de_passage a écrit :A quoi vous jouez là, bien à l'abri derrière l'anonymat d'Internet ? A vous / nous faire peur avec des conneries du genre "oh, le bien, le mal, tout ça c'est dépassé, j'en ai rien à branler", ou bien "oh, la pédophilie, stricto sensu, n'est pas condamnable, tant qu'on ne passe pas à l'acte" ...
8) Je suppose que Furoncle voulait faire le malin en jouant un peu sur votre résistance à l'assertion froide de faits juridiques avérés, mais ce n'est pas mon cas. Je ne joue à rien, je n'ai fait que confirmer en nuançant les propos ambigüs (de par leur rigidité) émis par Furoncle.
Je suis fair-play, et même si ce type m'a tout l'air d'un louf^40, je ne vais tout de même pas le contredire si je juge que ce qu'il affirmait était correct.
Ce que j'avais écrit est la stricte vérité, postulée sans états d'âme. L'envie ou pulsion de meurtre n'est pas non plus condamnable pénalement tant que la personne ne passe pas à l'acte, c'est ainsi. La condamnation morale est un autre problème.
de_passage a écrit :Eh oh, faut revenir sur terre là, dans notre société réelle, celle d'aujourd'hui et d'ici, pas une utopie pour post-adolescent attardé :
1) La pédophilie est médicalement une névrose dangereuse, qui conduit (trop) souvent à l'acte. De ce fait elle relève de la psychiatrie.
2) Ces passages à l'acte sont à leur tour juridiquement considérés comme des crimes et punis comme tels, soit comme simple recel de photos d'enfants à caractère sexuel, soit, encore pire, comme agression sexuelle. De ce fait ils relèvent de la loi et de la justice.
3) Enfin, si la simple "pensée" pédophile n'est évidemment pas condamnable légalement (comme aucune pensée d'ailleurs, nous sommes d'accord), elle est moralement tabou dans nos sociétés, et c'est tant mieux !
C'est vous l'attardé. Et non seulement attardé, mais incapable de retrancher vos émotions de votre réflexion :
1) Vous délirez complètement. La pédophilie n'est médicalement rien du tout, certainement pas une névrose.
Elle est considérée comem unegrave trasgression sociale, un crime, et/ou une perversion (déviance) sexuelle.
Vous seriez étonné par la quantité innombrable/forte proportion d'Hommes bien poilus et couillus, avec un fort ou léger penchant pédophile, qui ne passeront jamais à l'acte.
Ce penchant pouvant aller d'une attirance envers les garçons ou filles assez jeunes, genre 15-19 ans (à 19 ans on est encore mineure dans certains pays), jusqu'aux glauques attirances vers des prépubères ou même des bébés au berceau...
2)
Ca c'est ce que je vous avais expliqué. Mais vous aviez de toute apparence confondu le délit de pédophilie (inexistant) avec celui de commerce d'images.
3) (Tabou = interdit).
Que la pensée pédophilie soit tabou, cela me fait une belle jambe, mais c'est faux si l'on ne précise pas que ce sont les actes et les dérives commerciales de cette déviation qui sont répréhensibles.
La seule chose dont je me soucie et qui m'indigne est que des enfants soient les victimes d'agressions ou attouchements sexuels ; et peu m'importe qui est l'agresseur ni quelles sont ses motivations/pulsions.
8) Finalement, vous tombez d'accord sur l'essentiel : à savoir qu'un penchant n'est pas condamné juridiquement, puisque penser n'est pas un délit (vous le dites vous-même), et du coup je me demande bien à quoi
vous jouez et qu'est-ce qui vous énerve tant lorsque des explications claires sont formulées sans ambiguïté aucune.
8) Ach, ze zont fos nerfs gu'il vaut zoigner !
Magicfingers a écrit :Selon la plupart des psychiatres, entretenir de tel fantasmes, c'est jouer avec le feu car tôt ou tard le sujet ressentira un besoin pressant de passer à l'acte. Donc, entretenir de tel fantasmes est un crime moral dans la mesure où la frontière est plutôt facile à franchire pour devenir ce genre de monstre.

Pourrais-tu avoir l'amabilité de citer quelques noms de psychiatres qui prétendent cela ?
8) Vois-tu, je suis toujours assez intrigué lorsque quelqu'un dit
"selon la plupart des X-atres ou X-istes", car pour affirmer pareille chose, il faudrait déjà que
tu aies lu ou entendu plus de LA MOITIE DES PSYCHIATRES DU MONDE s'exprimer à ce sujet. Et cela me semble hautement improbable.
Pas besoin de te faire un dessin sur la difficulté pratique.
Par ailleurs, bien qu'un psychiatre ait sa liberté de penser,
"le passage à l'acte alimenté par l'entretien d'un fantasme" me paraît une affirmation assez suspecte ; d'autant plus de la part d'un psychiatre.
On en reparlera volontiers lorsque tu m'auras déjà éclairé au sujet de tes sources sur ces
> 50 % de psychiatres qui le prétendent...
A+