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voir le sida autrement

Publié : 29 déc. 2006, 10:03
par bertheletbruno
Comme se plait à l'indiquer mon ami Jean Claude Roussez : “Il est temps de remettre les pendules à l'heure!”.

L'énigme du sida peut être, d'ores et déjà résolue par la plume... Si l'on accorde, à son Histoire et à la notre, un minimum d'attention, de temps, et de compréhension.

C'est au moment ou l'on s'interroge sur la conscience collective présente dans notre civilisation contemporaine sous “l'angle du sida”, que l'on se rend compte, à l'évidence, que l'acronyme “sida” se voit être communément reconnu par la majorité de la population comme un synonyme de souffrance, de maladie, de différence, de peur et de mort. C'est une réalité, une terrible réalité. Et nous en sommes tous responsable.

MON TEMOIGNAGE

Et un jour, autrement ...

Nous sommes à Lyon, le 09 février 2005, je suis assis dans un fauteuil assez confortable en face de mon médecin traitant, le docteur Garnier. Cet entretien n'était pas prévu avant la fin de la semaine. A ce moment-là j'étais, depuis deux jours, dans l'attente de mes résultats de séropositivité. Le docteur Garnier me regarde, les yeux attendris par l'annonce qu'il doit me faire : “Mr Berthelet, vos tests sérologiques à VIH sont positifs. Il faut que vous vous rendiez au plus vite à l'hôpital de la Croix-Rousse, au service des maladies infectieuses et tropicales, afin de rencontrer le professeur Chidiac qui se chargera de vous expliquer, le plus clairement possible, la situation dans laquelle vous vous trouvez.”

“Quoi ! J'ai le sida !?” Sans remettre une seule seconde en question la validité de cette affirmation qui venait de résonner dans la partition de ma conscience, je prends mon téléphone portable afin de joindre la femme qui est aujourd'hui mon épouse. Elle est alors en Tunisie pour des raisons professionnelles. Je m'empresse de lui annoncer cette nouvelle, qui bouleverse aujourd'hui encore le cours de notre existence. J'organise son retour sanitaire afin d'entamer au plus vite le protocole d'analyses médicales. Je prends la route pour l'aéroport de Roissy Charles de Gaule, où j'arrive tel un zombie à une heure du matin. Nous rentrons sur Lyon immédiatement, perdus dans l'angoisse morbide qu'elle ait été, elle aussi, contaminée... par moi. Perdus mais heureux, ensemble. Le lendemain, après des heures d'une attente insoutenable, le verdict tombe : Hélène est séronégative. Je ne serai pas son meurtrier.

La suite des événements peut se résumer de la sorte : séjours au sein de services hospitaliers glauques aux couleurs ternes, visages de patients effondrés, mutilés, corps déformés, silence lancinant... de nombreuses analyses sanguines... et leurs résultats : POSITIF à DEUX tests ELISA, POSITIF à deux tests WESTERN BLOT, PCR démontrant un taux de Lymphocytes TCD4 alarmant (256), une charge virale de 116 000 copies et une candidose oropharyngée dont l'ensemble des services hospitaliers s'efforce de nier l'existence. Pour le corps médical lyonnais, la candidose reste une maladie opportuniste et non la cause de positivité de ces tests.

A entendre le professeur Chidiac, je suis en fin de vie, mon état de santé est préoccupant, et je dois au plus vite prendre du Trizivir ! D'un côté, il me conseille fermement de ne pas lire les contre-indications fournies par les fabriquants de ce produit, ni la liste de ses effets indésirables, de ne porter aucune attention à la littérature farfelue en circulation sur internet et surtout, de ne pas écouter les vendeurs de miracles !
De l'autre, il m'invite à signer un document dans lequel je l'autorise à transmettre mon dossier médical à des tiers non identifiés !... après le grotesque, là, cela devient louche...
Il insiste et conclut sur le fait que je suis “malade du sida”. Ne pas suivre ses recommandations, c'est signer mon arrêt de mort dans les six mois.

Hélène et moi sortons du cabinet abasourdis par ce discours, seuls devant cette annonce d'une proximité de la mort que nous n'avions pas prévue, ni même envisagée. Deux jeunes êtres épris l'un de l'autre, effondrés dans ce couloir de la mort menant aux portes du spécialiste lyonnais des maladies infectieuses ! Un gouffre pour la psyché ! et un effondrement...

Courage ! Elle est là !
Et elle le sera toujours, avec ses caresses, ses encouragements, son écoute, son sourire ; elle m'aime, je l'aime. Qu'importe ce qui peut arriver, nous sommes heureux. L'annonce de mon état aux différents proches nous confirme l'importance des belles rencontres de la vie.

