien d'étonnant après cela que des millions de squelettes puissent être encore retrouvés aujourd'hui dans les régions qui voisinent les pôles et dans les glaces polaires.
Durant ces événements, les pressions sont telles que les cadavres des animaux et des plantes ensevelis ne pourrissent pas : ils se fossilisent ou se pétrifient ! De nombreux fonds marins d'aujourd'hui ne sont plus habitables depuis ce temps là, mais conservent encore des vestiges d'habitations humaines et seront découverts dans les années à venir (une occasion de plus pour les « spécialistes » d’ergoter et d’échafauder de nouvelles théories qui n’auront pour vérités que leurs stupidités habituelles et leurs prétentions de tout savoir !
Les rares animaux géants qui se trouvaient sur des hauteurs ont survécu peu de temps après le cataclysme : l'attraction de la masse terrestre redevenue très forte, les animaux n'ont plus la force de se déplacer et leur alimentation manque.
Seuls, les cétacés d'aujourd'hui (baleines, dauphins, etc.) parviennent à s'adapter à l'élément aquatique en conservant sensiblement leur taille de géants : ils gardent cependant de nombreux éléments morphologiques qui prouvent leur ancienne existence sur la Terre ferme (pattes, mamelles, système respiratoire, sang chaud...).
Seuls les animaux de petite taille sont parvenus à s'adapter sur Terre, les autres ont disparu. Devant ce bouleversement, les hommes qui survécurent durent faire face à de graves problèmes de survie dans des conditions très pénibles.
C'est ainsi que le «cataclysme biblique» marqua la fin de l'ère des deux lunes, voici plus de 40.000 ans de notre époque : donnée approximative à X milliers d'années près, en raison de la vitesse de rotation de la Terre encore très rapide mais en décélération dans les 20.000 ans qui ont suivi le cataclysme (effet d'inertie), puis très lent.
Du fait du rapprochement de la quatrième lune, cette vitesse de rotation s'accélère de nouveau depuis (effet de balancier, du au rapprochement de la lune). C'est pour cette raison qu'aucune datation sérieuse ne peut être faite en prenant comme base notre unité de temps actuel qui s’appuie uniquement sur la vitesse de rotation de la Terre propre à notre tranche de vie physique actuelle.
En fait, l'ère quaternaire a commencé après le cataclysme, le chiffre de 1,64 million d'années affirmé par les scientifiques repose sur quoi ? Sur une pure spéculation intellectuelle et des «calculs» invérifiables, sans aucune base assez sérieuse, ou simplement logique, pour être crédible !
Chacun d'entre nous peut prendre conscience qu'en fait tout évolue beaucoup plus vite que l'affirment les «hommes de sciences» : Pour vous en convaincre souvenez-vous simplement du climat des années 1950 et de la taille de nos grands-parents par rapport à celles des hommes et femmes de ce début de millénaire.
J'invite donc toutes les personnes capables de pratiquer une hypnose très profonde (qui relève manifestement plus d'un don que de connaissances médicales, je peux traiter de ce sujet pour ceux qui le souhaitent) d'effectuer ce genre de recherches pour confirmer ou infirmer les observations astrales de mes 5 "médiums". Je précise que ce genre de recherche ne peut pas aboutir avec des buts matériels (pour de l'argent) et que les personne aptes à ce genre de recherche sont très rares (je les situe à 1 personnes sur 1000 ipnotisables (tout le monde ne l'est pas))
Dans les temps les plus reculés, la terre comportait 4 satellites (il n'en reste plus qu'un : la lune). Je résume pour en venir directement à l’ère des «deux lunes»
Cette ère est extrêmement importante pour l'évolution de la vie. Le monde vivant des protozoaires (êtres vivants unicellulaires) apparu dans les masses d'eau pendant les ères précédentes s'est considérablement développé.
En accélérant la vitesse, nous voyons de «drôles» d'animaux sortir de l'eau. Certains ressemblent à des crocodiles, d'autres à des poissons. Ils se modifient, deviennent plus habiles à se déplacer sur Terre malgré une pesanteur redevenue plus importante depuis le cataclysme qui a marqué la fin de l'ère des «trois lunes».
La vitesse, toujours accélérée dans l'astral, nous donne des «images» très rapides de l'évolution, un peu comme une bande dessinée en «accélérée». De temps en temps, nous marquons des poses pour mieux observer ce qui se passe.
C'est merveilleux, tout se transforme.
