Le scepticisme n'est pas une doctrine philosophique.
Publié : 10 janv. 2020, 13:38
Le scepticisme est mouvement philosophique mais pas une doctrine philosophique. Le scpeticisme, est un vide philosophique: et c'est ce qui fait sa grandeur.
Je vais le démontrer par l'asburde. Si on considère le scepticisme comme une doctrine; sentiment des philosophes dont le dogme principal est de douter, de n’affirmer rien, de tenir leur jugement en suspens sur chaque chose , le scpetique ne pourrait pas se dire sceptique, il établirait quelque chose.
De plus la maxime "pas plus ceci que cela" est assez auto-contradictoire, puisqu'elle affirme avec certitude qu'il ne faut pas pencher plus pour une théorie que pour une autre. Ensuite, les scpetiques selon cette définition feraient bien usage d'un axiome: celui selon lequel la logique existe. Le fait que ce genre de sceptique considère axiomatiquement que la logique existe leur permet de fonder leur doctrine: alors ils seraient là aussi auto-contradictoires, car ils utiliseraient un axiome plus réaliser leur doctrine, alors qu'ils considèrent qu'ils ne faudrait tendre pour une théorie plus qu'une autre... Pourquoi se diraient-ils alors scpetiques.
On en conclut donc, que pour que le sceptique soit cohérent, il faut qu'il ne dise rien, qu'il n'affirme rien, pas même son doute, pas même son scepticisme. Ainsi, aucune philosophie ne peut pointer de contradiction interne au scepticisme, car celui-ci ne dit rien.
Je vais le démontrer par l'asburde. Si on considère le scepticisme comme une doctrine; sentiment des philosophes dont le dogme principal est de douter, de n’affirmer rien, de tenir leur jugement en suspens sur chaque chose , le scpetique ne pourrait pas se dire sceptique, il établirait quelque chose.
De plus la maxime "pas plus ceci que cela" est assez auto-contradictoire, puisqu'elle affirme avec certitude qu'il ne faut pas pencher plus pour une théorie que pour une autre. Ensuite, les scpetiques selon cette définition feraient bien usage d'un axiome: celui selon lequel la logique existe. Le fait que ce genre de sceptique considère axiomatiquement que la logique existe leur permet de fonder leur doctrine: alors ils seraient là aussi auto-contradictoires, car ils utiliseraient un axiome plus réaliser leur doctrine, alors qu'ils considèrent qu'ils ne faudrait tendre pour une théorie plus qu'une autre... Pourquoi se diraient-ils alors scpetiques.
On en conclut donc, que pour que le sceptique soit cohérent, il faut qu'il ne dise rien, qu'il n'affirme rien, pas même son doute, pas même son scepticisme. Ainsi, aucune philosophie ne peut pointer de contradiction interne au scepticisme, car celui-ci ne dit rien.