Agir ! S'informer ! Apprendre ! Analyser !
Ce qui n'aurait dû être qu'un long et banal parcours thérapeutique se transforme très vite en une enquête terriblement passionante.
C'est Hélène qui fait la preuve du plus grand courage et de la plus simple détermination dans l'accompagnement de cette épreuve. Elle me nourrit en tout, moi, le porteur de mort, le porteur de ce virus fatal qui nous empêchera probablement de construire une famille... C'est une nouvelle expérience qui s'étiole jusqu'à cette belle soirée de printemps, où Hélène me tend un ouvrage co-écrit par Jean-Claude Roussez et Etienne de Harven, éminent anatomopathologiste et spécialiste de la microscopie électronique, qui annonce, à qui veut bien l'entendre, que le lien de causalité entre le VIH et le sida est fortement remis en question par un groupe toujours grandissant de scientifiques internationaux.

Cette lecture d'espoir me transporte jusqu'au petit matin. Je me connecte alors sur internet, dans l'intention de vérifier par moi-même le contenu des documents cités en référence dans cet ouvrage. Ce que j'y découvre est édifiant ! Les plus grands experts du monde scientifique moderne alertent la population depuis plus de 20 ans sur la non-validité des tests de séropositivité, sur leur “non-spécificité” et sur le rôle mineur tenu par le VIH dans le syndrome d'immunodéficience acquis.

Après de nombreuses heures de recherche, temps libre généreusement offert par mes employeurs,
je prends finalement la décision de mettre un terme à cette image de ma mort inéluctablement associée au sida. La rencontre avec le professeur Etienne de Harven est hautement instructive. Parmi tant d'autres informations, Etienne de Harven nous annonce que le créateur de la technique utilisée pour le décompte de ces fameux CD 4, le professeur Kary Mullis, Prix Nobel de chimie en 1993 pour la mise en place de la technique de PCR, déclare lui-même depuis 1996 que sa technique ne permet en rien de définir un diagnostic à VIH 1, VIH 2 et HVC !... Toute l'Histoire du sida serait fausse... Le sida ne serait ni contagieux, ni sexuellement transmissible... Et le VIH ne serait certainement pas à son origine...

Nos convictions profondes, à Hélène et moi, s'avèrent exactes ! Je ne suis pas malade du sida et je n'héberge aucun vilain virus s'attaquant à mon système immunitaire. J'ai une candidose oropharyngée, et c'est bien suffisant ! Je suis un nouveau “faux positif” de plus sur la liste...
J'ai juste la désagréable particularité de vouloir lutter contre l'ignorance du personnel des services de santé publique, qui veut que je sois “malade du sida”, et en aucun cas “en phase de développement d'un candida”. Je suis contraint et forcé, pour la bonne gestion de ma santé, dans le seul but d'obtenir la liberté de choix de traitement thérapeutique, de faire appel au Droit Constitutionnel, Art.3 de la Déclaration de Droits de l'Homme du 10 décembre 1948 :
“Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ”.

J'ai bel et bien été à deux doigts de faire les frais d'une erreur d'interprétation médicale de la part des services de santé de Lyon. Ce type d'erreur dans la lecture des tests ELISA, WESTERN BLOTT et PCR continue aujourd'hui encore de se répéter et entraîne un cortège de souffrances chez des hommes, des femmes et des enfants traités chimiquement pour des maux dont la cause prétendue et non avérée se nomme sida.

J'ai réussi à me sortir indemne de cette histoire, sans subir de traitements inapropriés, j'ai soigné ma candidose et je suis dans une forme rayonnante, aux côtés de ma femme, avec qui je consacre aujourd'hui une bonne partie de mon temps à informer la population de ce qui est et restera une bourde médicale morbide passée sous silence !

Un survivant.

--
Copyright original : Bruno Berthelet
Copyright (C) 2000 Free Sofware Foundation, inc
59 Temple Place, Suite 330, Boston, MA 02111-1307 USA

Chacun est libre de copier et de distribuer des copies conformes de ce document, mais nul n'est autorisé à le modifier.

Publié : 29 déc. 2006, 13:33
par le fugitif
candidose oropharyngée dont l'ensemble des services hospitaliers s'efforce de nier l'existence.
Pour quelle raison ?
Les plus grands experts du monde scientifique moderne alertent la population depuis plus de 20 ans sur la non-validité des tests de séropositivité, sur leur “non-spécificité” et sur le rôle mineur tenu par le VIH dans le syndrome d'immunodéficience acquis.
Ah oui ? Des liens internet ?
Je ne suis pas malade du sida et je n'héberge aucun vilain virus s'attaquant à mon système immunitaire. J'ai une candidose oropharyngée, et c'est bien suffisant !
Pourvu qu'il continue à mettre des preservatifs ...
Un survivant.
Peut être un meurtrier et un survivant jusqu'à quand ?

bertheletbruno, peux tu me dire ce qui t'as poussé à mettre ce témoignage sur ce forum ?

Publié : 29 déc. 2006, 16:49
par My_Clone_is_rich
Est-ce que Bruno Berthelet est au courant que les conséquences du VIH ont été démontrées des millions de fois ? Que le virus HIV a même été pris en photo ? :?:

Il date son témoignage du 09 février 2005, mais le copyright de son texte est daté de 2000... Bizarre.