Les animaux deviennent plus agiles, mieux adaptés à leur environnement. Les plantes subissent des transformations extraordinaires, elles deviennent plus vertes, plus feuillues encore qu'à l'ère précédente. Leurs fleurs, tout en se développant, se colorent de rouges vifs, de jaunes intenses, de bleus lumineux, de blanc pur. Les tiges de plus en plus grandes font, pour certaines, place à des troncs pour faire des arbres. La Terre toute entière, vu de loin, apparaît de plus en plus verte et le ciel de plus en plus dégagé de ses nuages de poussières volcaniques.
Du sol, le ciel noir et rouge de l'ère des «trois lunes» a fait place à un ciel de plus en plus bleu.
C'est aussi à cette période qu'apparaissent les hommes et les premières civilisations. Ces civilisations sont beaucoup plus développées que ce que nous racontent les «spécialistes» de la préhistoire.
Ces observations corroborent les écrits bibliques et les conceptions bouddhistes notamment. La principale difficulté sous hypnose, lors des voyages dans l'astral, est de situer l'espace temps en fonction de nos références terriennes physiques actuelles. Je précise bien «actuelles» car, bien que les «savants» n'en fassent pas état, la longueur des années «physiques sur Terre» est très variable d'un millénaire à l'autre.
Sur ce sujet, tous les calculs savants de nos historiens (en se servant du carbone 14 ou autres) sont à refaire... ils sont faussés par les variations importantes de la vitesse de rotation de la Terre, sans parler d'autres facteurs magnétiques tout aussi importants !
Revenons au milieu de l'ère des «deux lunes» (période correspondant à la description classique de l'ère tertiaire). La vie y est prospère et les animaux de taille moyenne, un peu comme aujourd'hui. La nuit, les deux satellites sont visibles : l'un est énorme et présente de nombreux reliefs à sa surface. L'autre tout petit, à l’œil bien sûr. Au fur et à mesure que les siècles passent, le gros satellite paraît plus gros : il se rapproche de la Terre.
Il tourne aussi de plus en plus vite et cette rotation accrue accélère considérablement celle de la Terre sur elle-même tout en augmentant l'amplitude de ses oscillations. Les marées deviennent de plus en plus importantes : cette énorme lune, la plus grosse des quatre de l'ère des «quatre lunes», entraîne sous son passage presque toutes les masses d'eau du globe.
Plus les siècles passent, plus ce phénomène s'amplifie. Se déplacer sur Terre devient aussi de plus en plus facile, plus encore qu'à la fin de l'ère des «trois lunes», il nous faut de moins en moins d'énergie... sans en arriver à l'état d'apesanteur totale !
Le rapprochement de cet énorme satellite entraîne la Terre de plus en plus vite dans ses rotations sur elle-même et provoque sur les espèces vivantes le gigantisme : les animaux et les plantes se font chaque siècle de plus en plus grands et lourds (au regard de notre échelle physique actuelle).
La puissance d'attraction de ce satellite neutralise de plus en plus l'attraction terrestre, il est donc de plus en plus facile de se mouvoir sur Terre. Les dinosaures, par exemple, devenus des êtres énormes, du fait de l'attraction terrestre plus faible, n'éprouvent aucune difficulté à se déplacer très rapidement. Le gigantisme des plantes leur assure une nourriture abondante. Toute la nature est bouleversée, aussi bien sur Terre que dans l'eau.
En se rapprochant toujours, les deux satellites de la Terre finissent par attirer sur leur trajectoire une énorme marée, formant une sorte de bourrelet d'eau autour du globe. Les fonds des mers et océans se vident peu à peu pour venir «gonfler» cet immense bourrelet d'eau qui dépasse les 3.800 mètres de hauteur au niveau de l'équateur.
Les tremblements de Terre se font aussi de plus en plus fréquents.
L'attraction lunaire entraîne les masses colossales que sont les continents, provoquent des fissures gigantesques, active leur dérive et provoque des éruptions volcaniques de grandes envergures (le noyau terrestre est encore très important et émet un très puissant rayonnement électromagnétique).
Le gros satellite mesure à peu près 30 fois le diamètre du petit, notre lune actuelle (elle ne mesure que 3.500 Km de diamètre environ, soit 0,0125 fois la masse terrestre). Plus il se rapproche de la Terre, plus il tourne vite, plus il neutralise l’attraction terrestre (la pesanteur) et plus la température augmente sur Terre.
Des plantes géantes envahissent la surface de la Terre et le fond des océans asséchés. Leur pousse est favorisée par la faible pesanteur mais aussi par cette température très douce qui règne en permanence et une humidité constante : les saisons n'existent plus du fait de la modification des mouvements terrestres.
Le fond de l'atlantique est parfaitement habitable, comme certains fonds de l’océan pacifique et de l’océan atlantique actuels.
