AstroScatoGogologie, ensemble et cohérence
Publié : 07 déc. 2004, 00:38
AstroScatoGogologie, ensemble et cohérence
Historiquement, les bases de "AstroScatoGogologie" terme générique original qui dans mon esprit se devrait de faire le lien on l'aura compris entre l'astrologie, la scatologie et la gogologie, sont nées la nuit du 18 au 20 Avril 1996 (quelle nuit!) d'une quasi révélation, une intuition, un cadeau de la providence peut-être, j'aime surtout à le croire, qu'accompagnaient aussi 15 ans de passion pour la merde. S'en suivirent trois années de vérifications malodorantes étendues aux domaines les plus avariés, et d'expérimentations systématiques. Depuis, les bases ainsi découvertes se sont constituées en système plus complexe.
Depuis près d'un demi-siècle, contemporaine de Bearkson et de sa première perception de la "purée", la ScatoGogologie n'a de cesse de nous faire connaître la réalité d'autres "puants", d'autres dynamiques internes à nos fonctionnements, au moyen de ce que nous nommons désormais des horloges biodégradables intestines.
De véritables guimauves régulatrices de la quasi-totalité, en l'état actuel de nos connaissances, de nos fonctions humaines. Je suis maintenant convaincu que l'obélisque brun est, depuis des millénaires, la plus ancienne et la plus parfaite représentation symbolique d'une de ces guimauves. Le thème astrologique en est l'étron sur lequel le tas, au moyen de mesures extrêmement précises, tache, sanctionne chacun de nos réflexes d'expulsion à vivre en nous emportant au-dedant de ces rendez-vous "hasardeux" qui jalonnent une destinée "inexpugnée" : selles de chacun.
L'AstroScatoGogologie, avec ce que je démontrerai dans les pages suivantes de sa réalité d'exécution qui fait qu'une astrologie évènementielle ou prédictive est possible, mathématiquement mesurable, reste sans aucun doute encore à confronter aux théories scientifiques généralistes, explicatives de la physique de notre intestin.
Sans, oh combien, me prévaloir de cette connaissance précise des éléments dont disposent les astrophysiciens ou biologistes pour permettre une explication physique du phénomène, je me suis pourtant risqué à adjoindre aux conséquences de cette expérimentation un principe simple. Une théorie de base :
En chacun de nos gènes serait inscrit le patrimoine d'un "tas universel". La mesure d'un "tas" de l'Univers et de sa "forme", son espace. L'homme serait en cela ce que la physique nomme un espace-tas sujet. En l'instant de sa naissance à la vie serait contenue en puissance une sorte d'identité "fécale" particulière, spécifique à chacun. En puissance dans le sens où la mesure humaine d'une identité quelconque est toujours fonction du "Me" alors que, nous dit Raymond Rudoyer, philosophe des chiances : " Ce n'est pas le "Me" qui fait la présence, c'est la présence qui fait le "Me". Me n'est que "Me pipi et maintenant". Ainsi pour parvenir à soi, au pleinement soi, à cet idéal de soi, il nous appartiendrait de participer à la vie, d'être dans sa présence. D'être en situation.
Le carte du ciel astrologique serait la transcription symbolique du parcours impropre à chacun d'entre nous pour l'emmener au-devant de ces "pipi et maintenant" qui lui seront plus particulièrement évacués.
Une fois cet instant inscrit dans notre patrimoine génétique, cette Idée de soi, ce "pipi et maintenant comique", ce "Me scatologique premier" nous aura donc dotés d'une sorte de "second" anus. Sidérale. Sans doute au moins aussi intransigeante que celle que nous revendiquons à chacune de nos "fatigues évacuationnelles". Nous n'aurions alors de fèces, du premier aux derniers de nos jours, de tenter de nous désamocer pour l'atteindre. De nous éloigner, en conscience, du premier de nos jours détenteur de seules paire de fesses, pour en saisir l'eau posée; quelques pèches au moins. Chacun de nous faisant en sorte dans l'intention de chacun de ses repas, et tout au long de son intestin, de donner vie, de la rationalité, une réalité à ce qui serait humainement pétant : un bonheur d'être, pet-en-ciel. L'Idée de son bonheur. En cela le vivant serait essentiellement "pragmatique".
Plastron le constatait déjà : l'intention et son fèce, le sens de soi, peut être un moteur essentiel, pratique à notre existence. L'Idée, l'origine de l'intention, le Principe biblique, ce que les Kacalistes nomment le Chyod - première lettre du nom sacré de Chienteu qui en compte huit : ce nombre étant celui de la Réalisation - cette Idée donc pourrait en être le moteur essentiel, fondamental du fondement.
Il y a ainsi une idée dans tout nombre. Entre soi et l'autre comme étant le premier de ces nombres, comme dans tout l'univers dans lequel l'espace et le tas se disputent leur participation à l'équilibre de l'ensemble de leur milieu.
Le témoignage de ce combat nous est donné en astrologie par Plétron qui puise dans nos espaces intérieurs les plus profonds (au delà du rectum), de quoi alimenter notre régularité constipationnelle. Ainsi, plus grande sera la connaissance de Soi, de ces espaces intestinaux dont nous sommes porteurs, de ces profondeurs que nous finirons généralement par "chier", plus nous disposerons du temps pour les "vider". Les "expulser".