Copyright original : Bruno Berthelet
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59 Temple Place, Suite 330, Boston, MA 02111-1307 USA

Publié : 29 déc. 2006, 18:46
par ti-pol
My_Clone_is_rich a écrit :Est-ce que Bruno Berthelet est au courant que les conséquences du VIH ont été démontrées des millions de fois ? Que le virus HIV a même été pris en photo ? :?:
Oui, bien sur très chère.Toi est tu au courant que t'écrit des niaiseries :?:

Un prix de $100.000 pour la démonstration.

Publié : 29 déc. 2006, 22:05
par viddal26
ti-pol a écrit :
My_Clone_is_rich a écrit :Est-ce que Bruno Berthelet est au courant que les conséquences du VIH ont été démontrées des millions de fois ? Que le virus HIV a même été pris en photo ? :?:
Oui, bien sur très chère.Toi est tu au courant que t'écrit des niaiseries :?:

Un prix de $100.000 pour la démonstration.
Tu crois personnellement que le virus du sida n'existe pas?

Publié : 29 déc. 2006, 22:22
par ti-pol
viddal26 a écrit :
ti-pol a écrit :
My_Clone_is_rich a écrit :Est-ce que Bruno Berthelet est au courant que les conséquences du VIH ont été démontrées des millions de fois ? Que le virus HIV a même été pris en photo ? :?:
Oui, bien sur très chère.Toi est tu au courant que t'écrit des niaiseries :?:

Un prix de $100.000 pour la démonstration.
Tu crois personnellement que le virus du sida n'existe pas?
Crois-tu sincerement que le virus du sida existe?

Si oui, prouve le. :oops:

Publié : 29 déc. 2006, 22:30
par le fugitif
Image

Publié : 27 janv. 2007, 17:27
par viddal26
le fugitif a écrit :Image
:?: :?: :?:

C'est une photo du virus du sida?

Publié : 28 janv. 2007, 01:30
par le fugitif
Ti-poils pourra confirmer je pense.

Publié : 28 janv. 2007, 15:55
par My_Clone_is_rich
Tri-poil a écrit :Oui, bien sur très chère.Toi est tu au courant que t'écrit des niaiseries. Un prix de $100.000 pour la démonstration
C'est toi qui payes, ou le type de ta page ?

8) J'offre 1 000 000 $ US et un vélo tandem pour la preuve que la photo ci-dessous n'est pas celle de virus HIV :

Lien.

=> Photo colorisée No. 51710. (Les autres images de la page sont pour la plupart des maquettes).

Une autre photo plus jolie (prise sur une cellule de schtroumpf, c'est pourquoi elle est bleue) :
Image
Ici, la photo est noir/blanc car elle fut prise du temps de Charlie Chaplin *:
Image

* Tu crois pas qu'il a existé, charlot ?

:mrgreen: Pour les autres (ceux non infectés de charlotisme), une "nouvelle" méthode de détection des virus permettant de les repérer et identifier en moins d'une heure, est presque au point : la spectroscopie Raman, améliorée par les nanotechnologies qui augmenteront le signal émis.
- on pourra repérer quel genre de virus infecte l'organisme (l'échantillon analysé en fait) : HIV, grippe ou autre truc bidonnant.
- on pourra même repérer si le virus (HIV p.e.) est à ARN ou à ADN.

C'est une méthode qui repère directement la présence du virus, et non celle des antigènes produits par l'organisme infecté - comme c'est le cas actuellement.

(Edité par Denis) Un long URL rendait toute la page environ deux fois plus large que l'écran, ce qui gênait considérablement la lecture. Je me suis permis de le cacher sous un titre.

Publié : 28 janv. 2007, 21:59
par ti-pol
pédalo a écrit : 8) J'offre 1 000 000 $ US et un vélo tandem pour la preuve que la photo ci-dessous n'est pas celle de virus HIV :
*Si cette photo a été obtenue suivant cette méthode reconnue scientififiquement rigoureuse : ???

1. Seul peut être utilisé du plasma obtenu par centrifugation de sang complet et frais. Afin d'écarter le risque de voir des "particules virales" qui pourraient n'être que de simples artefacts de culture, aucune substance provenant de culture de cellules ne sera utilisée.

2. Le plasma sanguin devra provenir de personnes ayant présenté une "charge virale élevée" lors d'un test récent. Les références de ce test (date et résultat, c'est-à-dire la quantité d'ARN de VIH alléguée) devront être fournies, évidemment sans révéler l'identité du ou des donneurs afin de respecter la confidentialité.

3. Le donneur ne devra pas être sous traitement par inhibiteurs de protéase, AZT ou autres "drogues antivirales".

4. Seule une solution héparinisée de Ringer froide pourra être utilisée pour diluer le plasma (c'est-à-dire à 50%).

5. Le plasma dilué sera d'abord filtré par aspiration-filtration à travers une membrane de 0,6 millipore. Ce premier filtrat sera à son tour filtré à travers une membrane de 0,22 millipore et le résultat obtenu (deuxième filtrat) sera soumis à ultracentrifugation.

