Freud et l'hypothèse de l'inconscient ?
Publié : 26 avr. 2005, 18:09
Etes vous capable de parler calmement de l'hypothèse de l'inconscient.
Comme disent les psychanalystes , ça passe !
On a aucune explication mais ça passe de cerveau à cerveau !
Quoi passe ? L'information et la signification liée à l'affect ! pardis.
Une histoire vraie d'un psychanalyste :
La question de cette consultation a démarré suite à l'appel d'une orthophoniste me disant qu'elle avait en travail depuis plusieurs semaines un garçon prénommé Paul pour des raisons d'extrême lenteur et des difficultés à mémoriser les leçons apprises, leçons apprises qui tournent autour de l'écriture et la lecture. Cette dame m'explique qu'elle a fait un certain nombre de séances et qu'elle a le sentiment que le travail s'effectue correctement pendant ces séances mais qu'à la séance d'après il y aurait comme une sorte d'oubli, d'impossibilité à conserver quelque chose de l'acquisition de la séance précédente. Son intuition est qu'il n'est pas tout à fait question d'un dysfonctionnement cognitif mais plutôt d'un «embarras» pour reprendre son mot, d'un embarras psychique, et donc elle se retourne vers moi en me disant «je pense que vous pourriez peut être faire quelque chose de telle façon que moi je puisse reprendre mon travail, mais actuellement il me semble que je suis dans une impasse»..
Voilà l'indication qui m'a été faite pour organiser la rencontre avec Paul.
Quelques jours après un contact téléphonique bref avec sa mère, je reçois Paul en compagnie de sa mère, (son père dont j'avais demandé la présence était absent pour des raisons de travail..). Cette mère me présente la situation de façon assez semblable à ce qui m'avait été évoqué par l'orthophoniste ; à savoir que Paul est donc en difficulté autour de la lecture et de l'écriture. Elle m'explique de la même façon que ponctuellement les choses semblent fonctionner et puis dans de l'après coup de l'apprentissage il y aurait comme une sorte d'évaporation et de disparition des acquisitions fragilement mises en place. Ce qu'elle nomme donc une difficulté de mémorisation. Elle note de la même façon que l'avait pointé l'orthophoniste un très grand engagement de Paul dans le travail, que ce soit dans le travail auprès de l'orthophoniste ou dans le travail scolaire, dans les deux voies et y compris d'ailleurs en classe où la maîtresse confirme l'implication de cet enfant dans le désir d'apprendre et l'envie de progresser. Pendant l'entretien, Paul confirme les propos de sa mère et lorsque que nous nous retrouvons seuls tous les deux, il évoque cette scolarité qui est un petit peu compliquée, les séances de devoir qui sont un peu compliquées et il passe très vite -et je l'encourage en la matière- à parler de son quotidien et notamment de ses loisirs qui tournent autour du football et puis de son activité, je dirai d'extérieur, c'est à dire les jeux à l'extérieur avec ses copains et puis aussi un certain nombre de temps passé avec son père en moto, en balade ici ou là..
Donc un garçon tout à fait conciliant, tout à fait dans le travail, tout à fait désolé de la difficulté dans laquelle il est, et dans laquelle il semble mettre un peu tout le monde puisque quand même cela crée une certaine effervescence dans la famille cette difficulté scolaire et donc nous partons sur cette idée de se rencontrer à plusieurs reprises.
Je ne rentre pas dans le détail des séances qui ont suivi et qui se sont déroulées de façon, je dirai positive, au sens où l'implication de Paul ne s'est pas démentie que ce soit à travers la pâte à modeler, le dessin ou tout simplement sa propre parole.. Il essaie d'inventorier, de témoigner de son vécu, de ses sentiments, et les choses se déplient progressivement..
