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PROJET DE MON 2EME LIVRE : DIVINATION.....

Publié : 08 févr. 2007, 11:20
par GUERRERO
FABIENNE

DU NOUVEL AGE AU CHRISTIANISME



A partir de 1997 la très Sainte vierge Marie m’a appellé à un séjour au au pré-neuf de L’Escorial.

Dans ce lieu en Espagne, j’ai complètement redécouvert la foi chrétienne que j’avais complètement mise de côté pour m’attacher à de fausses doctrines.

Au retour de divers pélerinages, la Miséricorde infinie du Seigneur Jésus me libère de la Rose-Croix AMORC, du Martinisme, du spiritisme, de l’ouverture des chakras, des guérisseurs du New Age et de la Divination.

Après avoir jeté tous mes livres ésotériques et après avoir fait couper tous mes liens avec l’occulte par un prêtre, je me suis totalement réconciliée avec la foi et pendant onze ans j’ai étudié l’histoire de l’Eglise Catholique, la sainte Bible, le Concile de Vatican II, le Code de droit Canonique, la vie des saints, l’enseignement des Pères de l’église, les enseignements des Papes, …

Mon retour à l’église catholique de Rome m’a sauvé. Je suis une enfant prodigue, une pauvre misère que le Seigneur Jésus a transformé en sa servante inutile.

Après un postulat dans la vie religieuse, je témoigne dans le monde de ma conversion et beaucoup de personnes retrouvent la joie d’être enfant de Dieu.







SOMMAIRE



INTRODUCTION



CHAPITRE I

MON EXPERIENCE DES FAUSSES DOCTRINES



CHAPITRE II

LES DANGERS DU SPIRITISME



CHAPITRE III

RESURRECTION OU REINCARNATION ?



CHAPITRE IV

PELERINAGE AU PRE-NEUF

DE L’ESCORIAL.



CHAPITRE V

SEJOUR DANS LA VIE RELIGIEUSE





CONCLUSION





PREFACE

DU PERE SPIRITUEL DE FABIENNE



FABIENNE

«PROPHETE DE LA MISERICORDE DIVINE»



Ce deuxième livre de Fabienne a pour but d’expliquer de manière plus approfondie les Sectes dont Jésus l’a retirée, pour la sauver, et sauver, par son témoignage, tous ceux qui sont en danger de perdre leur âme dans ces sectes de Satan.



Car il n’y a pas d’autre Nom par lequel nous puissions être sauvé sinon le Nom de Jésus, dit « Saint Pierre à ses juges qui lui reprochaient d’avoir guéri un paralytique en invoquant le Nom de Jésus ». « Vous voulez faire retomber sur nous le Sang de cet homme », et Saint Jean nous enseigne (1ère Epître, Chapitre 4) : « De nombreux prophètes se sont répandus dans le monde ». Voici comment vous pourrez savoir s’il s’agit de l’Esprit de Dieu : Quiconque déclare que Jésus-Christ est venu dans la chair est de Dieu, et tout esprit qui ne reconnaît pas Jésus n’est pas de Dieu : C’est celui de l’Anté-christ. »



Est-ce que dans le « Nouvel-Age », on prêche Jésus, ou une divinité floue, vague, qui est en tous et en tout, dans la plus grande confusion entre le créateur et la créature. Dieu n’est pas reconnu comme le créateur que la créature doit adorer. Le « Serpent » disait à nos premiers parents : « Vous serez comme des Dieux ».

Il n’y est jamais question de nos devoirs envers notre createur ni du devoir de la Prière, ni du devoir du Sacrifice, du sens chrétien de la Souffrance en union avec Jésus qui nous sauve par Son Sacrifice de la Croix, et de la Sainte Messe.

On nous incite plutôt, au confort, au plaisir sexuel, jusqu’à tuer les enfants dans le sein de leur mère : On fait de nous des prédateurs cruels. C’était déjà « la Gnose » dénoncée par Saint Jean.

Dans le spiritisme, c’est comme un jeu qui donne des pouvoirs : Faire bouger les verres, tourner les tables, l’écriture automatique, parler soi-disant avec les morts – et ce sont des démons.

Le « Secret » d’une initiation qui fait de nous des êtres supérieurs, ayant des « pouvoirs » ou des « connaissances » qui nous mettent « à part ».

Bien entendu, cette « Gnose » nous éloigne de la prière, de la pratique religieuse régulière, des Sacrements de l’Eglise.

De même les prétendues « guérisons » apparentes, ou les pouvoirs de nuire nous éloignent aussi de la Religion Catholique.

Voilà où mènent cette curiosité, la vanité « des pouvoirs et connaissances occultes » pour diviniser ce qui n’est pas Dieu, pour aller chercher « ailleurs » ce que Dieu seul veut nous donner pour Le servir sur la terre, et devenir « Enfants de Dieu pour l’éternité », notre salut éternel. Voilà comment l’ennemi de Dieu et des hommes veut nous perdre en enfer.



Jésus nous sauve par Son Sacrifice de la Croix, en unissant nos souffrances aux Siennes pour leur donner Ses mérites Infinis, et nous ressusciter avec Lui.

C’est la seule vérité, la Résurrection de Jésus et la nôtre, pour notre bonheur éternel.

Parler de « Réincarnation », c’est un pur mensonge. C’est dans cette vie que nous devons nous convertir, car il n’y a pas d’autres vies successives pour nous purifier. C’est par ce mensonge que Satan veut nous empêcher de nous convertir, nous démotiver ; C’est ainsi qu’il veut nous perdre en enfer, car après, il sera trop tard. Le Bon Larron s’est converti avant sa mort.

Les apôtres, « lents à croire », ont prêché la Résurrection de Jésus et ont scellé de leur sang leur enseignement.

Chacun est libre de se convertir, ou de refuser. Du moins, qu’il soit clair que ceux qui refusent Jésus ne peuvent être sauvés, et cela justifie amplement la mission de Fabienne, qui n’enseigne de la part de Jésus, que l’enseignement constant de l’Eglise qui est transmis par les prêtres fidèles au Catéchisme de l’Eglise Catholique ; Encore faudrait-il que Tous les prêtres soient fidèles à l’Evangile authentique, et au Saint-Père. Nous devons le demander, car c’est bien cela que Dieu veut nous donner.

Les chapitres 4 et 5 nous montrent comment Fabienne a voulu obéir à Jésus, par une conversion totale.

En pèlerinage à l’Escorial, elle a reçu les grâces puissantes pour renoncer à des péchés tenaces, elle a lutté vaillamment, mais aussi, par la prière à la Très Sainte Vierge Marie, sa conversion a presque été « facile », tant été forte sa motivation de tout faire pour ne plus jamais déplaire en rien à son Sauveur, comme l’Epouse se donne à son Epoux, comme l’âme victime se donne joyeusement à son Dieu, qui est Tout pour elle.

Libérée des Sectes de Satan, elle pensait trouver, dans des Ordres religieux, l’intimité avec le Rédempteur des âmes dans une prière continuelle, et une vie de sacrifice, dans le don total d’elle-même pour sauver toutes les âmes piégées par l’ennemi.

Hélas ! il n’y a plus la ferveur d’autrefois, car l’Esprit du monde, de la facilité a remplacé l’idéal des Fondateurs et Fondatrices. C’est pourquoi ces Communautés n’ont pas de vocations, et il arrive que l’on doive fermer – ou même vendre - des Maisons de vie religieuse… Et c’est une des raisons pour lesquelles des âmes vont se perdre dans les sectes, puisque l’Eglise est devenue « un désert » et n’offre plus aux âmes en recherche, une réponse crédible, une réponse de Dieu à nos problèmes de société laïcisée.

Prêtres et Religieuses ont voulu « s’adapter au monde ».

Un prêtre me disait, parlant de la Parabole de « L’enfant prodigue » : « Toi, si tu vas dire aux gens qu’il faut qu’ils aient faim pour se convertir, on ne peut plus t’envoyer prêcher dans les paroisses. Tu finirais de vider les églises… ».

Fabienne, déçue dans ses tentatives de Vie Religieuse, n’a donc d’autre choix que de courir le monde, et d’écrire des livres, pour donner son témoignage de convertie, pour sauver le plus grand nombre d’âmes qui se sont fourvoyées.

Dans ce monde où le « Nouvel-Age » et la Franc-Maçonnerie, et autres Sectes veulent imposer leur discours satanique et supplanter l’Evangile et le Magistère authentique des Souverains Pontifes, il est urgent que l’église soit totalement fidèle, et unie aux Papes Jean Paul II et Benoît XVI, et non à l’œcuménisme des Francs-Maçons.