6. La centrifugation se fera à 30 000 g pendant une durée de 2 heures. Le culot obtenu (probablement de très petite taille) sera fixé avec du glutaraldéhyde et de l'acide osmique, puis soigneusement prélevé et incorporé dans une résine époxy en suivant les procédures habituellles en matière de microscopie électronique.

7. Les photographies de miscroscopie électronique devront être prises à un agrandissement d'au moins 19 500 fois et devront être du genre de celle présentée en fig. 1 pour ce qui concerne la forme et la taille des particules, sous la réserve fondamentale qui suit. Le VIH est supposé être un lentivirus possédant un noyau dense de forme tronconique. Une coupe ultrafine de lentivirus agglomérés de manière aléatoire doit inévitablement comporter un certain nombre de particules sectionnées de telle façon que leur noyau sera vu dans le sens de la longueur, d'autres étant vus du dessus, le tout apparaissant comme un mélange de noyaux denses de forme tantôt circulaire et tantôt allongée. Toute photographie ne montrant pas clairement une telle caractéristique sera considérée comme ne représentant pas le lentivirus VIH.

8. Le présent défi est lancé à tout scientifique qualifié, à tout étudiant en microbiologie ou technicien de laboratoire possédant le savoir-faire et le matériel de laboratoire nécesssaires pour exécuter les opérations requises.

Les photographies accompagnées de tous les détails de la méthodologie suivie et d'un résumé des qualifications de l'auteur devront m'être envoyées à alex@lalage52.freeserve.co.uk



*Tu mérites une commission a négocier avec ce(ces) chèrcheurs probablement infectés par le virus du crédit.

8)
:| a écrit : Pour les autres (ceux non infectés de charlotisme), une "nouvelle" méthode de détection des virus permettant de les repérer et identifier en moins d'une heure, est presque au point : la spectroscopie Raman, améliorée par les nanotechnologies qui augmenteront le signal émis.
- on pourra repérer quel genre de virus infecte l'organisme (l'échantillon analysé en fait) : HIV, grippe ou autre truc bidonnant.
- on pourra même repérer si le virus (HIV p.e.) est à ARN ou à ADN.
Grand bien pour tous

Publié : 29 janv. 2007, 01:41
par My_Clone_is_rich
J'ai survolé la page que tu donnes. C'est pas la peine de copier-coller le protocole.
http://www.sidasante.com/textes/prixhc.htm

Ton intox ici est dangereuse Ti-poil. Elle pourrait avoir de fâcheuses indirectes conséquences sur des nigauds. Or il y en a plein dans ce forum.
Pas envie de déconvertir un négationniste 1/2 timbré. Difficile vue ta malcomprenotte aggravée. Mais ceci, tu pourras p'tre le comprendre : Comprendre, par un exemple concret et détailé, à quel point les arguments et propositions avancées dans cette page sont ridicules. A la limite, on dirait une mauvaise farce.
Ce type semble ignorer à quel point le génome du VIH est identifié. Son texte semble écrit il y a 20 ans...
C'est d'ailleurs il y a 20 ans que Duesberg commença à émettre ses "théorèmes" sur VIH /=/ SIDA.
Prix Huw Christie a écrit :Ceux-là mêmes qui avaient énoncé les règles à suivre impérativement pour démontrer l'existence d'un rétrovirus les violent allègrement lorsqu'il s'agit du VIH. Personne n'a obtenu la moindre particule de VIH pure et non polluée par des contaminants... 8) Personne n'a été capable d'obtenir une séquence complète d'ARN (ou de sa transcription en ADN) du VIH.
:mrgreen: Une séquence complète du rétrovirus VIH ? :mrgreen:
Le VIH n'a qu'une dizaine de gènes codants. C'est pas la peine de séquencer si peu de chose. Plus important est d'analyser les "choses plus petites" qui le constituent. C'est déjà le cas.

Voici un résumé du génome VIH1+2
(plus de détails ici : http://anne.decoster.free.fr/ :

- Le génome est diploïde : 2 ARN (+ ) monocaténaires identiques d'environ 10 KB (9500 paires de bases), il est encadré par 2 régions non codantes, 5' et 3' :
- le gène gag (group specific antigens) code une polyprotéine qui sera découpée en protéines (de capside, de nucléocapside et de matrice) par la protéase virale,
- le gène pol (polymérase) code les 3 enzymes : la rétrotranscriptase, l'intégrase et la protéase,
- le gène env (enveloppe) code une protéine précurseur qui sera glycosylée (la gp160) puis clivée en TM gp41 et SU gp120 qui, restant associées, vont constituer les spicules.

Le provirus des VIH-1 et 2 possède en outre :
- 6 gènes codant de petites protéines régulatrices : les gènes tat, rev, nef, vif, vpr, et vpu (VIH-1)ou vpx (VIH-2).


