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Les réseaux sociaux vs les fausses nouvelles

Publié : 15 juil. 2018, 03:33
par lefauve
Salut,

Je ne sais pas si vous avez suivie l’actualité technologique, mais depuis quelques mois les réseaux sociaux facebook et twitter, on déclaré la guerre médiatiquement au fausse nouvelle.

À mon avis c'est justes une opération marketing.

Ils vont faire des coup flamboyant comme ici qui au final ne seront qu'un coup d'épée dans l'eau.

En plus, j'ai des réserves sur leur détermination à faire disparaître les fausses nouvelles

https://www.cnet.com/news/facebooks-inf ... oing-away/.


Mal heureusement, je vais devoir encore péter la bulle de nos technozozos et leur dire que la censure même automatique n'a simplement jamais fonctionné. Il y aura toujours des petits vites pour trouver un moyen de contourner la censure. L'index n'a jamais empêché des romans de devenir d'excellent vendeur même s'il était interdit de publication.

Re: Les réseaux sociaux vs les fausses nouvelles

Publié : 15 juil. 2018, 08:46
par jean7
"Le taux de suspensions est en moyenne de plus d'un million par jour et a connu un pic à la mi-mai, quand plus de 13 millions de comptes douteux ont été suspendus en une seule semaine."
Un taux est en général un ratio adimensionnel , non ?
Pas une vitesse...

En l’occurrence, si l'on suspend 1 million par jour et qu'il s'en crée 2 million par jour...

Re: Les réseaux sociaux vs les fausses nouvelles

Publié : 15 juil. 2018, 11:06
par julien99
On ne m'a jamais répondu à la question de savoir comment on fait disparaitre les fake news gouvernementaux soutenus par les grands médias. L'histoire prouve que les premiers à les utiliser ne sont pas les médias alternatifs.
Hormis votre confiance personnelle aveugle subjective dans certaines sources, êtes-vous capables de faire la différence entre une dite information et une propagande ou manipulation de l'opinion publique ?

Y aurait-il de vrais et de faux fake news ? Qui a objectivement le droit de trancher entre ce qui est vrai ou pas ?

La lutte contre ces soi-disant fausses informations pourrait donc bien se révéler comme une police de la pensée et du politiquement correct ou l'instauration progressive d'une dictature light.

La question n'est donc pas de savoir combien de comptes de relayeurs de "fausses nouvelles" ont été ont été supprimés voire créés, mais se de se poser la question de nombre de personne qui ont été muselées à tort.