Histoire d'horreur
Publié : 06 mars 2007, 03:23
Pig Kids
"Lorsqu’on a entendu George W. Bush déclarer, lors de sa ré-investiture en 2005, qu’il sera toujours prêt à défendre la liberté et les opprimés partout dans le monde, on peut se demander ce qu’il attend pour défendre ces martyrs et poursuivre leurs bourreaux dans son propre pays.
De nombreux patients aux États-Unis et partout dans le monde vivent des situations similaires et sont rendus malades par l’utilisation irrationnelle de médicaments dangereux, dans le seul objectif de faire des profits financiers ou de satisfaire une curiosité malsaine. Les mères informées qui essayent de protéger leurs enfants vis-à-vis de thérapies potentiellement mortelles sont décrétées renégates et courent le risque de voir leurs enfants enlevés par des agences d’Etat, souvent financées par les laboratoires qui fabriquent et vendent les médicaments.
Il est évident que ces enfants torturés à mort sont choisis car ils sont incapables de se défendre. Tous souffrent à longueur de jours et de nuits, certains deviennent aveugles, d’autres subissent de longues opérations afin de retirer de leur cou des morceaux de graisse bourrés de drogues médicamenteuses, aucun ne connaît la joie d’une promenade en plein air ou d’un bon repas en famille, aucun n’a droit à un peu de compassion, ni d’amour évidemment. Tous vivent dans la peur et savent que la mort les surprendra encore jeunes, lorsque leurs corps ne pourront plus supporter la souffrance quotidienne. Les bourreaux nazis n’en faisaient pas plus, cela aurait été difficile.
On nous parle souvent, à juste titre, de l’holocauste ; parlera-t-on un jour ouvertement de ces martyrs ? Edifiera-t-on un monument en leur honneur et demandera-t-on aux générations futures un «devoir de mémoire» envers la cruauté dont ils sont victimes ? Enfin, osera-t-on encore affirmer «plus jamais ça», alors que tout le monde ferme les yeux sur ces tortures, exactement comme on les a fermés sur le massacre des Juifs et de Tziganes, car il est dérangeant de voir les autres souffrir, mais plus encore de souffrir soi-même.
Si nous voulons que cela cesse, c’est à nous tous, citoyens, de porter ces faits à l’attention du grand public et de rappeler à l’Establishment médical le principe sacré : «Primum non nocere».
Aurons-nous besoin d’un autre tribunal de Nuremberg pour condamner sans appel ces pratiques inadmissibles appliquées sur des êtres sans défense et juger les responsables, véritables tueurs en série et tortionnaires qui n’ont rien à envier à ceux des États totalitaires, mais qui sont néanmoins considérés comme des citoyens au-dessus de tout soupçon, écoutés, respectés et même admirés par d’honnêtes gens totalement désinformés ?"
LIEN
En sommes nous rendu la avec ces maniaques?
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