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pesant de guano frais : féminazisme.

Publié : 05 juil. 2007, 14:36
par Hallucigenia
Bonjour Jacques,

Sujet divisé : réaction à ce message de départ.
Jacques a écrit : Remarquez, chez nous aussi, nous avons un système politique et
judiciaire totalitaire : le féminazisme.
C'est la deuxième fois que vous nous sortez ce néologisme. Quelle est la partie de la population visée par le génocide des "féminazies", selon vous ? Avez-vous des preuves du massacre ? Faut-il interdire les femmes ?
Féminisme (wikipédia) a écrit :Le féminisme est un ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales cherchant à promouvoir les droits des femmes et leurs intérêts dans la société civile. La pensée féministe vise en particulier l'amélioration du statut des femmes dans les sociétés où la tradition établit des inégalités fondées sur le sexe.
Votre "jeu de mots" n'est pas bien malin, avouez... Je reconnais que certaines militantes sont parfois allé un peu loin, mais de là à parler de "féminazisme" ... vous êtes en décalage complet avec la réalité de certains faits.

Allez dîtes-nous clairement : c'est quoi votre problème avec le féminisme ?

Merci de m'expliquer.

Hallucigenia

Rappels de littérature gynarque. En féminazi dans le texte..

Publié : 05 juil. 2007, 15:38
par Jacques
Hallucigenia a écrit :Bonjour Jacques,
Jacques a écrit : Remarquez, chez nous aussi, nous avons un système politique et
judiciaire totalitaire : le féminazisme.
C'est la deuxième fois que vous nous sortez ce néologisme. Quelle est la partie de la population visée par le génocide des "féminazies", selon vous ? Avez-vous des preuves du massacre ? Faut-il interdire les femmes ?
Féminisme (wikipédia) a écrit :Le féminisme est un ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales cherchant à promouvoir les droits des femmes et leurs intérêts dans la société civile. La pensée féministe vise en particulier l'amélioration du statut des femmes dans les sociétés où la tradition établit des inégalités fondées sur le sexe.
Votre "jeu de mots" n'est pas bien malin, avouez... Je reconnais que certaines militantes sont parfois allé un peu loin, mais de là à parler de "féminazisme" ... vous êtes en décalage complet avec la réalité de certains faits.

Allez dîtes-nous clairement : c'est quoi votre problème avec le féminisme ?

Merci de m'expliquer.

Hallucigenia
Petits rappels de littérature gynarque, en féminazi dans le texte :
Extrait de "Quand la femme vint au pouvoir"

EXTRAIT DE QUAND LA FEMME VINT AU POUVOIR d'Aline d'Arbrant (chapitre V, 1).




Sabine Dacier avait procédé elle-même à l'organisation des Camps Spéciaux d'Internement. Aussi était-elle particulièrement fière quand elle fit visiter celui de Tours, sa ville natale, à Marie-Pierre Horin, avec qui, par ailleurs, elle venait de se mettre en ménage, le mari de celle-ci, depuis quelques jours arboraient avec fierté son insigne triangulaire d'Auxilaire Masculin Privilégié.

La porte du Camp s'ouvrit devant les deux Ministres pour leur offrir dès l'entrée un spectacle inattendu. Apparemment, aucune présence masculine. Seules, quelques gardiennes en uniforme de cuir noir déambulaient dans l'enceinte fortifiée du camp. Elles étaient élégantes et particulièrement excitantes dans leur tenue officielle créée par Amanda Kred, la ministre de l'Industrie, et confectionnée par ses propres mâles. A part leur pistolet réglementaire pendant contre leur hanche, les jeunes femmes n'avaient comme arme qu'un petit boîtier de télécommande à la main.

En s'avançant Marie-Pierre constata que le sol qui semblait vitrifié était en fait constitué par de grande plaques de verre très épais sur lesquelles avançaient les gardiennes grâce à des chaussures à semelles caouchoutées.

- Mais, Sabine, demanda la Première Ministre, où sont donc les mâles rebelles ?

- Regarde par terre, chérie.

Baissant les yeux, Marie-Pierre eut un sursaut de surprise en découvrant sous elle, dans d'étroites petites cellules fermées simplement en haut par les épaisses dalles de verre rivetées, des hommes complètement nus, un par cellule, assis, couchés ou debout selon la largeur de celle-ci.

- Mais ils voient mes fesses ! s'exclama-t'elle en plaquant sa jupe sur ses cuisses. Quelle horreur !

- Laisse donc. Ils n'ont que ça à voir jusqu'à leur mort. Et la plupart d'entre eux ne sont plus des êtres humains depuis longtemps. Regarde les gardiennes ! Elles s'en fichent bien, elles !

Effectivement les jeunes-femmes ne semblaient pas s'inquiéter du spectacle qu'elles offraient aux habitants du sous-sol. Parfois, l'une d'entre elles, paraîssant découvrir quelque chose sous ses pieds, utilisait quelques secondes sa télécommande, constatait les conséquences de son geste puis reprenait tranquillement sa promenade.

- Que fait-elle ? demanda Marie-Pierre.

- Son boîtier de télécommande lui permet, d'en haut, de gérer totalement la vie des prisonniers d'en bas. Elle doit d'abord composer le code d'accès de la cellule qui l'intéresse. Elle a alors le choix entre cinq fonctions différentes. D'abord l'ouverture de la. trappe de verre (quand un nouveau prisonnier est amené). La distribution de nourriture (qui se fait par un système de conduits pneumatiques). Le lavage (un jet d'eau puissant nettoie le sol, les murs et l'occupant de la cellule). L'évacuation (l'eau, les restes et les excréments sont emportés vers les égouts). Et l'élargissement ou le rétrécissement des cloisons latérales.

- C'est vrai. Ils n'ont pas droit tous à la même surface vitale ?

- Non, ma chérie, continua d'expliquer Sabine. Cela dépend de leur comportement et de l'importance de ce qui leur est reproché. Les gardiennes sont seules juges. Elles peuvent accorder les deux mètres carrés maximum (un mètre sur deux) qui leur permettent de s'allonger par terre s'ils le désirent ou rétrécir la surface au sol pour qu'ils ne puissent se tenir qu'assis ou debout.

- Celui-ci qui nous regarde d'un drôle d'air ne peut même pas bouger !

- Gardienne !

- Oui, Madame la Ministre ?

- Qu'a fait cet homme ?

- Oh, celui-ci ! fit la jeune-femme en uniforme en désignant du pied le visage tendu vers elles. C'est un râleur. Jamais content ! Il n'en a plus pour très longtemps, de toute façon. Chaque jour, je rapproche les cloisons de sa cellule d'un centimètre.

- Il va finir par être étouffé ? demanda Marie-Pierre intéressée par le supplice de l'homme dont le regard ne quittait pas ses dessous. Cela fait-il longtemps qu'il est dans cette position ?

- Plus d'une semaine, Madame la Première Ministre. Mais croyez-bien que, pour lui, cette semaine représente une véritable année ! Quant à étouffer, je ne sais pas. Certains meurent effectivement par étouffement mais d'autres attendent d'être complètement écrasés avant de rendre l'âme !

- Les cloisons, en effet, peuvent se rapprocher jusqu'à se toucher, expliqua Sabine plus en détails. Ainsi les prisonniers sont réduits en une bouillie sanglante qu'il ne nous reste plus qu'à évacuer par les égouts, comme leurs excréments...

- Quelle horreur !

- Mais non. Ce ne sont que des rebelles machistes !