... Tout cela (inutile de capter le détail) ressemble bien à des données identifiées et précises, non ? C'est pourquoi j'ai copié-collé un peu le détail.

Publié : 29 janv. 2007, 05:52
par ti-pol
My_Clone_is_rich a écrit :J'ai survolé la page que tu donnes. C'est pas la peine de copier-coller le protocole.
http://www.sidasante.com/textes/prixhc.htm
Arrete de survoler t'es déja assez flyé. :oops:
:roll: a écrit :Ce type semble ignorer à quel point le génome du VIH est identifié.
Des gens de ton espece auront beau discourir éternellement sur la séquence du génome VIH...: tant qu'ils n'auront pas isolé(purifié)selon la méthode scientifique rigoureuse le prétendu virus,ils séquenceront sur du vent.

Et devine quoi le virus du cerveaulent a besoin pour voler

.

Publié : 29 janv. 2007, 11:19
par My_Clone_is_rich
8) Ca fait au moins 20 ans qu'il a été identifié, isolé et séquencé par une équipe pluridisciplinaire des instituts Pasteur, INSERM et CNRS, selon de bonnes méthodes scientifiques, zispèce de crétinoïde. D'autres l'ont fait à leur tour. Plusieurs souches - même les variantes chez les chimpanzés et autres - l'ont aussi été il y a quelques années.

Tu veux pas purifier ton isolation scientifique à toi, dis ? Faut qu'elle respire un peu sur la planète où tu vis.

Publié : 29 janv. 2007, 17:28
par ti-pol
My_Clone_is_rich a écrit :8) Ca fait au moins 20 ans qu'il a été identifié, isolé et séquencé par une équipe pluridisciplinaire des instituts Pasteur, INSERM et CNRS, selon de bonnes méthodes scientifiques, zispèce de crétinoïde. D'autres l'ont fait à leur tour. Plusieurs souches - même les variantes chez les chimpanzés et autres - l'ont aussi été il y a quelques années.

Honte
Grossière déformation informative démagogique ne s'appuyant sur aucun fait rigouresement observé.

­­>>>La règle traditionnelle en matière de microbiologie pour déterminer si un virus est la cause spécifique d'une maladie est de l'identifier en le purifiant (c'est-à-dire en l'isolant) dans des tissus provenant d'un patient atteint de cette maladie, de façon à ce qu'on puisse le voir au microscope électronique et savoir sur quoi l'on travaille. Ceci fait, on fait multiplier en laboratoire ce virus purifié; puis on montre qu'il est présent dans tous les cas de la maladie en cause; puis qu'il s'y trouve en nombre suffisant et que son activité dans l'organisme suffit à rendre compte de la maladie; puis on doit démontrer qu'on reproduit la maladie d'où on était parti lorsqu'on introduit ce virus dans un organisme susceptible de la développer.

Dans le cas du VIH, aucune de ces étapes indispensables n'a été accomplie, ainsi que le dit Eleni Papadopulos Eleopulos, médecin biologiste au Royal Perth Hospital, Western Australia, et auteur principal de l'article paru dans Bio/Technology. Elle et Val Turner, son principal collaborateur au sein de ce qui est devenu le groupe de Perth des scientifiques du SIDA, travaillent sans relâche depuis près de vingt ans à démontrer que l'existence même du VIH n'a jamais été prouvée.
<<<


Pour les survoleurs c'est ici :infirmière:
http://www.sidasante.com/themes/singes_ ... trophe.htm

Publié : 29 janv. 2007, 18:00
par Jean-Francois
ti-pol a écrit :Grossière déformation informative démagogique ne s'appuyant sur aucun fait rigouresement observé
On vous a déjà proposé de vous injecter ce soit-disant non-virus ou de modérer votre propagande obscurantiste et dangereuse. Mais, évidemment, lâche comme vous l'êtes, vous avez fuit tout en continuant à propager de franches céhoenneries.

Votre citation cache mal le gros problème:
Elle et Val Turner, son principal collaborateur au sein de ce qui est devenu le groupe de Perth des scientifiques du SIDA, travaillent sans relâche depuis près de vingt ans à démontrer que l'existence même du VIH n'a jamais été prouvée.
Ca fait donc 20 ans qu'ils n'arrivent pas à prouver que le VIH n'existe pas... Chapeau! En fait, ils sont tellement obsédés par leur non-recherche qu'ils ratent le fait que non seulement le VIH existe, qu'il a été caractérisé mais qu'il existe de nombreuses variantes connues (A, D, etc.)

Ah, sinon, Journal of Scientific Exploration est un journal patascientifique (il peut y avoir du à peu près potable mais entre beaucoup de niaiseries) et ce n'est certainement pas un journal qui concerne la recherche en santé... généralement, c'est plutôt les ovnis et autres parapsychologies. Normal qu'un clown du style ti-poil ait d'aussi bonnes références.