Après plusieurs millénaires, le degré de la civilisation humaine est très avancé, bien supérieur à celui d'aujourd'hui. Plusieurs de mes observateurs ont aperçu des engins volants de grandes dimensions (genre fusée) pilotés par des hommes. Les villes sont d'une architecture très avancées avec de nombreuses terrasses pour aéronefs.
Les hommes disposent également de dispositifs individuels de déplacement (genre simple «sac à dos») dans les airs. Des bateaux rapides sans voiles se mêlent aux voiliers. Les hommes construisent des ports au bord de «l'océan bourrelet» qui ceinture le globe, tel que Tianhuanaco, en Bolivie, dont les ruines sont toujours visibles aujourd'hui…
Sa construction ne remonte pas à plus de 40.000 ans avant Jésus Christ et non pas 200.000 comme l'affirment certains historiens : en 180.000 ans... l'érosion aurait provoqué beaucoup plus de dégâts... : certains murs sont encore en parfait état, simple déduction logique !
D'autres ne prétendent-ils pas non plus que cette ville fût construite «avant» l'existence de la cordillère des Andes, comme si une ville entière pouvait s'élever ainsi de près de 4.000 mètres avec une montagne sans subir le moindre dégât, sans une fissure dans ses murs...
Malgré leur altitude de plus de 3.900 mètres (au-dessus du niveau de la mer d'aujourd'hui), les pieds de ses remparts sont au bord de la mer (les galets et les rochers usés par la mer, malgré l'altitude, le prouvent encore aujourd'hui !). Ceci pour justifier le fait qu'il s'agissait bien d'un port ! Retrouvons nos «deux lunes».
Nous sommes près de la fin de cette période extraordinaire décrite d'ailleurs dans tous les livres «sacrés» : Précision importante, aucun des livres sacrés qui font état (sous forme imagée ou de parabole) de ces évènements ne donnent de date. Les hommes savent que leur avenir est menacé par la chute de cet énorme satellite sur Terre.
Le degré de civilisation des atlantes par exemple dépasse largement le nôtre d'aujourd'hui. Celui des hommes qui habitaient l'actuel Tibet aussi (je parle des véritables tibétains, non des envahisseurs chinois qui y pratiquent un génocide scandaleux sans que le monde réagisse !). Il existe une civilisation d'humains géants, certains dépassent 2,70 mètres (vestiges retrouvés au Tibet, chez les Incas et aux îles de Pâques).
Très avancés sur l'ensemble des connaissances, les hommes n'ont aucune difficulté à prévoir ce que la bible appellera le «cataclysme» mettant tout en œuvre pour sauvegarder les populations menacées et aussi un grand nombre d'espèces animales (l'arche de Noé n'est peut-être qu'une histoire, mais une histoire qui repose sur des faits bien réels).
Ils construisent également, avec l'aide d'entités extraterrestres, d'immenses pistes d'atterrissage sur les points les plus élevés de la planète pour les préserver du «cataclysme» : certaines existent encore aujourd’hui, dans les Andes, à Nazca (côte sud du Pérou) !
L'évaporation est intense, la chaleur sur Terre devient de plus en plus pénible et les pluies sont incessantes, de plus en plus torrentielles, c'est le début du déluge biblique ! Sans ces pluies «rafraîchissantes», la chaleur aurait détruit toutes vies sur Terre.
Ce qui est prévu et redouté depuis longtemps finit par se produire.
La masse énorme du satellite entre dans les couches de la stratosphère et, sous l'effet de la vitesse, se met à se désagréger. Lentement d'abord, puis de plus en plus vite.
Ses particules, surchauffées par le frottement avec les atomes de l'air dans l'atmosphère terrestre, illuminent le ciel de rouge : «Le ciel était à feu et à sang» dira la bible.
Les Chinois verront dans ce spectacle un «dragon géant à deux têtes qui avalait tout sur son passage». Les deux têtes pouvaient symboliser les deux satellites visibles à l'époque (ou ce gros satellite et le soleil). Le corps allongé du dragon n'était autre que la traînée de particules incandescentes. Les plus lourdes, perdant rapidement de la vitesse, descendaient plus vite et, au contact des couches d'air plus épaisses, s'échauffaient d'avantage et éclataient : elles furent symbolisées par les pattes du dragon !
Ce spectacle terrible dura 5 à 7 jours «actuels» (une quarantaine de rotations terrestres de l'époque) avant que le satellite disparaisse complètement de l'espace pour s'écraser sur Terre dans «l'océan bourrelet» qui se maintenait grâce à la force d'attraction du satellite.
