Autres signes... après le décès de mon père. (suite TCI)
Publié : 29 avr. 2008, 09:24
Bonjour,
Pour éviter de mélanger nos interventions, je laisse un nouveau commentaire.
Celui-ci va sans nul doute susciter bien des réactions parmi vous.
Ne m'affublez pas de zozo avant ou en cours de lecture! Allez à la fin de mon témoignage, s'il faut relisez-le et seulement après vilipendez moi!
Sachez avant tout que, dans ma famille, le sujet de la mort n'a été que peu abordé voire presque jamais. Nous sommes, surtout mon frère, des gens particulièrement pragmatiques. Nous sommes catholiques non pratiquants (choix de mes parents) mais paradoxalement nous n'avons pas été élevés dans le "culte" du Christ. Notre philosophie de vie est; "la seule chose dont nous pouvons être sûrs à notre naissance est que nous mourrons un jour"!
Mon père, 73 ans, est donc décédé le 19 mars à cinq heures (AM) dans son sommeil dans un hôpital de Bruxelles. Mon frère était près de lui. Son visage "dégageait" une très grande sérénité et ne reflétait aucune souffrance. La vision de notre père serein nous a permis d'accepter son départ. Comme je le disais précédemment, l'annonce de la maladie de mon père nous a été faite en novembre 2007. Depuis ce jour, nous avons eu de cesse de soutenir mes parents et de les encourager pour ce qui devait être la guérison. Mon père a été terriblement courageux jusqu'à son dernier souffle malgré sont état d'épuisement total. Ce cancer, mon père l'a vaincu!
Ce n'est qu'au mois de février, lorsque nous l'avons fait transférer à l'hôpital pour une fièvre tenace, que nous avons commencé à envisager son départ. Nous n'avions jamais été confronté à la mort d'un "très proche". L'inéluctable nous est alors apparu de plus en plus clairement. Ce cheminement de plusieurs mois fût notre salut.
Les heures qui ont suivies ont été douloureuses mais sans effusions. Jamais sans doute le calme avait à ce point régné dans notre famille.
J'ai planté le décor. Venons-en à 2 "signes" marquants.
Moi:
le lendemain du décès de mon père, vers 16h et malgré une nuit assez sereine, j'ai senti le besoin d'aller m'allonger sur mon lit. J'avais froid et je me suis enroulé dans les couvertures, tourné vers le bord du lit. Au bout de quelques minutes, dans un calme absolu, quelque chose (voyez comme je suis prudent) a délicatement tiré le bord de la couverture de la gauche vers la droite. Cela a duré quelques secondes et j'ai ressenti sa (une) présence d'une manière telle que j'en ai même eu "peur". Je n'ai pas osé me retourner et quand bien même, qu'aurais-je vu? Personne ne se trouvait dans cette chambre et je ne dormais pas. Je n'étais même sur le point de m'endormir. Je ne peux vous dire qu'une seule et unique chose, cela s'est fait avec une extrême douceur comme si on caressait cette couverture pour éviter de me brusquer. Je n'ai plus ressenti quoi que ce soit depuis.
Mon frère, Marc:
Une semaine après son décès, Marc se trouvait aussi dans son lit. Il ne dormait pas.
Une "voix" très douce mais lointaine, qui n'était pas celle de mon père, l'a interpellé "Marco...Marco". Marc n'a pas non plus voulu se retourner.
Il a regardé l'heure sur son réveil-matin, il était 1h36 (AM).
Il n’a plus eu de « signes » depuis.
Le seul à n'avoir jamais appelé mon frère de la sorte était mon père. Marc est tout à fait incapable de pouvoir en dire plus mais il ne l'a pas rêvé. Il le dit lui-même, cette voix il l'a peut-être im
SVP passez-moi les explications du genre "étiez-vous vraiment seuls? Ne dormiez-vous pas? Aviez-vous bu? Etiez-vous drogués?
Peut-être certain d'entre vous ont été confrontés à ce type de phénomènes ou peut-on y trouver des explications raisonnables?
Je n'enrobe pas le bonbon d'un emballage rose pour mieux vous le faire avaler.
J'essaye d'être concis sans être succinct.