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Regardez aussi cette bonne éducation matriarcale :
La découverte.
Copyright: TheValkyrie.com


Je vis chez maman, j'ai 17 ans, je suis timide et toujours puceau.
J'aime les femmes mais, je n'arrive pas à les aborder. Je mesure 1m80
pour 72 kg, je me crois plutôt mignon. Je suis très complexé par la
taille de mon sexe qui ne dépasse pas 11cm en érection. Maman,
Catherine, est une très belle femme de 46 ans, 1m64 pour 42 kg. Elle
est médecin et nous assure une vie agréable. Elle est veuve depuis
cinq ans, et je ne lui connais pas de relation, même si je sais
qu'elle a des amants. Elle est toujours vêtue de manière stricte comme
son caractère, elle est une femme de tête et surveille mes études,
moyennes, et mon éducation.
Nous vivons dans sa maison, au premier étage, ma chambre est aménagée
dans les combles. Son cabinet occupe le rez-de-chaussée.
Hier après les cours je suis rentré à la maison, j'ai salué Valérie,
l'assistante de maman. Elle est mignonne, 25 ans, environ 1m70. Elle se
moque souvent de moi, à travers des remarques blessantes, profitant
que je ne réponde jamais, préférant fuir, comme un voleur.
Je suis monté à l'étage, je me suis changé, enfilant un caleçon, puis
je me suis allongé et j'ai pris une revue de charme, j'ai commencé à
me caresser. Au bout de quelques instants, ma queue bien dure, je me
suis levé, j'ai fermé la revue, je la posai sur la table de nuit et je
suis allé dans la chambre de maman. J'ai ouvert son armoire, et je me
suis emparé d'une jolie paire de sandales noires avec 5 cm de talon.
J'ai caressé la paire de chaussures, je l'ai reniflé, je l'ai
embrassé. Puis je suis retourné dans ma chambre, j'ai sorti mon sexe
du caleçon, et je l'ai glissé dans l'une des sandales. J'adore me
masturber avec les chaussures de maman. J'ai commencé un lent va et
vient, suçant le talon de l'autre sandale. J'ai jouit rapidement, yeux
fermés. Un applaudissement a ponctué mon éjaculation. J'ai ouvert les
yeux, maman s'est approchée de moi elle s'est emparée de ses sandales.
Maman, je peux t'expliquer ...
M'expliquer quoi, que tu es un pervers? Regarde ma sandale!
Mon sperme degoulinait de la sandale, je vis maman regarder mon
membre, qui dégonflait. Elle sourit.
Pas plus gros que le sexe de ton père, me dit-elle
Je rougis, elle posa ses sandales, et vint s'asseoir sur le lit.
Tu vas nettoyer mes sandales et les ranger, je ne veux plus que tu
recommences, compris?
Oui ... Oui maman, j'étais rouge comme un pivoine
Elle se pencha sur ma table de nuit et s'empara de la revue de charme.
De mieux en mieux, tu me déçois, Eric, beaucoup. Il va falloir que je
resserre la vis!
Elle ouvrit les tiroirs de la table de nuit, je craignais ce geste;
Elle découvrit d'autres revues, des livres et une vidéo. Quel
imbécile, j'aurais pu trouver une autre cachette. Elle balança les
revues dans la poubelle et s'attardât sur les trois livres
La Gynarchie, dit-elle, tout un programme! La domination féminine!
Mes fouets, mes bottes mes males! Et la cassette, I will Bust your
balls! Eh bien, Eric, je pari que tu es maso!
Je voyais les jolies mains de maman caresser la couverture des livres,
elle semblait songeuse. Elle croisa ses jambes, son pantalon découvrit
sa cheville et son pied joliment chaussé de chaussures Chanel. A ma
grande honte je vis mon sexe se redresser. Je n'osais pas bouger,
hypnotiser par la vision du pied de maman.
Tu me les prêtes?
Maman me regardait, brandissant les livres et la vidéo. Je ne répondis
pas, elle se leva et cala ses prises sous son bras.
J'ai du boulot, je dois descendre, nettoie mes sandales et prends une
douche, puis tu descends dans la salle d'attente et tu attends.
Oui, maman.
Elle se pencha et posa l'extrémité de son index sur mon méat urinaire.
On va reparler de tout ça, de tes goûts, de cette petite chose etc!
Elle sortit de ma chambre.

J'attendais depuis près de deux heures, tous les patients étaient
partis, Valérie s'était éclipsée, non sans m'avoir prévenu:
Ta mère semble remontée contre toi, il parait que tu es un vilain
garçon!
J'attendais, fixais la pendule qui indiquait 19h30. Maman arriva.
Suis moi.
Je me levais et la suivais dans son cabinet. Elle m'ordonnait de me
dévêtir, je m'exécutais enlevant mon tee-shirt, mon short et mon slip.
Une nouvelle fois mon sexe semblait se raidir. Elle me fit asseoir, et
s'assied derrière son bureau.
Bien, Eric, j'ai feuilleté tes livres, je les lirai entièrement, mais
il n'y a que deux possibilités. La première, je t'envois chez un
psychiatre. La seconde, j'applique ce qu'Aline d'Arbrant dans son
livre sur la Gynarchie préconise page 50, la domestication du mâle, ta
domestication! Que préfères-tu?
La seconde solution, maman.
Très bien, je préfère aussi. Mais j'ai réfléchi, pour cela, tu devras
abandonner tes études, tu seras forcement puni, je vais lire ces
livres je regarderai la vidéo.
Maman c'est levé, elle se dirige vers moi, pose sa main sur mon
épaule, je frissonne, mon sexe est tendu, heureux de mon futur. Elle
me dit:
Tu vas t'allonger sur la table d'auscultation!
J'obéis, je m'allonge, maman pose mes jambes sur les chevalets prévus
pour écarter les jambes. Elle les attache. Elle se place entre mes
jambes, pose sa main sur mon pénis. Il frémit, je sens un plaisir
coupable à me faire manipuler ainsi. Sa main se retire, elle enfile
des gants de caoutchouc. Sa main droite s'empare de mes testicules, en
sélectionne un et l'écrase doucement puis de plus en plus fort. Je
gémis, mais maman me regarde, souriante, me fait signe de me taire.
Tu te masturbes depuis longtemps dans mes chaussures?
J'ai le souffle coupé, elle a ponctué sa question en serrant fortement
mon testicule.
Ma ... Maman ... J'ai mal!
Tu es masochiste! Réponds!
Depuis ... Depuis un an ... Maman ...
Voila mes premiers ordres, tu prépares mon repas, tu ranges tout quand
j'ai mangé, puis tu te couches, je vais téléphoner à ton proviseur,
demain et lui dire que tu ne peux plus continuer tes études. Une
excuse médicale, on verra.
Elle serre fortement mes noisettes, je crie, elle me relâche, inspecte
mon ventre, le pince, le malaxe durement. Elle se place à mes cotés,
me regarde, et déclenche une série de gifles.
Au travail, mon chérie.
Elle me détache, je me rhabille et file préparer le repas, ses ordres
son clairs, je suis privé de dîner, je la sert, c'est tout! J'officie
de mon mieux, soucieux d'être parfait, épaté par les qualités innées
de maman à se transformer en quelques heures en redoutable maîtresse.
Elle est impitoyable, me giflant à tout bout de champ. Enfin vers 23
heures, je peux aller me coucher. Je m'allonge, nu, comme maman me l'a
ordonné. Je suis épuisé par les émotions et j'éteins la lumière.
Je dors depuis deux heures, d'après mon réveil lorsque la lumière
s'allume. Maman s'avance, vêtue d'un simple kimono et chaussée de
mules. Je devine sa nudité sous le kimono. Maman est très belle. Elle
s'assoit sur le lit, repousse ma couette et je la vois saisir mes
testicules d'une main, à nouveau elle les serre. Je gémis, à peine
réveillé. Mon pénis qui s'était redressé se ramollit, elle ne parle
pas. Puis de son autre main, saisit mon pénis, Elle l'encercle de ses
doigts et commence une masturbation en règle. La pression sur mes
testicules disparaît, elle me libère, mon sexe se durcit. Je la
regarde, elle voit dans mes yeux l'amour que je lui porte. Je vais
jouir. Mais maman est une femme d'expérience, elle arrête ses
caresses. Je suis allongé sur le flanc. Elle se lève et sort de son
kimono une cordelette. Elle me lie les poignées derrière ma tête, puis
me pousse pour que je sois sur le dos. Elle pose sa main sur ma
bouche, fermement. Mon sexe est dressé, elle est souriante, sure de sa
force. Je son poing se serrer, et s'abattre sur mes couilles. La
douleur est intense, j'étouffe un cri dans sa main. Elle se lève et se
dirige vers la porte, éteins la lumière.
Très bien ta vidéo, je sens que je vais bien m'amuser.


elricnec@aol.com
Fin de citation.

Rappelons le Code Pénal:
Art. 222-26 :
Le viol est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est précédé, accompagné ou suivi de tortures, ou d'actes de barbarie. ...
Art. 222-27 :
Les agressions sexuelles autres que le viol sont punies de cinq ans d'emprisonnement et de 500 000 F d'amende
(ici chacun modernisera mon NCP, un peu ancien).
Art. 222-28 :
L'infraction définie à l'article 222-27 est punie de sept ans d'emprisonnement et de 700 000 F d'amende :
1° Lorsqu'elle a entraîné une blessure ou une lésion ;
2° Lorsqu'elle est commise par un ascendant légitime, naturel ou adoptif, ou par toute autre personne ayant autorité sur la victime ; ...
Il y a aussi quelques articles pénaux sur les incitations par voie de presse à commettre des crimes et délits.

