Bien et Mal, toute une histoire ...
Publié : 20 nov. 2006, 14:48
Un religieux qu'il soit protestant, catholique, juif, islamiste ... croit dur comme fer que le mal et le bien sont des choses réelles, dont les contours sont bien définis et, de plus, leurs caractéristiques découlent d'une présence d'un être invisible supérieur (en puissance).
Pour d'autres (bouddhisme/indhouisme) le mal s'incarne et se réincarne différemment.
Des parents vous expliqueront en outre que deux enfants nés le même jour auront des voies très différentes.
Qu'en est-il exactement ?
Pour moi le mal et le bien ne sont que des références relatives, des orientations sans but ultime autre que l'expression d'appartenance ( ou de non-appartenance, ce qui est la même chose).
La religion ou la société les définissent à des fins de cohésion sociale: des règles pour la survie de la collectivité.
Ce que ça change ? pas grand chose ... sauf si l'on suppose que la réincarnation est possible.
En effet, dans le christianisme par exemple, il n'y a pas (ou plus) d'autre chance. Les homosexuels opérationnels ou potentiels (comme TDC) prennent un aller simple pour l'enfer éternel.
Ce que je n'aime pas beaucoup c'est la justice: un juge doit tenir compte du contexte. Etablir des lois pour une société de grands blonds aux cheveux courts c'est aussi condamner ceux qui ne sont pas nés sous la bonne étoile. Ils n'ont même pas besoin de faire trois pas pour mériter leur salaire.
Dans la réincarnation c'est un peu différent: on hérite du mal ou du bien mais cela permet au moins d'échapper à cette limitation de définition: le mal peut être le bien que cela ne créerait pas une injustice.
En pratique pourtant, il semble que les ex-bons en profitent largement pour se sentir des ailes. Espérons que leur futur hypothétique se chargera lui aussi d'équilibrer la balance.
Et Dieu dans tout ça ? mais pourquoi faire !!! ???
Si le bien et le mal sont définis alors qui en détient les lignes exactes sachant que même la notion d'amour peut aller de la partie de jambes en l'air en passant par le joint ou atterrir au sacrifice ultime de sa vie et éventuellement de celle des autres.
Définir donc bien ou mal c,est définir l'indéfinissable. On ne peut définir que des contours qui servent une cause, celle de la société, pas celle d'un dieu ou d'un malin.
Pour d'autres (bouddhisme/indhouisme) le mal s'incarne et se réincarne différemment.
Des parents vous expliqueront en outre que deux enfants nés le même jour auront des voies très différentes.
Qu'en est-il exactement ?
Pour moi le mal et le bien ne sont que des références relatives, des orientations sans but ultime autre que l'expression d'appartenance ( ou de non-appartenance, ce qui est la même chose).
La religion ou la société les définissent à des fins de cohésion sociale: des règles pour la survie de la collectivité.
Ce que ça change ? pas grand chose ... sauf si l'on suppose que la réincarnation est possible.
En effet, dans le christianisme par exemple, il n'y a pas (ou plus) d'autre chance. Les homosexuels opérationnels ou potentiels (comme TDC) prennent un aller simple pour l'enfer éternel.
Ce que je n'aime pas beaucoup c'est la justice: un juge doit tenir compte du contexte. Etablir des lois pour une société de grands blonds aux cheveux courts c'est aussi condamner ceux qui ne sont pas nés sous la bonne étoile. Ils n'ont même pas besoin de faire trois pas pour mériter leur salaire.
Dans la réincarnation c'est un peu différent: on hérite du mal ou du bien mais cela permet au moins d'échapper à cette limitation de définition: le mal peut être le bien que cela ne créerait pas une injustice.
En pratique pourtant, il semble que les ex-bons en profitent largement pour se sentir des ailes. Espérons que leur futur hypothétique se chargera lui aussi d'équilibrer la balance.
Et Dieu dans tout ça ? mais pourquoi faire !!! ???
Si le bien et le mal sont définis alors qui en détient les lignes exactes sachant que même la notion d'amour peut aller de la partie de jambes en l'air en passant par le joint ou atterrir au sacrifice ultime de sa vie et éventuellement de celle des autres.
Définir donc bien ou mal c,est définir l'indéfinissable. On ne peut définir que des contours qui servent une cause, celle de la société, pas celle d'un dieu ou d'un malin.