Jean-François

Publié : 29 janv. 2007, 19:24
par ti-pol
Jean-François parfait mouton se disant scientifique a écrit : Ca fait donc 20 ans qu'ils n'arrivent pas à prouver que le VIH n'existe pas... Chapeau! En fait, ils sont tellement obsédés par leur non-recherche qu'ils ratent le fait que non seulement le VIH existe, qu'il a été caractérisé mais qu'il existe de nombreuses variantes connues (A, D, etc.)
Prouver l'inexistance :roll: Ne croyez vous pas monsieur peteux que la preuve de l'existance serait de mise.
Et pour sauver la face on crée de toutes pieces des variantes pour cacher leurs idioties.

:oops: a écrit :Ah, sinon, Journal of Scientific Exploration est un journal patascientifique (il peut y avoir du à peu près potable mais entre beaucoup de niaiseries) et ce n'est certainement pas un journal qui concerne la recherche en santé... généralement, c'est plutôt les ovnis et autres parapsychologies. Normal qu'un clown du style ti-poil ait d'aussi bonnes références.
Monsieur critique les journaux sans trop savoir pourquoi.
Monsieur a t'il la force d'en critiquer d'autres?????????


>>>Dans un énorme article/revue publié dans "Bio/Technology", un journal affilié avec "Nature", Eleopulos et ses collègues maintiennent qu'aucun des tests VIH commercialisés n'a jamais été correctement validé par la démonstration que les protéines réactives utilisées pour la détection des anticorps "VIH" sont effectivement en relation avec le virus. Le fait qu'il s'est avéré impossible d'isoler le virus chez des patients, disent-ils, est la raison pour cette absence de validation. La tentative la plus courante pour confirmer l'utilité des tests est la démonstration que les anticorps qui réagissent avec les protéines du test se trouvent plus souvent chez les patients du SIDA et les personnes "à risque" du SIDA que chez les gens en bonne santé. Cependant, il a été prouvé que tous ces soi-disant indices "VIH" ont d'autres sources dans le corps, et par conséquent, même si le VIH existe, on ne peut pas dire que les anticorps signifient sa présence.

Cette situation provoque une immense confusion. Dans une revue de littérature médicale, l'on n'a trouvé pas moins que 70 conditions de maladie différentes, souvent comprenant une réponse auto-immunitaire, qui sont citées comme capables de déclencher un résultat positif du test VIH.

Si les scientifiques qui maintiennent que le "VIH" est un mythe ont raison, leur analyse porte un message crucial d'espoir pour toutes les personnes qui ont testé positives. Elle signifie que, selon l'importance des dégâts, le système immunitaire d'un malade peut retrouver son état normal et sain, à condition que les facteurs compromettants sont éliminés. Cela explique pourquoi des millions de personnes "positives" ont gardé une bonne santé pendant des années, particulièrement dans des pays pauvres qui n'ont pas les moyens de s'offrir les drogues "anti-virales" - et ceci en contradiction aux prévisions basée sur le point de vue "virus mortel". <<<



http://perso.orange.fr/sidasante/journal/jounevh.htm

.

Publié : 29 janv. 2007, 19:48
par Christian
ti-pol a écrit :
Jean-François parfait mouton se disant scientifique a écrit : Ca fait donc 20 ans qu'ils n'arrivent pas à prouver que le VIH n'existe pas... Chapeau! En fait, ils sont tellement obsédés par leur non-recherche qu'ils ratent le fait que non seulement le VIH existe, qu'il a été caractérisé mais qu'il existe de nombreuses variantes connues (A, D, etc.)
Prouver l'inexistance :roll: Ne croyez vous pas monsieur peteux que la preuve de l'existance serait de mise.
Et pour sauver la face on crée de toutes pieces des variantes pour cacher leurs idioties.

:oops: a écrit :Ah, sinon, Journal of Scientific Exploration est un journal patascientifique (il peut y avoir du à peu près potable mais entre beaucoup de niaiseries) et ce n'est certainement pas un journal qui concerne la recherche en santé... généralement, c'est plutôt les ovnis et autres parapsychologies. Normal qu'un clown du style ti-poil ait d'aussi bonnes références.
Monsieur critique les journaux sans trop savoir pourquoi.
Monsieur a t'il la force d'en critiquer d'autres?????????


>>>Dans un énorme article/revue publié dans "Bio/Technology", un journal affilié avec "Nature", Eleopulos et ses collègues maintiennent qu'aucun des tests VIH commercialisés n'a jamais été correctement validé par la démonstration que les protéines réactives utilisées pour la détection des anticorps "VIH" sont effectivement en relation avec le virus. Le fait qu'il s'est avéré impossible d'isoler le virus chez des patients, disent-ils, est la raison pour cette absence de validation. La tentative la plus courante pour confirmer l'utilité des tests est la démonstration que les anticorps qui réagissent avec les protéines du test se trouvent plus souvent chez les patients du SIDA et les personnes "à risque" du SIDA que chez les gens en bonne santé. Cependant, il a été prouvé que tous ces soi-disant indices "VIH" ont d'autres sources dans le corps, et par conséquent, même si le VIH existe, on ne peut pas dire que les anticorps signifient sa présence.