Après quelques semaines je reçois un appel du père légèrement agacé me demandant où j'en suis avec son fils témoignant de l'apparente lenteur des résultats de mon travail. Je lui propose de me rencontrer, invitation qu'il accepte assez rapidement. Quelques jours après je reçois ce père seul, qui me confirme, je dirais, son expectative par rapport à mon travail voire sa légère hostilité envers le monde des psy. Il m'explique que Paul est tout à fait coopérant pour venir mais que cela ne semble pas significatif du point de vue des résultats. Donc dans un deuxième temps comme je le fais assez souvent, après l'avoir laissé parler, je lui pose quelques questions sur son actualité à lui et puis progressivement on en vient à parler de son enfance, de son adolescence et de sa scolarité.
Cet homme est artisan, il m'explique qu'il a fait une scolarité un petit peu chaotique et notamment pour une raison tout à fait particulière qui était sa difficulté et qui l'est encore d'ailleurs, de mémoriser. Il m'explique que malgré tout il a obtenu un C.A.P. pour devenir artisan dans le monde du bâtiment et il m'explique qu'il a trouvé une astuce pour s'ajuster par rapport à sa difficulté : Après chaque réunion du matin il se précipite dans sa voiture et il recopie pratiquement par coeur l'ensemble des éléments qui ont été apportés par le chef de chantier de telle sorte que Si sa mémoire est mise en défaut il a toujours la possibilité de reprendre maille, en quelque sorte, avec ses notes.
Voilà, je ne sais pas Si à ce moment là il fait un lien quelconque avec son fils, mais moi je le laisse un petit peu sur cette idée ouverte et la discussion aidant les choses se sont un petit peu assouplies et donc on se quitte avec cette idée qu'en quelque sorte il me laisserait encore du temps Si j'osais cette expression.
La séance d'après, Paul effectue en modelage, donc en pâte à modeler un éléphant, un éléphant avec trois couleurs. Et contrairement à mon habitude à la fin de la séance au lieu de rempoter en quelque sorte les modelages après les avoir, je dirais, détruits… devant, je dirais, la beauté de la réalisation de Paul et contre toutes habitudes je lui propose de le garder en lui disant que le jour où il quitterait cet endroit il pourra l'emmener avec lui. J'ai donc déposé cet éléphant tricolore dans la vitrine d'un meuble qui est dans mon cabinet.
Quelques séances plus tard, la mère qui disait toujours un petit mot à la fin, est venue témoigner d'une modification significative dans le travail scolaire de Paul et notamment des remarques très positives de la maîtresse : il semblerait que quelque chose se soit débloqué du côté de sa difficulté de mémoriser et donc les effets que cela a pu produire sur son amélioration quant à sa lecture et à son écriture. Les semaines ont suivi et très rapidement cette modification et cette amélioration se sont confirmées de telle sorte que nous avons convenu avec les parents de suspendre voir de mettre un terme à notre travail. Le rendez vous fut pris pour la fin de l'année scolaire à la mi-juin pour faire un peu le bouclage de ce travail en présence de Paul et de ses parents.
Quelques jours avant ce rendez-vous, appel téléphonique du père qui m'explique que pour une raison professionnelle il me peut se rendre au rendez-vous, mais il me demande si je peux le recevoir quand même quelques jours auparavant. Bien évidemment j'accepte cette proposition et je le reçois.
Donc nous discutons avec ce monsieur qui m'explique qu'il est tout à fait ravi des progrès de Paul de cette modification dans son attitude et dans ses capacités scolaires ; témoigne un petit peu de nouvelles approches ou de l'évaluation de son point de vue du travail que je pouvais effectuer et puis parle tout simplement de son soulagement et qu'il voulait en témoigner personnellement, que c'est pour cela qu'il avait demandé à me rencontrer.. Voilà, je l'ai donc laissé raconter un peu son affaire et puis au moment de se quitter il passe devant le meuble vitrine et il tombe en arrêt devant l'éléphant tricolore. Et là i' ai senti quelque chose de l'ordre véritablement du bouleversement chez cet homme qui
regardait pétrifié cet éléphant et d'un regard suffisamment appuyé pour que je me permette de lui demander ce qu'il se passait.
