Je me présente
Publié : 07 janv. 2020, 17:31
Bonjour, en guise de présentation, voici ma biographie sur Academia.edu ( https://cstj.academia.edu/Fran%C3%A7oisDoyon )
François Doyon est docteur en philosophie de l’Université de Montréal et enseigne cette discipline au niveau collégial depuis 2007. Il a édité pour ses étudiants des versions commentées des Fondements de la métaphysique des mœurs de Kant et de L’utilitarisme de Mill aux Éditions Tout est dans tout. Ses recherches portent sur l’herméneutique, la philosophie de la religion et la logique informelle. Il a publié Les philosophes québécois et leur défense des religions (Connaissance et savoirs, 2017). Il est aussi l’un des auteurs de L'art du dialogue et de l'argumentation (Chenelière, 2009), de La face cachée du cours Éthique et culture religieuse (Léméac, 2016) et de Logos (CEC, 2018). Féru d’éthique, il intervient aussi sur des dossiers au sein d’un comité d’éthique de la recherche avec des êtres humains.
Membre des Sceptiques du Québec, François Doyon est un militant sceptique et très critique des religions. Il milite contre le statut spécial accordé aux religions, aussi bien en ce qui concerne les lois et les institutions, qu'en ce qui concerne le milieu académique et intellectuel. Il s'oppose à ce qu'il a nommé le théonormatisme, soit le fait de considérer la croyance à une intelligence créatrice comme la norme non seulement statistique, mais également éthique. Sa connaissance approfondie du christianisme lui permet d'élaborer des critiques particulièrement riches de cette religion en particulier. Il possède également une culture scientifique qui lui permet de se joindre avec brio aux critiques du NOMA (non-empiètement des magistères), cette conception établie par Stephen Jay Gould et très prisée par de nombreux philosophes et scientifique, selon laquelle la religion et la science ne peuvent pas se contredire mutuellement parce qu'elles répondent à des questions différentes.
Lui-même un intellectuel de gauche, François Doyon critique néanmoins une certaine frange de gauche qui cherche aujourd'hui à s'imposer un peu partout dans les médias et dans les universités, et qui tente notamment d'imposer une novlangue qui favorise leur idéologie.
François Doyon est docteur en philosophie de l’Université de Montréal et enseigne cette discipline au niveau collégial depuis 2007. Il a édité pour ses étudiants des versions commentées des Fondements de la métaphysique des mœurs de Kant et de L’utilitarisme de Mill aux Éditions Tout est dans tout. Ses recherches portent sur l’herméneutique, la philosophie de la religion et la logique informelle. Il a publié Les philosophes québécois et leur défense des religions (Connaissance et savoirs, 2017). Il est aussi l’un des auteurs de L'art du dialogue et de l'argumentation (Chenelière, 2009), de La face cachée du cours Éthique et culture religieuse (Léméac, 2016) et de Logos (CEC, 2018). Féru d’éthique, il intervient aussi sur des dossiers au sein d’un comité d’éthique de la recherche avec des êtres humains.
Membre des Sceptiques du Québec, François Doyon est un militant sceptique et très critique des religions. Il milite contre le statut spécial accordé aux religions, aussi bien en ce qui concerne les lois et les institutions, qu'en ce qui concerne le milieu académique et intellectuel. Il s'oppose à ce qu'il a nommé le théonormatisme, soit le fait de considérer la croyance à une intelligence créatrice comme la norme non seulement statistique, mais également éthique. Sa connaissance approfondie du christianisme lui permet d'élaborer des critiques particulièrement riches de cette religion en particulier. Il possède également une culture scientifique qui lui permet de se joindre avec brio aux critiques du NOMA (non-empiètement des magistères), cette conception établie par Stephen Jay Gould et très prisée par de nombreux philosophes et scientifique, selon laquelle la religion et la science ne peuvent pas se contredire mutuellement parce qu'elles répondent à des questions différentes.
Lui-même un intellectuel de gauche, François Doyon critique néanmoins une certaine frange de gauche qui cherche aujourd'hui à s'imposer un peu partout dans les médias et dans les universités, et qui tente notamment d'imposer une novlangue qui favorise leur idéologie.