Cette situation provoque une immense confusion. Dans une revue de littérature médicale, l'on n'a trouvé pas moins que 70 conditions de maladie différentes, souvent comprenant une réponse auto-immunitaire, qui sont citées comme capables de déclencher un résultat positif du test VIH.

Si les scientifiques qui maintiennent que le "VIH" est un mythe ont raison, leur analyse porte un message crucial d'espoir pour toutes les personnes qui ont testé positives. Elle signifie que, selon l'importance des dégâts, le système immunitaire d'un malade peut retrouver son état normal et sain, à condition que les facteurs compromettants sont éliminés. Cela explique pourquoi des millions de personnes "positives" ont gardé une bonne santé pendant des années, particulièrement dans des pays pauvres qui n'ont pas les moyens de s'offrir les drogues "anti-virales" - et ceci en contradiction aux prévisions basée sur le point de vue "virus mortel". <<<



http://perso.orange.fr/sidasante/journal/jounevh.htm

.
Ah oui? Un article scientifique dans une revue scientifique? Date, no de la revue et titre de l'article, SVP. Sinon, ça ne vaut rien comme affirmation. En passant votre page est truffée d'erreurs et de mensonges en plus de datée de presque dix ans... Juste par rapport à la situation africaine, les affirmations contenues dans cet article sont mensongées.

Christian

Publié : 29 janv. 2007, 20:14
par Christian
Tiens, pour ti-poil:

Image


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Christian

Publié : 29 janv. 2007, 21:09
par ti-pol

Pour Cri-cri et autre membre broutant
voici le vrai virus isolé et purifié.

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Publié : 29 janv. 2007, 21:14
par Jean-Francois
ti-pol a écrit :Jean-François parfait mouton se disant scientifique
Considérations d'une portée très ridicule venant de la part de quelqu'un dont les qualifications et formations sont plus de l'ordre du mouton qui prend ses bêlements pour des aboiements que le moindrement scientifiques.

Car, question "mouton", on voit bien que vous ne faites que citer une seule et même source (celui qui collectionne les article "dissonants") sans esprit le moindrement critique. D'ailleurs, c'est très bêêêête... pardon ti-po(i)lesque de lancer un autre article non scientifique (vous allez essayer Weekly World News, aussi?) comme si accumuler des "dissonnances" prouvait quoi que se soit.
Ne croyez vous pas monsieur peteux que la preuve de l'existance serait de mise
C'est fait depuis un bon moment: on vous a fourni des photos du VIH, appelez-le comme vous voulez mais l'existence de ce virus est parfaitement démontrée, tout comme celle de ses variantes. Evidemment, certains scientifiques peuvent se déclarer insatisfaits des preuves avancées liant ce virus au SIDA (sans eux-même avancer quoi que se soit pour expliquer les maladies actuellement attribuées au SIDA), mais la question est autre. Aussi, il y aura de véritables moutons dans votre genre, qui ne comprennent pas grand chose au problème* mais adorent cracher contre la médecine scientifique.

* Pas grand chose à quoi que se soit, en fait.
Monsieur critique les journaux sans trop savoir pourquoi
Faut pas confondre: celui qui ne sait pas ce qu'il fait par ses copiers-collers désordonnés, qui ne saurait expliquer en des termes cohérents la nature du problème, qui fait des affirmations idiotes... c'est un dénommé ti-po(i)l.

Et si je ne critique pas les références que vous "dumpez" à tour de bras sans même les comprendre (vous ne les lisez probablement même pas vraiment), c'est parce que vous n'êtes bon qu'à ça: dumper. Espèce d'Oscar the Grouch, personnage qui a une approche des choses similaire à la votre: "Oscar [...] lives in a garbage can. His favorite thing in life is trash; evidence for this is the song "I Love Trash"."
Christian a écrit :Un article scientifique dans une revue scientifique?
Le ti-copieur-colleur fou* ne vérifie strictement rien de ce qu'il dumpe. Là, il n'a certainement pas vérifié si "BIO / Technologie" existait en tant que journal, ni si, le cas échéant, c'était vraiment "affilié à Nature [Publish]". Comme il existe déjà "Nature Biotechnology", il y a fort à parier que la référence en question est fausse**. Mais, bon, un article basés sur de mauvaises informations et de nombreuses approximations ne vont certainement pas arrêter un ti-po(i)l borné dans une croisade stupide... faudrait d'abord qu'il puisse comprendre la science et c'est pas demain la veille que ça arrivera.

Jean-François

* Comme le chapelier fou de Carroll, mais écrit par un dyslexique :lol:
** J'ai cherché sur PubMed avec "Eleopoulos" - un des soit-disant auteurs de l'article - et ça a sorti zéro référence; ce qui serait impossible si l'article était vraiment du groupe Nature Publish.