Mais bon, tout le monde s'en fout, n'est-ce pas, puisqu'il s'agit ici d'une oeuvre sacrée : l'établissement de la gynarchie absolue, et que la victime n'est rien qu'un mâle...

Tout le monde s'en fout, puisqu'il est établi que féminin, féministe et misandre impliquent "bien", et que toute résistance à la misandrie triomphante implique "macho et mal".

Tout le monde s'en fout, puisque la gauche est malade du féminisme, et qu'elle demeure incapable de s'en remettre, que pour elle féminin, féministe et misandre impliquent "bien", et que toute résistance à la misandrie triomphante implique "macho, réactionnaire et mal".

Nous sommes dans les conditions d'une guerre indienne.

Autre texte biblique de la gynarchie internationale :
L'ESCLAVE MÂLE : ANIMAL, VEGETAL OU MINERAL ?
poèmes [ ]
par Aline d'Arbrant, professeur à l'I.M.E.G.(1) de France
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
par Aline d'Arbrant [Aline_d'Arbrant]
2004-09-08


Les Femmes dominantes, propriétaires d'un ou plusieurs esclaves, ont souvent une vision trop sommaire de la psychologie des mâles qui les servent. Elles ont tendance (mais c'est une réaction très normale dès qu'on commence à prendre l'habitude de la soumission des mâles) à assimiler leur esclave à un objet, à un robot domestique dénué de sensations ou de psychologie. C'est une erreur. Certes, le soumis mâle a une psychologie très rudimentaire qui l'assimile plus à l'animal qu'à l'être humain. On l'éduque comme un âne avec la carotte et le bâton, on le dresse comme l'écuyère dresse son cheval de cirque, on le fait agir par réflexe conditionné comme les chiens de Pavlov... Ceci est parfaitement exact. Cependant son systême de pensée mérite tout de même quelque analyse, aussi brève et succincte soit elle. Nous avons vu dans un autre article (2) que le soumis devait intérioriser les goûts et les idées de sa Maîtresse tout en tentant au maximum de se rapprocher d'elle par l'imagination permanente, et en temps réel, de ses sensations de Femme supérieure dont il ne peut avoir naturellement la moindre idée. Ce dépassement psycho-sensoriel auquel le soumis doit être astreint en permanence pour tendre vers l'idéal féminin, auquel il ne peut bien sûr pas prétendre, peut également être transcendé dans un progressif renoncement cognitif.

Son état hybride, mi-humain mi-animal, est souvent inconfortable pour l'esclave. Son esprit toujours tendu vers les sensations inconnues et hors de son atteinte qu'éprouvent les Femmes supérieures, et sa Maîtresse en particulier, les travaux qu'il effectue quotidiennement pour elle et l'adoration qu'il lui voue en silence, l'aident sans doute à vivre son infériorité naturelle et son destin servile mais, hélas, ne peuvent suffire à lui faire oublier sa profonde inutilité générique. C'est pour cela que, souvent sous l'impulsion d'une Maîtresse un peu psychologue mais quelquefois par quelque pulsion personnelle, s'enclenche chez l'esclave un véritable processus de réification qui est très loin d'être dommageable, tant pour lui même que pour sa Maîtresse a fortiori.

Il y a, nous semble-t-il, trois grandes étapes à cette intéressante "chosification" du mâle.

La première est en quelque sorte "immobilière". Le soumis entre dans une maison ou un appartement auquel il va être rivé (au sens figuré, mais aussi souvent au sens propre). Il appartient à la demeure de sa Maîtresse autant qu'à elle-même. Son horizon de vie (laquelle est devenue par nature essentiellement domestique) est limité par ses murs et l'une des tâches principales qu'il doit accomplir est de veiller à la propreté et au rangement de tout ce qui est enfermé entre ses murs. Son identification première avec l'espace immobilier dans lequel il est placé, parfois auquel il est enchaîné définitivement (3), est un premier pas dans le processus de réification du soumis mâle.

La seconde étape est "mobilière". Le mâle attaché à un lieu, et dont la fonction principale est de veiller à l'entretien de celui-ci et de ce qu'il contient, parfois à cause de la façon dont il est maltraité ou simplement ignoré par la population féminine qu'il doit servir ou, très souvent aussi, grâce à une conscience aiguë et intrinsèque de son infériorité naturelle, sent obscurément qu'il est utilitairement et psychologiquement beaucoup plus proche des meubles de la maison que des Femmes, par trop supérieures à lui, qui y vivent régulièrement. D'ailleurs, il accepte très facilement (voire apprécie dès les premiers jours de son asservissement !) d'être utilisé longuement comme n'importe lequel des autres meubles de sa Maîtresse (4). Ces autres meubles, qui sont en définitive ses principaux compagnons, peuvent devenir aussi ses rivaux. Un bon soumis utilisé comme repose-pieds par une Femme aura à coeur de rester au moins aussi stable qu'un vulgaire tabouret de bois. Il serait vexé de se voir préférer son compagnon d'essence végétale ! A l'inverse, il se montrera fier de pouvoir, contrairement à son confrère portemanteau, s'avancer jusqu'à celle qui aura suspendu, par exemple, ses vêtements de pluie et son chapeau à ses bras tendus ou sur sa tête. Peu à peu, cette fonction mobilière du mâle doit prendre le pas sur toutes ses autres fonctions plus animales jusqu'à, par exemple, ne plus croire qu'il est un esclave en train de laver le linge de sa Maîtresse mais bel et bien un lave-linge perfectionné en cours d'utilisation par celle-ci ou une autre Femme sachant le faire fonctionner.

Enfin, fétichisme aidant, l'esclave se met souvent à envier puis jalouser les vêtements ou les sous-vêtements de sa Maîtresse, surtout quand celle-ci lui interdit tout contact direct avec son corps divin de Femme. Pendant la lessive à la main d'un soutien-gorge ou d'une culotte, ou lors du repassage méticuleux d'une robe, le mâle soumis imaginera ce joli linge collé à la peau de sa Maîtresse, frôlant sans cesse son corps et ses formes, s'imprégnant de son parfum et de son odeur intime, tous plaisirs à lui interdits. Aussi appréciera-t-il d'autant plus le choix que la Femme peut faire de choisir un placard comme lieu de remisage de son esclave. Les étages supérieurs de ce placard étant réservés aux vêtements, sous-vêtements ou chaussures de sa Maîtresse, l'étage inférieur affecté au mâle pour ses périodes de repos ou quand sa présence est indésirable dans les pièces résidentielles des Femmes. Lentement mais inéluctablement, le sujet soumis s'objectivise et devient une chose utile. Le processus de réification est accompli.

Objet "pensant", certes, mais objet tout de même, le mâle gagne à être très rapidement "chosifié" et assimilé au reste du trousseau de sa Maîtresse. Tout y gagne en clarté dans les rapports Femme/mâle (ou Maîtresse/esclave, ce qui revient au même). Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place, dit la sagesse populaire. La Femme dominante aura a coeur de faire pénétrer cette maxime dans ce qui sert de cerveau à son esclave, tout en lui faisant bien comprendre qu'il est bel et bien devenu réellement une chose, sa chose, et qu'il doit rester définitivement à sa place de chose, pour laisser vivre les Femmes à leur place de Femmes.


(1) Institut Mixte d'Education Gynarchiste.

(2) Vivre la vie de sa Maîtresse, apprentissage et réussite de la vraie servitude masculine.

(3) Dans le monde futur entièrement gynarchisé que nous souhaitons, pourquoi ne pas donner le statut d'"immobilier" à certains esclaves mâles qui pourraient être cédés, dans les transactions immobilières de particulière à particulière, en même temps que le logement auquel il serait affecté et rivé, comme l'évier, la baignoire ou le trône des toilettes ? Cette mesure présenterait l'avantage d'avoir un esclave toujours parfaitement au courant de l'entretien nécessaire à toutes les parties du logement en cours de cession. Certains appartements pourraient même prendre une certaine valeur immobilière grâce au mâle qui y serait fixé.

(4) Tabouret, lampadaire, table, porte-manteau, etc., les possibilités mobilières d'un mâle sont innombrables...
Et puis je ne vous ai pas rappelé le SCUM Manifesto, de Valerie Solanas, ni tous les gloussements d'adoration que les .HyènesdeGuerre écrivent à son sujet...

