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Abiogenèse: une synthèse de l'ARN réalisée
Publié : 14 mai 2009, 22:10
par PKJ
Et oui, c'est raporté dans
Wired:
Researchers synthesized the basic ingredients of RNA, a molecule from which the simplest self-replicating structures are made.
Lien:
http://www.wired.com/wiredscience/2009/ ... cleotides/
Comme on dit en autriche, "in your face."
Ça sent déjà le Nobel
Publié : 15 mai 2009, 00:03
par Denis
Salut PKJ,
Magnifique.
Ça sent déjà le Nobel.

Denis
Re: Abiogenèse: une synthèse de l'ARN réalisée
Publié : 15 mai 2009, 02:29
par ethernel
sweet
Re: Abiogenèse: une synthèse de l'ARN réalisée
Publié : 15 mai 2009, 09:56
par BeetleJuice
évolution 20856 | création 0
Super, ça progresse, bientôt on pourra mettre de belles cellules de synthèse sous le nez des créa pour voir s'il font une réaction allergique
Re: Abiogenèse: une synthèse de l'ARN réalisée
Publié : 15 mai 2009, 10:13
par embtw
En quoi c'est un argument anti-créa ?
Les créas répondront sans peine que Dieu a créé les hommes qui eux-même, ont synthétisé de l'ARN plus tard ??
Re: Abiogenèse: une synthèse de l'ARN réalisée
Publié : 15 mai 2009, 13:16
par curieux
et oui, ils répondront que Dieu a créé l'homme à son image.

Re: Abiogenèse: une synthèse de l'ARN réalisée
Publié : 15 mai 2009, 15:55
par BeetleJuice
embtw a écrit :En quoi c'est un argument anti-créa ?
Je sais très bien qu'ils peuvent dire que Dieu a crée l'ARN et que l'homme aussi a appris à le faire, mais ce serait faire une concession aux scientifiques sur le seul arguments créationnistes encore à peu près valable (dans le sens où la science ne l'a pas encore réfuté, même si du coté créa,il n'y a aucune preuve), à savoir que le passage de l'inorganique à l'organique est impossible sans Dieu. Admettre que l'on puisse synthétiser de l'ARN en disant simplement que Dieu l'a crée avant c'est admettre que l'on a pas eu besoin de lui pour la deuxième expérience de création, puisque l'homme n'intervient pas directement dans une réaction chimique, elle est entièrement du au hasard et au condition du milieu, et donc, fatalement, que la première fois non plus, on n'avait pas besoin de lui.