Le satellite disparu, plus rien ne retient cette masse gigantesque d'eau qui reprend ses emplacements d'origine quittés des siècles plutôt, en entraînant tout sur son passage : c'est le «cataclysme» biblique : Des milliards d'animaux et d'hommes sont entraînés par l'eau qui ravage tout sur son passage : imaginez un peu la puissance de cette masse d'eau de près de 4.000 mètres de hauteur, qui afflue de l'équateur aux pôles, attirée par une pesanteur terrestre redevenue très forte, car elle n’est plus neutralisée, en partie, par l’attraction de l’énorme satellite qui vient de s’écraser… augmentant en même temps la masse terrestre d’importants dépôts.
C'est toute une civilisation qui est détruite, avec les connaissances très avancées qu'étaient les siennes et la quasi-totalité de ses réalisations (maisons, machines, pistes d'atterrissage...).
Des trombes d'eau tombent aussi du ciel en raison des fortes évaporations occasionnées par la chute de cet énorme satellite.
L'attraction terrestre est devenue plus forte qu'aujourd'hui : elle n'est pratiquement pas neutralisée par la masse de son dernier satellite (la lune d'aujourd'hui) encore trop éloigné de la Terre.
Les cadavres d'animaux sont entraînés vers les pôles. Rien d'étonnant après cela que des millions de squelettes puissent être encore retrouvés aujourd'hui dans les régions qui voisinent les pôles et dans les glaces polaires.
Durant ces événements, les pressions sont telles que les cadavres des animaux et des plantes ensevelis ne pourrissent pas : ils se fossilisent ou se pétrifient ! De nombreux fonds marins d'aujourd'hui ne sont plus habitables depuis ce temps là, mais conservent encore des vestiges d'habitations humaines et seront découverts dans les années à venir (une occasion de plus pour les « spécialistes » d’ergoter et d’échafauder de nouvelles théories qui n’auront pour vérités que leurs stupidités habituelles et leurs prétentions de tout savoir !
Les rares animaux géants qui se trouvaient sur des hauteurs ont survécu peu de temps après le cataclysme : l'attraction de la masse terrestre redevenue très forte, les animaux n'ont plus la force de se déplacer et leur alimentation manque.
Seuls, les cétacés d'aujourd'hui (baleines, dauphins, etc.) parviennent à s'adapter à l'élément aquatique en conservant sensiblement leur taille de géants : ils gardent cependant de nombreux éléments morphologiques qui prouvent leur ancienne existence sur la Terre ferme (pattes, mamelles, système respiratoire, sang chaud...).
Seuls les animaux de petite taille sont parvenus à s'adapter sur Terre, les autres ont disparu. Devant ce bouleversement, les hommes qui survécurent durent faire face à de graves problèmes de survie dans des conditions très pénibles.
C'est ainsi que le «cataclysme biblique» marqua la fin de l'ère des deux lunes, voici plus de 40.000 ans de notre époque : donnée approximative à X milliers d'années près, en raison de la vitesse de rotation de la Terre encore très rapide mais en décélération dans les 20.000 ans qui ont suivi le cataclysme (effet d'inertie), puis très lent.
Du fait du rapprochement de la quatrième lune, cette vitesse de rotation s'accélère de nouveau depuis (effet de balancier, du au rapprochement de la lune). C'est pour cette raison qu'aucune datation sérieuse ne peut être faite en prenant comme base notre unité de temps actuel qui s’appuie uniquement sur la vitesse de rotation de la Terre propre à notre tranche de vie physique actuelle.
En fait, l'ère quaternaire a commencé après le cataclysme, le chiffre de 1,64 million d'années affirmé par les scientifiques repose sur quoi ? Sur une pure spéculation intellectuelle et des «calculs» invérifiables, sans aucune base assez sérieuse, ou simplement logique, pour être crédible !
Chacun d'entre nous peut prendre conscience qu'en fait tout évolue beaucoup plus vite que l'affirment les «hommes de sciences» : Pour vous en convaincre souvenez-vous simplement du climat des années 1950 et de la taille de nos grands-parents par rapport à celles des hommes et femmes de ce début de millénaire.
J'invite donc toutes les personnes capables de pratiquer une hypnose très profonde (qui relève manifestement plus d'un don que de connaissances médicales, je peux traiter de ce sujet pour ceux qui le souhaitent) d'effectuer ce genre de recherches pour confirmer ou infirmer les observations astrales de mes 5 "médiums". Je précise que ce genre de recherche ne peut pas aboutir avec des buts matériels (pour de l'argent) et que les personne aptes à ce genre de recherche sont très rares (je les situe à 1 personnes sur 1000 ipnotisables (tout le monde ne l'est pas))