On m'avait aussi posé une question sur la délinquance judiciaire. Ebauche de réponse à :
http://debats.caton-censeur.org/index.p ... &Itemid=45

Re: Allez donc voir ça, cela vaut son pesant de guano frais :

Publié : 05 juil. 2007, 16:58
par Hallucigenia
Bonjour Jacques,

Je vous demandais :
Hallucigenia a écrit : Allez dîtes-nous clairement : c'est quoi votre problème avec le féminisme ?
Vous n'avez pas répondu à cette question. Ou plutôt, en guise de réponse, vous me sortez quelques textes à saveur sado-maso, assortis de textes de loi. Tout ceci me semble hors-sujet - rien à voir avec le féminisme dont j'ai rappelé la définition plus haut.

Les textes qui semblent tant vous révolter ne me choquent pas du tout : j'ai lu bien pire dans les "malheurs de Justine", du Marquis de Sade. Etait-il un nazi-macho ?

Le néologisme "féminazisme" me semble inapproprié... en l'utilisant, c'est tout le féminisme que vous insultez, et je ne crois pas qu'il le mérite.

Amicalement,

Hallucigenia

Tes informations n'ont que 40 ans de retard sur la réalité

Publié : 05 juil. 2007, 17:14
par Jacques
Tes informations n'ont que quarante ans de retard sur la réalité.

J'ai été contraint à dégringoler du même petit nuage rose que toi.
http://lavaujac.club.fr/Si_j_ai_ecrit_que.html
http://lavaujac.club.fr/guerre_sexiste.htm
http://lavaujac.club.fr/feminisme.html
http://lavaujac.club.fr/L_enfant_terre_ ... acile.html
http://lavaujac.club.fr/Si_revise.html
Etc...
http://deonto-famille.info/index.php?board=23.0
http://debats.caton-censeur.org/index.p ... &Itemid=46
...

Tes informations n'ont que quarante ans de retard sur la réalité.
Tu as des enfants ?

Aujourd'hui, 5 juillet 2007, cela fait 2678 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille cadette.
3406 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils cinq minutes, avec chance et persévérance...
3539 jours que ce petit-fils est interdit de voir son arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997, par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse et organisée. Et tout le reste est à l'avenant.

Re: Tes informations n'ont que 40 ans de retard sur la réalité

Publié : 05 juil. 2007, 17:56
par Hallucigenia
Jacques a écrit :Tes informations n'ont que quarante ans de retard sur la réalité.
Tu y vas fort ! :a1: Il me semble qu'entre Alain Soral et Isabelle Alonso, il y a encore de la place!

(Le premier se vantait dans son bouquin d'avoir "baisé" 700 nanas en 2 ou 3 ans, en vivant à leur crochet. La seconde est une perruche hystérique, féministe engagée.)

Le féminisme a apporté pas mal de choses, contraception, IVG, etc. Mais pour parler d'aujourd'hui (et pas des années 60), je te rappelle par exemple que beaucoup de femmes travaillent bénévolement dans les centres de planning familial. Chaque année, et aujourd'hui même, elles proposent à des jeunes filles violées des solutions pour éviter la grossesse, elles informent les jeunes gens sur les moyens de contraception, sur leurs droits, et plein d'autres choses encore. Le travail qu'elles réalisent est hyper important d'un point de vue social et humain.

Et ces femmes-là se revendiquent du féminisme : pourtant, pour la plupart elles sont très modérées. Alors c'est pas très grave si à côté de çà, trois enragées aigries écrivent deux ou trois conneries sur un blog... en tout cas, c'est pas une raison pour rejeter tout le mouvement féministe en bloc.

C'est terrible de ta part de parler de "féminazisme", le terme me semble vraiment infondé. Le féminisme est un mouvement d'émancipation, on y trouve des cons comme partout (surtout des connes en l'occurence), et aussi quelques extrémistes - comme dans tout autre mouvance politisée. Mais la comparaison avec le nazisme est bien injuste - et malheureusement un peu haineuse.

Je crois que tu as une vision trop manichéenne des choses, sur ce sujet. Liée à ton histoire personnelle aussi, visiblement :a8:

Amicalement,

Hallucigenia

Re: Tes informations n'ont que 40 ans de retard sur la réalité

Publié : 05 juil. 2007, 18:17
par Jacques
Hallucigenia a écrit :
Jacques a écrit :Tes informations n'ont que quarante ans de retard sur la réalité.
... Alors c'est pas très grave si à côté de çà, trois enragées aigries écrivent deux ou trois conneries sur un blog... en tout cas, c'est pas une raison pour rejeter tout le mouvement féministe en bloc.

...
Quand les enragées en question détiennent discrètement le tribunal, le folklore local et pittoresque devient une criminalité organisée : il détient les conditions de son impunité perpétuelle.

Le suicide est une forme de meurtre parfait très recherché. Parfait pour éliminer un fils de trop, ou un frère de trop, ou un mari de trop.
Exemple :

Quand Robert M.rc..nd a été ranimé à l'hôpital, sa toujours épouse est arrivée furieuse, pour le sacrer d'insultes :
"T'es vraiment un kon ! Mon premier, lui, il ne s'était pas loupé !".
La dite charmante épouse venait de lui faire adopter ses enfants du premier lit, et en conséquence réclamait la maison
de Robert pour elle, afin de la vendre au plus vite, tandis qu'elle venait trouver à Vierzon un autre pigeon à plumer.
Solidarité sororale et matriarcale oblige, l'injuge M.A. a lourdement condamné Robert, en châtiment de n'avoir
pas réussi son suicide, et d'être le mâle, donc coupable par définition, et à saigner à blanc.

Ce genre de violence étant féminine, et consacré par le gang en toges noires, ne saurait évidemment entrer dans les
statistiques des violences conjugales...

Tu as des enfants ?

Autre exemple :
23 septembre 2003.
Richard a été victime de fausses accusations de sa femme laquelle, le jour même de son arrestation par une armada des forces du désordre, a déposé une requête en divorce et a vidé complètement la maison. Après 30 mois de détention, durant lesquels son avocate a prélevé 2000 F HT tous les mois sur son salaire et n'a pas engagé la moindre procédure d'appel ni de demande de remise en liberté, il s'est présenté seul devant la Chambre d'Appel pour obtenir sa libération (c'est moi qui lui ai rédigé son courrier). Réunionais d'origine et parlant mieux créole que le juridique, il a obtenu sa remise en liberté voici neuf mois.
Suite à rétractation d'une accusatrice, sa propre fille, et nombreux témoignages en sa faveur, son épouse a fini par passer 48h en garde à vue et, malgré l'absence totale d'activité de son avocate, son jugement aux assises s'annonçait pour le mieux. Richard est passé me rendre visite la semaine passée, le sourire aux lèvres...
Son frère m'a appelé hier: "En l'absence de toute défense, il s'est fait attaquer de toutes parts, l'ensemble des éléments à sa décharge a disparu, un avocat commis d'office est apparu, aucun élément du dossier n'est passé entre les mains de Richard, il a été condamné à DOUZE ANS de réclusion et 23000€.

... 9 juin 2004 :
Pour prolonger le scénario de l'horrible concernant Richard, je vous fais lire in extenso (je n'ai supprimé que les prénoms) le message que m'adresse son frère:
Citation :
Bonjour Gilbert
J'espère que tu vas bien ainsi que tes enfants. C'est avec tristesse que je viens te donner des nouvelles de Richard qui suite à son appel est passé en jugement le 7 et 8 juin. Il avait pris un bon avocat en espérant que sa peine soit revue à la baisse au moins, mais malheureusement c'est avec les larmes aux yeux que je t'annonce qu'il a été condamné à 14 ans c'est à dire 2 ans de plus qu'en 1 ère instance.

Richard a une amie qui travaille à Paris dans un hôpital comme infirmière. C'est vraiment une charmante personne. Depuis qu'il a été de nouveau incarcéré au mois d'octobre de l'année dernière, elle va le voir toutes les semaines et ça lui fait 320 km aller retour. Moi je n'ai pu pour des raisons de santé être présent pendant ces 2 jours. Depuis le 1 mars 2004 la Sécurité Sociale m'a mis en invalidité en 2 ème categorie, c'est a dire inapte a tous postes.

Hier soir j'ai eu T et F (=ses enfants) au téléphone et F est restée à Laon, car elle devait voir Richard ce matin, et hier soir avant de partir rejoindre sa cellule, Richard a dit à Francine que tout était fini pour lui, et de me prévenir qu'il avait mûrement réflechi et que suite a ce jugement il avait décidé le moment venu de mettre fin à ses jours car pour lui c'est très dur et en plus il sait pertinemment qu'avec cette peine alourdie il allait perdre Francine, car si mes calculs sont bons avec les remises de peine, Richard ne sortirait que vers août 2011. Imagine dans quel état, car lui aussi a beaucoup de problèmes de santé. Pendant son incarcération à Laon il a été hospitalisé 2 fois, et a vu des spécialistes suite à ses problèmes. Voilà, je voulais te prévenir car je sais que Richard t'apprécie beaucoup, et je pense que c'est réciproque.
A bientôt, amitiés.
D
Tu as des enfants ?