Vos opinions ont de l'importance.
Merci
Bernard
Pour éviter de mélanger nos interventions, je laisse un nouveau commentaire.
Celui-ci va sans nul doute susciter bien des réactions parmi vous.
Ne m'affublez pas de zozo avant ou en cours de lecture! Allez à la fin de mon témoignage, s'il faut relisez-le et seulement après vilipendez moi!
Sachez avant tout que, dans ma famille, le sujet de la mort n'a été que peu abordé voire presque jamais. Nous sommes, surtout mon frère, des gens particulièrement pragmatiques. Nous sommes catholiques non pratiquants (choix de mes parents) mais paradoxalement nous n'avons pas été élevés dans le "culte" du Christ. Notre philosophie de vie est; "la seule chose dont nous pouvons être sûrs à notre naissance est que nous mourrons un jour"!
Mon père, 73 ans, est donc décédé le 19 mars à cinq heures (AM) dans son sommeil dans un hôpital de Bruxelles. Mon frère était près de lui. Son visage "dégageait" une très grande sérénité et ne reflétait aucune souffrance. La vision de notre père serein nous a permis d'accepter son départ. Comme je le disais précédemment, l'annonce de la maladie de mon père nous a été faite en novembre 2007. Depuis ce jour, nous avons eu de cesse de soutenir mes parents et de les encourager pour ce qui devait être la guérison. Mon père a été terriblement courageux jusqu'à son dernier souffle malgré sont état d'épuisement total. Ce cancer, mon père l'a vaincu!
Ce n'est qu'au mois de février, lorsque nous l'avons fait transférer à l'hôpital pour une fièvre tenace, que nous avons commencé à envisager son départ. Nous n'avions jamais été confronté à la mort d'un "très proche". L'inéluctable nous est alors apparu de plus en plus clairement. Ce cheminement de plusieurs mois fût notre salut.
Les heures qui ont suivies ont été douloureuses mais sans effusions. Jamais sans doute le calme avait à ce point régné dans notre famille.
J'ai planté le décor. Venons-en à 2 "signes" marquants.
Moi:
le lendemain du décès de mon père, vers 16h et malgré une nuit assez sereine, j'ai senti le besoin d'aller m'allonger sur mon lit. J'avais froid et je me suis enroulé dans les couvertures, tourné vers le bord du lit. Au bout de quelques minutes, dans un calme absolu, quelque chose (voyez comme je suis prudent) a délicatement tiré le bord de la couverture de la gauche vers la droite. Cela a duré quelques secondes et j'ai ressenti sa (une) présence d'une manière telle que j'en ai même eu "peur". Je n'ai pas osé me retourner et quand bien même, qu'aurais-je vu? Personne ne se trouvait dans cette chambre et je ne dormais pas. Je n'étais même sur le point de m'endormir. Je ne peux vous dire qu'une seule et unique chose, cela s'est fait avec une extrême douceur comme si on caressait cette couverture pour éviter de me brusquer. Je n'ai plus ressenti quoi que ce soit depuis.
Mon frère, Marc:
Une semaine après son décès, Marc se trouvait aussi dans son lit. Il ne dormait pas.
Une "voix" très douce mais lointaine, qui n'était pas celle de mon père, l'a interpellé "Marco...Marco". Marc n'a pas non plus voulu se retourner.
Il a regardé l'heure sur son réveil-matin, il était 1h36 (AM).
Il n’a plus eu de « signes » depuis.
Le seul à n'avoir jamais appelé mon frère de la sorte était mon père. Marc est tout à fait incapable de pouvoir en dire plus mais il ne l'a pas rêvé. Il le dit lui-même, cette voix il l'a peut-être im
SVP passez-moi les explications du genre "étiez-vous vraiment seuls? Ne dormiez-vous pas? Aviez-vous bu? Etiez-vous drogués?
Peut-être certain d'entre vous ont été confrontés à ce type de phénomènes ou peut-on y trouver des explications raisonnables?
Je n'enrobe pas le bonbon d'un emballage rose pour mieux vous le faire avaler.
J'essaye d'être concis sans être succinct.
Vos opinions ont de l'importance.
Merci
Bernard