C’est pourquoi, je suis heureux de donner mon plein appui à cet apostolat que Fabienne accomplit dans ce deuxième livre.



LE DIRECTEUR SPIRITUEL DE FABIENNE.





INTRODUCTION



Très chers lecteurs, je souhaite signaler que j’ai écris ce deuxième livre pour faire suite à mon premier « Libérée par la Miséricorde Divine de la Rose-Croix, du Martinisme, du Spiritisme et de la Divination » car des personnes m’ont demandé d’approfondir ce que j’ai vécu dans le Nouvel Age.

Pendant quelques années, j’ai passé mon temps à acquérir des connaissances ésotériques qui ne m’ont mené qu’à un vide intérieur intense.

J’ai acheté des dizaines et des dizaines de livres dans des librairies ésotériques, sans jamais pouvoir me rassasier…

De mois en mois, j’éprouvais un intérêt croissant pour la recherche spirituelle à travers l’ésotérisme et le gnosticisme et enfin à travers le spiritisme.

Cette soif spirituelle, je l’ai rencontré chez beaucoup de personnes qui avaient fait quelquefois plus de 20 ans d’études ésotériques.

Cependant, du fond de leur cœur émanait une trés grande tristesse et une grande insatisfaction.

Personnellement, je recherchais Dieu à ma façon mais je ne l’ai jamais rencontré dans le Nouvel Age.

Il y a onze ans que je suis revenue à l’Eglise Catholique de Rome et là j’ai rencontré Jésus-Christ, mon Sauveur, mon libérateur.

J’ai retrouvé une foi reposant sur des fondements solides.

Certains affirment que Christianisme et Nouvel Age sont compatibles, chacun prenant bien sûr ce qui lui convient le mieux.

A cela, je répondrai simplement que les deux ne sont absolument pas conciliables.

Le premier m’a fait évoluer dans l’amour de Dieu et de mon prochain et le second m’a plongé dans l’orgueil spirituel et dans un désespoir sans nom !

A cela, je rajouterai que, pour moi, le Christianisme est dirigé par la très Sainte Trinité et le New Age par Satan.

Surtout n’oublions pas que Saint Paul nous a appris que c’est pour que nous restions libres que le Christ nous a libérés.

Il nous a invité à tenir bon et à ne pas nous remettre sous le joug de l’esclavage et nous a mis en garde contre les erreurs :

« Le Christ, tel que vous l’avez reçu, Jésus le Seigneur, c’est en lui qu’il vous faut marcher, enracinés et édifiés en lui, appuyés sur la foi telle qu’on vous l’a enseignée, et débordant d’action de grâces.

Prenez garde qu’il ne se trouve quelqu’un pour vous réduire en esclavage par le vain leurre de la « philosophie », selon une tradition toute humaine, selon les éléments du monde, et non selon le Christ. (Col 2- 6/8)



CHAPITRE I :

MON EXPERIENCE DES FAUSSES DOCTRINES



Pendant quelques années, j’ai complètement perdu la foi catholique et avant de la retrouver, j’ai cherché Dieu à travers bien des voies ésotériques qui ne m’ont menées qu’au désespoir…

Quand le Seigneur Jésus est venu me libérer, il m’a dit qu’à ce moment là, mon âme était perdue et j’ai senti toute sa souffrance de cela, car Dieu souffre tant qu’une âme est éloignée de son divin cœur. Toutefois, il m’a vite dit que Ses saintes plaies me sauveraient.

Si je ne m’étais pas repentie, à ma mort mon âme serait tombée au fond de l’abîme.

Mais la Miséricorde infinie du Père est venue vers moi pour me sauver à travers Dieu le Fils, Jésus-Christ. Sa Miséricorde est aussi large et profonde que l’océan.

Au tout début de mon cheminement spirituel, j’ai commencé à fréquenter un groupe de renouveau charismatique, ce qui m’a bien sûr aidé à me relever.

Dieu m’a ensuite instruit sur la prière et m’a invité, à travers Sa sainte Mère à la récitation du Rosaire et il m’a dit que le Rosaire me sauverait.

C’est pourquoi j’essaye, même quand j’ai beaucoup de travail, de le réciter entièrement et de le prier très lentement.

Le Seigneur Jésus nous demande de vivre d’amour et de fidélité à Sa parole car actuellement, avec toutes les fausses doctrines répandues dans le monde, il est très facile de devenir un apostat et de se laisser engloutir par la Bête.

Saint Paul nous a parlé du danger de l’apostasie.

Dans l’épître aux hébreux chapitre 10 verset 26 à 31, il est écrit :

« Car si nous péchons volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité, il n’y a plus de sacrifice pour les péchés. Il y a, au contraire, une perspective redoutable, celle du jugement et d’un courroux de feu qui doit dévorer les rebelles.

Quelqu’un rejette-t-il la loi de Moïse ?

Impitoyablement il est mis à mort sur la déposition de deux ou trois témoins.

D’un châtiment combien plus grave sera jugé digne, ne pensez-vous pas, celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, tenu pour profane le Sang de l’alliance dans lequel il a été sanctifié, et outragé l’Esprit de la grâce !

Nous connaissons, en effet, celui qui a dit :

A moi la vengeance. C’est moi qui rétribuerai.

Et encore : Le Seigneur jugera son peuple.
Oh ! Chose effroyable que de tomber aux mains du Dieu vivant ! ».

Pour aborder le sujet du Nouvel Age, je dirai que c’est un vaste mouvement qui a des millions d’adeptes dans le monde entier et il s’adresse surtout à la Gnose.

La Gnose au sens le plus général, c’est une forme de connaissance non-intellectuelle, visionnaire ou mystique.

Il est dit qu’elle doit être révélée et qu’elle est capable de faire accéder l’homme au mystère Divin.

Dans les premiers siècles du Christianisme, les Pères de l’Eglise luttèrent contre le Gnosticisme, car il était en contradiction avec la foi.

Certains décèlent une renaissance des idées Gnostiques dans la pensée Nouvel Age, et effectivement, divers auteurs de la mouvance Nouvel Age citent le Gnosticisme antique.

Toutefois, en raison de l’accent mis par le Nouvel Age sur le Monisme et même sur le Panthéisme ou le Panenthéisme, beaucoup préfèrent le qualifier de Néo-Gnosticisme, pour distinguer la Gnose Nouvel Age du Gnosticisme antique.

Je me dois d’expliquer certains termes que je viens de citer tels que le Monisme, le Panthéisme et le Panenthéisme.

Le Monisme est une doctrine métaphysique selon laquelle les différences entre les êtres sont illusoires. Il existe un seul être universel, dont font partie toute chose et tout être.

En affirmant que la réalité est fondamentalement spirituelle, le Monisme Nouvel Age se présente comme une forme contemporaine de Panthéisme.

(Il s’accompagne souvent d’un rejet formel du matérialisme, et en particulier du Marxisme).

Sa volonté d’éliminer tout dualisme ne laisse aucune place à un Dieu transcendant, puisque tout est Dieu.

Un autre problème qui se pose pour le Christianisme est la question de l’origine du mal.

Pour C. G. Jung, le mal est « le côté d’ombre » d’un Dieu, qui, pour le théisme classique, est au contraire un Dieu de toute bonté.

Le Panthéisme (du Grec Pan = toute chose et Théos = Dieu) est la croyance selon laquelle tout est Dieu, ou parfois aussi que tout est en Dieu, et que Dieu est dans tout (Panenthéisme).

Chaque élément de l’univers est Divin, et la Divinité est également présente en toutes choses.

Cette vision ne laisse pas de place à Dieu comme personne distincte, tel que le conçoit le Théisme classique.

Actuellement, le Gnosticisme est remis en honneur sous la forme d’Esotéro-Occultisme.

Le vocable ésotérisme (du Grec Esotéros = ce qui est à l’intérieur) indique généralement un corps ancien et caché de connaissances, accessibles uniquement à des groupes d’initiés qui se considèrent comme les gardiens de vérités cachées à la majeure partie de l’humanité.

Le processus d’initiation a pour but de faire passer les individus d’une connaissance purement extérieure et superficielle de la réalité à la vérité intérieure, et ce faisant, d’éveiller leur conscience à un niveau plus profond.

Ils sont alors invités à entreprendre un « voyage intérieur » pour découvrir « l’étincelle divine » en eux-mêmes.