Confusion entre "feministe" et "castratrice"

Publié : 05 juil. 2007, 18:46
par Hallucigenia
Jacques a écrit :Tu as des enfants ?
Pas à ma connaissance (il faudrait interroger leur mère).

Blague à part, je ne vois pas le rapport entre mon histoire personnelle et notre discussion. Tu parles de "féminazisme", je trouve juste que le terme est injustifié, voilà tout.

Tu citais un texte de Aline d'Arbrant, je ne la connaissais pas alors je suis allé voir (les soulignés sont de moi):
wikipédia a écrit :Aline d'Arbrant, écrivaine française, née à Nancy en 1952, auteure de La Gynarchie.

Aline d'Arbrant, proche de l'américaine Valerie Solanas qu'elle a rencontrée à plusieurs reprises aux USA après sa sortie de prison, est aujourd'hui la principale théoricienne de la gynarchie, philosophie féministe extrémiste à ne pas confondre avec la gynocratie (le pouvoir des femmes) ou le matriarcat (le pouvoir des mères).

La gynarchie d'Aline d'Arbrant prône un pouvoir absolu des femmes dont la finalité inéluctable serait, selon elle, un âge d'or lesbien où la femme n'aurait même plus besoin sexuellement du mâle, lequel trouverait alors épanouissement et bonheur en servant la sororité lesbienne. Ces idées sont exposées avec clarté et conviction dans son ouvrage théorique principal: La Gynarchie, déjà traduit en anglais et en italien.
Il me semble que c'est le contraire du féminisme, qui revendique l'égalité des droits.

On ne peut pas considérer qu'une "féministe extrémiste" est représentative du féminisme. Confondre "feministe" et "gynarchiste/castratrice", c'est confondre 50% et 100%...

Les individus les plus en marge d'un mouvement ne représentent pas la masse de ce mouvement, et dans le cas précis du féminisme ces "auteures" ne représentent en rien la philosophie du mouvement féministe.

Elles s'en revendiquent à tort, tout au plus.

Amicalement,
Hallucigenia

L'articulation entre sadisme de pointe et sadisme de masse

Publié : 05 juil. 2007, 18:52
par Jacques
L'articulation entre sadisme de pointe et sadisme de masse

Quand le Putsch de Ludendorf et Hitler a échoué à München (novembre 1923), on a ri, on a pouffé de leur débilité. Leurs idées prêtaient à rire, tant elles étaient grotesques. En prison, Hitler rédigea son programme de guerre totale : Mein Kampf. Accessoirement, il en profitait pour falsifier sa biographie d'en moyenne un an, pour se confectionner une autre figure, bien plus maléfique que le lâche qu'il avait été.

Plus tard, on continua de dénier : "Oh non ! Le nazisme, c'est bien plus pur et plus noble que ces braillards de S.A. !" D'ailleurs Hitler fit assassiner Röhm, ce qui sembla régler la question.

Plus tard, on continua de dénier : "Oh non ! Les camps de la mort n'ont jamais pu exister ! C'est juste une invention de la juiverie internationale !"

Nous sommes tombés sur un vaste Meine Kampf du féminazisme, et aussitôt les dénégations sont tombées sur nous comme de la grêle : "Oh non ! Ce sont juste des ultra-minoritaires sans importance ! Pis t'es juste un paranoïaque pour avoir eu l'idée d'aller fouiller de ce côté-là, et je vais de ce pas te dénoncer à mes copines de la Sororité ! "

Les intimidations ont commencé à pleuvoir, pour nous interdire de penser l'articulation entre ce sadisme de pointe - les gynarques déclarées - et les sadiques anonymes, bien indistinctes dans le sadisme de masse, voire déjà installées à des postes-clés dans la presse et dans l'appareil judiciaire, bien installées dans leur délinquance judiciaire sexiste. Se reporter par exemple à l'émission de propagande anti-pères de Myriam Tonelotto et Marc Hansman, qui faisait la part si belle à leurs ineffables complices Hélène Palma et Martin Dufresne, militants fanatiques de la guerre sexiste, sur Arte, le 22 mars 2005.

Nous disposons de deux précédents à étudier pour nous guider : la Sainte Inquisition, et le nazisme en Allemagne, le fascisme en Italie, le franquisme en Espagne, et quelques autres fascismes sanglants encore.

Institution sadique et génocidaire par excellence, la Sainte Inquisition sous les rois Très Catholiques a fonctionné avec peu de sadiques vraiment maladifs : essentiellement le Grand Inquisiteur. Pour le reste, les carriéristes ont suffi presque partout. Opportunistes, les carriéristes ont flairé où étaient les carrières sûres et juteuses : dans l'administration royale. Le roi avait besoin de terroristes assis, pour terroriser son peuple, ils ont fait carrière dans le terrorisme assis, sans autres scrupules ni "états d'âme". On a envoyé dans un premier temps 500 000 juifs et musulmans à la mer, et je n'ai pas sous la main les scores des années suivantes... Et voilà le moyen de satisfaire son sadisme anonyme en faisant brillante et confortable carrière !

Et comment l'antisémitisme de l'extrême-droite allemande est-il devenu la loi commune de l'Allemagne ? Silence très épais là dessus. Nous avons bien une information, mais son statut épistémologique est ténu. Se reporter au premier livre d'Alice Miller, son "C'est pour ton bien", chez Aubier Montagne. Y figure le compte-rendu d'une psychanalyse d'un femme, une seule, qui explique que se rebeller contre la dureté et la méchanceté de ses parents, était impossible, impensable. Aussi quand Hitler lui a désigné qui haïr sans se faire punir (les juifs), elle s'est engouffrée dans cette aubaine, comme les autres lâches anonymes. Alice Miller dénonce d'une manière générale une "pédagogie noire", des traditions familiales fortement répressives, voire sadiques, en Allemagne, et en Suisse allémanique. Le sadisme paternel subi par le futur président Schreber, en est un exemple, aux conséquences fameuses (voir bibliographie).

Une seule psychanalyse, voilà qui ne satisfait aucun des critères scientifiques et statistiques du sociopsychologue sérieux. On sait que ce que publie un psychanalyste non vérifié par ailleurs, peut être discutable, voire carrément truandé.
Il faudra pourtant bien s'en contenter à titre provisoire, car :
- On ne trouve pas d'autres témoignages non biaisés par le souci de prestance, de s'innocenter de sa part de culpabilité.
- La structure fournie par cette confession donne un bon cadre explicatif général.
- Cette structure de déplacement de la haine d'un objet inaccessible et dangereux vers un objet inoffensif et facile à maltraiter, est cohérente avec toutes nos autres connaissances et observations sur les haines et perversités, sur les organisations de la maltraitance et du harcèlement.
- Quand on a répété les expériences de Milgram en Allemagne, on a trouvé 85% de gens obéissants, contre 65% aux U.S.A et en Grande Bretagne. L'acteur qui jouait le rôle du cobaye torturé par l'autre, le cobaye naïf, ne s'en est pas remis : il a plongé dans un profond désespoir de plusieurs années, de voir ses compatriotes toujours aussi obéissants à torturer un homme qui ne leur avait jamais fait aucun mal.
- Autre information concordante, datant des années soixante-septante : la terrifiante mécanisation militaire des maternités d'Allemagne à cette époque, avec biberons à heures fixes, séparation rigoureuse des bébés d'avec leurs mères, berceaux tous alignés dans leur salle collective... D'accord, je n'ai qu'un seul témoignage direct, de Joseph Davidovits, à confirmer donc par d'autres témoins.

Ajoutons un mot sur les précédents en structures de dénégation de la réalité. Entre les deux guerres mondiales, Winston Churchill, redevenu journaliste enquêteur, enquêtait en Allemagne, et envoyait à son journal force preuves que l'Allemagne réarmait clandestinement, en violation du traité de Versailles, et préparait activement une nouvelle guerre. Et on le traitait de paranoïaque, pour oser troubler ainsi les illusions. Il semblerait qu'à cette époque, l'expression "adepte de la théorie du complot" n'était pas encore inventée, sinon nul doute qu'on l'en aurait traité.

Grâce à l'éclairage historique, nous sommes sommes en mesure de préciser le positionnement marketing de ces fanatiques du sadisme anti-mâle et de la gynarchie : exactement comme Hitler en 1923, qui se positionnait comme le truand finançable et exploitable par le patronat allemand, pour terroriser leurs ouvriers à l'échelle du Reich, et pour exterminer toute résistance. Elles se positionnent comme les truandes disponibles, le réservoir de toutes les violences anti-mâles à commanditer, pourvu qu'on garantisse leur impunité.

