Désolé, je présente mes plus plates excuses.
Mon objectif est de pouvoir réunir suffisamment d'informations émanant de plusieurs sensiblités pour tenter d'y voir plus clair.
Par rapport à ce que j'ai pu lire, entendre, suite à mes prospections, il semblerait que Greenpeace soit devenue une multinationale de la "bien pensance" écologiste, une organisation qui a su capter et recueillir les sympathies au départ et qui depuis semble avoir dérivé. Il semble y avoir plusieurs facettes, dans cette organisation. L'aspect "grand public", une ONG oeuvrant pour la préservation de l'environnement, préoccupée par l'inertie de mobreux états sur la planète, et un autre, nettement plus dissimulé, voire occulte, avec une gestion présentant bien des curiosités, d'après plusieurs livres d'enquêteurs s'étant intéressés au plus près, de l'activisme de Greenpeace.
En France, beaucoup d'associations présentent à leur tête des "anciens" de chez Greenpeace. Génération Futures, avec son cheval de bataille, la lutte contre les pesticides d'origine industrielle, en particulier le glyphosate, n'y échappe pas, avec François Veillerette, qui est tout, sauf un scientifique disposant de connaissances sérieuses sur le sujet, d'après Yann Kindo, le site
http://www.ecolopedia.fr/, l'A.F.I.S. et bien d'autres.
Quant aux pesticides, fongicides,... d'origine "biologique", c'est une toute autre considération. Cf. le dossier "Coquelicots" initié et piloté par Générations Futures, ainsi que par Fabrice Nicolino de Charlie Hebdo.
Où en est Greenpeace?
Jusqu'où s'étend son influence?
Les points positifs? je suppose qu'il en existe, ne serait-ce que la juste prise de conscience de la dégradation de l'environnement (cf. l'invasion des matières plastiques...)
Les points négatifs?
Ses collusions avec les pouvoirs politiques?
ses "arrangements" avec la réalité?
Je retiens que Greenpeace a contribué, en sous-main, au "combat" contre les O.G.M., avec les "faucheurs volontaires", emmenés par un certain José Bové, émanation du syndicat La Confédération Paysanne. Ce qui a conduit, à terme, à l'interdiction de recherches dans la filière O.G.M. (cf. détaillé par Jean de Kervasdoué, Marcel Kuntz...), et au quasi-démantèlement de la recherche sur ce sujet.
L'aberration suprême étant le cas d'Emmanuelle Charpentier, dernier prix Nobel en date, conduisant ses investigations prometteuses en dehors de la France, où, selon ses propres termes, sans intentions polémiques de sa part, ce qui dénote une grande sagesse, elle a reconnu que c'était pratiquement mission impossible, règlementations française et européenne existantes.
Il ne s'agit pas de tirer à boulets rouges mais de tenter d'établir un état des lieux, avec pragmatisme et lucidité.