Le salut, dans cette optique, coïncide avec la découverte du moi.

Pour aborder l’occultisme je dirai simplement que la connaissance occulte (cachée) et les forces occultes psychiques et naturelles sont à la base de croyances et de pratiques s’inspirant de la « philosophie pérenne » présumée secrète, synthèse de magie et d’alchimie de la Grèce antique d’une part, et du mysticisme juif de l’autre.

Un code de secret est imposé aux initiés des groupes et des sociétés chargées de conserver ces connaissances et ses techniques, afin qu’elles restent cachées.

Au XIXe siècle, le spiritisme dont je parlerai plus loin et la Société théosophique introduisirent de nouvelles formes d’occultisme qui ont influencé à leur tour certains courants du Nouvel Age.

Puisque plus haut j’ai évoqué l’ésotéro-occultisme, en deux mots je dirai simplement que l’ésotérisme c’est la partie théorique et l’occultisme c’est la mise en pratique de ce gnosticisme moderne.

Gnosis en grec, c’est le savoir et la Gnose signifie connaissance, nous en avons déjà parlé.

Le Gnostique croit que c’est par le savoir qu’il est sauvé. Il ne croit pas à une vérité révélée en Jésus Christ, il s’approprie sa propre vérité.

Le Chrétien reçoit son salut d’un autre, qui a pris visage en Jésus-Christ, pour lui dire la vérité de son être et de sa relation à ce Dieu personnel que le Seigneur Jésus appelle Père et auquel tout Chrétien peut avoir accés dans le Seigneur Jésus, dans la grâce de l’Esprit-Saint.

La Gnose affirme que le monde est construit sous un monde bi-polaire, c'est-à-dire qu’il y a le ciel et la terre, et pour l’homme il y a le corps et l’âme qui sont séparés.

Pour nous chrétiens, ceci est faux car l’homme est un tout.

Corps et âme, mais vraiment un, l’homme doit estimer et respecter son corps qui a été créé par Dieu et qui doit ressusciter au dernier jour.

L’unité de l’âme et du corps est si profonde que l’on doit considérer l’âme comme la forme du corps, c'est-à-dire que c’est grâce à l’âme spirituelle que le corps constitué de matière est un corps humain et vivant.

Dans le Nouvel Age on parle beaucoup de Karma.
Le karma (de la racine sanscrite Kri = action, fait) est une notion clé de l’Hindouisme, du Jaïnisme et du Bouddhisme, et a fait l’objet d’interprétations souvent très diverses.

A l’origine, à l’époque védique, il indiquait l’acte rituel, en général un sacrifice, par lequel une personne accédait au bonheur ou à la béatitude de l’au-delà.

Avec l’apparition du Jaïnisme et du Bouddhisme (vers le VIe siècle avant Jésus-Christ) le karma perdit sa connotation salvifique :

La voie de la libération passait par la connaissance de l’atman ou « soi ».

Dans la doctrine du samsara, le karma devient le cycle perpétuel de naissance et de mort des hommes (hindouisme) ou de renaissance (bouddhisme).

Dans l’optique du Nouvel Age, la « loi du karma » est souvent considérée comme l’équivalent moral de l’évolution cosmique.

Elle n’a donc plus rien à voir avec le mal ou la souffrance, toutes illusions qu’il faut accepter comme faisant partie d’un « jeu cosmique », mais est la loi universelle de cause à effet, qui fait partie du grand mouvement de l’univers interdépendant vers l’équilibre moral.

La loi du karma, la loi de l’éternel retour est toujours reprise dans le Gnosticisme et dans l’Esotérisme que je vais maintenant évoquer :

L’Esotérisme vient du terme grec caché, c'est-à-dire que l’on entre dans une science, par initiation, réservée à ceux qui suivent un rite d’initiation.

On peut citer comme une sorte de Gnosticisme ancien sous la forme d’Esotérisme les groupes qui suivent :

La Théosophie qui s’inspire du Gnosticisme, l’Antroposophie, les différentes écoles Rose-Croix et la Franc Maçonnerie.

Il existe bien sûr beaucoup d’autres groupes.

La Théosophie est un terme ancien qui, à l’origine, désignait un type de mysticisme.

Attribué aux Gnostiques et aux Néoplatoniciens Grecs, à Maître Eckart, à Nicolas de Cuse et à Jacob Boehme, il fut repris par la Société théosophique fondée en 1875 par Helena Petrovna Blavatsky et d’autres.

Le mysticisme Théosophique tend à être Moniste, puisqu’il insiste sur l’unité essentielle des composantes spirituelle et matérielle de l’univers.

Il s’intéresse aussi aux forces cachées qui rendent possible l’interaction entre matière et esprit, pour que l’esprit humain et l’Esprit Divin puissent se rencontrer finalement.

En cela, la Théosophie offre la rédemption mystique ou illumination.

L’Antroposophie est la doctrine Théosophique répandue à l’origine par le Croate Rudolf Steiner (1961-1925), qui abandonna la Société Théosophique après avoir dirigé sa branche allemande de 1902 à 1913.

Cette doctrine ésotérique entend initier les personnes à la « connaissance objective » dans la sphère spirituelle-divine.

Steiner croyait que cela l’avait aidé à découvrir les lois de l’évolution du cosmos et de l’humanité.

Chaque être physique possède un double spirituel et la vie terrestre est influencée par les énergies astrales et les essences spirituelles.

On dit que les chroniques d’Akasha sont la « mémoire cosmique » accessible aux initiés.

Les différents groupes Rose-Croix sont des groupes occultes occidentaux qui pratiquent l’Alchimie, l’Astrologie, la Théosophie et l’interprétation Kabbalistique des Ecritures.

La Fraternité de la Rose-Croix a contribué au renouveau de l’astrologie au XXe siècle, et l’Ancien et Mystique Ordre des Rose-Croix (AMORC) liait le succès à une capacité présumée de matérialiser les images mentales de santé, richesse et bonheur.

Je reviendrai sur ce sujet puisque j’ai moi-même fait partie de l’ordre de la Rose-Croix AMORC pendant quelques années.

En ce qui concerne la Franc-Maçonnerie, j’ai relevé quelques extraits dans une partie de l’Encyclique Humanum Genus du 20 avril 1884 de Léon XIII (sur la secte des Francs-Maçons) :

«A notre époque, les fauteurs du mal paraissent s’être coalisés dans un immense effort, sous l’impulsion et avec l’aide d’une société répandue en un grand nombre de lieux et fortement organisée, la société des Francs-Maçons.

Ceux-ci, en effet, ne prennent plus la peine de dissimuler leurs intentions et ils rivalisent d’audace entre eux contre l’Auguste Majesté de Dieu.

C’est publiquement, à ciel ouvert, qu’ils entreprennent de ruiner la Sainte Eglise, afin d’arriver, si c’était possible, à dépouiller complètement les nations Chrétiennes des bienfaits dont elles sont redevables au Sauveur Jésus-Christ. »

Dans la même encyclique, il est écrit que les prédécesseurs de Léon XIII eurent bien vite reconnu cet ennemi capital au moment où, sortant des ténèbres d’une conspiration occulte, il s’élançait à l’assaut en plein jour.

Sachant ce qu’il était, ce qu’il voulait, et lisant pour ainsi dire dans l’avenir, ils donnèrent aux princes et aux peuples le signal d’alarme, et les mirent en garde contre les embûches et les artifices préparés pour les surprendre.

Il est aussi écrit que le but fondamental et l’esprit de la secte Maçonnique avaient été mis en pleine lumière par la manifestation évidente de ses agissements, la connaissance de ses principes, l’exposition de ses règles, de ses rites et de leurs commentaires, auxquels, plus d’une fois, s’étaient ajoutés les témoignages de ses propres adeptes.

En présence de ses faits, il était tout simple que ce siège apostolique dénonçât publiquement la Secte des Francs-Maçons comme une Association criminelle, non moins pernicieuse aux intérêts du Christianisme qu’à ceux de la société civile.

Il édicta donc contre elle les peines les plus graves dont l’église a coutume de frapper les coupables, et interdit de s’y affilier.

Actuellement, le jugement négatif de l’église sur les Associations Maçonniques demeure inchangé parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’église et l’inscription à ses associations reste interdite par l’église.

Les fidèles qui appartiennent aux Associations Maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la Sainte communion.

Ceci est une partie de la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi approuvée par Jean Paul II le 26 novembre 1983.