Or l'impunité est d'ores et déjà garantie aux auteures d'attestations mensongères, ainsi du reste qu'à leurs commanditaires. C'est un secret de Polichinelle dans tous les Barreaux de France, que l'article 441-7 NCP est lettre morte, les Ministères Publics refusent systématiquement de poursuivre les attestations mensongères, car c'est un sport d'équipe massivement féminin, massivement préjudiciable aux pères et aux maris.



Conclusion : Le ventre est encore fécond, d'où est sorti la bête immonde...

Un courrier sera très prochainement adressé au procureur, avec un CD contenant l'enregistrement de ces sites. Nous pouvons hélas prédire qu'aucune suite ne sera donnée, excepté un encouragement envoyé à ces dames, de mieux protéger leurs publications par des mots de passe, afin de ne plus laisser entrer que des complices sûres. Mobile : ces gynarques et féminazies disent tout haut ce que le Ministère Public pense tout bas.

Autre stratégie possible pour un plus long terme : Se déclarer désormais religion, et Eglise de l'Image de la Femme et de Kâli. Si si, ça va marcher, comme pour la scientologie ! D'abord c'est drôlement chouette pour l'évasion fiscale, ensuite elles pourront crier qu'on ne traite pas les religions sur un pied d'égalité, qu'elles sont encore brimées, qu'elles n'ont pas encore leurs lieux de culte où elles pourront pratiquer leurs sacrifices humains en toute tranquillité.



Le signataire de ces lignes est un sacrifice humain, qui a échappé par miracle aux deux tueuses conjurées.

Re: Allez donc voir ça, cela vaut son pesant de guano frais :

Publié : 05 juil. 2007, 19:46
par Hallucigenia
Tu avais déjà posté le lien plus haut, et tu n'as pas tenu compte de mon argumentation précédente. Ton copié/collé rapide montre bien que pour toi le sujet du féminisme est avant tout un problème de vécu, et que trop d'émotions ont biaisé ton jugement. Tu te bases sur tes expériences malheureuses pour condamner tout un mouvement, c'est dommage.

Reste que le terme "féminazisme" est parfaitement déplacé quand il s'agit de désigner le féminisme d'aujourd'hui, qui va du planning familial aux "ni putes ni soumises" en passant par les récentes lois sur la parité en politique, les combats pour l'égalité des salaires, la lutte contre les violences conjugales et tout un tas d'idées progressistes, qui sont reprises par de nombreux partis politiques de tous bords - par conviction ou par intérêt électoral.

Et puis globalement, le mouvement est largement plus modéré aujourd'hui qu'il y a 40 ans. Les réunions de gonzesses aux alentours de mai 68, çà rigolait pas ! :a2:

Amicalement,
Hallucigenia

Tu préfèrerais donc que je m'en tienne à la propagande ?

Publié : 05 juil. 2007, 20:23
par Jacques
Hallucigenia a écrit :... Tu te bases sur tes expériences ...
Tu préfèrerais donc que je m'en tienne à la propagande ?
Que j'obéisse aux ordres de conformité à la propagande, et d'adhésion aux dénis de réalité ?

Il y aurait fallu des carottes, pour cela. Or les tortionnaires, y compris dans ma famille d'origine, n'ont utilisé que bâton et bâton. Dans ces conditions, j'ai perdu ma crédulité envers le plus obstiné et constant des endoctrinements. J'y ai mis longtemps, du reste, tragiquement longtemps...

En pratique, 60 à 70 % des français ne peuvent accéder à la justice et faire valoir leurs droits.
Ah oui, mais ce doit être faux, parce que moi aussi j'en suis personnellement témoin. Allez hop ! Procédure d'annulation automatique des faits gênants pour la légende...

Deux millions d'enfants en France ne vivent pas avec leurs deux parents. 42 % voient leur père moins d'une fois par mois. 25 % perdent tout contact avec leur papa. 86 % des mères obtiennent la garde de l'enfant au divorce, contre 13 % au père.

Ah oui, mais il faut biffer tout ces faits, car ils ternissent la légende...

Commmençons par éliminer tous les faits, car ils ne se rapportent point à la question !

Un supplice chinois sur enfant.

Publié : 05 juil. 2007, 20:43
par Jacques
Ce qui suit est extrait des pages 177 à 179 du "Moi-peau" de Didier Anzieu, Editions Dunod.
L'opposition du chaud et du froid est une des distinctions de base que le Moi-peau permet d'acquérir et qui joue un rôle notable dans l'adaptation à la réalité physique, dans les oscillations de rapprochement et d'éloignement, dans la capacité de penser par soi-même. Je rappelle le cas de transfert paradoxal (que j'ai rapporté dans mon article sur ce thème : cf. Anzieu D., 1975 b), où les perturbations de l'équilibre de l'humeur, l'obstination masochiste à maintenir une vie conjugale insatisfaisante, certaines faillites du raisonnement, ont pu être rattachées par le travail psychanalytique notamment à une altération précoce de la distinction du chaud et du froid.
Observation d'Erronée
Il s'agit d'une femme pour laquelle je n'ai pas trouvé de meilleur pseudonyme que celui d'Erronée, étant donné la fréquence et l'intensité dramatique avec lesquelles il lui fut opposé, tout au long de son enfance et souvent encore de son âge adulte, que ce qu'elle ressentait était erroné. Enfant on la baignait, non pas en même temps que son petit frère, ce qui eût été indécent, mais juste avant. Aussi, afin que le bain fût à la température convenable pour le garçon, on préparait pour Erronée un bain brûlant dans lequel on la plongeait de force. Si elle se plaignait de la chaleur excessive, la tante qui, les deux parents travaillant, avait la charge des enfants la traitait de menteuse. Si elle criait de malaise, la mère, appelée pour avis, l'accusait de simagrées. Quand elle sortait de la baignoire rouge comme une écrevisse, titubante et sur le point de défaillir, le père qui dans l'intervalle était venu en renfort, lui reprochait de n'avoir ni tonus ni caractère. Elle ne fut prise au sérieux que le jour où elle s'affaissa prise de syncope. Elle eut à subir d'innombrables situations analogues suscitées par la jalousie de cette tante abusive, par l'indifférence lointaine d'une mère accaparée par son métier et par le sadisme du père. En voici un trait présentant un caractère de double contrainte (double bind). Elle qui, toute petite, avait été vouée par sa tante et sa mère aux bains brûlants, fut, ayant grandi, interdite de bain par son père — les bains chauds sont amollissants pour le corps et le caractère — et vouée à des douches froides qu'elle avait obligation de prendre hiver comme été dans une cave non chauffée de la maison où l'appareil avait été installé de façon délibérée. Le père venait contrôler sur place, même quand sa fille devint pubère.
Erronée revécut d'innombrables fois dans ses séances de psychanalyse la difficulté de me communiquer ses pensées et ses affects dans la terreur que je ne dénie leur vérité. Elle éprouvait brusquement sur le divan une sensation de froid glacial. Souvent elle gémissait et éclatait impulsive-ment en sanglots. Plusieurs fois, il lui arriva d'éprouver en séance un état intermédiaire entre l'hallucination et la dépersonnalisation : la réalité n'était plus la réalité, sa perception des choses s'embuait, les trois dimensions de l'espace vacillaient ; elle-même continuait d'exister mais séparée de son corps, à l'extérieur de celui-ci. Expérience qu'elle comprit d'elle-même, quand elle l'eut verbalisée suffisamment en détail, comme la reviviscence de sa situation infantile dans la salle de bains, quand son organisme était à la limite de l'évanouissement.
J'ai cru pouvoir faire avec Erronée l'économie du transfert paradoxal : en cela, ce fut mon tour d'être erroné. Elle m'avait témoigné assez vite un transfert positif et je pus, en m'appuyant sur lui, lui démonter le système paradoxal dans lequel l'avaient mis ses parents et dont elle ne ces-sait de me parler. Cette alliance thérapeutique positive produisit d'heureux effets dans sa vie sociale et professionnelle et dans sa relation avec ses enfants. Mais elle restait hypersensible et fragile : la moindre remarque d'un interlocuteur habituel de sa vie ou de moi-même la plongeait dans ce désarroi profond où elle n'était plus sûre de ses propres sensations, idées et désirs, où les limites de son Moi s'estompaient. Brusquement elle bascula dans le transfert paradoxal, localisant désormais ses difficultés dans la cure avec moi, me vivant comme celui dont elle ne pouvait se faire entendre et dont les interprétations (qu'elle m'attribuait ou dont elle déformait le sens) visaient à la négation systématique d'elle-même. Sa cure ne recommença à progresser que :
quand j'eus pleinement accepté d'être l'objet d'un transfert paradoxal ;
quand elle eut la preuve à la fois qu'elle pouvait m'atteindre émotionnellement mais que je restais ferme dans mes convictions.
En déniant que l'enfant ressente effectivement ce qu'elle ressentait : « ta sensation d'avoir trop chaud est fausse, c'est ce que tu dis, mais ce n'est pas vrai que tu l'éprouves ; les parents savent mieux que les enfants ce que ceux-ci ressentent ; ni ton corps ni ta vérité ne t'appartiennent », les parents se situaient non plus sur le terrain moral du bien et du mal mais sur celui, logique, de la confusion du vrai et du faux et leur paradoxe obligeait l'enfant à intervertir le vrai et le faux. D'où les troubles consécutifs dans la constitution des limites du Moi et de la réalité, dans la communication à autreui de son poin de vue. Ainsi s'instaure ce qu'Arnaud Lévy a, dans une communication restée inédite, décrit comme une subversion logique, comme un pervertissement de la pensée, nouvelle forme de la pathologie perverse venant s'ajouter aux perversions sexuelles et à la perversion morale.
Fin de citation.

