Le 11 Septembre : Le NOMBRE de la BETE
Publié : 08 sept. 2007, 07:04
Le 11 Septembre : Le NOMBRE de la BETE
Les deux tours du World Trade Center s’écroulaient le 11 Septembre 2002.
C’était un événement historique dans l’Histoire de Terrorisme. Il n’y avait pas d’équivalent même dans l’Histoire.
Des personnes ont voulu savoir si cet événement avait une signification dans les chiffres.
Et on trouvait 14 significations portant le Chiffre 11.
Puis on trouvait le chiffre 666, le nombre de la Bête.
Voici la page où les calculs numériques du 11 Septembre sont faits :
http://tyron29.oldiblog.com/?page=articles&rub=72550
En tous cas le hasard se manifeste ce jour là avec une grande série de chiffres.
Le Psychanalyste JUNG, qui a été l'élève Sigmund FREUD, avait constaté des hasards extraordinaires chez ses patients, et avait émis une hypothèse concernant les hasards extraordinaires et signifiants. Il avait baptisé sa théorie SYNCHRONOCITE.
Einstein s’était intéressé à la Synchronicité et connaissait JUNG.
La Synchronicité est maintenant étudiée par le grand Astrophysicien Hubert REEVES, qui a reçu le prix EINSTEIN pour les travaux qu’il a fait sur la théorie Cosmologique du BIG BANG.
Hubert REEVES a fait un livre sur la Synchronicité. Il émet une piste d’explication vers la physique quantique.
La synchronicité dans la théorie jungienne [modifier]
Jung a évoqué la synchronicité dès les années 1930, mais ce n'est que tardivement dans son œuvre, dans les années 1940/1950 qu'il va la définir plus précisément en lui consacrant un ouvrage entier. « Une synchronicité apparaît lorsque notre psychisme se focalise sur une image archétypale dans l'univers extérieur, lequel comme un miroir nous renvoie une sorte de reflet de nos soucis sous la forme d'un événement marqué de symboles afin que nous puissions les utiliser. Nous nous trouvons face à un "hasard" signifiant et créateur.»[1] Carl Gustav Jung illustrait ce concept par le célèbre exemple du scarabée d'or : alors qu'une de ses patientes en analyse lui racontait un de ses rêves et prononcait le mot scarabée d'or , un scarabée d'or s'écrasait sur la vitre de son cabinet, les troublant tous deux. Cette "coïncidence fortuite" allait permettre de relancer la thérapie stagnante de sa patiente...
Voici l’article de Hubert REEVES qui parle de son livre :
http://www.amazon.fr/Synchronicit%C3%A9 ... 2226076093
Quatrième de couverture
Théorie des événements porteurs de sens et conception d'un ordre sous-jacent de l'Univers qui échapperait aux lois physiques de la causalité, la synchronicité représente l'une des hypothèses les plus audacieuses de C. G. Jung, tant par la définition de l'inconscient qu'elle induit que par les liens qu'elle crée entre les différentes disciplines scientifiques. Visions, clairvoyance, phénomènes de coincidence - faits auxquels Jung fut confronté dans son expérience clinique - sont des notions dont il tente de rendre raison en les inscrivant dans un ordre universel a-causal, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives qui permettent de confronter ses travaux aux interrogations et aux formulations les plus récentes de l'activité scientifique. C'est donc cette recherche sur l'organisation du monde et sur la réalité de l'âme que les co-auteurs de cet ouvrage : Hubert Reeves, Michel Cazenave, Pierre Solié, Karl Pribram, Hansueli Etter et Marie-Louise von Franz, ont ici poursuivi avec des points de vue multidisciplinaires et une totale liberté de pensée.
Hubert Reeves a fait de nombreux livres sur L’Astronomie : Voici le liens de ses livres :
http://www.amazon.fr/exec/obidos/search ... t%20Reeves
Voici un lien Wikipédia qui vous explique avec précision la théorie révolutionnaire de la Synchronicité :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Synchronicit%C3%A9
C'est un jeune biologiste autrichien du nom de Paul Kammerer qui fut le premier scientifique moderne (avant Jung) à regarder les coïncidences sous un œil non-mécaniste. Dès 1900, et pendant plusieurs années, il note des observations de coïncidences. En 1919, il publie la conclusion de son travail qui décrit l'univers dans lequel on vit comme un « monde mosaïque, qui, malgré de constants mouvements et réarrangements, vise à réunir les choses semblables ».[1].
Jung, aidé du physicien Wolfgang Ernst Pauli, approfondira les travaux de Kammerer, en définissant le concept de synchronicité et en le liant aux processus de l'inconscient. Pauli & Carl Gustav Jung ont dialogué pendant de nombreuses années.[2] Pauli a suivi dans les années trente une cure analytique avec l'un des élèves de Jung, cure dont la série de rêves a été étudiée par Jung lui-même dans Psychologie et Alchimie.
Jung postule l'existence d'un "savoir absolu" constitué par un inconscient collectif formé d'archétypes. La synchronicité témoignerait alors d'une résonance entre le psychisme de l'individu et un archétype. Il écrit encore « Les lois de la nature sont des vérités statistiques, c’est-à-dire qu’elles ne sont en quelque sorte pleinement valables que dans le domaine des valeurs macro-physiques. Dans celui de l’infiniment petit, en revanche, la prédiction devient incertaine voire impossible, parce que les très petites grandeurs ne se comportent plus conformément aux lois naturelles connues. » [3]
Favoriser la synchronicité [modifier]
Dans la théorie jungienne, l'apparition de synchronicités peut être favorisée par l'intuition et par les rêves.