Il me dit «Ecoutez, c 'est tout à fait stupéfiant, mais figurez vous qu 'il y a peut être maintenant un plus de 25 ans, j'étais en CE2 j'avais fait un éléphant avec exactement ces couleurs, ces mêmes couleurs, il représentait à peu près la même forme, enfin c'est une copie conforme, c'est tout à fait étonnant et c'est d'autant plus étonnant que la maîtresse l'avait mis dans une armoire avec une vitrine qui ressemblait en tous points à la votre » et il ajoute «je me souviens parce que moi, je voulais le ramener à ma mère, je voulais le ramener chez moi et la maîtresse n 'a pas voulu. Elle a dit qu 'il resterait ici et que je ne le récupérerai pas ! »
Et en même temps que cet homme s'exprimait et parlait, il a commencé, je crois à réaliser et donc je lui ai simplement demandé si il avait une petite idée sur qui avait pu faire cet éléphant. Voilà, et là dessus il m'a dit «j'imagine que c'est Paul.. » je lui ai confirmé «c'est Paul qui a fait cet éléphant et à cette occasion d'ailleurs je lui ai proposé de l'emmener à l'issue de notre travail et comme vous le savez c 'est la semaine prochaine que ça s 'arrête et donc Paul reviendra avec son éléphant».
La semaine d'après j'ai reçu Paul avec Sa mère et nous avons bouclé notre séquence de travail. Nous avons pris un rendez vous téléphonique vers la fin septembre pour que cette mère puisse me dire un petit peu comment les choses allaient, puisque comme vous le savez le mois de septembre est souvent l'occasion d'évaluations pour les enfants et les élèves.
J'ai reçu un appel fin septembre de cette femme me disant que Paul avait entamé brillamment son année scolaire et que les choses étaient vraiment en place et elle en était plutôt satisfaite...
Voilà cette petite vignette. Chacun peut en faire son interprétation, chacun peut en trouver le sens.
Daniel OLIVIER
Psychanalyste
Comme disent les psychanalystes , ça passe !
On a aucune explication mais ça passe de cerveau à cerveau !
Quoi passe ? L'information et la signification liée à l'affect ! pardis.
Une histoire vraie d'un psychanalyste :
La question de cette consultation a démarré suite à l'appel d'une orthophoniste me disant qu'elle avait en travail depuis plusieurs semaines un garçon prénommé Paul pour des raisons d'extrême lenteur et des difficultés à mémoriser les leçons apprises, leçons apprises qui tournent autour de l'écriture et la lecture. Cette dame m'explique qu'elle a fait un certain nombre de séances et qu'elle a le sentiment que le travail s'effectue correctement pendant ces séances mais qu'à la séance d'après il y aurait comme une sorte d'oubli, d'impossibilité à conserver quelque chose de l'acquisition de la séance précédente. Son intuition est qu'il n'est pas tout à fait question d'un dysfonctionnement cognitif mais plutôt d'un «embarras» pour reprendre son mot, d'un embarras psychique, et donc elle se retourne vers moi en me disant «je pense que vous pourriez peut être faire quelque chose de telle façon que moi je puisse reprendre mon travail, mais actuellement il me semble que je suis dans une impasse»..
Voilà l'indication qui m'a été faite pour organiser la rencontre avec Paul.