J'ai apprécié ce passage comme archétypique de la double contrainte pour interdire toute autoréférence sur ses propres sensations.


J'avais voici dix-huit mois, le 8 décembre 2005, numérisé ce passage de Didier Anzieu. Hallucigénia, tu me l'as brutalement remémoré, par ton insistance à dénier la réalité, et à exiger mon adhésion à tes dénis de réalité.

Du coup, c'est à mon tour de te poser des questions sur les exigences de déni de réalité auxquels toi, tu as été soumis.

Re: Tu préfèrerais donc que je m'en tienne à la propagande ?

Publié : 05 juil. 2007, 20:54
par Hallucigenia
Jacques a écrit : Deux millions d'enfants en France ne vivent pas avec leurs deux parents. 42 % voient leur père moins d'une fois par mois. 25 % perdent tout contact avec leur papa. 86 % des mères obtiennent la garde de l'enfant au divorce, contre 13 % au père.
D'accord, c'est tragique, et c'est une inégalité qu'il faut combattre.

Reste que ces faits ne sont pas imputables au féminisme !

Au contraire ils sont plutôt un signe d'une inégalité dans nos sociétés, où l'on considère encore que c'est l'homme qui travaille quand la femme reste à la maison pour s'occuper des enfants.

La garde des enfants en cas de divorce... il s'agit plutôt d'une inégalité qui concerne les hommes, et il semble assez normal que nos sociétés évoluent là aussi. Mais on comprendra que les mouvements féministes ne s'attaquent pas à ce problème, puisqu'ils défendent les droits des femmes (non des hommes).

Pour ce problème, il existe des associations de "droits des papas" qui se sont formées afin de lutter contre ces injustices-là - et tant mieux, aidons-les !

Mais tout çà n'a rien à voir avec le féminisme globalement, et çà ne justifie en rien qu'on affuble tout ce mouvement d'un sobriquet aussi primaire et insultant que "féminazisme".
Jacques a écrit :Hallucigénia (...) ton insistance à dénier la réalité, et à exiger mon adhésion à tes dénis de réalité.
Oh ? Mais quelle est donc cette réalité que je refuse d'admettre ? (Inutile de me faire un copié/collé de 300 lignes que je risque de lire en diagonale faute d'intérêt, ce sont tes commentaires qui m'intéressent)

Amicalement
Hallucigenia

Cette parfaite adhésion à la propagande te sert à quoi, à to

Publié : 05 juil. 2007, 21:06
par Jacques
Cette parfaite adhésion à la propagande te sert à quoi, à toi ?

C'est cela le noeud du problème.

Parce qu'à cause de cela, dès le second message du fil, plus personne n'a parlé du sujet initial : les rites ahurissants, en échange desquels les adhérents à une puissante secte peuvent se sentir supérieurs au restant des humains.

Re: Cette parfaite adhésion à la propagande te sert à quoi, à to

Publié : 05 juil. 2007, 21:29
par Hallucigenia
Jacques a écrit : Parce qu'à cause de cela, dès le second message du fil, plus personne n'a parlé du sujet initial
Au tout début du film "Gladiator", Russell Crowe déclare :
A mon signal, déchaîne les enfers !
J'adore ce moment ! Je vais donner le signal moi aussi, et t'arranger ce menu problème dont je semble être responsable...
Jacques a écrit :Cette parfaite adhésion à la propagande te sert à quoi, à toi ?

C'est cela le noeud du problème.
Je ne sais pas de quelle propagande tu parles, mais on va en discuter sur une enfilade séparée.

Amicalement,
Mr Hyde
Docteur Jekyll

Edit : c'est arrangé.

Re: Allez donc voir ça, cela vaut son pesant de guano frais :

Publié : 05 juil. 2007, 21:31
par Zwielicht
Jacques, je ne pense pas qu'il faille mêler la littérature (Arbrant et al.) à tout ça. C'est de la fiction, et ça doit demeurer séparé des faits réels.

Pour la petite histoire, Hallu, je ne sais pas si tu le savais, mais le terme féminazi est apparu aux USA dans les années '90 ou avant (avant 1994, j'en suis sûr), popularisé (et peut-être créé) par Rush Limbaugh. J'ignore s'il existait ailleurs avant ça..

Re: Allez donc voir ça, cela vaut son pesant de guano frais :

Publié : 05 juil. 2007, 21:43
par Hallucigenia
Salut Zwielicht,
Zwielicht a écrit :Pour la petite histoire, Hallu, je ne sais pas si tu le savais, mais le terme féminazi est apparu aux USA dans les années '90 ou avant (avant 1994, j'en suis sûr), popularisé (et peut-être créé) par Rush Limbaugh.
Ah non, je n'en savais rien. Même, au début j'ai cru à une blague idiote de Jacques : mais j'ai quand même jeté un oeil sur Google et j'ai vu que le terme existait déjà. Honnêtement, je n'avais jamais entendu ce mot avant... :?

Amicalement,
Hallucigenia

Sur la dynamique perverse du militantisme victimaire

Publié : 05 juil. 2007, 22:07
par Jacques
Sur la dynamique perverse du militantisme victimaire, surtout s'il est fondé sur l'exclusion, comme l'ont souvent été les classes dominantes, l'aristocratie au temps de la comtesse de Ségur, la bourgeoisie de nos jours, comme l'est le féminisme d'importation américaine, avec le MLF français, consulter Régine Dhoquois "Appartenance et exclusion", à l'Harmattan.

Problème, le résumé d'éditeur à http://www.editions-harmattan.fr/index. ... e&no=11701 ne ressemble en rien à la fiche de lecture que j'avais publié. J'avais retenu, moi, ces innombrables scissions et exclusions dans le féminisme, depuis qu'il est intrinsèquement fondé sur le rejet de l'autre et l'exclusion - donc en parfait accord avec sa perception de sa classe sociale par la bourgeoise. Exclusion des mâles d'abord, Catherine Dreyfus en avait fait un reportage marrant à l'époque. Puis des hétérosexuelles, traitées en traîtresses, des humanistes, des pacifistes...

Quelques citations ?
Et maintenant contre les femmes qui ne partagent pas leur nazisme :
Forum de discussion de
SOS Sexisme

Réponse à "Re: le féminisme extrémisme: une production masculine"

Ecrit par anne le 12/16/2002 à 12:17:44 AM
...
> Mais il existe également beaucoup de femmes qui (tout en profitant des
> acquis obtenus par les luttes féministes!!)jurent les grands dieux
> qu'elles sont femmes MAIS pas féministes. Comme s'il y avait une honte
> de se dire féministe. Je trouve cette position de nombre de femmes
> encore plus révoltante. Car se sont les premières à opposer les 2
> termes alors qu'être féministe n'enlève rien au fait d'être femme!!
> Ce sont quelque part des traitres. Et j'en connais un certain nombre
> ;-((


Forum de discussion de
SOS Sexisme

Réponse à "Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Compatibilité."

Ecrit par calixto le 4/15/2003 à 7:31:05 PM

En réponse à : Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Compatibilité. Ecrit par Mamanenceinte le 4/15/2003 à 9:45:50 AM
...
> Par ailleurs, l'absence de logique des femmes au foyer ou mariées ne
> me dérange pas et n'a aucune influence sur ma vie à moi ni sur le
> féminisme en soi (au contraire, certainement).