Puisque l’église m’a demandé, à travers plusieurs confesseurs et à travers mon directeur spirituel, de rendre grâce à Dieu pour le témoignage que je donne de ma conversion, et bien je témoigne qu’après un pélerinage à l’Escorial et à Medjugorje, j’ai décidé de quitter l’ordre de la Rose-Croix A.M.O.R.C car durant mon pèlerinage en Croatie, la très Sainte Vierge m’a gentiment fait savoir que j’étais dans une secte.

Ceci, bien sûr, est une révélation privée, mais j’ai remarqué que chaque fois que je n’ai pas écouté tout de suite les conseils que me donnait la vierge Marie et bien je m’égarais tout simplement et après m’être égarée, je devais réparer mon orgueil.

La Sainte Vierge m’a appris à devenir humble, car c’est par l’humilité que l’on peut sauver son âme.

J’essaye, dans ma pauvre misère, de cheminer avec les conseils de la très Sainte Vierge Marie et de mon Père Spirituel et peut-être, qu’à la fin de ma seule vie terrestre, je deviendrais humble pour pouvoir entrer au Paradis.

Au Ciel n’entrent que les « Petits », c'est-à-dire les pauvres pécheurs qui sont revenus à Dieu le Père, par Son Fils grâce à l’intercession de la très Sainte Vierge Marie.

Dieu m’a demandé de suivre l’exemple des «Petits » et il m’a montré ce qu’il signifiait par là. Je me suis retrouvé au milieu d’un groupe de personnes qui priaient le Rosaire avec le chapelet à la main, à genoux. Voilà l’état de Petitesse qui plaît à Dieu.

Par la suite, j’ai pris en considération les conseils que m’avaient donné la Sainte Vierge Marie et j’ai commencé par écrire une lettre au grand Maître de l’Ordre de la Rose Croix AMORC, qu’on appelle l’impérator, pour l’informer que je souhaitais être libre de cet Ordre afin de pouvoir rejoindre l’Eglise Catholique, puisque Chrétienne j’étais née après avoir reçu le Baptême.

Le responsable de l’Ordre de la Rose-Croix AMORC m’a laissé totalement libre de partir.

De toute façon, même si quelqu’un s’était interposé à mon départ, l’Esprit de Dieu m’avait donné une telle force que personne n’aurait pu m’arrêter.

Les personnes autour de moi se sont demandées pendant plusieurs mois ce qui m’arrivait.

J’étais devenue ivre du Saint-Esprit. Je témoignais partout que Jésus m’avait ressuscitée.

Pendant quelques années, j’ai offensé le Seigneur en ne me souvenant plus de la grâce qu’Il m’avait faite en m’appelant à être baptisée.

Le Catéchisme de l’Eglise Catholique nous indique que le saint Baptême est le fondement de toute la vie Chrétienne, le porche de la vie dans l’Esprit et la porte qui ouvre l’accès aux autres sacrements.

Par le Baptême, nous sommes libérés du péché et régénérés comme Fils de Dieu, nous devenons membres du Christ et nous sommes incorporés à l’Eglise et faits participants à sa mission :

« Le Baptême est le sacrement de la régénération par l’eau et dans la Parole ».

Le Baptême est le plus beau et le plus magnifique des dons de Dieu.

Nous l’appelons don, grâce, onction, illumination, vêtement d’incorruptabilité, bain de régénération, sceau, et tout ce qu’il y a de plus précieux.

Don, parce qu’il est conféré à ceux qui n’apportent rien ; Grâce, parce qu’il est donné même à des coupables : Baptême, parce que le péché est enseveli dans l’eau ; Onction, parce qu’il est sacré et royal (tels sont ceux qui sont oints) ; Illumination, parce qu’il est lumière éclatante ; Vêtement, parce qu’il voile notre honte ; Bain, parce qu’il lave ; Sceau, parce qu’il nous garde et qu’il est le signe de la Seigneurie de Dieu.

La Très Sainte Trinité donne au baptisé la grâce sanctifiante, la grâce de la justification qui le rend capable de croire en Dieu, d’espérer en Lui et de L’aimer par les vertus théologales ; Il lui donne de pouvoir vivre et agir sous la motion de l’Esprit Saint par les dons du Saint Esprit et enfin il lui permet de croître dans le bien par les vertus morales.

Il existe trois vertus théologales : La foi, l’espérance et la charité.

La foi est la vertu théologale par laquelle nous croyons en Dieu et à tout ce qu’il nous a dit et révélé, et que le Sainte Eglise nous propose à croire, parce qu’Il est la vérité même.

Par la foi « l’homme s’en remet tout entier librement à Dieu ».

C’est pourquoi le croyant cherche à connaître et à faire la volonté de Dieu. « Le juste vivra de la foi » (Rm 1,17). La foi vivante « agit par la charité » (Ga 5,6).

Le don de foi demeure en celui qui n’a pas péché contre elle. Cependant, j’ai péché moi-même quelques années en m’éloignant de la vrai foi et en adhérant à de fausses doctrines.

Si je ne témoignais pas aujourd’hui, ma foi serait morte.

Un disciple du Christ ne doit pas seulement garder la foi et en vivre, mais encore la professer, en témoigner avec assurance et la répandre :

« Tous doivent être prêts à confesser le Christ devant les hommes et à Le suivre sur le chemin de la Croix, au milieu des persécutions qui ne manquent jamais à l’Eglise ».

Pour sauver mon âme, je dois servir et témoigner.

« Quiconque se déclarera pour Moi devant les hommes, Je Me déclarerai, Moi aussi, pour lui devant mon Père qui est aux Cieux ; Mais celui qui Me reniera devant les hommes, Je le renierai, Moi aussi, devant mon Père qui est aux Cieux » (MT 10, 32-33).

A l’époque où je n’étais pas réveillée, le Seigneur m’a fait savoir qu’une âme hypocrite ne pouvait plus avancer.

Et c’est à partir de là que j’ai réellement commencé à vivre selon la foi, l’espérance et la charité.

L’espérance est la vertu théologale par laquelle nous désirons comme notre bonheur le Royaume des cieux et la vie éternelle, en mettant notre confiance dans les promesses du Christ et en prenant appui, non sur nos forces, mais sur le secours de la grâce du Saint-Esprit.

Comme tout chrétien baptisé, je peux espérer la gloire du Ciel promise par Dieu à ceux qui L’aiment et font sa volonté.

En toute circonstance, chacun doit espérer, avec la grâce de Dieu, « persévérer jusqu’à la fin » et obtenir la joie du ciel, comme l’éternelle récompense de Dieu pour les bonnes œuvres accomplies avec la grâce du Christ.

Dans l’espérance l’Eglise prie que « tous les hommes soient sauvés » (1 Tm 2,4).

Elle aspire à être, dans la gloire du ciel, unie au Christ, son Epoux : « Espère, ô mon âme, espère. Tu ignores le jour et l’heure. Veille soigneusement, tout passe avec rapidité, quoique ton impatience rende douteux ce qui est certain, et long un temps bien court.

Songe que plus tu combattras, plus tu prouveras l’amour que tu portes à ton Dieu, et plus tu te réjouiras un jour avec ton Bien-Aimé, dans un bonheur et un ravissement qui ne pourront jamais finir ».

La charité est la vertu théologale par laquelle nous aimons Dieu par-dessus toute chose pour Lui-même, et notre prochain comme nous-mêmes pour l’amour de Dieu.

Je témoigne à travers ces écrits par amour pour mes frères et sœurs en Christ et comme beaucoup se sont éloignés à travers de fausses doctrines, j’ai décidé de répondre encore à l’appel du Seigneur Jésus qui m’a demandé de témoigner de sa Miséricorde.

Mon repentir m’a sauvé. C’est à partir du moment où j’ai amèrement regrettée d’avoir offensé Dieu d’avoir quitté le Christianisme pour de fausses doctrines que j’ai réellement découvert qui est le Seigneur Jésus et la puissance de son amour vrai et je peux maintenant affirmer qu’on ne peut pas être Catholique et Rose Croix.

J’ai fais le choix de Dieu, Sainte Trinité parce que Dieu est Père, Dieu est Amour, Dieu est miséricorde infinie quoiqu’on ait fait du moment que l’on revient à lui. Aucun péché n’épuisera sa miséricorde si on accepte de reconnaître notre faute auprès d’un prêtre, d’une façon individuelle.

Actuellement, on ne doit pas être tiède ; Il faut choisir entre Dieu ou Satan, entre la Sainte Bible et les fausses doctrines.

