Les grands chefs religieux
Publié : 06 oct. 2007, 20:00
Les Grands Chef religieux : Le PAPE : un ASSASSIN, et l'ISLAM : des BOLCHEVIQUES
J'ai toujours eu un profond respect envers les gens du peuple qui croient en Dieu.
Mais ce n'est pas le cas des Grands Chefs Religieux.
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Le PAPE et la BITE :
Le Pape ne veut pas que les Africains mettent une capote sur leurs bites car pas de capote
avant le mariage, dit le Pape.
Résultat : Surpopulation, Faim endémique et transmission du SIDA en MASSE.
Le PAPE et la PAPAUTE sont donc des pourvoyeurs de mort, et devraient être condamnés par un Tribunal
International de Justice pour atteinte aux Droits de l'Homme et incitation à donner la mort à autrui.
Le PAPE est donc un assassin en MASSE, au même titre que des hommes comme HITLER ou STALINE.
Donc la CANONISATION des PAPES est une escroquerie intellectuelle équivalente au NAZISME et au COMMUNISME.
Et la CANONISATION des PAPES donc aussi est une atteinte à la Religion catholique et à la Mémoire des Saints et des Martyrs de l'Histoire.
La Démocratisation dans la Hiérarchie des cadres de l'Eglise est une farce sinistre, et elle est équivalente à celle qui était effectuée chez les cadres du Parti Communiste sous STALINE.
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l'ISLAM et la GUERRE SAINTE :
«Parmi les religions, l’islam doit être comparé au bolchevisme plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation.
L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d’étendre leur domination sur le monde.»
Citation de Sir Bertrand Russell, scientifique et philosophe pacifiste, Prix Nobel 1950
"Près de 250 versets – sur les 6235 du Livre (coran) – justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases qui invitent à la tolérance… Dans un tel océan de sang qui peut encore s’arrêter à [ces] deux ou trois phrases… D’autant que la biographie du prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. […]
L'islam refuse par essence l'égalité métaphysique, ontologique, religieuse, donc politique. Le Coran l'enseigne : au sommet, les musulmans, en dessous, les chrétiens, parce que gens du Livre eux aussi, puis, à la suite, les juifs, également partie prenante du groupe, parce que monothéistes. Enfin, après le musulman, le chrétien et le juif, arrive en quatrième position, toutes catégories confondues dans la réprobation générale, le groupe des incroyants, infidèles, mécréants, polythéistes et, bien sûr, athées... La loi coranique qui interdit de tuer ou de commettre des délits ou des massacres sur son prochain concerne seulement de manière restrictive les membres de la communauté l’umma. […]
Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. Il est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières. Le musulman n'est pas fraternel : frère du coreligionnaire, oui, mais pas des autres, tenus pour rien, quantités négligeables ou détestables.
J'ai toujours eu un profond respect envers les gens du peuple qui croient en Dieu.
Mais ce n'est pas le cas des Grands Chefs Religieux.
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Le PAPE et la BITE :
Le Pape ne veut pas que les Africains mettent une capote sur leurs bites car pas de capote
avant le mariage, dit le Pape.
Résultat : Surpopulation, Faim endémique et transmission du SIDA en MASSE.
Le PAPE et la PAPAUTE sont donc des pourvoyeurs de mort, et devraient être condamnés par un Tribunal
International de Justice pour atteinte aux Droits de l'Homme et incitation à donner la mort à autrui.
Le PAPE est donc un assassin en MASSE, au même titre que des hommes comme HITLER ou STALINE.
Donc la CANONISATION des PAPES est une escroquerie intellectuelle équivalente au NAZISME et au COMMUNISME.
Et la CANONISATION des PAPES donc aussi est une atteinte à la Religion catholique et à la Mémoire des Saints et des Martyrs de l'Histoire.
La Démocratisation dans la Hiérarchie des cadres de l'Eglise est une farce sinistre, et elle est équivalente à celle qui était effectuée chez les cadres du Parti Communiste sous STALINE.
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l'ISLAM et la GUERRE SAINTE :
«Parmi les religions, l’islam doit être comparé au bolchevisme plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation.
L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d’étendre leur domination sur le monde.»
Citation de Sir Bertrand Russell, scientifique et philosophe pacifiste, Prix Nobel 1950
"Près de 250 versets – sur les 6235 du Livre (coran) – justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases qui invitent à la tolérance… Dans un tel océan de sang qui peut encore s’arrêter à [ces] deux ou trois phrases… D’autant que la biographie du prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. […]
L'islam refuse par essence l'égalité métaphysique, ontologique, religieuse, donc politique. Le Coran l'enseigne : au sommet, les musulmans, en dessous, les chrétiens, parce que gens du Livre eux aussi, puis, à la suite, les juifs, également partie prenante du groupe, parce que monothéistes. Enfin, après le musulman, le chrétien et le juif, arrive en quatrième position, toutes catégories confondues dans la réprobation générale, le groupe des incroyants, infidèles, mécréants, polythéistes et, bien sûr, athées... La loi coranique qui interdit de tuer ou de commettre des délits ou des massacres sur son prochain concerne seulement de manière restrictive les membres de la communauté l’umma. […]
Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. Il est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières. Le musulman n'est pas fraternel : frère du coreligionnaire, oui, mais pas des autres, tenus pour rien, quantités négligeables ou détestables.