> En revanche, qu'une personne proclame qu'un foetus est une personne,
> c'est extrêmement dangereux parce que ça fait le lit de ceux qui
> veulent interdire l'avortement et dont la stratégie est précisément de
> commencer par donner un caractère d'être humain au foetus pour ensuite
> donner un caractère d'homicide à l'avortement.

et un peu plus loin de la même Calixto à la même :
> ... C'est parce que vous êtes enceinte que vous êtes aussi confuse ?


Sur les .HyènesdeGuerre :
calixto
(12/05/2003 - 11:08)
> Finalement, il est peut-être pas si crétin que ça, mon mec...

avrol
(11/05/2003 - 11:09)
> ... Plus je la lis et plus j'apprécie Valerie Solanas ...
De la même Avrol
(1-/-1/2002 - 22: 1)
> N'oubliez pas Valérie Solanas avec son brûlot : le Scum Manifesto !
Un(e) génie non reconnu(e). Une Féministe maudite comme on parle des Artistes maudit(e)s. Dans la droite ligne du mouvement Dada, des Surréalistes, en passant par Hara-Kiri, le journal en guerre contre le bon goût.
Le Scum Manifesto est un exercice de Haute Ecole : L'anathème comme savaient aussi le pratiquer les surréalistes. Et doublé, c'est là où est le génie d'une lucidité et d'une justesse quasiment magique.
...

Etc. etc. etc...
Vous cherchez vous-même les hurlements de haine contre Elisabeth Badinter, ou il faut que je le fasse pour vous ?

féminaze

Publié : 05 juil. 2007, 22:11
par El Kabong
Salut,

Ce terme représente quand même une réalité qu'il ne faut pas nier...
Il existe chez beaucoup de femmes (une minorité...), un ressentiment envers l'homme*, ce sentiment négatif est mal canalisé et revanchard, mène à des généralisations aberrantes qui provoquent inévitablement des comportements misandres** chez les personnes qui souffrent de ce sentiment. L'égalité pour ces "déesses" consiste à pratiquer les pires comportements machos (fachos?) et dominateurs. Ce qu'un homme ne peut plus se permettre (tant mieux!), la "féminaze", elle se le permet en toute impunité...
Bien sur, il n'y a pas de complot là...C'est de la folie, de la folie destructice envers l'autre. Rien de nouveau dans le ciel de l'humanité.

Il y a un équilibre vers lequel nos sociétés tendent, mais qui n'est pas encore atteint...
D'ailleurs, pour un intégriss muslim, le terme "féminaze" doit provoquer des torrents de rires sadiques...

Santé et respect!

*L'homme est la source de tout le mal dans de le monde. De la bouche même d'une de mes ex! Belle enfant gâtée de bonne famille (Un coup de poing sur la gueule fait moins mal, je crois...)
**Haine de l'homme...

Re: Sur la dynamique perverse du militantisme victimaire

Publié : 05 juil. 2007, 22:25
par Hallucigenia
Salut Jacques,
Jacques a écrit :Sur la dynamique perverse du militantisme victimaire
Oui ! Et que dire de la dynamique du vocabulaire victimaire qui va avec ? C'est tout-à-fait ta position, de te placer en victime... relis-toi !
Jacques a écrit : Remarquez, chez nous aussi, nous avons un système politique et
judiciaire totalitaire : le féminazisme.
Jacques a écrit :Petit-fils, fils et frère de féministes, ou plus précisément petit-fils de féministe, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, et père de [censuré, c'est indicible], soumis à plus de soixante ans de propagande misandre victimaire, je suis en mesure de répondre ce qui suit :
Source fournie par toi-même plus haut : http://lavaujac.club.fr/feminisme.html
Jacques a écrit : Aujourd'hui, 5 juillet 2007, cela fait 2678 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille cadette.
3406 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils cinq minutes, avec chance et persévérance...
3539 jours que ce petit-fils est interdit de voir son arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997, par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse et organisée. Et tout le reste est à l'avenant.
Excuse-moi encore, mais tu dérapes ici. En associant le féminisme à Godwin Hitler et en citant Bertold Brecht : par deux fois, tu vas implicitement te comparer aux juifs victimes du nazisme (ce qui renforce bien ton idée que le néologisme "féminazisme" est fondé).
Jacques a écrit :J'ai aussi mis à jour un véritable "Meine Kampf" du féminazisme : apologie du meurtre, de la mutilation, de l'esclavage et des camps d'extermination, en gynarque dans le texte.
Jacques a écrit :Conclusion : Le ventre est encore fécond, d'où est sorti la bête immonde...
Alors OUI, parlons-en de la dynamique perverse de la rhétorique victimaire. Parlons des juifs et des nazis. Parlons des problèmes que tu as eus avec les femmes. Ou parlons du féminisme et de sa réalité actuelle. Mais ne mélangeons pas tout !

Je ne suis pas un spécialiste du féminisme, ni militant. Mais quand même :ouch:

Amicalement
Hallucigenia

Tu n'as répondu à aucun de mes deux questions :

Publié : 05 juil. 2007, 22:35
par Jacques
Tu n'as répondu à aucune de mes deux questions :
1 - Sur les exigences de déni de réalité auxquels toi, tu as été soumis ?
2 - Cette parfaite adhésion à la propagande te sert à quoi, à toi ?

Re: Tu n'as répondu à aucun de mes deux questions :

Publié : 05 juil. 2007, 22:47
par Hallucigenia
Jacques a écrit :Tu n'as répondu à aucune de mes deux questions :
1 - Sur les exigences de déni de réalité auxquels toi, tu as été soumis ?
2 - Cette parfaite adhésion à la propagande te sert à quoi, à toi ?
La première question : je n'ai pas bien compris ni la question ni le rapport avec le terme "féminazisme" que je critiquais, donc j'ai plutôt l'impression que c'est toi qui évite le sujet.

La deuxième question : tu es injuste de dire çà: j'ai déjà répondu.
Hallucigenia a écrit : Je ne sais pas de quelle propagande tu parles

Re: Tu n'as répondu à aucun de mes deux questions :

Publié : 05 juil. 2007, 22:53
par Jacques
Hallucigenia a écrit :
Jacques a écrit :Tu n'as répondu à aucune de mes deux questions :
1 - Sur les exigences de déni de réalité auxquels toi, tu as été soumis ?
2 - Cette parfaite adhésion à la propagande te sert à quoi, à toi ?
La première question : je n'ai pas bien compris ni la question ni le rapport avec le terme "féminazisme" que je critiquais, donc j'ai plutôt l'impression que c'est toi qui évite le sujet.

La deuxième question : tu es injuste de dire çà: j'ai déjà répondu.
Hallucigenia a écrit : Je ne sais pas de quelle propagande tu parles
En novlangue dans le texte : doubleplus canelangue.

Tous les poncifs 100 % mensongers et 100% essentialistes et achroniques que tu m'as seriné plus haut.

On se marre entre gars

Publié : 05 juil. 2007, 23:13
par Hallucigenia
hihihi t'es marrant mon pote !
Jacques a écrit :En novlangue dans le texte : doubleplus canelangue.

Tous les poncifs 100 % mensongers et 100% essentialistes et achroniques que tu m'as seriné plus haut.
Tes arguments m'ont convaincu, n'en parlons plus... achetons des bières et saoulons-nous. "Toutes les mêmes..."

Santé !

Hallucigenia

D'ailleurs, ça se chante, dans la Légion :

Publié : 05 juil. 2007, 23:32
par Jacques
Hallucigenia a écrit :... achetons des bières et saoulons-nous.
D'ailleurs, ça se chante, dans la Légion, et puis noblement, en plus :
Refrain :
Ô Bière ! Bière divine !
Toi seule, a des appâts !
A des appâts !
Car la rose a des épines,
Toi bière, tu n'en as pas !

Vivre sans souci, boire du purin, bouffer d'la merde,
C'est le seul moyen de ne jamais mourir de faim !


Certains sussurent que le mot "bière" n'était pas dans l'original.
Mèzalors ? Mèzalors ? C'était quoi, dans l'original ?
Quelque chose de bien gras ?
















J'y suis !
Les marins sont en mer dès l'aurore !
En mer dès le matin,
En mer dans la journée.
Ils ont la mer devant,
Ils ont la mer derrière,
Et la mer de tous les côtés !
Tagadadatsoin !

Re: pesant de guano frais : féminazisme.

Publié : 06 juil. 2007, 01:41
par Hallucigenia
Et sinon : concrètement, tu leur reproches quoi aux mouvements féministes Image