Si j’avais continué à adhérer à des fausses doctrines, j’aurai péché contre l’Esprit de Dieu, et si je péche contre l’Esprit, c’est le seul péché qui ne me sera pas pardonné.

Alors j’ai décidé de choisir le vrai Dieu de la Vie, Jésus-Christ, Fils de Dieu, et de ne pas donner mon âme à l’enfer, d’autant plus que devant le tabernacle, le Seigneur Jésus m’avait demandé de ne plus vendre mon âme au diable.

Effectivement, sans m’en rendre compte, mon âme était au démon puisque j’adhérai à une doctrine qui n’est pas conforme à la Révélation divine.

Je me suis repentie par amour pour Dieu qui a souffert Sa Douloureuse Passion pour chaque âme qu’il a créée et qu’il veut absolument sauver.

Dieu aime tous les apostats et les hérétiques et il attend, comme il l’a fait pour moi, que l’on revienne dans son Divin cœur, que l’on revienne à l’unité de l’église, pour nous donner Sa vie et nous la donner en surabondance.

Dieu est Amour, Dieu est Vie, mais Dieu veut le repentir de ceux qui se sont éloignés de lui afin de les sauver.

Personnellement, j’ai préféré reconnaître ma faute auprès d’un prêtre. Depuis j’en suis libre et j’espère en mon salut éternel que seul Jésus Christ peut réaliser en moi en venant quotidiennement dans mon pauvre cœur pour m’aider à avancer vers le Paradis.

Chers amis, la Parole de Dieu en St Jean chapître 3 verset 14 à 16 nous dit ceci :

« Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi faut-il que soit élevé le fils de l’homme, afin que quiconque croit, ait en lui la vie éternelle.

Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils, l’unique engendré, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle ».

En St Jean chapitre 3, verset 36, il est écrit :

« Qui croit au Fils a la vie éternelle, qui résiste au Fils ne verra pas la Vie ; mais la colère de Dieu demeure sur lui. ».

Dans l’Anticus Mysticusque Ordo Rosae Crucis, l’Ordre de la Rose-Croix AMORC, j’ai passé quelques degrés, j’ai étudié les diverses monographies que je recevais tous les mois et je faisais les exercices qui m’étaient proposés car à ce moment-là, je croyais que cela était bon pour mon âme et que j’allais pouvoir aider mes frères avec tout ce que j’avais appris.

Malheureusement, peu à peu j’ai pris conscience que je ne pouvais aider personne avec toutes ces connaissances et j’ai demandé à un prêtre de l’Eglise catholique qu’il rompe tous ces liens avec cet ordre ésotérique et le prêtre m’a d’abord demandé de me confesser.

Je puis témoigner après avoir reçu une solide formation chrétienne, que l’enseignement qui est donné est complètement inconciliable avec la foi catholique.

J’ai personnellement commis une erreur que j’ai regrettée car au lieu d’évoluer dans la paix et dans la joie de l’Esprit-Saint, je suis tombée dans un grand désespoir spirituel et nous savons que tout désespoir vient de l’ennemi de nos âmes, Satan.

Dès mon affiliation, j’ai commencé à recevoir quatre monographies, tous les mois, et très rapidement on nous enseignait que la réincarnation existait pour chaque âme.

Malheureusement, j’avais perdu mes connaissances chrétiennes et j’avais oublié que le Christ ne nous avait pas appris la réincarnation mais qu’il nous a parlé de sa propre Résurrection.

L’Eglise enseigne la Résurrection de la chair et notre « Credo » Chrétien l’affirme.

Dans les monographies que je recevais, je n’ai jamais lu que notre Seigneur Jésus Christ était le Fils de Dieu, le verbe incarné et c’est là que j’aurai du réagir et partir.

Cependant, à ce moment là, je ne pouvais pas réagir car les puissances de l’enfer me tenaient liée.

Si quelqu’un avait jeûné pour moi ou fait quelques sacrifices, j’aurai été libérée beaucoup plus rapidement.

Heureusement que ma mère priait tous les jours pour moi et ses prières ont touché le cœur le Dieu et la puissance de l’Esprit m’a libérée peu à peu, à travers des prières de coupure des liens, à travers plusieurs retraites de guérison intérieure, à travers de nombreuses messes dites pour le salut éternel de mon âme, à travers bien des chemins de croix offerts par amour pour Dieu et à travers plusieurs confessions.

Dans cet ordre ésotérique, j’ai passé quelques initiations en loge et je me rappelle qu’à une certaine initiation le Seigneur Jésus à permis à Satan qu’il se manifeste afin que je comprenne que c’est le démon qui dirige l’Esotérisme et toutes techniques du Nouvel Age, tout comme l’Esprit Saint dirige l’Eglise.

A cette initiation particulière, Satan a été obligé de m’avouer que c’était lui qui donnait toutes ces initiations et le Seigneur Jésus m’a montré en esprit toutes les libérations qu’il m’apportait quand il a délivré mon âme de ces initiations.

Je voyais tout en Esprit.

Tout ce qui vient de Satan est caché, tout simplement, parce qu’il a toujours peur d’être découvert et que son travail contre Dieu s’écroule.

Mais Dieu m’a bel et bien montré qu’il me délivrait de l’ennemi et de toutes ces initiations et quand j’ai passé, plus tard, ma confirmation dans l’Eglise Catholique de Rome, j’ai compris l’action de Dieu et que seule la Confirmation est bonne pour mon âme et je me rappelle que le jour où j’ai été confirmé le Seigneur m’a dit : « Mon Amour est en Toi ».

Le Catéchisme de l’Eglise Catholique nous indique qu’avec le Baptême et l’Eucharistie, le sacrement de la Confirmation constitue l’ensemble des « sacrements de l’initiation Chrétienne », dont l’unité doit être sauvergardée.

La réception du sacrement de la Confirmation est nécessaire à l’accomplissement de la grâce baptismale. En effet, « par le sacrement de Confirmation, le lien des baptisés avec l’Eglise est rendu plus parfait, ils sont enrichis d’une force spéciale de l’Esprit-Saint et obligés ainsi plus strictement à répandre et à défendre la foi par la parole et par l’action en vrais témoins du Christ ».

Après avoir reçu la confirmation, un prêtre m’a imposé le scapulaire de Notre Dame du Mont Carmel. Je me suis donc engagée à vivre la chasteté selon mon état de vie. Je me suis aussi engagée à réciter le chapelet tous les jours et à porter le scapulaire sur moi jusqu’à l’heure de ma mort.

Les diverses initiations ésotériques m’ont plongé dans l’orgueil spirituel et on sait à quel point Dieu abaisse les orgueilleux.

Mais Dieu élève aussi les humbles, c'est-à-dire ceux qui se soumettent à la foi Catholique.

« Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande » a dit Jésus, c'est-à-dire qu’il nous invite, comme Ses Apôtres, à observer tout ce qu’il nous a enseigné dans l’Evangile.

L’humilité, c’est de se soumettre à l’enseignement que Jésus-Christ nous a laissé et l’orgueil consiste à soumettre notre âme à des enseignements ésotériques, sans fin, qui ne mènent qu’à un grand désespoir.

Satan avait envahi mon âme par son poison, par son venin…

Mais Dieu, dans sa grande bonté, m’en a délivré grâce à son précieux sang.

Dans d’autres études ésotériques, j’ai étudié bien des choses.

J’ai acheté beaucoup d’ouvrages sur le Nouvel Age et je me suis notamment intéressée à l’élargissement de la conscience.

Si le cosmos est la chaîne ininterrompue des êtres, les différents niveaux d’existence minéral, végétal, animal, humain, cosmique et Divin sont tous interdépendants.

Les hommes prennent conscience de la place qu’ils occupent dans cette vision holistique de la réalité globale en élargissant leur conscience bien au-delà de ses limites normales.

Le Nouvel Age propose une grande variété de techniques pour atteindre un niveau supérieur de perception de la réalité, surmonter la séparation entre sujet et objet dans le processus cognitif, pour parvenir à une fusion totale de ce que la conscience inférieure et normale perçoit comme des réalités séparées et distinctes.

Dans les divers enseignements du Nouvel Age, j’ai entendu parler de l’ère du Verseau. Le Nouvel Age nous enseigne que chaque ère astrologique, d’une durée d’environ 2146 ans porte le nom d’un des signes zodiacaux, mais les « grands jours » s’écoulent en sens inverse, de sorte que l’ère actuelle des Poissons est en train de faire place à l’ère du Verseau.