Historiquement, les bases de "AstroScatoGogologie" terme générique original qui dans mon esprit se devrait de faire le lien on l'aura compris entre l'astrologie, la scatologie et la gogologie, sont nées la nuit du 18 au 20 Avril 1996 (quelle nuit!) d'une quasi révélation, une intuition, un cadeau de la providence peut-être, j'aime surtout à le croire, qu'accompagnaient aussi 15 ans de passion pour la merde. S'en suivirent trois années de vérifications malodorantes étendues aux domaines les plus avariés, et d'expérimentations systématiques. Depuis, les bases ainsi découvertes se sont constituées en système plus complexe.
Depuis près d'un demi-siècle, contemporaine de Bearkson et de sa première perception de la "purée", la ScatoGogologie n'a de cesse de nous faire connaître la réalité d'autres "puants", d'autres dynamiques internes à nos fonctionnements, au moyen de ce que nous nommons désormais des horloges biodégradables intestines.
De véritables guimauves régulatrices de la quasi-totalité, en l'état actuel de nos connaissances, de nos fonctions humaines. Je suis maintenant convaincu que l'obélisque brun est, depuis des millénaires, la plus ancienne et la plus parfaite représentation symbolique d'une de ces guimauves. Le thème astrologique en est l'étron sur lequel le tas, au moyen de mesures extrêmement précises, tache, sanctionne chacun de nos réflexes d'expulsion à vivre en nous emportant au-dedant de ces rendez-vous "hasardeux" qui jalonnent une destinée "inexpugnée" : selles de chacun.
L'AstroScatoGogologie, avec ce que je démontrerai dans les pages suivantes de sa réalité d'exécution qui fait qu'une astrologie évènementielle ou prédictive est possible, mathématiquement mesurable, reste sans aucun doute encore à confronter aux théories scientifiques généralistes, explicatives de la physique de notre intestin.
Sans, oh combien, me prévaloir de cette connaissance précise des éléments dont disposent les astrophysiciens ou biologistes pour permettre une explication physique du phénomène, je me suis pourtant risqué à adjoindre aux conséquences de cette expérimentation un principe simple. Une théorie de base :
En chacun de nos gènes serait inscrit le patrimoine d'un "tas universel". La mesure d'un "tas" de l'Univers et de sa "forme", son espace. L'homme serait en cela ce que la physique nomme un espace-tas sujet. En l'instant de sa naissance à la vie serait contenue en puissance une sorte d'identité "fécale" particulière, spécifique à chacun. En puissance dans le sens où la mesure humaine d'une identité quelconque est toujours fonction du "Me" alors que, nous dit Raymond Rudoyer, philosophe des chiances : " Ce n'est pas le "Me" qui fait la présence, c'est la présence qui fait le "Me". Me n'est que "Me pipi et maintenant". Ainsi pour parvenir à soi, au pleinement soi, à cet idéal de soi, il nous appartiendrait de participer à la vie, d'être dans sa présence. D'être en situation.
Le carte du ciel astrologique serait la transcription symbolique du parcours impropre à chacun d'entre nous pour l'emmener au-devant de ces "pipi et maintenant" qui lui seront plus particulièrement évacués.
Une fois cet instant inscrit dans notre patrimoine génétique, cette Idée de soi, ce "pipi et maintenant comique", ce "Me scatologique premier" nous aura donc dotés d'une sorte de "second" anus. Sidérale. Sans doute au moins aussi intransigeante que celle que nous revendiquons à chacune de nos "fatigues évacuationnelles". Nous n'aurions alors de fèces, du premier aux derniers de nos jours, de tenter de nous désamocer pour l'atteindre. De nous éloigner, en conscience, du premier de nos jours détenteur de seules paire de fesses, pour en saisir l'eau posée; quelques pèches au moins. Chacun de nous faisant en sorte dans l'intention de chacun de ses repas, et tout au long de son intestin, de donner vie, de la rationalité, une réalité à ce qui serait humainement pétant : un bonheur d'être, pet-en-ciel. L'Idée de son bonheur. En cela le vivant serait essentiellement "pragmatique".
Plastron le constatait déjà : l'intention et son fèce, le sens de soi, peut être un moteur essentiel, pratique à notre existence. L'Idée, l'origine de l'intention, le Principe biblique, ce que les Kacalistes nomment le Chyod - première lettre du nom sacré de Chienteu qui en compte huit : ce nombre étant celui de la Réalisation - cette Idée donc pourrait en être le moteur essentiel, fondamental du fondement.
Il y a ainsi une idée dans tout nombre. Entre soi et l'autre comme étant le premier de ces nombres, comme dans tout l'univers dans lequel l'espace et le tas se disputent leur participation à l'équilibre de l'ensemble de leur milieu.
Le témoignage de ce combat nous est donné en astrologie par Plétron qui puise dans nos espaces intérieurs les plus profonds (au delà du rectum), de quoi alimenter notre régularité constipationnelle. Ainsi, plus grande sera la connaissance de Soi, de ces espaces intestinaux dont nous sommes porteurs, de ces profondeurs que nous finirons généralement par "chier", plus nous disposerons du temps pour les "vider". Les "expulser".