Les deux tours du World Trade Center s’écroulaient le 11 Septembre 2002.
C’était un événement historique dans l’Histoire de Terrorisme. Il n’y avait pas d’équivalent même dans l’Histoire.
Des personnes ont voulu savoir si cet événement avait une signification dans les chiffres.
Et on trouvait 14 significations portant le Chiffre 11.
Puis on trouvait le chiffre 666, le nombre de la Bête.
Voici la page où les calculs numériques du 11 Septembre sont faits :
http://tyron29.oldiblog.com/?page=articles&rub=72550
En tous cas le hasard se manifeste ce jour là avec une grande série de chiffres.
Le Psychanalyste JUNG, qui a été l'élève Sigmund FREUD, avait constaté des hasards extraordinaires chez ses patients, et avait émis une hypothèse concernant les hasards extraordinaires et signifiants. Il avait baptisé sa théorie SYNCHRONOCITE.
Einstein s’était intéressé à la Synchronicité et connaissait JUNG.
La Synchronicité est maintenant étudiée par le grand Astrophysicien Hubert REEVES, qui a reçu le prix EINSTEIN pour les travaux qu’il a fait sur la théorie Cosmologique du BIG BANG.
Hubert REEVES a fait un livre sur la Synchronicité. Il émet une piste d’explication vers la physique quantique.
La synchronicité dans la théorie jungienne [modifier]
Jung a évoqué la synchronicité dès les années 1930, mais ce n'est que tardivement dans son œuvre, dans les années 1940/1950 qu'il va la définir plus précisément en lui consacrant un ouvrage entier. « Une synchronicité apparaît lorsque notre psychisme se focalise sur une image archétypale dans l'univers extérieur, lequel comme un miroir nous renvoie une sorte de reflet de nos soucis sous la forme d'un événement marqué de symboles afin que nous puissions les utiliser. Nous nous trouvons face à un "hasard" signifiant et créateur.»[1] Carl Gustav Jung illustrait ce concept par le célèbre exemple du scarabée d'or : alors qu'une de ses patientes en analyse lui racontait un de ses rêves et prononcait le mot scarabée d'or , un scarabée d'or s'écrasait sur la vitre de son cabinet, les troublant tous deux. Cette "coïncidence fortuite" allait permettre de relancer la thérapie stagnante de sa patiente...
Voici l’article de Hubert REEVES qui parle de son livre :
http://www.amazon.fr/Synchronicit%C3%A9 ... 2226076093
Quatrième de couverture
Théorie des événements porteurs de sens et conception d'un ordre sous-jacent de l'Univers qui échapperait aux lois physiques de la causalité, la synchronicité représente l'une des hypothèses les plus audacieuses de C. G. Jung, tant par la définition de l'inconscient qu'elle induit que par les liens qu'elle crée entre les différentes disciplines scientifiques. Visions, clairvoyance, phénomènes de coincidence - faits auxquels Jung fut confronté dans son expérience clinique - sont des notions dont il tente de rendre raison en les inscrivant dans un ordre universel a-causal, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives qui permettent de confronter ses travaux aux interrogations et aux formulations les plus récentes de l'activité scientifique. C'est donc cette recherche sur l'organisation du monde et sur la réalité de l'âme que les co-auteurs de cet ouvrage : Hubert Reeves, Michel Cazenave, Pierre Solié, Karl Pribram, Hansueli Etter et Marie-Louise von Franz, ont ici poursuivi avec des points de vue multidisciplinaires et une totale liberté de pensée.
Hubert Reeves a fait de nombreux livres sur L’Astronomie : Voici le liens de ses livres :
http://www.amazon.fr/exec/obidos/search ... t%20Reeves
Voici un lien Wikipédia qui vous explique avec précision la théorie révolutionnaire de la Synchronicité :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Synchronicit%C3%A9
C'est un jeune biologiste autrichien du nom de Paul Kammerer qui fut le premier scientifique moderne (avant Jung) à regarder les coïncidences sous un œil non-mécaniste. Dès 1900, et pendant plusieurs années, il note des observations de coïncidences. En 1919, il publie la conclusion de son travail qui décrit l'univers dans lequel on vit comme un « monde mosaïque, qui, malgré de constants mouvements et réarrangements, vise à réunir les choses semblables ».[1].
Jung, aidé du physicien Wolfgang Ernst Pauli, approfondira les travaux de Kammerer, en définissant le concept de synchronicité et en le liant aux processus de l'inconscient. Pauli & Carl Gustav Jung ont dialogué pendant de nombreuses années.[2] Pauli a suivi dans les années trente une cure analytique avec l'un des élèves de Jung, cure dont la série de rêves a été étudiée par Jung lui-même dans Psychologie et Alchimie.
Jung postule l'existence d'un "savoir absolu" constitué par un inconscient collectif formé d'archétypes. La synchronicité témoignerait alors d'une résonance entre le psychisme de l'individu et un archétype. Il écrit encore « Les lois de la nature sont des vérités statistiques, c’est-à-dire qu’elles ne sont en quelque sorte pleinement valables que dans le domaine des valeurs macro-physiques. Dans celui de l’infiniment petit, en revanche, la prédiction devient incertaine voire impossible, parce que les très petites grandeurs ne se comportent plus conformément aux lois naturelles connues. » [3]
Favoriser la synchronicité [modifier]
Dans la théorie jungienne, l'apparition de synchronicités peut être favorisée par l'intuition et par les rêves.