Quelques jours après un contact téléphonique bref avec sa mère, je reçois Paul en compagnie de sa mère, (son père dont j'avais demandé la présence était absent pour des raisons de travail..). Cette mère me présente la situation de façon assez semblable à ce qui m'avait été évoqué par l'orthophoniste ; à savoir que Paul est donc en difficulté autour de la lecture et de l'écriture. Elle m'explique de la même façon que ponctuellement les choses semblent fonctionner et puis dans de l'après coup de l'apprentissage il y aurait comme une sorte d'évaporation et de disparition des acquisitions fragilement mises en place. Ce qu'elle nomme donc une difficulté de mémorisation. Elle note de la même façon que l'avait pointé l'orthophoniste un très grand engagement de Paul dans le travail, que ce soit dans le travail auprès de l'orthophoniste ou dans le travail scolaire, dans les deux voies et y compris d'ailleurs en classe où la maîtresse confirme l'implication de cet enfant dans le désir d'apprendre et l'envie de progresser. Pendant l'entretien, Paul confirme les propos de sa mère et lorsque que nous nous retrouvons seuls tous les deux, il évoque cette scolarité qui est un petit peu compliquée, les séances de devoir qui sont un peu compliquées et il passe très vite -et je l'encourage en la matière- à parler de son quotidien et notamment de ses loisirs qui tournent autour du football et puis de son activité, je dirai d'extérieur, c'est à dire les jeux à l'extérieur avec ses copains et puis aussi un certain nombre de temps passé avec son père en moto, en balade ici ou là..
Donc un garçon tout à fait conciliant, tout à fait dans le travail, tout à fait désolé de la difficulté dans laquelle il est, et dans laquelle il semble mettre un peu tout le monde puisque quand même cela crée une certaine effervescence dans la famille cette difficulté scolaire et donc nous partons sur cette idée de se rencontrer à plusieurs reprises.
Je ne rentre pas dans le détail des séances qui ont suivi et qui se sont déroulées de façon, je dirai positive, au sens où l'implication de Paul ne s'est pas démentie que ce soit à travers la pâte à modeler, le dessin ou tout simplement sa propre parole.. Il essaie d'inventorier, de témoigner de son vécu, de ses sentiments, et les choses se déplient progressivement..
Après quelques semaines je reçois un appel du père légèrement agacé me demandant où j'en suis avec son fils témoignant de l'apparente lenteur des résultats de mon travail. Je lui propose de me rencontrer, invitation qu'il accepte assez rapidement. Quelques jours après je reçois ce père seul, qui me confirme, je dirais, son expectative par rapport à mon travail voire sa légère hostilité envers le monde des psy. Il m'explique que Paul est tout à fait coopérant pour venir mais que cela ne semble pas significatif du point de vue des résultats. Donc dans un deuxième temps comme je le fais assez souvent, après l'avoir laissé parler, je lui pose quelques questions sur son actualité à lui et puis progressivement on en vient à parler de son enfance, de son adolescence et de sa scolarité.
Cet homme est artisan, il m'explique qu'il a fait une scolarité un petit peu chaotique et notamment pour une raison tout à fait particulière qui était sa difficulté et qui l'est encore d'ailleurs, de mémoriser. Il m'explique que malgré tout il a obtenu un C.A.P. pour devenir artisan dans le monde du bâtiment et il m'explique qu'il a trouvé une astuce pour s'ajuster par rapport à sa difficulté : Après chaque réunion du matin il se précipite dans sa voiture et il recopie pratiquement par coeur l'ensemble des éléments qui ont été apportés par le chef de chantier de telle sorte que Si sa mémoire est mise en défaut il a toujours la possibilité de reprendre maille, en quelque sorte, avec ses notes.
Voilà, je ne sais pas Si à ce moment là il fait un lien quelconque avec son fils, mais moi je le laisse un petit peu sur cette idée ouverte et la discussion aidant les choses se sont un petit peu assouplies et donc on se quitte avec cette idée qu'en quelque sorte il me laisserait encore du temps Si j'osais cette expression.
La séance d'après, Paul effectue en modelage, donc en pâte à modeler un éléphant, un éléphant avec trois couleurs. Et contrairement à mon habitude à la fin de la séance au lieu de rempoter en quelque sorte les modelages après les avoir, je dirais, détruits… devant, je dirais, la beauté de la réalisation de Paul et contre toutes habitudes je lui propose de le garder en lui disant que le jour où il quitterait cet endroit il pourra l'emmener avec lui. J'ai donc déposé cet éléphant tricolore dans la vitrine d'un meuble qui est dans mon cabinet.