Chaque ère a ses propres énergies cosmiques. Alors que l’énergie des Poissons en a fait un temps de guerres et de conflits, celle du Verseau sera un temps d’harmonie, de justice, de paix, d’unité, etc…

De ce point de vue, le Nouvel Age admet l’inéluctabilité historique.

Certains soutiennent que l’ère du Bélier a été l’ère de la religion Juive, que l’ère des Poissons est celle du Christianisme, et que l’ère du Verseau sera celle de la religion Universelle.

D’après les astrologues, nous sommes actuellement dans l’ère des Poissons qui a été dominée par le Christianisme, mais l’ère des Poissons est sur le point de faire place à la nouvelle ère du Verseau en ce début du troisième millénaire.

Le rapport Jésus-Christ, le porteur d’Eau Vive fait ressortir qu’il y a une telle confusion dans le Nouvel Age, qu’on ne sait plus si Jésus-Christ est unique ou s’il y a des milliers de Christs.

Jésus Christ est souvent présenté dans la littérature Nouvel Age comme un sage, un initié ou un avatar parmi tant d’autres, alors que pour la tradition chrétienne, il est le Fils de Dieu.

Pour le Nouvel Age le Jésus historique personnel et individuel est distinct du Christ éternel, impersonnel et universel.

Jésus n’est pas considéré comme le seul Christ.

Sa mort sur la croix est soit contesté, soit réinterprétée pour écarter l’idée que, comme Christ, il ait pu souffrir.

Les textes apocryphes (comme les Evangiles Néo-Gnostiques) sont considérés commes des sources authentiques permettant de connaître certains aspects de la vie de Jésus qui n’apparaissent pas dans le canon de l’Ecriture.

D’autres révélations sur Jésus, transmises par des entités, esprits guides, maîtres ascensionnés, ou même par les Chroniques d’Akasha, occupent une place dans la Christologie du Nouvel Age.

Une exégèse de type Esotérique est appliquée aux textes bibliques pour purifier le Christianisme de la religion officielle, qui barre l’accès à son essence Esotérique.

Selon la tradition chrétienne, Jésus-christ est le Jésus de Nazareth dont parle L’Evangile.

L’enfant de Marie et le Fils unique de Dieu, vrai homme et vrai Dieu, pleine révélation de la vérité, unique Sauveur du monde :

« Crucifié pour nous sous Ponce Pilate, Il souffrit sa passion et fut mis au tombeau. Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Ecritures, et Il monta au ciel ; Il est assis à la droite du Père ».

Après avoir quitté les ordres ésotériques, j’ai continué à étudier de fausses doctrines et peu à peu j’ai pris conscience que tous les fondateurs du Nouvel Age ou encore Saï Baba, Bouddha, Confucius, Chrishnamurti ne sont que de pauvres créatures comme vous et moi. Ce ne sont pas des Dieux.

Un vrai prophète amène toujours à Jésus-Christ et le reconnaît comme son Seigneur et son Dieu. Il ne se glorifie pas lui-même.

J’ai maintenant des amis Musulmans qui sont devenus de vrais Chrétiens et je vous assure qu’ils nous dépassent largement par leur fidélité quand ils se sont convertis.

Récemment, j’ai rencontré un Dame Musulmane qui est devenue Catholique et je me suis émerveillée de sa conduite. C’est elle qui nous édifiait par son exemple. Elle insistait même en nous disant que nous devions être de bons Chrétiens.

Au début de mon cheminement, quand le Seigneur Jésus a commencé à me former, Il m’a dit : «Loue-moi, glorifie-moi, honore-moi ». Il m’a demandé de me renier, de me dépouiller, de me laisser aller à la miséricorde avec tous et de ne jamais cesser de le prier, par Sa Passion, pour toutes les âmes que je connaissais.

Les faux prophètes, comme ceux que j’ai cité plus haut, ne vous donneront jamais l’eau vive que seul Jésus-Christ, peut vous donner.

Des personnes qui viennent à mes conférences ont quelquefois quitté la religion Catholique pour le Bouddhisme uniquement parce qu’elles croyaient qu’elles allaient guérir là dedans.

Mais, malheureusement elles sont tombées malades parce qu’elles ont perdu la confiance en Jésus-Christ. Et en plus d’être malade, elles perdent la vie éternelle si elles ne reviennent pas de tout leur cœur à la religion dans laquelle Dieu les a appelés à leur naissance.

J’ai déjoué les plans de l’ennemi et je leur ai dit qu’avec le Seigneur Jésus il n’y a pas de compromis. C’est ou lui ou Satan, il faut choisir.

Seul le Seigneur Jésus peut guérir. Aucun guérisseur ou magnétiseur ne pourra vous apporter une vraie guérison car le seul Maître c’est Jésus-Christ et il a montré, quand il était sur terre, combien de guérisons il faisait.

Si nous nous ouvrons à la grâce du Saint-Esprit, le Seigneur Jésus peut encore nous guérir. Mais Dieu exige la confiance.

Si vous avez contact avec une autre personne que le Seigneur Jésus-Christ pour guérir, je vous invite simplement à quitter toutes ses idôles et à demander à un prêtre de l’Eglise Catholique de vous couper tous ses liens.

Combien de personnes sont tombées malades après avoir rencontré des soi-disants guérisseurs ou magnétiseurs ou encore des soi-disants guérisseurs du Nouvel Age. J’en en eu bien des exemples.

Seul Jésus-Christ peut vous délivrer de tout cela et par son précieux, il peut aussi vous délivrer de l’emprise de toutes les idoles.

Mais pour cela, il purifie afin que l’on comprenne qu’il est Dieu et que Dieu peut tout pour chaque âme qu’il a créé avec tout Son Amour.

Dieu peut nous guérir à travers le sacrement des malades, sacrement qu’il a lui-même institué dans son église.

« Par l’onction sacrée des malades et la prière des prêtres, c’est l’Eglise tout entière qui recommande les malades au Seigneur souffrant et glorifié, pour qu’Il les soulage et les sauve ; Bien mieux, elle les exhorte, en s’associant librement à la Passion et à la mort du Christ à apporter leur part pour le bien du Peuple de Dieu. »



La compassion du Christ envers les malades et Ses nombreuses guérisons d’infirmes de toute sorte sont un signe éclatant de ce que « Dieu a visité son peuple » (Lc 7, 16) et que le Royaume de Dieu est tout proche.

Jésus n’a pas seulement pouvoir de guérir, mais aussi de pardonner les péchés : Il est venu guérir l’homme tout entier, âme et corps ; Il est le médecin dont les malades ont besoin. Sa compassion envers tous ceux qui souffrent va si loin qu’il s’identifie avec eux : « J’ai été malade et vous m’avez visité » (MT 25, 36).

Son amour de prédilection pour les infirmes n’a cessé, tout au long des siècles, d’éveiller l’attention toute particulière des chrétiens envers tous ceux qui souffrent dans leur corps et dans leur âme. Elle est à l’origine des efforts inlassables pour les soulager.

Souvent Jésus demande aux malades de croire. Il se sert de signes pour guérir : salive et imposition des mains, boue et ablution. Les malades cherchent à Le toucher car « une force sortait de lui et les guérissait tous » (Lc 6, 19).

Ainsi dans les sacrements le Christ continue à nous « toucher » pour nous guérir.

Emu par tant de souffrances, le Christ non seulement se laisse toucher par les malades, mais Il fait siennes leurs misères : « Il a pris nos infirmités et s’est chargé de nos maladies » (MT 8, 17).

Il n’a pas guéri tous les malades. Ses guérisons étaient des signes de la venue du Royaume de Dieu.

Ils annonçaient une guérison plus radicale : la victoire sur le péché et la mort par sa Pâque.

Sur la Croix, le Christ a pris sur Lui tout le poids du mal et a enlevé le « péché du monde » (Jn 1, 29), dont la maladie n’est qu’une conséquence.

Par sa Passion et sa mort sur la Croix, le Christ a donné un sens nouveau à la souffrance : Elle peut désormais nous configurer à Lui et nous unir à Sa Passion rédemptrice.

L’Eglise croit et confesse qu’il existe, parmi les sept sacrements, un sacrement spécialement destiné à réconforter ceux qui sont éprouvés par la maladie : l’Onction des malades.

Le sacrement des malades est conféré aux personnes dangereusement malades en les oignant sur le front et sur les mains avec de l’huile dûment bénite – huile d’olive ou autre huile extraite de plantes – en disant une seule fois :

« Par cette onction sainte, que le Seigneur, en sa grande bonté, vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’Il vous sauve et vous relève ». (C.E.C. onction des malades).