Pulos, pas poulos

Publié : 29 janv. 2007, 21:57
par Denis

Salut JF,

Tu dis :
J'ai cherché sur PubMed avec "Eleopoulos" - un des soit-disant auteurs de l'article - et ça a sorti zéro référence; ce qui serait impossible si l'article était vraiment du groupe Nature Publish.
Tu as mal orthographié le nom. C'est Eleopulos, pas Eleopoulos.

Voir ici et .

Que donne une recherche sur PubMed avec le nom correct ?

:) Denis

Re: Pulos, pas poulos

Publié : 29 janv. 2007, 22:35
par Jean-Francois
Denis a écrit :Que donne une recherche sur PubMed avec le nom correct ?
Rien. C'est dans mon message précédent que j'ai mal orthographié le nom, pas lors de ma recherche.

Par contre, c'est mieux avec son nom complet: E. Papadopulos-Eleopulos. Il y a même un article de 1993 (!) publié dans "Nature Biotechnology". Elle a quelques articles sur le sujet mais qui ne sont pas des comptes-rendus d'expérience (surtout des articles d'opinion). Elle ne semble pas jouir d'une grande crédibilité. Puisque ti-trouduc aime fonctionner par copiers-collers, en voici un qui résume le cas:
" Doubts on HIV's existence 'insane'
By Clara Pirani
October 27, 2006

AIDS experts have labelled claims by a Perth researcher that HIV does not exist as outrageous and dangerous nonsense.

Eleni Papadopulos-Eleopulos, a medical engineer at Royal Perth Hospital, said on Wednesday that HIV was not a retrovirus and could not be transmitted by sexual intercourse.

At a leave-to-appeal hearing on behalf of Andre Chad Parenzee - an HIV-positive man convicted of endangering the lives of three girlfriends and sentenced to 15 years in prison - Ms Papadopulos-Eleopulos said the existence of HIV had yet to be proved. She is a founder of the Perth Group of researchers who argue AIDS is not linked to HIV.

Andrew Grulich, associate professor in epidemiology at the National Centre in HIV Epidemiology and Clinical Research, described the group's claims as "insane".

"They have a very long and convoluted argument that has been comprehensively disproved many times," he said. [ndJF: c'est moi qui souligne.]

A spokeswoman for the Royal Perth Hospital said yesterday that the hospital did not share the views of Ms Papadopulos-Eleopulos. She said Ms Papadopulos-Eleopulos did not work in HIV research or with AIDS patients.

Professor Grulich said the evidence that HIV exists was irrefutable. "How did the death rate from HIV and AIDS drop from 1000 a year to less than 200 a year in the space of one to two years when those drugs were introduced, unless there is a virus that these drugs are targeting?" he said.

"What they say is outrageous and quite dangerous because it encourages people to not be concerned about transmission."

Ms Papadopulos-Eleopulos said the techniques used by Luc Montagnier and Robert Gallo, the scientists who discovered HIV in 1983, were flawed.

However, David Harrich, a molecular virologist from the Queensland Institute of Medical Research, said their techniques had been re-tested and verified many times since 1983."

Bref, elle semble parler au travers de son chapeau à plusieurs points de vue*.

Jean-François

* D'après le site Wikipedia, il y aurait même un doute sur ses qualifications académiques.

Re: Pulos, pas poulos

Publié : 29 janv. 2007, 22:43
par Christian
Denis a écrit : Salut JF,

Tu dis :
J'ai cherché sur PubMed avec "Eleopoulos" - un des soit-disant auteurs de l'article - et ça a sorti zéro référence; ce qui serait impossible si l'article était vraiment du groupe Nature Publish.
Tu as mal orthographié le nom. C'est Eleopulos, pas Eleopoulos.

Voir ici et .

Que donne une recherche sur PubMed avec le nom correct ?

:) Denis
ICI

C'est une revue (review) de littérature? Jean-François, peux-tu confirmer?

Syur PubMed, on retrouve 22 "articles", dont 8 sont des "reviews" et 10 seulement ont un résumés...

Christian

Publié : 29 janv. 2007, 22:48
par My_Clone_is_rich
8) Ti-Poil ne semble pas se rendre compte (normal) qu'avec les 3 liens qu'il a référés, citant de célèbres "anti-SIDA", il a réuni les deux "écoles" opposées, qui se contredisent l'une l'autre :

- Pour R Giraldo, Peter Duesberg, et K. Mullis (le Nobel de chimie), le VIH existe bel et bien mais ne serait ni contagieux ni nocif. La cause du SIDA serait de multiples facteurs stressant le système immunologique. VIH /=/ SIDA
- Pour le groupe de Perth, dont Mme Papadopulos-Eleopulos fait partie, citée dans une autre de ses pages, le VIH n'existe pas : ce qu'on voit sur les photos ne serait qu'un résidu cellulaire **...

Et Ti-poil, c'est laquelle de ces deux versions qu'il cautionne ?
:twisted: "La vraie ! " hurle Ti-Poil !

** C'est con, car ce "résidu cellulaire" possède un génome, des caractéristiques de virus, et que ce génome est différent de la cellule dont il est issu. C'est mieux que les miracles de Lourdes.