Quelques séances plus tard, la mère qui disait toujours un petit mot à la fin, est venue témoigner d'une modification significative dans le travail scolaire de Paul et notamment des remarques très positives de la maîtresse : il semblerait que quelque chose se soit débloqué du côté de sa difficulté de mémoriser et donc les effets que cela a pu produire sur son amélioration quant à sa lecture et à son écriture. Les semaines ont suivi et très rapidement cette modification et cette amélioration se sont confirmées de telle sorte que nous avons convenu avec les parents de suspendre voir de mettre un terme à notre travail. Le rendez vous fut pris pour la fin de l'année scolaire à la mi-juin pour faire un peu le bouclage de ce travail en présence de Paul et de ses parents.
Quelques jours avant ce rendez-vous, appel téléphonique du père qui m'explique que pour une raison professionnelle il me peut se rendre au rendez-vous, mais il me demande si je peux le recevoir quand même quelques jours auparavant. Bien évidemment j'accepte cette proposition et je le reçois.
Donc nous discutons avec ce monsieur qui m'explique qu'il est tout à fait ravi des progrès de Paul de cette modification dans son attitude et dans ses capacités scolaires ; témoigne un petit peu de nouvelles approches ou de l'évaluation de son point de vue du travail que je pouvais effectuer et puis parle tout simplement de son soulagement et qu'il voulait en témoigner personnellement, que c'est pour cela qu'il avait demandé à me rencontrer.. Voilà, je l'ai donc laissé raconter un peu son affaire et puis au moment de se quitter il passe devant le meuble vitrine et il tombe en arrêt devant l'éléphant tricolore. Et là i' ai senti quelque chose de l'ordre véritablement du bouleversement chez cet homme qui
regardait pétrifié cet éléphant et d'un regard suffisamment appuyé pour que je me permette de lui demander ce qu'il se passait.
Il me dit «Ecoutez, c 'est tout à fait stupéfiant, mais figurez vous qu 'il y a peut être maintenant un plus de 25 ans, j'étais en CE2 j'avais fait un éléphant avec exactement ces couleurs, ces mêmes couleurs, il représentait à peu près la même forme, enfin c'est une copie conforme, c'est tout à fait étonnant et c'est d'autant plus étonnant que la maîtresse l'avait mis dans une armoire avec une vitrine qui ressemblait en tous points à la votre » et il ajoute «je me souviens parce que moi, je voulais le ramener à ma mère, je voulais le ramener chez moi et la maîtresse n 'a pas voulu. Elle a dit qu 'il resterait ici et que je ne le récupérerai pas ! »
Et en même temps que cet homme s'exprimait et parlait, il a commencé, je crois à réaliser et donc je lui ai simplement demandé si il avait une petite idée sur qui avait pu faire cet éléphant. Voilà, et là dessus il m'a dit «j'imagine que c'est Paul.. » je lui ai confirmé «c'est Paul qui a fait cet éléphant et à cette occasion d'ailleurs je lui ai proposé de l'emmener à l'issue de notre travail et comme vous le savez c 'est la semaine prochaine que ça s 'arrête et donc Paul reviendra avec son éléphant».
La semaine d'après j'ai reçu Paul avec Sa mère et nous avons bouclé notre séquence de travail. Nous avons pris un rendez vous téléphonique vers la fin septembre pour que cette mère puisse me dire un petit peu comment les choses allaient, puisque comme vous le savez le mois de septembre est souvent l'occasion d'évaluations pour les enfants et les élèves.
J'ai reçu un appel fin septembre de cette femme me disant que Paul avait entamé brillamment son année scolaire et que les choses étaient vraiment en place et elle en était plutôt satisfaite...
Voilà cette petite vignette. Chacun peut en faire son interprétation, chacun peut en trouver le sens.
Daniel OLIVIER
Psychanalyste