Il me semble qu’il ne faut pas chercher la guérison en dehors du Christ car personne ne pourra la trouver.

Personnellement, j’ai trouvé la guérison dans l’église catholique, après avoir reçu cinq sacrements des malades car j’étais très mal en point après m’avoir fait ouvrir les chakras. J’ai failli mourir plusieurs fois et Jésus un jour m’a demandé de lui offrir ma détresse, car cette détresse, il venait la porter sur lui.

Cependant quelques personnes me disent quelquefois qu’après avoir vu un guérisseur ou un magnétiseur elles se sentent mieux dans leur peau.

A cela je réponds que Satan est malin. Il opère un semblant de guérison et quelques temps plus tard une maladie bien plus grave se déclanche et c’est pourquoi j’ai toujours invité les personnes que j’ai rencontrée à ne suivre que le chemin du Christ, le seul libérateur des âmes.

Les chrétiens savent que « hors de l’église, il n’y a point de salut ».

Le catéchisme de l’église catholique nous dit ceci :

« Comment faut-il entendre cette affirmation souvent répétée par les Pères de l’Eglise ?

Formulée de façon positive, elle signifie que tout salut vient du Christ-Tête par l’Eglise qui est son Corps :

Appuyé sur la Sainte Ecriture et sur la Tradition, le Concile enseigne que cette église en marche sur la terre est nécessaire au salut.

Seul, en effet, le Christ est médiateur et voie de salut : Or, il nous devient présent en son Corps qui est l’Eglise ; Et en nous enseignant expressément la nécessité de la foi et du Baptême, c’est la nécessité de l’Eglise elle-même, dans laquelle les hommes entrent par la porte du Baptême, qu’il nous a confirmé en même temps.

C’est pourquoi ceux qui refuseraient soit d’entrer dans l’Eglise Catholique, soit d’y persévérer, alors qu’ils la sauraient fondée de Dieu par Jésus-Christ comme nécessaire, ceux-là ne pourraient être sauvés. (Lumen Gentium 14 – Vatican II).

Cette affirmation ne vise pas ceux qui, sans qu’il y aille de leur faute, ignorent le Christ et son Eglise : En effet, ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Evangile du Christ et Son Eglise, mais cherchent pourtant Dieu d’un cœur sincère et s’efforcent, sous l’influence de Sa Grâce, d’agir de façon à accomplir Sa Volonté telle que leur conscience la leur révèle et la leur dicte, ceux-là peuvent arriver au salut éternel (lumen gentium 16).

« Bien que Dieu puisse par des voies connues de lui seul amener à la foi sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu (cf. He 11,6) des hommes qui, sans faute de leur part, ignorent l’évangile, l’église a le devoir en même temps que le droit sacré d’évangéliser tous les hommes.

Après avoir étudié quelques années ce qu’est réellement le Nouvel Age, je dois reconnaître et affirmer que le seul qui soit à la fois Dieu et homme, c’est Jésus-Christ qui est le Fils de Dieu, Son Verbe incarné.

Pour discerner si nous sommes dans la vérité du Christ ou si nous sommes dans le Nouvel Age, il est important de vérifier si l’incarnation du Verbe de Dieu est affirmée. Alors, dans ce cas uniquement, l’Esprit de Dieu est présent.

Or le Nouvel Age n’annonce pas le Verbe de Dieu fait chair, il n’annonce pas Jésus de Nazareth vrai Dieu et vrai homme et Fils de Dieu.

Pierre a confessé Jésus comme « le Christ, le Fils du Dieu Vivant » (MT 16, 16) car celui-ci lui répond avec solennité :

« Cette révélation ne t’est pas venue de la chair et du sang mais de Mon Père qui est dans les Cieux » (MT 16,17).

Parrallèlement Paul dira à propos de sa conversion sur le chemin de Damas : « Quand Celui qui dès le sein maternel m’a mis à part et appelé par sa grâce daigna révéler en moi son Fils pour que je L’annonce parmi les païens… » (Ga 1, 15-16).

« Aussitôt il se mit à précher Jésus dans les synagogues, proclamant qu’Il est le Fils de Dieu » (Ac 9,20).

Ce sera dès le début le centre de la foi apostolique professée d’abord par Saint Pierre comme fondement de l’Eglise.

Le Nouvel Age annonce la manifestation d’un Christ Cosmique qu’ils appellent un avatar.

Pour le Chrétien ce Christ cosmique est un faux Christ, ces faux Christ dont le Seigneur nous dit attention n’y allez pas, n’y courrez pas.

Pour le chrétien « Christ » vient de la traduction Grecque du terme Hébreux « Messie » qui veut dire « Oint ».

Le Catéchisme de l’Eglise Catholique nous enseigne qu’il ne devient le nom propre de Jésus que parce que celui-ci accomplit parfaitement la mission divine qu’il signifie.

En effet, en Israël étaient oints au nom de Dieu ceux qui Lui étaient consacrés pour une mission venant de Lui. C’était le cas des rois, des prêtres, et, en de rares cas, des prophètes.

Ce devait être par excellence le cas du Messie que Dieu enverrait pour instaurer définitivement son Royaume. Il fallait que le Messie soit oint par l’Esprit du Seigneur à la fois comme roi et prêtre mais aussi comme prophète.

Jésus a accompli l’espérance messianique d’Israël dans sa triple fonction de prêtre, de prophète et de roi.

La consécration messianique de Jésus manifeste sa mission Divine.

« C’est d’ailleurs ce qu’indique son nom lui-même, car dans le nom de Christ est sous-entendu Celui qui a oint, Celui qui a été oint et l’onction même dont il a été oint : Celui qui a oint, c’est le Père, Celui qui a été oint, c’est le Fils, et Il l’a été dans l’Esprit qui est l’onction ».

Sa consécration messianique éternelle s’est révélée dans le temps de sa vie terrestre lors de son Baptême par Jean quand « Dieu L’a oint de l’Esprit Saint et de puissance » (Ac 10,38) « pour qu’Il fût manifesté à Israël » (Jn 1,31) comme son Messie.

Ses œuvres et Ses paroles le feront connaître comme le Saint de Dieu.

De nombreux Juifs et même certains païens qui partagaient leur espérance ont reconnu en Jésus les traits fondamentaux du « Fils de David » messianique promis par Dieu à Israël.

Jésus a accepté le titre de Messie auquel il avait droit, mais non sans réserve parce que celui-ci était compris par une partie de ses contemporains selon une conception trop humaine, essentiellement politique.

Jésus a accueilli la profession de foi de Pierre qui le reconnaissait comme le Messie en annonçant la Passion prochaine du Fils de l’Homme.

Il a dévoilé le contenu authentique de Sa royauté messianique à la fois dans l’identité transcendante du Fils de l’homme « qui est descendu du Ciel » (Jn 3,13) et dans Sa mission rédemptrice comme Serviteur souffrant : « Le Fils de l’Homme n’est pas venu pour être servi mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude (Mt 20,28).

C’est pourquoi, le vrai sens de sa royauté n’est manifesté que du haut de la Croix.

C’est seulement après sa Résurrection que sa royauté messianique pourra être proclamée par Pierre devant le Peuple de Dieu : « Que toute la maison d’Israël le sache avec certitude : Dieu L’a fait Seigneur et Christ, ce Jésus que vous vous avez crucifié » (Ac 2, 36).

Pour le Nouvel Age, la figure historique de Jésus est seulement l’incarnation d’une idée, d’une énergie ou d’un ensemble de vibrations.

Pour Alice Bailey, il fut un grand jour de supplications, au cours duquel tous les croyants crééront une telle concentration d’énergie spirituelles qu’il y aura une nouvelle incarnation qui révélera aux hommes comment ils peuvent se sauver…

Pour beaucoup, Jésus n’est rien d’autre qu’un maître spirituel qui, comme Bouddha, Moïse et Mohammed, etc. a été habité par le Christ cosmique.

Le Christ cosmique est aussi connu comme l’énergie christique présente dans tout être et dans tout l’être.

Les individus vont être progressivement initiés à la conscience de cet attribut christique qu’ils possèdent tous. Le Christ représente l’état le plus élevé de perfection du moi.

Pour le Nouvel Age, notre Seigneur Jésus-Christ n’est pas mort sur la croix dans Sa chair comme vrai Dieu et vrai homme, alors que nous chrétiens, nous croyons que le Seigneur Jésus est mort sur la croix pour nous sauver et que par le précieux sang versé, nos péchés sont pardonnés.

Dans le Nouvel Age, vous n’entendrez jamais parler du péché et une des voies que Satan utilise pour perdre notre âme, est de nous empêcher de nous confesser et je me rappelle que la première fois que je suis revenue de Medjugorje, le démon m’a dit dans toute sa fureur « va en enfer », simplement parce que j’avais décidé d’aller voir un prêtre pour me confesser.

Vous savez que Satan se tient à côté de chaque confessionnal et à chaque fois que l’on fait une bonne confession, il se mord les doigts et si on oublie volontairement de donner tous nos péchés, alors là, il jubile. Alors soyons vrai devant le Seigneur pour obtenir son pardon en vérité.

Dieu m’a dit qu’il haïssait l’hypocrisie.

Vous trouverez toujours dans le Nouvel Age, un refus de la croix, un refus du sens chrétien de la souffrance, cette souffrance qui nous purifie, qui nous sanctifie et qui nous mène en paradis.

Vous trouverez toujours dans le nouvel age, une quête du bien être mais un bien être qui tourne à l’utopie, comme par exemple la recherche du bien être dans le yoga.

Dans le Nouvel Age, nous voyons un Dieu Panthéiste, un Dieu qui est partout, un Dieu qui anime la matière, un Dieu qui est dans une table, dans le micro, dans l’air, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de différence entre Dieu, la création et ses créatures. L’homme est Divin pour eux. Et là, nous voyons le péché d’orgueil par excellence.

Le Dieu dont il est parlé ici c’est une matrice organisatrice, c’est-à-dire un principe maternel qui peut se connaître par l’expérience disent-ils, mais qui est impersonnel, indifférencié, sans visage.

Ils l’appellent conscience cosmique, énergie, intelligence créatrice, amour, lumière, vibration, mais ce n’est pas une personne, c’est un principe fusionnel.

Le chrétien lui parle d’un Dieu d’amour, un Dieu qui est Père et un Dieu qui a créé notre âme par amour.

L’église enseigne que chaque âme spirituelle est immédiatement créée par Dieu. Elle n’est pas produite par les parents. Elle nous apprend aussi qu’elle est immortelle.

Elle ne périt pas lors de la séparation du corps dans la mort et s’unira de nouveau au corps lors de la résurrection.

Actuellement, il existe des milliers de sectes dans le monde entier, et spécialement dans toute l’Europe.

Si un jour, vous entendez dire que les trois personnes de la Sainte Trinité sont séparées, vous pourrez simplement rappeler qu’il est écrit dans le Catéchisme de l’Eglise Catholique Article 1 Paragraphe 1 :

«Nous croyons fermement, et nous affirmons simplement, qu’il y a un seul vrai Dieu, immense et immuable, incompréhensible, tout puissant et innefable, Père, Fils et Saint-Esprit : Trois personnes, mais une essence, une substance ou nature absolument simple.

Si un jour on vous dit que l’homme peut obtenir le Ciel par ses propres moyens, à cela vous pouvez simplement répondre que :

Le Concile de Vatican II nous parle de la Révélation Divine, au chapitre premier, paragraphe 4 :

« Dieu, a envoyé son Fils, c’est-à-dire le Verbe éternel qui éclaire tous les hommes, pour habiter parmi les hommes et leur faire connaitre les secrets de Dieu.

Jésus-Christ, donc, le verbe fait chair, envoyé comme homme aux hommes, parle les Paroles de Dieu et achève l’œuvre du salut que le Père lui a donné à faire.

C’est pourquoi, Jésus-Christ, qui le voit, voit aussi le Père – par toute sa présence – par tout ce qu’il montre de lui-même – par ses paroles, par ses œuvres, par ses signes, par ses miracles, mais surtout par sa mort et sa glorieuse résurrection d’entre les morts, enfin par l’envoi qu’il a fait de l’esprit de vérité, donne à la révélation son dernier achèvement et la confirme par le témoignage Divin : Jésus-Christ, c’est Dieu avec nous, pour que nous soyons délivrés des ténèbres du péché et de la mort, et que nous soyons ressuscités pour la vie éternelle.

L’économie Chrétienne, du fait qu’elle est l’alliance nouvelle et définitive, ne passera donc jamais ; Il n’y a plus à attendre de nouvelle révélation officielle avant l’apparition dans la gloire, de notre Seigneur Jésus-Christ.

Quelquefois, j’ai entendu dire par des personnes affiliées à des sectes que le Christ n’est pas Dieu, que les sacrements et la messe n’existent pas, que notre âme meurt avec notre corps , donc qu’il n’y a pas de jugement, ni d’enfer, ni de purgatoire ; qu’il ne faut pas prier la vierge et les saints, ni en faire des reproductions ou des statues, que le Christ n’a pas fondé l’église, que la fin du monde est imminente et que le nombre des sauvés ne serait que 144.000.

Alors à tout cela, je réponds souvent par la Parole de Dieu dans l’épître aux Colossiens chapitre 2 verset 6 à 10.

Saint Paul nous dit qu’il faut vivre selon la vraie foi au Christ, et non selon de vaines doctrines : « Le Christ tel que vous l’avez recu, Jésus le Seigneur, c’est en lui qu’il vous faut marcher, enracinés et édifiés en lui, appuyés sur la foi telle qu’on vous l’a enseignée, et débordant d’action de grâces.

Prenez garde qu’il ne se trouve quelqu’un pour vous réduire en esclavage par le vain leurre de la philosophie, selon une tradition toute humaine, selon les éléments du monde, et non selon le Christ ».

Saint Paul nous dit que le Christ est le seul vrai chef des hommes et des anges, car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité et vous vous trouvez en lui associés à sa plénitude, lui qui est la tête de toute principauté et de toute puissance.

Il est important de dire que tous ceux qui sont à la tête de ces sectes diaboliques ont presque la prétention d’être des docteurs de la Loi, alors qu’ils ne savent ni ce qu’ils disent, ni de quoi ils se font les champions.

Il me semble qu’il est d’une importance capitale de dénoncer les points essentiels du Nouvel Age.

Le monde démoniaque et Lucifer en personne travaillent depuis longtemps à construire cet âge sans Dieu, sans Sa Loi.

Pour cela ils utilisent des traîtres de la foi sur la terre pour nous faire accepter tout cela. Ces traîtres là sont tous marqués du 666 et ils périront tous pour avoir trahi le Christ et Sa Parole s’ils ne se repentent pas. Le Seigneur va bientôt les confondre.

Ce monde rempli de démons souhaiterait faire disparaître l’éducation chrétienne dans les écoles ; Introduire les Dieux de l’Orient (Islam, Hindouisme, Bouddhisme, Yoga, Méditation Transcendentale…) et créer un mouvement interreligieux ; Ils voudraient aussi briser le concept Judéo-Chrétien de la famille, briser les familles elles-mêmes et briser l’idée « tabou » de la relation sexuelle en dehors du mariage, sans se sentir coupable de vivre la sexualité qui leur convient et enfin ils voudraient que la télévision, l’art, la musique, la sculpture, la peinture deviennent toujours plus immoraux.

Le rapport intitulé « Jésus Christ le porteur d’eau vive » traitant du Nouvel Age fait ressortir que le Nouvel Age fait publicité d’un large évantail de pratiques telles que l’Acuponcture, le Biofeedback, la Chiropraxie, la Kinésiologie, l’Homéopathie, l’Irridologie, les Massages et différentes sortes de techniques corporelles (comme l’Ergonomie, le Feldenkrais, la Réflexologie, le Rolfing, le Massage en polarité, le Toucher thérapeutique, etc.), la Méditation et la Visualisation, les thérapies nutrionnelles, les traitements psychiques, différentes sortes de médecine de plantes, la guérison par les cristaux, les métaux, la musique ou les couleurs, les thérapies de la réincarnation et enfin les programmes en douze étapes et les groupes de réalisation de soi.

Il est dit que c’est en nous-mêmes que se trouve la source de la guérison, et que nous pouvons l’atteindre en nous mettant en

Publié : 08 févr. 2007, 14:10
par Dalaha
:)


Si vous daignez vous rabaisser pour répondre à cette simple question, je vous en remerçie d'avance ;)


Qu'attendez-vous pour vous dans cette "quête" ..?..


:)

Publié : 12 févr. 2007, 07:06
par Red Pill
Y a pas quelqu'un pour s'occuper de ce spammeur? :x